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Suite du "Masque de la Peur".
Rémi est parti en Amérique du Sud pour en savoir plus sur la secte de la Maria Madre. Commence alors une suite d'aventures et de rebondissements dans la jungle.
Pour conter son histoire, Alain Oriol s'est inspiré du massacre du "Temple du Peuple" au Guyana en 1978 dans lequel périrent plus de 900 personnes dont le gourou de la secte.
Si le déroulé de son histoire est classique, le thème qu'il aborde l'est moins.
Quant à sa fin, elle reste assez culottée puisqu'elle ne sacrifie pas au "happy ending", bien au contraire.
Panique chez les réfugiés politiques sud-américains. Ils meurent tous les uns après les autres de crise cardiaque. A chaque fois, le visage du défunt est crispé comme s'il était mort de peur. Remi Forget qui s'est fait tabasser par des inconnus et par erreur (c'est ou c'est l'autre ?), mène l'enquête.
Milan avait donc lancé toute une flopée de BD tantôt destinées à la jeunesse, tantôt destinées à un lectorat adulte. Cette série là penche vers la deuxième catégorie par les thèmes qu'elle aborde (problème des sectes, vices des dictatures, etc.).
Bien que nombre de leurs albums furent plus qu'honorables, Milan (une maison toulousaine !) abandonna la BD (sinon celles spécifiques pour enfants).
Echec commercial ? Peut-être.
Volonté marketing de ne pas polluer leur image (l'axe stratégique est bien le parascolaire; qui plus est la maison était alors tenue par des profs) ? Peut-être aussi.
En tout cas, c'est dommage, car les choix éditoriaux étaient plutôt bons.