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La position d’Amerigo au sein de la maffia vacille de plus en plus. L’apparition du petit Diego qui s’amuse à mettre de l’huile sur le feu ne risque pas d’atténuer cette guerre des gangs. Et si en plus ils commencent à s’en prendre à son frère Franck, qui avait déjà les nerfs à vif à cause des relations houleuses entre les membres de sa famille, ça risque de mal se terminer pour Amerigo.
En plus, pour c’est deux sœurs, la vie n’est pas beaucoup plus rose : Catarina a perdu sa popularité depuis que le cinéma est devenu parlant, mais également son argent à cause du crash boursier, quant à Carmela, qui cherche un emploi, peut-elle éviter de se retrouver à nouveau dans le milieu ?
J’ai trouvé le scénario de ce neuvième tome un peu plus confus et moins original que les précédents. Quant au dessin, il est toujours aussi agréable, même si le passage où Carmela est hantée par ses anciennes victimes dénote qualitativement du reste, surtout au niveau des couleurs.
L’aîné des Centobucchi, Amerigo se retrouve marié et délaisse du coup un peu sa profession de violent maffioso. Le personnage principal s’étant calmé, cet album est donc un peu dépourvu d’action et plus "romantique" que les précédents. Le charme du père Franck, de plus en plus tourmenté par les rapports houleux entre les membres de sa famille, et de cette série restent cependant intacts.
Même si après 7 tomes certains des mini-récits commencent à donner une impression de répétition, le charme de cette série reste intact.
C’est un vrai délice quand plusieurs planches sans aucun texte ou dialogue s’enchaînent et où l’on se rend compte que ces scènes de silence font la vrai force de cette bd. Des pages entières d’expressions, de cadrages et de jeux d’ombres qui disent plus que n’importe quel dialogue ou texte. Le coté malsain du frère aîné, cette torture œdipienne qu’il traverse, la tourmente du père Franck, leur folie, leurs espoirs, … le tout exprimé sans un mot, rien que des expressions, des couleurs et des ombres : Fabuleux !
J'ai découvert cette bd sur les conseils d'un ami. En feuilletant, un des albums, j'ai tout de suite été séduit par le dessin de Mandrafina et finalement le scénario s'est révélé tout autant convaincant que le graphisme.
A travers des mini-récits, Carlos Trillo, le scénariste, nous présente ce que l'on pourrait appeller une comédie de moeurs. L'histoire d'une famille d'immigrés italiens (les Centobucchi) dans l'Amérique d'avant-guerre. Le résultat est très réussi. Les personnages principaux sont cinq frères et soeurs qui sont totalement différents dans leur façon de vivre. De ce fait, leurs relations sont parfois houleuses et c'est ce détail qui fait tout le charme de cette bd, car ce récit est traité avec une certaine cruauté et surtout avec beaucoup d'humour. Les héros ont une vraie dimension, ce qui les rend attachants. On partage avec eux leurs espoirs, leurs projets et parfois leur folie et ce n'est ma foi pas désagréable.
Personnellement, j'ai un faible pour Franck, le curé et Carméla, la femme au foyer à la double vie. Ceci-dit, les autres membres de la famille sont aussi craquants.
Le dessin de Mandrafina est très beau. Les cases sont assez petites, mais cela met bien en valeur les expressions des visages. Ces derniers sont d'ailleurs assez réussis (surtout celui de Franck, le curé, argh... j'adore !). J'ai été séduit également par les jeunes filles que l'auteur dessine, elles sont pulpeuses mais sans vulgarité. En somme, un graphisme plutôt réussi .
C'est donc avec beaucoup de logique que je vous conseille l'achat des "Spaghetti Brothers". Vous ne serez pas déçu. Ces albums sont des petites merveilles de cynisme, d'humour et de réalisme.
A suivre !!!
PS : Je signale que si vous êtes interessés par la version N&B, il faut savoir que le tome 4 est un peu plus faible d'un point de vue scénaristique. Il faut simplement le considérer comme un album bonus où on nous fait partager les confessions des paroissiens de Frank.
Après lecture du T2 et T3 je dois dire que cette série, les personnages et le dessin me plaisent de plus en plus ! Excellent !
Une famille mafieuse sicilienne complètement déséquilibrée, vivant aux Etats-Unis. Un mélange entre le Parrain et les Incorruptibles sur un dessin très expressif qui fait penser aux comics, des personnages très expressifs et un jeu d’ombres parfaitement maîtrisé. Je vais m’empresser d’aller acheter le deuxième tome de cette série qui aurait le mérite d’être mieux connue.
Je ne connaissais pas cette série lors de sa sortie en N&B. C’est donc, attiré par la couverture que j’ai acheté ce 1er tome.
Je trouve que ce n’est pas mal du tout. Le lecteur est plongé dans la prohibition des années 30 aux USA. On a l’impression de suivre un épisode des incorruptibles mais du côté des mafieux et en plus violent.
Car la violence y est présente (torture, règlement de compte, viol, vengeance,…).
Les auteurs s’attardent dans ce premier album à la folie d’Amerigo Centobucchi et les rapports qu’il entretient avec ses frères et sœurs (Frank, Antonio et Caterina). Chacun des membres de la famille c’est tourné vers des destinés très différentes : truand, curé, policier et actrice.
Le dessin est sombre et surtout très expressif. Les excès de colère du frère aîné y sont très bien rendu. Le dessin permet encore plus de ressentir le côté malsain du personnage d’Amerigo.
La couleur y est judicieusement maîtrisé afin de ne pas gâché l’atmosphère sombre et violente du récit.
C’est une très bonne BD. Vivement la suite…
C’est beau, c’est dramatique et puissant, à lire quoi ?