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Une BD sympa pour ceux qui aime l'égyptologie.
Par contre, il y a un détail étrange : Thomas Reilly est brun dans la partie qui se passe à notre époque, et blond dans le flashback.
Ella Mahé nous plonge au coeur de l'Egypte, ce pays où vécu l'une des premières grandes civilisations de l'humanité. Ce lieu divin est devenu un véritable enjeux pour tous les archéologues de la planète comme une sorte d'Eldorado.
Pour l'instant, ce récit va se scinder en deux parties temporellement différentes marquées notamment par un graphisme totalement différent. Je dois avouer que j'ai nettement préféré le style graphique du début car le second nous propose directement et sans ménagement la fameuse ligne claire chère à Hergé ou à Jacobs. Bref, il y a carrément un changement de dessinateur et cela se ressent cruellement. On devine cependant qu'il y aura une 3ème partie se déclinant au temps de l'Egypte ancienne sur les traces d'une princesse de la 18 ème dynastie.
Au niveau du scénario, il n'y aura pas grand chose de nouveau. On prend les mêmes ingrédients (une aventure amoureuse, la malédiction du pharaon...) et on recommence ! Cependant, je dois bien admettre qu'il y a une efficacité remarquable dans la mise en place de ce récit romanesque presque intemporelle. On voit que les auteurs le couple Maryse et Jean-François Charles s'y connaissent fort pour raconter des histoires. Il ne reste plus qu'à surprendre le lecteur ce qui ne sera pas chose aisée.
Une BD d'aventure sympa qui se déroule dans le milieu de l'archéologie égyptienne. Un album qui présente l'originalité de présenter deux types de dessin, en fonction de l'époque à laquelle se déroule l'action: un dessin classique en ligne claire pour les passages se situant pendant la première moitié du XXème siècle, et un trait plus chaleureux pour l'action qui se déroule de nos jours. Les deux sont très bons et servent bien le scénario, qui vire petit à petit vers un côté fantastique qui titille l'intérêt. A suivre.
Où l'on découvre la clef de l'histoire de la princesse aux yeux vairons, et donc une partie de l'énigme de ce cycle. Cette histoire est raconté toujours par un dessinateur très ligne claire, ce qui rend l'histoire un peu vintage, bien que toujours intéressante.
Par contre du côté d'Ella, cela ne se conclue pas vraiment et les péripéties sont un peu artificielle et peu crédibles. Un peu déçu par cette fin de cycle donc, même si globalement cela reste une très bonne série.
Fin de l’histoire (fin de cycle à priori), dans ce tome qui nous permet de découvrir l’histoire de la princesse sans nom, de même que la réelle identité du compagnon d’Ella et ses motivations. Le dénouement se réalise sans vraiment d’action. Tout se déroule doucement pour nous amener à la révélation de l’histoire de la princesse. Cette partie de l’histoire est une réelle réussite. Les auteurs nous envoient sous le règne d’Akhénaton, le pharaon maudit. Mais là aussi, pas de grandes envolées héroïques, le récit nous plonge dans un drame familial conté avec justesse et sensibilité.
Au niveau du dessin, quitte à me répéter, la partie assurée par J.F. Charles est toujours aussi belle. Ces planches à la couleur directe sont pleines de douceur, de poésie. Une nouvelle fois, son personnage féminin est adorable.
La partie égyptienne réalisée par Christophe Simon est très réussie. Sa ligne-claire est très évocatrice, avec un très beau travail sur les décors. Ses personnages ont bien sûr un côté un peu statique mais ce n’est pas du tout gênant dans ce récit.
Un tome agréable qui clôture un joli cycle romantique. Un seul regret, que l’on ne nous ait pas dévoilé le mystère de la couleur des dieux. Cela sera sûrement (enfin c’est mon pronostic) l’objet du prochain cycle mais je trouve que cela aurait pu être traité durant ces quatre tomes. J’espère que ce n’est pas juste un prétexte pour « rallonger la sauce ».
Bon, le premier mystère reste pour moi l'attachement à cette série. Parce que nous en sommes au troisième tome et nous ne sommes pas beaucoup plus avancés.
Certes il y a le dessin de J.F.Charles qui est toujours aussi beau, plein de douceur et de majesté, mis en valeur par la colorisation en couleurs directes toujours aussi réussie.
Certes le rythme s'accélère, mais ce n'est pas encore "tempête sur le nil". On avait laissé Ella sur le point de se faire enlever, on apprend dès le départ que Thomas Reilly, qui la surveillait, l'a sauvée. Mais le manuscrit de son grand-père a quant à lui été dérobé ce qui pourrait permettre à ces mystérieux adversaires de doubler Thomas dans la recherche de la tombe de la princesse. Nos deux "héros" partent alors pour un monastère dans lequel devrait se trouver un manuscrit que recherchait son grand-père.
Ce manuscrit raconte le récit d'un moine hospitalier qui après avoir été capturé par les arabes, va apprendre à vivre avec eux, les aimer et les respecter. Durant son séjour, il aura accès au tombeau de la princesse.
Cette partie dessinée par B.Goepfert est, comme pour les tomes précédents, toujours en ligne claire. Mais cette fois, son style est beaucoup plus dynamique, ce qui sied bien au récit du moine qui n'est pas de tout repos. Les décors précis sont réussis de même que les personnages au travers de leurs expressions.
Tout cela est fort bien et nous offre un tome plus rythmé que le précédent (pour moi, le meilleur jusqu'à présent). Mais au final, même si ce que l'on a appris sur la princesse est plus conséquent, on se demande bien comment en gardant la structure actuelle du récit (10 planches pour la période actuelle, 36 pour le passé), les auteurs pourront nous offrir un dénouement, annoncé pour le prochain tome, capable de nous apporter les réponses attendues.
Nous poursuivons notre parcours dans les pas d'Ella Mahé. Le rythme est toujours aussi lent, contemplatif et il ne se passe toujours pas grand chose. Ella va rejoindre son nouvel emploi, sur le chemin elle comprend qu'elle est suivie mais passés quelques instants d'affolement semble oublier l'incident. Dans le musée où elle prend ses fonctions, elle découvre un manuscrit datant de la construction du canal de Suez dans lequel elle va apprendre des éléments sur la princesse aux yeux vairons. Seules les derniers cases de la dernière planche laissent penser que le rythme va s'accélérer.
Cette partie du récit a une nouvelle fois peu d'éléments à offrir pour attirer l'attention si ce n'est le magnifique dessin de J.F.Charles et sa couleur directe.Il créé superbement l'atmosphère, le personnage d'Ella rayonne toujours.
La partie correspondant au récit de l'ingénieur français supervisant la construction du canal est une nouvelle fois dans le style "ligne claire" mais dans un style beaucoup moins "jacobsien" que pour le premier tome. Ainsi, pour moi, l'opposition avec le trait de Charles est moins rude. Le trait est fin et précis, relativement vivant même s'il demeure (style oblige) un peu figé.
Par contre, ce coup-ci, c'est au niveau de l'histoire que cela pèche un peu. On suit une étape de la construction du canal de manière très précise et documentée, allant jusqu'à découvrir les problèmes financiers et politiques rencontrés. De plus, on s'intéresse longuement à l'idylle naissante entre l'ingénieur et une belle journaliste italienne et finalement assez peu à notre mystérieuse princesse.
Au final, telle une descente sur le Nil, la promenade n'est absolument pas désagréable, mais on voudrait bien pouvoir approcher de plus près les monuments que l'on aperçoit.
Ella Mahé, jeune restauratrice de manuscrits anciens, arrive en Egypte pour un travail et s'offre préalablement quelques jours de congés pour visiter des sites historiques. Elle rencontre Thomas Reilly, jeune archéologue, qui va lui faire découvrir qu'il est sur la trace d'une mystérieuse princesse qui a la même particularité physique qu'Ella, des yeux vairons. Ce dernier disparaît mystérieusement en laissant ses affaires dont un carnet de notes ayant appartenu au grand-père d'Ella, lui-même archéologue et passionné par l'Egypte. C'est l'histoire de cet homme que l'on va alors suivre et plus particulièrement comment il s'est retrouvé sur la trace de la princesse aux yeux vairons et du mystère qui l'entoure.
Cette BD est étonnante car à la base, en tout cas pour moi, l'histoire n'a pas de réels points marquants. Le rythme est lent, il ne se déroule pas grand chose. Dans beaucoup de cas, on trouverait même que tout cela est beaucoup trop délayé. Mais pas ici. D'abord parce que les quelques points d'accroches sont bien posés. Ensuite parce que le récit bénéficie de l'aura de l'Egypte antique et ce même si le récit ne nous y plonge pas directement. Enfin, les personnages sont très bien construit et c'est avec plaisir que l'on les découvre.
Le dessin contribue également au plaisir même si là je placerai un petit bémol. En effet, l'époque moderne (donc avec Ella) est assurée par J.F.Charles, la partie du passé par un autre dessinateur (ici André Taymans et cela changera à chaque fois pour les 3 autres tomes prévus). Pour J.F.Charles pas de surprise, que du plaisir. Son trait est toujours aussi esthétique, plein de douceur, de poésie et de sensualité. Comme à l'accoutumée son personnage féminin est un hommage doux mais puissant au charme féminin.
Par contre, pour A.Taymans, on bascule sur une ligne claire digne de Jacobs. Rien à dire sur la qualité de l'exercice (les personnages sont très réussis) mais c'est un style qui me touche moins et en particulier quand il est adossé à celui de J.F.Charles
En tout cas une histoire envoutante qui nous installe dans une douce et agréable torpeur mais qui nous maintient intelligemment en alerte par des éléments mystérieux.
Encore un album qui se lit avec plaisir, d'autant que l'histoire (un peu classique) du moine croisé qui fait ami avec les sarrasins pas si barbare que ça est dessiné par l’excellent faiseur Goepfert.
Vivement le 4 pour avoir une vue d'ensemble et un avis définitif sur cette série.
Ella Mahé traverse le désert du Sinaï sur les traces de la Princesse aux yeux vairons. Arrivée au monastère de Saint Catherine, pour consulter un ancien manuscrit d’Ascelin d'Aiguiller, elle apprend que le précieux ouvrage a été dérobé…
Tout a été dit sur Maryse & Jean-François Charles et l’important dans cet album, comme dans les précédents, est ailleurs.
Faire intervenir un dessinateur tiers sur les flashbacks historiques constitue un artifice subtil qui renforce la dichotomie présent/passé et facilite l’insertion d’une histoire dans l’histoire. Mais ce subterfuge ne peut pleinement fonctionner que si les deux dessinateurs possèdent des styles, certes différents, mais avant tout complémentaires. Dans le cas présent, le choix de Brice Goepfert (qui préside avec Daniel Bardet à la destinée des chemins de Malefosse depuis 2005) s’avère judicieux tant par la qualité de son graphisme que par le réalisme historique de son dessin.
A vrai dire et pour la première fois dans cette série, les 36 planches intérieures font (presque) passer les aventures d’Ella Mahé au second plan. La raison en est double : d’abord, le dessin de Brice Goepfert submerge le lecteur par sa force et sa précision ; ensuite le récit très introspectif de l’épopée d’Ascelin d’ Aiguiller interpelle indéniablement : sûre de ses certitudes envers ceux qu’il était venu combattre, il prend progressivement la mesure du chemin qu’il lui faut encore parcourir pour pouvoir assumer ses choix même les plus douloureux.
Un bien bel album qui permet d’aller au-delà de la simple lecture récréative... Certainement l’album le plus abouti de la série.
Suite du voyage initiatique d'Ella qui découvre le manuscrit d'un épisode de la construction du canal de Suez.
Excellent récit historique et d'aventures, et moins de surprise avec le changement de dessinateur, qui est d'ailleurs meilleur.
Encore en progression par rapport au premier tome, on attend avec impatiente de découvrir le lien entre toutes ses histoires bien qu'elles se suffisent presque en elle-même.
A lire absolument comme tout ce que font les Charles qui sont décidément très talentueux.
Toujours d'excellents scénarios pour le coupe Charles qui nous emmènent cette fois en Égypte sur les pas d'une jeune et mystérieuse restauratrice de manuscrits à la recherche d'une statue de princesse aux yeux vairons comme elle. Elle fait la lecture de récits de fouille du passé, raconté en image avec un dessinateur différent, ce qui surprend désagréablement, car le style ligne claire est très différent de celui de JF Charles, et son personnage principal ne fait pas du tout ses 20 ans.
Mais l'intérêt de l'histoire emporte tout et nous attendons avec impatiente la suite.
Par le biais du carnet de voyage d’un certain Labadie, ingénieur sur la construction du canal de Suez en 1868, le destin d’Ella croise de nouveau celui de la mystérieuse "Princesse des sables"…
Avec ce 1er cycle, Jean-François Charles pousse l’utilisation du flash-back à ses limites. En effet, chaque album se décline en deux périodes différentes : l’une, contemporaine et de quelques pages, liée à Ella ; l’autre historique et au développement plus conséquent, centrée sur le destin énigmatique d’une déesse aux yeux vairons.
Dès lors, la question peut se poser de savoir comment, à raison d’une quinzaine de pages par album, Jean-François et Maryse Charles nous délivreront le fin mot de l’histoire… en 4 albums.
Prochains éléments de réponse en juin 2011.
Ella, jeune et belle jeune restauratrice de manuscrits anciens partage avec une princesse égyptienne de la XVIIIème dynastie la particularité de posséder des yeux vairons.
Maryse & Jean-François Charles jouent ici sur la dualité présent/passé, caractéristique de cette série, en confiant une large partie de l’album au duo André Taymans / Bruno Wesel. Ainsi, le contraste entre les époques se trouve renforcé par des approches graphiquement différentes.
Un premier album qui mêle, avec brio, le charme suranné de l’école franco-belge et la sensualité des productions de Maryse & Jean-François Charles.
A lire.
Ella Mahé est une série écrite par Maryse et Jean-François Charles, elle relate l'histoire d'un égyptologue qui tente de résoudre une énigme.
Ce premier tome se passe au moment de la découverte du tombeau de Toutankhamon.
Jean-François Charles dessine la période actuelle (10 planches) et il y a un flash-back de 36 planches illustré par quatre dessinateurs différents, dans ce premier tome, il s'agit de Taymans. Chacun apportera un éclairage sur le mystère!
Ella Mahé est restauratrice de manuscrits anciens, elle profite dune commande du musée du Caire pour visiter le pays...
Les planches et la couverture effectués par Jean-François Charles sont toujours très sensuelles et reflètent bien l'ambiance de l'Egypte.
Une fois passée la surprise du changement de dessinateur, très ligne claire, le scénario bien construit et très documenté sur le plan historique nous entraîne dans une histoire très captivante et nous permet de bien différencier le présent du passé.
Un bon moment de lecture !