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Toutes les histoires sont bonnes, c’est généralement l’avantage des anthologies. J’ai fait le plein de fun, de gore et de foutage de g. sur les USA ^_^
toujours aussi sombre et violent, « Doggybags, volume 10 » relève pourtant le niveau par rapport au volume précédent en proposant des histoires plus originales : la première incroyablement cynique mais massacré par le graphisme abominable de Shavrin, la seconde classique mais plutôt exotique avec son folklore russo-démoniaque et la troisième la plus aboutie utilisant la déchéance de Detroit, Motor-City pour une plongée dans un univers machiavélique digne des psycho-killers.
Si les scénarios se relèvent, dommage simplement que le graphisme plutôt pauvre voir affreux, ne soit pas tout à fait à la même hauteur !
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-10-sztybor-mojo.html
« Doggybags, volume 9 » est un numéro à réserver pour les fans purs et durs de la zombie-exploitation ce qui est très loin d’être mon cas.
Malgré une qualité graphique des plus correcte, ce sont surtout les scénaristes qui se font plaisir avec des scénarios basiques consistant à exploser un maximum de cranes de ses monstres consommables.
L’exercice tourne pour moi rapidement court et est à classer au rayon « sans aucun intérêt ».
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https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-9-run-hasteda-philipe.html
« Doggybags, volume 6 » varie quelque peu les plaisirs en mixant cette fois les influences gore vampiriques avec le thème de la sexualité, abordé sous l’angle aujourd’hui moderne de l’envahissante pornographie.
La porn star Kastuni trouve dans ce style volontairement régressif l’occasion d’extérioriser d’autres facettes de ses « talents » artistiques produisant des scénarios basiques et autobiographiques ou on devine une certaine brutalité dans les tournages de style « gang bang ».
Pour le reste, les amateurs retrouveront le coté crade et grossier du graphisme des auteurs habituels. Avec cet apport ponctuel et particulier, ce volume six change un peu la donne, sans bouleverser pour autant par son audace ou son génie.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-6-celine-tran-run.html
« Doggybags, volume 3 » se montre d’un grand niveau de qualité dans son style gangster/horreur très gore.
Tout en livrant des histoires d’une grande violence ou les trafiquants sont finalement les victimes soit de leur conscience, soit d’esprit vengeurs, soit d’autres organisations populaires vengeresses, le comics apporte des analyses historiques et sociologiques passionnantes sur le phénomène des cartels mexicains, capables par leur puissance économique de s’équiper comme de véritables armées, d’acheter des policiers ou des politiciens et surtout de se livrer de barbares guerres de contrôle de territoires ou l’horreur succède à l’horreur.
Un comics pour adultes e qualité donc qui à coté des histoires de gangs blacks californiens, remplira les fans d’histoires de cartels et de folklore mexicain.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-3-run-neyef-florent.html
après un premier numéro pilote, « Doggybags, volume 2 » lance pour de bon la série avec des histoires bien gores de tueurs en série et de psychopathes dans une Amérique malade de sa propre violence.
Outre la violence, le sexe est également très présent tout particulièrement dans la première histoire quasi pornographique de Ozanam et Kieran.
Difficilement supportable par cette débauche hardcore, ce second volet des Doggybags se fait néanmoins remarquer par son style particulier « Tarantinesque » des scénaristes et des dessinateurs.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-2-ozanam-run-kieran.html
« Doggybags, volume1 » plante dès le début le décor mélangeant série Z et fantastique-horreur sur fond de beacoup violence et d'un peu de sexe.
Volontairement premier degré et dénué d’humour, ce premier numéro présente le noyau de base de l’équipe avec des histoires simples voir simplistes, tout particulièrement la première trop fortement influencée pour moi par l’univers de Sons of anarchy.
Au niveau graphisme, la pauvreté de Singelin choque, Maudoux et Run relevant tout de même le niveau avec un trait plus soigné.
Rien de bien renversant au final mais une nouveauté mal élevée qui a au moins le mérite de bousculer un peu les codes trop figées du genre, ce qui à mon avis mérite un minimum de respect/intérêt.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/09/doggybags-volume-1-run-singelin-florent.html
Alors "DoggyBag", qu'est ce que c'est ? Il s'agit d'un comics format souple reprennant la grande époque du comics d'après guerre . Celle où les super-héros étaient passés de mode pour laisser place aux crimes et à l'épouvante . Chaque BD est composée de trois petites histoires d'environ 35 pages , sans lien les unes avec les autres . A noter qu'avant chaque histoire, nous avons droit à une explication historique/scientifique sur un objet important de l'histoire qui va suivre . C'est plutôt sympa .
Que vaut ce volume 1 ?
-Le premier récit, une histoire de bikers loup-garou, évoquant l'acceptation de soi et de sa nature, avec cette phrase finale "La liberté ne se troque pas . Mieux vaut vivre un jour comme un loup que cent comme un chien"
-Le second récit, une histoire à la Kill Bill . Les boobs en plus .
-Le troisième récit, une rencontre dans l'Arizona entre un vilain nazi dont le braquage fini mal et deux policiers motards . S'en suit une course poursuite en désert, des vautours et une fin drôlement méritée . La morale de l'histoire : "Le crime ne paie pas" .
En conclusion
Le dessin est varié (différents artistes) et de qualité, une espéce de néo-rétro qui rend vraiment bien . Mais ce qui saute aux yeux , c'est la mise en page des différents épisodes, des avant-propos, du livre en général. Elle répond merveilleusement bien aux attentes de son lectorat et fait honneur aux comics des années 60 . Visuellement le bouquin est un chef d'oeuvre à lui seul .
Quant aux scénarios, il y a boire et à manger . Sur ces trois histoires par exemple, seul le dernier épisode m'a plu . Le reste n'est pas mon genre (loup garou et art martiaux)
Bon, allez, on review les histoires une après l'autre.
(Jamais lu les versions originales à cause des critiques moyennes, mais comme celles-ci ont supposément été votées comme les meilleures, j'ai tenté le coup)
EDIT: Les commentaires de ma copine après les miens.
1. Mort ou vif - 3/5
Bon, avec une fin un peu comique, je n'ai pas grand-chose à dire sauf que c'était au bout du compte un peu simple.
2. Samurai - 5/5
L'une des deux meilleures histoires de l'anthologie. Les dessins et les couleurs sont sublimes, l'histoire est très bonne. J'ai vu la fin venir des pages d'avance car trop clichée, ce qui me donne presque envie de donner à cette histoire un 4/5, mais bon, ça demeure l'une des meilleures de l'anthologie alors 5.
3. Wintekowa - 2/5
Bof, l'histoire ne ma pas plu tant que ça. Pas grand-chose à dire.
4. Lupus - 5/5
L'autre meilleure histoire de l'anthologie, j'ai beaucoup aimé, et je n'ai pas vu venir la fin, fait rare ici. L'histoire était bonne, le dessin agréable, je recommande.
5. Dia de muertos - 2/5
Bof? Un truc de cartels pis tout ça, rien de bien excitant selon moi.
6. The Border - 3/5
Bon, ici commence l'étrange fascination des Français pour les É.-U. dans cette anthologie et en particulier le conflit mexico-américain. Deux gars tirent du monde à la frontière pour empêcher les Mexicains d'entrer. Voilà. On y voit des traces de surnaturel, ce qui rehausse la saveur sinon assez plate de l'histoire.
7. Welcome Home Johnny - 4/5
Encore les É.-U. Cette fois-ci, un homme revient de la guerre et son village d'arriérés l'accusent de traître sans raison. Assez troublant comme histoire, basée sur le véritable lynchage de trois hommes au Madagascar il y a quelques années. Vaut la peine d'être lue.
8. Times Scare - 3/5
Encore les É.-U. Un homme se déguise en mascotte et se met à tirer sur la foule à Times Square. Pas mal, mais la fin manque de punch.
9. Death of a Nation - 2/5
Encore les É.-U. BLEH! Des Américains s'amusent à tirer sur des zombies dans un parc d'attractions. Oh oh oh. Surtout sur les Arabes et les Vietnamiens. Ces maudits Américains. Ça tourne mal, comme on peut se l'imaginer. Plutôt mauvais.
10. The Last President - 3/5
Encore les É.-U. Encore une affaire de mur pour contrer les Mexicains. Hé l'originalité on l'a! Au moins, ça s'améliore rapidement avec le président dans son bunker et la brève observation des effets de l'isolation totale sur l'esprit humain. La fin est également surprenante. Malheureusement, le fond de trame éculée sur l'immigration bla bla bla m'empêche de donner à cette histoire un 4.
Note moyenne totale, 3/5.
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Bon, ma copine les a aussi lues, et ses avis sont COMPLÈTEMENT différents des miens! Voici ses commentaires :
1. Mort ou vif - 4/5
Bonne histoire, troublante. Bien écrit. Je suis entrée dedans.
2. Samurai - 1/5
Beau dessin et thème intéressant, mais c'est tout. Excessivement prévisible, histoire moralisatrice, pas horreur.
3. Wintekowa - 5/5
Bonne histoire, fin surprenante, personnage attachant, suspense ++. Dessins bof.
4. Lupus - 2/5
Dessins moyens, Histoire très bof. Pas entrée dedans. Aucune profondeur.
5. Dia de muertos - 3/5
Fin bizarre. Sinon bonne histoire. Personnages + complexes. Beaux dessins.
6. The Border - 4/5
Troublant +++. Fin surprenante, malaise intense. Aurait pu être plus longue.
7. Welcome Home Johnny - 3/5
Bonne histoire fluide, beaux dessins. On comprend bien l'effet d'amplification.
8. Times Scare - 1/5
Pas aimé les boîtes rouges. Pas d'horreur ni de suspense.
9. Death of a Nation - 4/5
Bien aimé, beaux dessins, malaise assuré. Syndrome du héros et parc de tir WTF. Relation Richard-Linda +. Fin plus ou moins surprenante.
10. The Last President - 3/5
Pas horreur, mais bonne histoire. Drôle.
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Vous voyez, les goûts, ça ne se discute pas!
si vous voulez des frissons, faut plutôt lire Outcast de Robert Kirkman (Walking Dead) sur l'exorcisme.
http://lacasebd.overblog.com/2014/10/doggybags-5.html
Plus rugueux que Louca, voici DoggyBag n°5… back to the roots.
Quand mon libraire m’a conseillé la lecture de DoggyBag, j’avoue avoir été assez sceptique vu le style graphique de la bête, surtout que du mort-vivant on en a bouffé des tonnes dernièrement au risque d’avoir une indigestion, et qu’en plus le format en lui-même me laissait assez dubitatif. Du coup j’avais un peu laissé tomber l’affaire pour me concentrer sur des valeurs sûres genre Tintin.
Et puis dans mon subconscient, un DoggyBag ça veut dire ce que ça veut dire non ? C’est des restes de Canigou ? :)
Alors quand, par un détour complètement inattendu auprès de mon libraire, j’apprends qu’un des auteurs du bouquin, Kaninka, est présent en dédicace, je me laisse tenter par l’aventure. L’énergumène, avec ses petits airs de fossoyeur du matin, m’a tout de même fait une forte impression et rien qu’en le regardant, m’a confirmé dans l’idée qu’un dessinateur est du genre à se lever et se coucher tard voire même ne pas trop voir la lumière du jour. Alors si en plus, un des auteurs du « Petit Spirou », Dan (Verlinden) arrive, non pas pour tenir la chandelle mais pour y faire des dédicaces et qu’en sus, Kaninka m’annonce sur ces entrefaites « que ça sent la vieille bite tout à coup » ; j’aime de suite (NDM : je n’ai pas poussé le vice pour vérifier ^^, je vous jure, merci pour moi) , … et là, vous me direz que ça vous fait une belle jambe… ouais je confirme, à moi aussi et pourtant elle n’est pas épilée.
Alors quand on me parle de vieille bite, j’ai l’œil enflammé et j’achète le bouquin (et voilà cher libraire, toi qui me lis, comment attiser le chaland ^^, un bon mot et hop je m’emballe).
V’la pour la petite anecdote du jour, mais je ne vais pas vous raconter toute ma life mais plutôt vous parler du tome 5 de DoggyBag (did’ju) parce que l’air de rien, si vous êtes arrivé jusqu’ici, ce n’est pas pour des queues de cerise.
Première impression, il y a beaucoup à lire et on n’a pas vraiment l'impression d’être devant une bd mais dans un gros fanzine qui a des moyens ou un magazine genre Fluide Glacial ou Spirou en version plus trash tout de même.
DoggyBags #5 DoggyBags #5 DoggyBags #5
Édité sous le label 619 de chez Ankhma, DoggyBag porte super bien son nom et est un concept en tant que tel. En gros, c’est le genre de bouquin que tu lis où tu veux histoire de décompresser. Le concept est simple, des récits complets dessinés par un collectif d’auteurs tout aussi déjanté reprenant à chaque numéro trois histoires qui ne sont pas liées entre elles. Chaque histoire est calibrée format trentaine de pages sur la thématique époque «Reagan » ou « Clint Eastwood » voire « Plan B » d’Ed Woods. En gros, ça reprend l’univers Pulp tendance gauchiste avec une aisance tarantinesque sans pour autant être aussi décomplexé qu’un film de Guy Ritchie dans lequel on aurait allégrement mélangé zombie, hémoglobine livrée en hectolitres, culture underground, ambiance embrumée, roulage de mécanique, mariachi, petite pépète , humour et gros mots.
Mais avant toute chose, parlons de la maquette du bouquin. Les trois histoires sont emballées comme un magazine US avec sa section « courrier des lecteurs », de pub dithyrambique et ses fausses affiches racoleuses ; le tout avec un rendu vieilli qui utilise une charte graphique assez « oldies ». Les histoires sont indépendantes l’une de l’autre mais suivent une thématique commune.
Le tout est supporté par une ligne éditoriale menée par la main de fer et qui garantit des publications assez soutenues (on doit être autour du numéro 6 pour l’instant).
Clairement destiné à un public adulte ou averti, le concept permet de passer d’un univers graphique à un autre grâce justement à ce changement d’auteurs et d’histoires. Et pour le format, il est sympa, se situant entre le gros roman et la bd A4 classique.
Bref voilà pour la partie « emballage » sympa et tutti quanti… mais quid de l’histoire ? Est-ce que cela en vaut la peine ?
On va teaser un peu ; vous voulez le menu du jour ? Eh bien dans ce 5e opus (je précise, il n’y a aucun lien entre chaque numéro hein, c’est juste des « one-shots »), nous avons trois histoires complètement folles ayant pour titres : Death of Nations, Rampage & Trapped.
Death of Nations
À mon sens le plus réussi graphiquement des trois, tout en restant classique. C’est une histoire ayant pour thème les légendes urbaines ; un groupe de gangsters tout tatoués viennent de braquer une banque. Pourchassés par la police, ils sont contraints de s’enfuir dans les égouts… mais une chose terrible s’y terre. En sortiront-ils indemnes ? Ambiance et cotillons pour cette histoire qui sent bon la fosse septique.
Rampage
Une histoire en phase avec son époque. C’est l’histoire d’un ex-soldat américain ayant fait la guerre du Vietnam et qui est un peu dérangé… genre beaucoup même à tel point qu’il va sombrer dans une folie pas possible que seule une fin dramatique saura apaiser. Mal-être dérangeant, gros obus et tank en perspective.
Trapped
La plus intéressante et originale. Dans un future alternatif, la société ricaine a créé des parcs d’attractions un peu spéciaux puisqu’ils permettent à tout un chacun de revivre certains scènes-clés de l’histoire tel que l’assassinat de JFK en jouant le rôle de l’assassin ou de grandes batailles épiques ; du pur mauvais gout ! Qui joue la chair à canon ? Des Zombies affamés pardi ! Tout irait « pour le mieux » si le gardien du parc n’avait pas des vues sur une des visiteuses. Gore, macabre, malsain, ne lui manque qu’une touche de délire pour en faire le titre phare de ce numéro.
Vous avez compris, c’est de la bd de genre dans la grosse veine des séries Z comme on peut retrouver dans certains films d’exploitation.
Mais voulà, ce numéro a les qualités de ses défauts. On est censé être transporté dans des intrigues trash, un brin dérangeantes, et qui frôlent cette folie propre. Et là je n’ai pas été très surpris (je n’ai même pas dû retourner mon slip c’est pour dire) ; les histoires sont trop inégales que ce soit sur le fond ou la forme, et manquent cruellement de profondeur ce qui fait diminuer le plaisir et je n’aime pas quand on diminue mon plaisir. :)
Ne nous égarons pas et ne cherchons pas trop loin. DoggyBag est avant tout un(e) magazine/bd rafraichissant(e) qu’on peut emporter avec soi et lire n’importe où ; que ce soit à 4000m d’altitude en train de faire un free-jump ou coincé dans le métro, moi j’ai trouvé l’endroit idéal… les WC (chacun son truc).
Amateurs de Greenhouse, de films d’exploitation, je suis sûr que vous apprécierez. Quant à moi, je vous dis à très bientôt et je vais m’écouter le dernier album de François Valéry qui fait l’hymne aux zombies, bye bye.
Après un bon Tome 4, ce numéro est sans doute le moins bien réussi des 5. La première histoire reste dans la veine des précédents numéros mais avec assez peu d'originalité ce qui lui donne un air de déjà vu, la seconde ne m'a pas du tout accroché, et les dessins m'ont même repoussés. Je comptais vraiment sur la dernière histoire, qui avait l'air d'avoir un concept plutôt intéressant, pour retrouver le plaisir de certains épisodes précédents, malheureusement le scénario n'est pas à la hauteur et la narration en devient inintéressante... Plutôt déçu... mais je fonde de grands espoirs sur le prochain numéro !!:p
Après un tome 3 avec une thématique forte, Doggybag retrouve une ligne plus libre. Toujours aussi bien foutu, une maquette forte des histoires trash et en plus quelques dossier intéressant.
Je continue à être client !
A noter quand même une couverture en dessous des 3 premiers tomes.
Bof,
Un album centré sur 3 récits tous conçus de la même manière, violent et sans humour. Et poutant je ne déteste pas le polar !!!
Bref si cela doit présager du futur de la BD il faut se faire du souçis.
Mêm pas la moyenne.
4/10