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le grand final, de l'action à foison, l'apparation de personnages légendaires, quelques belles planches, pas mal d'humour et un peu d'amour mais il était grand temps que la série s'arrête .
Même si ce dernier tome limite la casse, American Vampire avait perdu en intérêt et en richesse dans son second cycle, de mon point de vue .
L'ensemble reste une agréable lecture et une bonne série à conseiller . Je pense qu'avec 2 tomes en moins, on aurait pu intensifier le plaisir .
La série perd de sa puissance et en intérêt depuis le tome 5 (fin du premier cycle) . Je peine à la terminer, j'y vais même à contre-coeur sur le dernier tome, et c'est bien pour faire honneur à ses débuts excellents et au travail d'Albuquerque que je me donne ce mal .
Petite déception, un arc qui mise tout sur l'action et qui pourtant n'avance pas vraiment sur le scénario si ce n'est en toute fin de chapitre, un léger suspense .
Les évènements spatiaux n'étant pas came, j'ai franchement moins apprécié ce tome, mais je comprends que le scénariste passe par là, puisque nous avons visité toute l'Histoire de l'Amérique depuis la création de Skinner Sweet . Quant à Pearl Jones, toujours aussi charismatique !
Premier arc bouclé, le second commence sur de bonnes bases . Un dessin dynamique, une histoire sombre mettant en scène un nemesis redoutable sur lequel on ne sait pas grand chose pour le moment (si ce n'est qu'il est craint de tous, effroyable et très puissant) et dont on espère une rencontre prochaine , forte en émotion et en action .
Il s'ait ici d'un tome un peu plus lent, une mise en place du scénario, peut-être le calme avant la tempête .
Hâte de découvrir la suite .
Il ne s'agit pas de la suite directe du tome 5, alors je ne comprends pas vraiment ce choix de numérotation . Peut-être auraient-ils pu en faire un tome à part comme pour les "American Vampire Legacy" ou simplement un tome 0 .
Tome dispensable, même si la lecture reste agréable .
Encore une fois une très bonne lecture . Une action forte, des sentiments divergents, des dessins exquis, quelques rebondissements bien sentis et une fin ouverte qui laisse de belles perspectives pour la suite des aventures de nos personnages favoris et des revenants .
Encore un très bon tome de cette série qui ne cesse de me surprendre par son écriture plus intelligente qu'elle ne pourrait laisser croire. Sur ces 4 tomes, je ne sais toujours pas si le vampire principal (Skinner Sweet) doit être adoré ou détesté tant ses actions vacillent entre le Bien et le Mal, sans disctinction.
Historiquement nous visitons : La bataille du fort Bowie, la jeunesse américaine des années 50 et l'évolution du racisme en société .
Place à la guerre du pacifique où les japonais n'hésitent pas à user de méthodes épouvantables pour asseoir leur domination et continuer leur expansion . Encore une fois, tiré de faits réels comme l'unité 731 (732 dans le bouquin) qui est connue comme l'un des pires, si ce n'est le pire des établissements de tortures jamais crée .
A côté de ça, le tome 3 est mon préféré jusqu'à présent car on y retrouve le romantisme d'un "Dracula", l'humour noir du premier tome, c'est moins manichéen et la mise en page est dynamique . Les artistes se sont imprégnés de leurs personnages et ça se ressent dans les dialogues . Ce troisième volet est émouvant tout au long de l'histoire, dû à l'amour entre un homme et une vampiresse mais aussi aux conséquences désastreuses de la guerre sur les familles .
Cet American Vampire est finalement une très belle surprise pour moi . Je ne m'attendais pas à ce genre de critiques sociétales dans un comics de vampires . L'action et l'amour j'y suis habitué (et toujours sensible) mais c'est vraiment ce côté historique mis en scène avec des récits fantastiques qui me fascine . Et en plus, je sors grandi de cette aventure, puisque je ne connaissais pas les tenants et aboutissants du barrage Hoover par exemple . Comment lier l'utile à l'agréable ? Lisez du American Vampire :D
Ce tome 2 est la suite logique du premier tome pour ce qui ressemble à la trame principale . Une enquête sur un premier meurtre, puis un second et bientôt un troisième . Tous actionnaires de l'immense projet "Barrage Hoover" . On peut imaginer sans trop se risquer, à une certaine critique envers les conditions de cette construction où l'ancien vampire essayant de protéger ses terre et sa famille contre ses nouveaux investisseurs, est vu comme une menace. On assiste entre autre, à l'ascension du FBI et à l'urbanisation des Etats-Unis .
Pour la deuxième partie de ce tome, on retrouve la noirceur et la violence des débuts . Un voyage d'une amie en quête de vengeance contre Pearl Jones (deuxième personnage principal, protégée de Skinner Sweet) . C'est rythmé par beaucoup d'action et de meurtres sauvages .
Pour commencer, je n'ai pas spécialement d'affection pour les histoires de vampires . Ensuite, le résumé qui laisse penser à un "super vampire américain" m'a même carrément repoussé . Je me décide finalement de lui laisser sa chance car il y a quand même un casting de zinzins sur cette série !
Le dessin de Rafael Albuquerque pioche dans de nombreux genres (roman noir, western, super héros) et ce mélange donne un certain cachet aux planches . Les transformations des vampires sont superbes, et l'action est bien retranscrite . On ressent parfaitement les effets de force et de vitesse . C'est violent, sanglant et assez gore .
Concernant le scénario, il se déroule durant deux périodes distinctes , à savoir le Far West et les débuts du cinéma moderne (les starlettes) . Les deux écrivains se partagent l'histoire sur chaque chapitre, ce qui peut parfois faire défaut sur le rythme de lecture et la compréhension entre les deux époques, avec des "flashback" pas forcément clair et précis .
Malgrè la violence, ça ne manque pas d'humour avec notamment les deux principaux protagonistes qui sont assez sarcastiques et farfelus . Quelques stéréotypes sont à noter, mais ils sont parfaitement voulus .
Pour ce qui est d'un résumé de la série globale à venir, Scott Snyder le fait parfaitement dans ce petit extrait en fin de bouquin (encore une belle édition d'Urban Comics avec des esquisses, des anecdotes et quelques couvertures variantes par différents artistes) .
Sans être complètement conquis, ça reste une bonne lecture .
La naissance d'une série qui parcourt les époques marquantes des Etats-Unis depuis la conquête de l'ouest, à travers les aventures d'un vampire hors-la-loi revanchard est finalement plutôt intéressante, intrigante et me laisse enthousiaste sur la suite des rencontres que pourra faire ce Skinner Sweet .
Bon évidemment le côté "Les américains sont les plus cool et les plus forts " est très présent pour l'instant .
American Vampire est un autre moyen de nous montrer le rêve américain et surtout sa puissance. C'est comme la comédie musicale American Graffiti. Il s'agit en effet d'explorer le mythe des vampires dans l'Ouest américain depuis la conquête jusque dans les années 60.
L'un des scénaristes n'est autre que Stephen King lui-même. C'est déjà un gage de qualité quant à l'écriture.
On est à mille lieux d'un Twilight par exemple car les vampires sont terrifiants. On ne fera pas dans le romantisme. le dessin est assez dynamique. Les dialogues sont parfois pompeux mais on fait avec. De nombreux flash-back viennent parfois polluer le récit. Là encore, il faudra s'accrocher. La mise en scène n'est pas réussie.
Bref, il faut du temps pour entrer dans l'histoire et pour comprendre les enjeux ce qui rend la lecture un peu pénible. C'est dommage.
Un corpus intéressant même si je trouve que l'intérêt des histoires est déséquilibré : certaines ont peu d'intérêt avec des dessins médiocres, d'autres aventures sont excellentes comme le destin de la jeune Pearl. J'ai apprécié l'opposition entre les vampires européens et les vampires "nouvelles générations" américains.
Scott Snyder ou l'étoile montante du label Vertigo revient avec son second cycle de sa série phare American Vampire. Verdict ?
L'histoire se déroule 2 ans avant les évenements du one-shot Anthology du tome 6, et nous plonge en plein coeur de l’Amérique profonde des sixties, à des années lumières des de San Fransisco et de Woodstock.
Malgré une mise en scène toujours aussi soigné, une ambiance plus sombre que jamais, des personnages toujours aussi charismatique et une relance de l'intrigue qui a pour but d'enichir l'unviers de la série, le rythme est assez mou pour un arc de 4 numéros.
Cependant la fin de celui-ci nous pose une vraie colle et nous donne envie atrocement de connaître la suite
Ajoutez à ça une histoire courte sur le personnage de Gene Bunting à la fois original et effrayante.
Bon album dans l'ensemble, mais il pourra en décevoir quelques-uns.
Je conseille ce tome 1 qui m'a fait passé de bons moments. A lire absolument pour les amoureux du thème du vampire violent et sanguinolent.
Ce que j'ai aimé:
- Le thème du vampire violent et sanguinaire à l'opposé des Twilight
- Un bon scénario avec une atmosphère sombre
- L'alternance entre les deux histoires à deux époques différentes
- Skinner Sweet haut en couleur et charismatique
- De beaux dessins puissants et saisissants.
Ce que j'ai moins aimé:
- Des vampires Européens un peu trop faible vu leur mythe et leur histoire ( malgré les explications)
- Trop d'irrégularités dans le dessin.
Ce sixième volume d’American Vampire n’est pas la suite directe du précédent opus mais un interlude composé de courts récits réunis sous le nom « American Vampire Anthology ». Pour l’occasion plusieurs artistes de renom (Jason Aaron, Jeff Lemire, Gail Simone) se sont prêtés au jeu et nous proposent des histoires agréables bien que finalement assez anecdotiques. Si l’initiative est sympa, le fait que les récits soient très courts ne permet pas un grand développement et limitent l’intérêt de certains. On retiendra surtout celle de Gail Simone sur Hattie Hargrove qui s’avère très bien écrite. A noter que cette anthology est précédé d’un chapitre, « The long road to Hell » par Scott Snyder qui se révèle excellent en tout point et vaut à lui seul le détour.
Déjà 5 tomes parus de cette excellente série, et ce dernier est sans doute le meilleur !
En effet l'action se resserre sur les personnages principaux contrairement aux tomes précédent, c'est musclé, saignant, l'action est omniprésente et n'empêche pas quelques jolis moments de passion.
American Vampire réinvente sans cesse le vieux mythe poussiéreux vampirique.
Ce cinquième tome conclut de façon efficace et explosive le premier cycle d’American Vampire. Pearl Jones et Skinner Sweet reviennent sur le devant de la scène pour un final sanglant qui va changer la donne pour chacun des deux protagonistes. Le tout est clos par un prélude au second cycle qui donne plus qu’envie de lire la suite.
Un dernier tome qui tourne autour d'une équipe assez invraisemblable avec un final que l'on ne voit pas venir, vraiment excellent...
Un cycle se termine, mais avec une fin qui nous laisse présager une suite des plus palpitante.
Je pense que c'est une série à avoir absolument dans sa bibliothèque
On découvre tout d'abord dans ce tome l'ouest américain dans les années 1800, qui nous raconte l'enfance de Skinner Sweet et de son frère qui n'est autre que James Book.....du lourd malgré un dessin de Jordi Bernet qui je trouve n'est pas génial.
On passe ensuite aux années 50, l'époque des blousons en cuir, des gros bolides et du rock'n'roll où l'histoire se passe biensur après "Taipan", avec un Skinner Sweet qui nous réserve quelques surprises, la première étant qu'il n'est pas mort (spoiler).... Et Calvin Poole, transformé précédemment en vampire et faisant partie des vassaux aura à faire à une nouvelle sorte de menace, aussi dangereuse que les vampires et apprendra que le danger ne vient pas toujours de là où on l'attend....
Je recommande vraiment cette série qui ne s'épuise pas...
Vraiment excellent, encore une fois un très bon moment de lecture qui nous tient en haleine tout du long.
Je recommande vivement.
Apres le grand ouest, le Las Vegas de 1930 cette saga vampirique nous débarque au milieu du Pacifique durant la deuxième guerre mondiale, toujours aussi mordant et palpitant ce 3e opus se termine sur un incroyable rebondissement.
Petites déceptions tout de même, le conflit n'apporte rien d'interressant au récit et skinner Sweet se fait une fois de plus voler la vedette par les personnages secondaires.
Mais cette histoire pleine d'actions et de bonnes idées est toujours un vrai plaisir.
Toujours servi par l'excellent dessin d' Albuquerque, ce deuxieme volet propose un scénario moins exaltant que son prédécesseur, plus bavard et moins d'action. Le personnage de Skinner Sweet est mis un peu à l'écart au profit des personnages secondaires.
La deuxieme partie de l'album "évasion" est la plus intéressante.
Hattie s'échappe et veux retrouver Pearl pour se venger, cette deuxième partie retrouve la noirceur, l'action et l'évolution pertinente des personnages concernés.
Mais le tout est de de très haute volée pour notre plus grand plaisir.
Le Maitre de l'horreur Stephen King nous livre ici les origines d'un héros ou plutôt d'un antihéros. Sanguinaire, cynique et très rockn'roll, Skinner Sweet est à lui seul l'atout majeur de ce premier opus.
Le scénario tres bien ficelé narre également la vengeance d'une femme qui croise et croisera peut être Skinner par la suite, le tout servi par un dessin puissant et nerveux.
Ca gicle, ça dévore, bref du très lourd !!!
Toujours aussi décoiffant, le suite poursuit dans la "même veine" que le premier tome. Rafraichissant...
Le propos renouvelle le mythe des vampires. Il fallait y penser : suivre l'affrontement entre les vampires de l'ancien et du nouveau monde, le tout sur deux époques.
Le dessin est nerveux et permet des explosions sanguinolentes...
Les auteurs me sont totalement inconnus, sauf bien évidemment Stephen King...
Aimant particulièrement les histoires de vampires, surtout quand c'est bien trash... Avec American Vampire, me voilà servi....
L'arc se déroule sur 2 époques plutôt différentes qui sont intéressant car nous permettent d'observer 2 facettes du "héro".
Du fait des deux époques, la narration se trouve découpée ce qui peut rendre la lecture fatigante par moment, mais on a tellement envie de savoir la suite qu'on ne démotive pas! Ce qui est déjà un véritable bonheur, car l'histoire nous tient en haleine...
Graphiquement, c'est tantôt sombre tantôt rougeoyant comme les feux de l'enfer! Mais c'est un pur bonheur visuel. Certaines planches mériteraient d'être dans ma chambre au format 30*40 voire plus grand encore ^^!
Bref je conseille à tous les fans d'action, de sang, de vampire voire plus!
C'est du lourd...
Je me demande si on peut dire que American Vampire nous présente la naissance d'un nouveau SuperHéro!
Le thème du vampire a tellement été exploité que j'ai hésité à lire cet album.
Ce qui m'a fait sauter le pas, c'est la signature de Stephen King. Etant un inconditionnel du King, j'étais curieux de voir comment et pourquoi ( car il dit toujours pourquoi ) il s'était lancé dans cette aventure avec Snyder.
Et bien je n'ai pas été déçu. Marre du vampire romantique qui finit par être le gentil de l'histoire. Le vampire américain est méchant, très méchant, d'autant plus qu'il est bien plus libre que son cousin des Balkans, puisqu'il ne craint pas la lumière du jour. Il fait le mal car c'est sa nature et même si un humain bon reste fondamentalement bon transformé en vampire amèricain, ça saigne gore sur des dessins au format comics très modernes et parfois très impressionnants de Rafa Albuquerque. Un excellent renouveau du vampire.