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Superbes dessins, une histoire qui se déroule avant « le troisième testament » que je n'ai pas lu.
Le scénario est bien conçu, mais il faut aimer le genre de péplum-biblique.
J'ai été déçu par cet album.
J'ai assez aimé la série initiale, et le prequel Julius m'a aussi pas mal tenu en haleine. Mais pour le 5è et dernier tome, ils ont trop mis le paquet au niveau du scénario, ça me fait penser aux TV LED d'expo où tous les réglagles sont poussés à fond : ça appate l'oeil, mais c'est fatigant et finalement insupportable. Cet album a été voulu comme une apothéose, mais trop, c'est trop. Je pense que Jerusalem est prise/reprise au moins 3 ou 4 fois par les rebelles/Romains en quelques cases. Tout l'inverse des premiers albums où c'était plutôt l'éloge de la lenteur.
Et puis au niveau temporel, l'histoire me semble assez incohérente.
Sinon, le travail graphique est très soigné ; globalement, du très beau boulot !
Pour les 5 tomes, je mettrais de 3,5 à 4/5.
Le personnage de Julius planait littéralement sur l’œuvre originale qu’était « le Troisième testament ». Aussi, le fait de réaliser une anté-suite en prenant ce personnage paraissait opportun. Cette BD impressionne tout d'abord par sa virtuosité esthétique. Les planches de dessins sont d'une rare beauté et d’une finesse exquise. La colorisation semble également très réussie. On notera qu’Alex Alice qui supervise toujours le projet laisse sa place à un véritable disciple qui a tout le talent de son mentor d’où une revendication assumée ...
La scène d’ouverture est tout à fait époustouflante dans le fait de se donner dans une dimension presque cosmique. Pourtant, on sera totalement immergé dans cette société romaine. Par ailleurs, chaque personne semble posséder une véritable âme ce qui facilite le fait que le lecteur suit avec plaisir leur parcours et leur évolution au fil des épreuves qu’ils subiront. Le traitement demeure certes classique. Cependant, la mise en scène est d’une fabuleuse maîtrise aussi bien narrative que scénaristique.
Pour autant, on regrettera les fautes d’impression calligraphiques absolument impardonnables pour une série aussi médiatisée. C’est à croire qu’il n’y a aucune relecture démontrant ainsi un amateurisme qui n’a pas sa place à ce niveau. On pardonnera cependant… sans doute par charité chrétienne qui est justement ici de mise. On suivra donc avec attention la suite de cette fabuleuse saga qui nous réserve certainement de très bonnes surprises !
Après un premier tome qui joue sur la rivalité entre deux personnages charismatiques, on part pour une quête dans le second opus. Cela ressemble un peu à du Indiana Jones mais au temps de la Babylone antique. Le dessin sera splendide par moment avec un découpage totalement adapté. J'ai bien aimé cette aventure qui nous fait sortir du cadre de l'Empire romain et de la Judée. On retrouve parfaitement le lien avec Le Troisième Testament qui a marqué à tout jamais de son empreinte la bd historique et ésotérique.
Bref, cette suite m'a surpris dans la mesure où elle est totalement différente de la première partie en mettant un peu moins l'accent sur Julius et en accentuant le rôle de ce nouveau messie. A la fin de cette lecture, on n'a qu'une envie: découvrir la suite car le résultat est étonnant de maîtrise et de qualité.
Note Dessin: 4/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4/5
Etant de culture asiatique et un tantinet exigeant sur la vérité historique, ma remarque ne sera pas objective, mais ce volume en Asie fait de très grands anachronismes. L'ascète dans la grotte et l'enfant avec le point sur le front sont dessinés à partir des images d'aujourd'hui or à l'époque l'hindouisme ne faisait que débuter. On est dans l'époque de brahmanisme, différent de l'hindouisme, même si on trouve quelques similitudes.
Les temples qui y sont dessinés ne seront construits que 1000 ans après et le bouddhisme tibétain également avec ces lamaseries apparaîtront 1000 ans après. Mais dans l'ensemble cette histoire est sympathique, même si on se demande ce qu'a fait notre frère de Jésus pendant 1000 ans.
La maquette de la série du Troisième Testament est toujours aussi travaillée, avec des pages de gardes et une ligne générale maîtrisée. Une série dont l'harmonie fait plaisir dans la bibliothèque. Pour rappel, "Julius" est la série préquelle du Troisième Testament d'Alice et Dorison, l'une des séries les plus acclamées et qui a lancé le genre de la BD historico-ésothérique (avec le Triangle secret , Le Décalogue, le Scorpion et toute la ribambelle de séries sur l'histoire occulte de l'Eglise).
Julius est une série compliquée qui demande à son lecteur de la pugnacité. Pour expliquer cela je vais faire un petit rappel... Il y a vingt ans paraissait le premier tome d'une série qui allait révéler deux des auteurs parmi les plus réputés et influents aujourd'hui: Alex Alice (Le château des étoiles, Siegfried,...) et Xavier Dorison (Undertaker, Long John silver, Red Skin,...), deux autodidactes qui révolutionnaient le genre et permettaient à Glénat, éditeur connu pour ses BD historiques (Bourgeon par exemple) de moderniser son catalogue. Des dizaines de séries ont vu le jour suite à cette BD qui étale sa publication sur six ans en proposant un incroyable équilibre entre BD d'action, policière et BD historique, le tout inséré dans un scénario enchevêtré qui exige du lecteur de rester concentré. Tout cela directement inspiré bien entendu par le chef d’œuvre Le Nom de la Rose et surtout son adaptation au cinéma.
Sept ans après la fin de la première série qui se clôturait sur un dénouement impossible à anticiper et complexe quand à ses ramifications, les auteurs faisait sortir une série devant relater l'histoire de Julius de Samarie dont la légende est le point de départ du Troisième Testament. La subtilité des indices semés rendaient la série originelle exigeante mais celle-ci était très rythmée par l'action et les visuels épiques.
Le fait de changer complètement de décors (un général romain au visage de Marlon Brando...) est d'abord troublant pour un lecteur qui aurait lu la première série (je préconise d'ailleurs vivement de lire la totalité dans l'ordre de parution chronologique). Outre le changement de dessinateur au second tome (on gagne en qualité de dessin, Montaigne étant vraiment talentueux), ce choix va diriger une progression scénaristique laborieuse que je ne m'explique que par le départ de Dorison après la mise en route du premier tome. Le talent de scénariste n'est pas donné à tout le monde et malgré la grande qualité de ses ouvrages solo, Alice n'est pas du niveau du scénariste d'Undertaker... Ainsi, si la progression du personnage principal de général romain avide et incroyant à celui de prophète est bien amenée, l'intrigue générale est cahoteuse: après un premier tome très construit et qui amène notamment les fameux guerriers corbeaux qui pimentent la série, l'on part dans un étonnant périple en deux volume (subdivision interne de Julius... pourquoi ?), ce qui coupe l'intrigue. Dans les deux derniers volumes, et notamment le volume 5 l'on a d'incessants va et viens à la fois géographiques et dans la relation et les choix de Julius et du Sar Ha Sarim. L'on a bien compris que la série était structurée autour de cette dualité par ailleurs très intéressante (sorte de trinité avec Julius âgé, sa fille son gendre: Père-Fille-Saint-esprit?). Mais soit par mauvais choix scénaristiques soit par hésitations, on sent des flottements qui rendent l'évolution d'autant plus laborieuse que toute l'histoire tourne autour de ces personnages. Et à la différence de la première série, assez peu d'action vient finalement dynamiser cela et surtout la dimension fantastique est pratiquement absente jusqu'au dernier tome alors que les interventions du sénateur Modius, versé dans les arts noirs, était un des points forts du premier album... Le questionnement autour de l'identité du Sar Ha Sarim, du rôle divin de Julius, sont complexes, et jamais aucun élément ne viendra expliquer l'origine des guerrier-corbeaux, ce qui sera une des rares fautes du scénario, laissant une des grandes questions de la série totalement inexpliquée...
Malgré toutes ces réserves, qui me faisaient craindre l'album de clôture, Julius reste une série unique, ambitieuse et assez fondamentale pour finir de comprendre la série mère. Le tome cinq nous amène à ce titre une conclusion très digne (toujours bringuebalant dans sa construction mais ramenant enfin ce fantastique et ce côté épique tant aimés). Construit autour du siège de Jérusalem par les armées romaines puis par les armées d'hommes corbeaux, il resserre l'intrigue comme un drame de théâtre en un lieu unique où tous les personnages vont converger. Tout se dénoue et à ce titre la série garde une grande cohérence générale. Les scènes de bataille apocalyptiques sont belles et bien faites, on a de l'héroïsme, bref, c'est chouette. Graphiquement c'est majestueux, encré, et très lisible ; la série aura permis de révéler un artiste très talentueux qui devrait compter à l'avenir. La maîtrise des plans impressionnants, de la zone grise entre le magique divin et l'historique cartésien sont vraiment bien gérés. De même les personnages sont subtiles et tous intéressants, même s'il aura été compliqué tout au long de la série de savoir quels personnages étaient importants: paradoxalement le plus visible, le colosse Shem n'est finalement qu'un acolyte mineur... Les failles principales sont les grosses ficelles (Julius rentre dans Jérusalem assiégée comme dans un moulin et en ressort aussi tranquillement) et le découpage des albums et de la série (le voyage en orient, pour intéressant qu'il soit nécessitait-il deux tomes?). Je dirais que chaque volume individuellement est remarquable, que la série rejoint et explique la série mère, mais qu'en tant que série elle reste assez bancale dans sa construction. Je pense que ceux qui auront aimé le Troisième Testament devraient lire Julius d'une traite et y trouveront grand plaisir, mais les cinq tomes de Julius pris isolements restent dispensables.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/18/le-troisieme-testament-julius-5
Une histoire intense d'un bout à l'autre, où les personnages principaux sont de tout premier ordre ! Même si la fin est connue, ce qui pourrait faire baisser le suspense, les évènements sont vraiment bien amenés. Les auteurs ont particulièrement réussi le dernier tome de cette oeuvre qui s'inscrit dans les toutes grandes séries historico-fantastiques.
Et bien j'ai trouvé que c'était une très bonne fin. L'album permet de terminer ce prequel d'excellente manière. Tout se tient et ouvre naturellement sur la série initiale. Julius est une vraie réussite que je recommande chaudement. L'évolution inverse des deux personnages principaux sur les 5 albums est particulièrement réussie.
Contrairement à mes prédécesseurs, je n'ai pas trop de souci pour mettre une note.
C'est beau, c'est épique !
Alors, d'accord, je n'ai pas tout compris à l'histoire, et il me faudra relire toute la saga pour me remémorer les choses, mais enfin, purée, quelle histoire !
ça nous change des histoires à deux balles, aux parodies ridicules ou aux huis-clos emmerdichiants.
Comme Angus70, j'ai hâte de me faire une "nuit du 3è Testament" !
(je ne mets pas 5 étoiles, juste pour "punir" les auteurs de nous avoir fait attendre aussi longtemps entre chaque tome, au point que je ne me souviens pas des tenants et aboutissants de la saga)
J’adhère totalement à l’avis de Kingtoof. C’est bien mais… Rien à dire en ce qui concerne le graphisme mais, effectivement, il manque un petit rien qui aurait fait de cette série quelque chose de vraiment captivant et incontournable.
Difficile de mettre une note pour cet album...
Les dessins sont bons, mais j'ai eu du mal avec l'armée des ombres... je ne sais pas, c'était trop...
L'idée de reprendre l'histoire du Christ et l'affrontement Judéo-romain, sous "l'aspect" Troisième Testament, est excellente en soi. Mais, la forme finale et la conception du scénario de l'ensemble de la série, n'en fait pas pour moi une oeuvre majeure.
Quel plaisir de lire ce dernier tome, c'est juste sublime. Je crois que je vais me faire une "nuit" du 3ème testament en enchaînant le préquel et la série principale !
Mwouais, de pire en pire... Le dessin est sympa sans plus... Les personnages, je les trouve plats, sans reliefs. Surtout le personnage principal, le Messie...
Et puis il ne se passe strictement rien dans ce tome 3... Le petit groupe se ballade à travers l'Asie... Un petit tour dans l'Himalaya, et puis retour à la case départ...
Un tome plus mou que le précédent, où au final l'intrigue n'avance pas d'un poil. C'est sans doute en préparation du tome 3 qui s'annonce plus palpitant, mais cela reste très frustrant (et un peu ennuyeux).
Ce tome 2 est le moins bon de toute la série, d'autant plus que le dessinateur a changé (les décors sont fantastiques, mais les personnages sont dessinés plus grossièrement que dans le tome précédent et l'encrage est trop épais : au final, c'est vraiment moins beau).
Bref, un petit passage à vide pour j'espère une suite grandiose.
Présentée comme "l'antésuite" (un joli néologisme) de la première série, on y découvre le pourquoi de ce troisième testament, et de l'implication du fameux Julius (celui dont on parle tant au passé dans l'histoire originelle) dans son apparition et sa protection.
Un premier tome conséquent (+ de 75 pages !), nous décrivant une fresque ésotérique sur fond historique magistralement mise en scène, au dessin assez proche de celui d'Alice dans la première quadrilogie (et presque aussi beau), et qui donne envie de découvrir la suite.
On regrettera toutefois deux belles fôtes d'ortograf, inadmissibles dans une œuvre médiatisée à ce point (et dont on attend que l'édition soit irréprochable).
Je ne suis jamais très objectif quand je poste un commentaire sur une BD dans laquelle Alex Alice est impliqué. Le dessin est dans la continuité de l'oeuvre d'Alice, il ne fait pas défaut, l'encrage est magnifique. Point de vue scénario, j'avais eu un peu de mal à rentrer dans les trois premiers tomes du Troisième testament version Julius mais le dessin m'emportait néanmoins à la fin du troisième opus. Ici, c'est différent, le dessin est toujours superbe mais le scénario a repris ce petit quelque chose qui manquait aux précédents tomes. Je retrouve les sensations que j'avais eues lors de la lecture du premier quadriptyque, c'est donc plus qu'encourageant pour la suite !!! A savourer sans réserve
Derrière une belle couverture d'Alex Alice annonçant la révolte des juifs, on retrouve les dessins de Montaigne. Ils ont gagné en précision, le trait est fin, les décors soignés et le lettrage agréable. Quant aux couleurs, elles sont excellentes. La qualité est donc au rendez-vous, à l'instar du premier tome et ses illustrations doubles pages.
Le scénario ésotérique est solide avec des trames narratives qui se concluent avec talent, comme la fin de la quête de l'orient. D'autres trames naissent, le nouveau Messie est devenu un stratège alors que Julius, le Prophète rentre vers la Judée. La conclusion de ce tome est forte et annonce une suite très intéressante.
Aux commandes du chapitre 2 de "La Révélation", nous retrouvons la même équipe que précédemment. Avec un encrage beaucoup plus précis, le dessin s'améliore et devient nettement plus agréable.
Le cliffhanger du tome 2 est résolue par l'explication intéressante d'une histoire biblique. L'ésotérisme laisse ensuite la place au voyage qui continue à l'est d'Eden. Une véritable quête de la parole divine. Puis le doute s'empare du groupe, la tension monte au fil des planches. Le tome se conclue avec une ouverture très intéressante.
Un très bon récit qui continue, servit par un graphisme s'améliorant sensiblement.
Avec une couverture toujours aussi sublime, nous continuons à suivre les aventures de Julius et du nouveau Messie.
Le style graphique a changé avec un nouveau dessinateur pour la suite du cycle. Le trait est plus épais et moins précis avec un lettrage parfois brouillon. La couleur est la même et permet d'assurer une certaine continuité dans les dessins. Il est dommage de ne pas retrouver les détails et les double pages du premier tome mais globalement, cela reste assez bon.
Le scénario est toujours aussi passionnant. On suit le groupe des Choisis guidés par le Prince des Princes, à la recherche du Troisième Testament. Si le début est classique, la seconde partie est plus mystique.
Un deuxième tome agréable et passionnant malgré quelques imperfections graphiques.
Une superbe couverture orne le premier tome de cette nouvelle série dans l'univers du Troisième Testament imaginé par Xavier Dorison et Alex Alice. Pour Julius, c'est le second qui prend les rênes du scénario. Dès les premiers planches, on ressent une tension palpable. Rome domine le monde méditerranéen, les juifs et les chrétiens sont persécutés. L'histoire secrète de Julius de Samarie nous est contée, celle d'un général romain qui cherche à conquérir mais dont la destinée va être tout autre. Le récit est très bien mené, le rythme est bon, sans temps mort et les protagonistes ont une personnalité forte.
Le dessin et la couleur accompagnent parfaitement l'ambiance antique avec un trait précis et soigné. Certaines cases sont épurées, d'autres sont détaillées avec des décors invitant au voyage et quelques unes sont splendides (mention spéciale pour les doubles pages).
Un excellent premier tome d'une série historique originale.
L'histoire continue avec deux "messies" ... un qui sait qu'il est le messie sans le mériter (Sar Ha Sarim) et l'autre qui devrait être le messie mais qui ne le veut pas (Julius)...
Sar Ha Sarim est emporté par la folie des grandeurs après sa victoire en Judée... L'ubris entraîne sa chute... On ne défi pas l'Empire impunément...
J'avais bien aimé Le Premier cycle du Troisième testament mais sans en faire LA BD de référence...J'avais bien aimé, notamment pour le dessin que je trouve très beau.
Mais là, très honnêtement, je trouve cette nouvelle série géniale. Les références y sont précises, le scénario rodé, j'ai adoré suivre la voie de Julius Publius Vindex (futur Julius de Samarie?) et voir peu à peu les éléments s'imbriquer jusqu'à nous mener au second cycle...J'en suis au tome 3. J'aime beaucoup.
Dessin : Toujours servi par Thimothée Montaigne, ce tome ce révèle être un vrais régale où l'on retrouve la maîtrise acquise dans Long John Silver. A savoir des grandes planches avec de fortes profondeurs de champs qui donnent une dimension dramatique forte au scénario.
Coté Scénario : Je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent qu'il ne se passe rien dans ce troisième volet. Il est pour moi essentiel. En faite c'est un véritable revirement parfaitement conduit et dont la tension scénaristique n'a de cesse de monter tout au long de ce tome pour ce terminer en apothéose. Alex Alice nous offre (enfin) la preuve qu'il est digne de la série original de Xavier Dorison. Ayant adoré le Troisième Testament originel, je dois avouer que je n'avais pas encore été totalement convaincu. C'est chose faite.
J'ai adoré la première série. J'avais beaucoup savouré le côté hérétique / religion / complots de la première série.
Pour cette "suite", disons que je ne suis pas trop emballé (J'ai lu les 2 premiers) Tout ça me semble sans action (en comparaison avec la 1ère série), sans héro attachant, et le côté prêchi prêcha me tombe sur les nerfs, j'ai l'impression de lire un évangile.
Désolé, je voulais beaucoup, mais je n'embarque pas cette fois!
Série incontournable tant par le graphisme léché que par le scénario majestueux.
Du grand Art .... on en veut encore !!!
C'est encore du très bon travail !!! Thimothée Montaigne assure bien la suite de Recht et même si il y a moins de pages que sur le dernier Julius, on ne reste pas sur sa faim. Le cahier graphique est un régal !
Je suis un inconditionnel du « Troisième testament », que je relis régulièrement depuis des années. Aussi, je me suis précipité vers le pré quel dès sa parution.
J’avoue que j’ai eu du mal à m’habituer au dessin de Thimothée Montaigne, après celui de Robin Recht , dessinateur du premier volume: un encrage plus épais, un dessin moins fouillé mais au fil des pages, j’ai oublié ces petites imperfections et la comparaison avec le trait de Recht, pour me concentrer sur l’histoire. En effet, grâce aux couleurs de François Lapierre, les différences finissent par s’estomper.
En outre, des mises en pages originales et soignées (l’entrée dans Babylone, par exemple) rappellent les mises en scène osées de « Julius #1 »
Avec ce second volume, intitulé bizarrement « la révélation 1/2 », nous suivons la quête de Sar Ha Sarim à travers le désert. Certes, nous n’avançons pas beaucoup dans cette recherche du « Troisième testament » mais cette errance dans le désert nous permet de faire le parallèle entre la vie de Jésus et de ce (nouveau ?) Prophète. Le scénario est assez intrigant pour nous donner envie de connaitre la suite.
Pour autant, il a fallu que les éditions Glénat lancent un coffret réunissant l’album et le making-of de 108 pages pour me convaincre d’acheter cette deuxième partie (le changement de dessinateur, le changement de pagination, et sans doute un nombre d’albums encore non définis pour clore cette série m’ayant à première vue refroidit), grand collectionneur devant l’éternel et admirateur de crayonnés en noir et blanc que je suis !
Car c’est un supplément de grande qualité édité par Glénat, avec page de gauche le storyboard d’Alex Alice, et page de droite, les recherches et crayonnés de Thimothée Montaigne.
Un régal pour les yeux , un must pour les collectionneurs.
Je viens de terminer la lecture de ce deuxième tome et je dois dire que j'ai un petit sentiment de déception...
Déjà ce deuxième tome a "fondu" de 30 pages (50 contre 80 pour le tome 1) et comme cet album est le premier d'un diptyque j'ai un petit arrière gout mercantile en bouche qui me fait dire qu'on à peut être voulu sucrer un peu trop les fraises...
Après je trouve qu'avec le changement de dessinateur on a perdu en fluidité : le trait est un peu plus grossier surtout sur les visages en gros plan, même si le dessin reste fidèle au premier album et que l'on reconnait sans mal les personnages qui apparaissent quand même un peu bouffis de temps en temps... je trouve.
Mais ce qui m'a vraiment dérangé c'est la taille des bulles de texte qui occupent une place vraiment trop importante sur les cases du fait de la nouvelle police utilisée, franchement ça hache la lecture et sur certaines cases assez petites ça gâche vraiment le plaisir.
Le scénario reste très bon et captivant même si il y a quelques longueurs au milieu de l'album ce qui accrédite la thèse de la sauce rallongée pour faire 2 albums avec un seul, l'action commence véritablement à la toute fin de l'album et donne vraiment envie d'être à l'année prochaine pour connaître la suite espérons simplement que cette série ne va pas trop dériver vers la SF ce qui avait été mal seule petite pointe de déception à a lecture de la première série du 3eme testament que j'avais par ailleurs vraiment adoré.
Avant de commencer ce nouvel opus du Troisiéme Testament, je me suis replongé dans la premiére série. En lisant ce tome Julius, j'ai senti encore plus de maturité dans le scénario et les dessins associés sont d'excellentes qualités.
On découvre dans cette série (qui se situe avant les 4 premiers, genre Star Wars) qui est ce fameux Julius de Samarie et sa vie tourmenté (d'abord persécuteur des juifs puis leur sauveur).
Je conseille grandement cette nouvelle série.
Julius Publius Vindex, général romain à l’avenir prometteur a eu le tort de se croire l’égal de l’Empereur. Pour cette forfaiture, il est envoyé en Judée comme esclave dans une mine de soufre …
N’est ce pas prendre un risque (inutile) que de vouloir faire une série liminaire au « Troisième Testament » ?
Xavier Dorison et Alex Alice franchissent aujourd’hui le pas et il convient de reconnaître que l’album qu’ils nous livrent, s’avère soutenir (largement) la comparaison. A époque différente, registre graphique différent et celui de Robin Recht exploite à bon escient les codes visuels du genre et s’accorde pleinement au rythme et au découpage mis en œuvre par notre duo de scénaristes. L’ensemble se lit d’un trait, avec une dimension cinématographique qui n’est pas sans rappeler quelques célèbres péplums américano/italiens des 50’s.
Du grand art … un des (nombreux) albums de la rentrée à lire !
Le graphisme est très élaboré, saisissant parfois, le scénario est très bien ficelé, c'est une très bonne BD même si on est parfois dans le grandiloquent et si dans quelques instants on ne comprend pas tout.
J'ai abordé ce nouveau cycle avec un peu de crainte, et elles se sont envolées rapidement, passé le début très blockbuster. La qualité est là, surtout pour ma part au niveau du découpage, et de certaines planches monumentales.
Bref, on a envie de continuer, sans hésitation. Et 80 pages ça fait du bien. D'ailleurs on a l'impression qu'il y en a 48 tellement ça se lit d'une traite.
La suite dira si on doit passer de "a lire absolument" à "indispensable"
Grandiose ce nouveau cycle du troisième testament.
Pourtant , j'ai eu peur en débutant la lecture: cela commencait comme "Quo Vadis", le roman de Henryk Sienkiewicz (le triomphe d'un général à Rome, l'idée de brûler la Rome éternelle , faire porter la responsabilité aux chrétiens....) puis se transformait en "Ben-Hur" avec la déchéance de Julius, le tout sur un fond de naissance du christianisme, sans oublier la fille naïve...bref que du déjà vu.
Mais le scénario de Dorison et d'Alex Alice vient tellement apporter de méandres dans ce récit qu'on en oublie les références à ces péplum pour évoluer plus vers une histoire mystérieuse que vers une aventure classique.
Et que dire des dessins de Robin Recht à la fois si proche de l'ambiance défini par Alex Alice dans le précédent cycle mais aussi très personnel. Quelques scènes font d'ailleurs écho à certaines situations du livre IV du "troisième testament" : le combat sur le pic de Nigmigiv et celui de Julius avec l'énigmatique et imperturbable chrétien. Le dessin de Recht est beaucoup moins sombre que dans "Todendom", avec des décors et personnages beaucoup plus travaillés.
Je vous invite à dévorer ces 80 premières pages d'une saga qui , avec ce premier volume, sera aussi fascinante que le précédent cycle