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Vraiment pas terrible. J'ai beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire; de plus je n'aime pas le dessin.
Cette bd n'est de loin pas la pire que j'ai lue dans ma vie. Il y a de bonnes idées mais exploitées trop maladroitement pour convaincre le lecteur. En effet, le récit n'est pas assez crédible et le dessin beaucoup trop angulaire pour me plaire. Néanmoins, la description de ce monde apocalyptique est plutôt réussie. Nous sommes dans un genre de Starship Troopers mais en moins spectaculaire. J'ai toujours su que les insectes étaient nos pires ennemis !
C'était la toute première bd de ce jeune auteur et donc il y a des défauts de jeunesse inhérents. J'aurais envie de lui dire de poursuivre et de travailler encore car il y a quelque part de bonnes potentialités. J'ai senti en tout une nette progression dans le graphisme avec son « Adrastée » paru deux ans plus tard.
On sent l'influence d'une série comme Walking Dead même si le sujet est sensiblement différent. L'auteur a réussi quand même à créer un univers intéressant. C'est un coup d'essai loupé mais profitable.
Devenu fan de Mathieu Bablet, je considère que le triptyque "Adrastée", "Shangri La" et "La belle mort" constitue d’ores et déjà un fleuron du 9° art…
Ses œuvres sont loin d’être parfaites c’est sûr, mais savoir que "La belle mort" a été entièrement conçu par un auteur d’à peine 25 ans à l’époque a quelque chose de sidérant au regard de sa qualité, son originalité et son épaisseur… Quelle maîtrise !
Graphiquement, c’est unique. Allier ces ambiances subtilement colorées à la minutie des décors permet une identification visuelle immédiate. Les immeubles bétonnés, obsessionnellement détaillés et démultipliés à l’infini, tissent un labyrinthe aussi désespérant que mortel pour les 5 protagonistes ; c’est "horriblement" beau !
Quant au récit, la trame post-apocalyptique sert de fond à des langueurs contemplatives, des questionnements existentiels et une forme de mysticisme. Le fil narratif est donc bancal, chaotique, elliptique, et…très bizarre !..
Mais peu importe. La dimension métaphorique étant évidente, je n’en ai pas cherché la cohérence ; j’y ai plutôt vu une parabole de nos vies, rendues de plus en plus futiles par notre incapacité à penser collectivement et notre individualisme forcené. En ce sens c’est puissant. Puissant mais clivant. Il est certain que nombre de lecteurs n’y comprendront rien…Moi, j’applaudis des deux mains !!
Seul le dessin permet d'éviter le "à fuir."
Je n'ai rien compris....Personnages peu attachants, intrigue absente, pseudo philosophie ras la moquette.
je regrette mon achat
Un univers post-apocalyptique très bien maîtrisé qui nous plonge au cœur de la vie que mènent les trois survivants d'une attaque d’insectoïdes. Le scénario même s'il reste simple nous pousse à nous poser des questions sur la vie et notre présence sur terre: pourquoi je suis vivant ? a quel destin je suis aspiré ? quel est le sens de ma vie ? Que puis-je espérer ? Que dois-je faire ?
Autant de questions que vont tenter de répondre nos trois héros.
Le tout renforcer par un dessin très réaliste et qui colle à notre vie actuelle mais accompagné par des couleurs très saturées reflétant le surréalisme de l'intrigue et le surnaturel des insectoïdes. L'ensemble se tient bien et nous tient en halène jusqu'à la dernière page.
La belle mort est une œuvre singulière, première œuvre de Mathieu Bablet. J’aurais plutôt un avis mitigé sur l’album.
La dimension graphique est très belle. Le jeu des couleurs est plutôt intéressant. Le lecteur pourra découvrir des points de vue assez beaux sur des paysages urbains en vue plongeant, en panorama. Le jeu des perspectives est d’une manière générale très réussi. Le dessin des personnages est plutôt original et taillé au couteau. Le style du dessin est résolument original, et je l’adore. J’avais déjà pu en profiter sur Adrastée.
Concernant le scénario, je ne suis pas déjà fan du genre post-apocalypse en SF. Mais je me suis laissé tenter. C’est l’histoire d’une groupe de survivants, après l’attaque de ce qui semble être une reine insectoïde voyageant de planète en planète pour en parasiter les ressources. Le fond de l’histoire tourne semble t il autour de la raison de continuer à vivre : quel est le sens de tout cela ? Que puis-je espérer ? Pourquoi faut-il souffrir de telle ou telle manière ? Chaque personnage apporte à sa manière une réponse à cette question. Et l’auteur s’est servi de cette reine insectoïde et de ses rejetons pour essayer de tourner l’histoire dans le sens ci-dessus. Le résultat n’est pas vraiment convaincant, les tenants et aboutissants sont assez mal ficelés. C’est une juxtaposition de situations auxquelles on a du mal à croire et dont on peine à percevoir une cohérence entre elles. Quel est le rôle exact de l’héroïne par rapport aux insectes ? Que vient faire la résurrection d’un des personnages par les insectes ? etc.
Le contexte post apocalypse était potentiellement intéressant, propice à se poser le genre de question ci-dessus et même inévitable étant donné un tel environnement. Mais des ressorts de scénario plus simples, plus basiques et je dirais à visage humain auraient suffi. Ils auraient constitué un excellent support au message existentiel, qui est le seul vrai intérêt pour le lecteur, et surtout au bel univers graphique de Mathieu Bablet. Disons que c’est une œuvre de jeunesse.