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Le titre : Le grand prix d'Angoulême ne sert qu'à attirer le lecteur amateur de courses automobiles.
Il aurait pu s'appeler Roland Garros ou La flèche Wallonne, ça n'aurait pas changé grand'chose.
Une histoire mal ficelée, une histoire invraisemblable où Gipar part sur une enquête suite à un accident, où Gipar résoud une enquête en lieu et place d'une police visiblement nulle.
Une histoire où un protagoniste se met à table devant un journaliste sans qu'il ait été besoin de le malmener à coup de Bottin sur la tête (nous sommes en 1952, rappelez-vous).
Dans cette série où les voitures anciennes sont le maitre mot, on conduit comme des fous, on se vautre dans le décor ...
Là encore, la série traine en longueur sans véritable scénario pourvu que cela fasse iiiiii, vroooooom, roaaaar comme chez Michel Vaillant.
J'avais tant aimé les premiers albums ...
Je me prononce sur la série complète qui n'est pas entièrement satisfaisante. Du bon côté, le dessin est net, précis, clair, le scénario compréhensible, l'effort documentaire fructueux, l'époque rendue avec crédibilité - et les vieilles bagnoles, ah, ça vaut le détour rien que pour les vieilles bagnoles. Mais, du mauvais coté, qu'est-ce que c'est répétitif ! Répétitif d'une page à l'autre (enquête, poursuite, enquête, poursuite, enquête, poursuite, rebondissement, poursuite, ... ad nauseam), et répétitif d'une BD à l'autre avec des scénarii très semblables. En bref, on peut lire le premier tome, le dernier, et avoir ainsi pigé le sens de la série sans passer par le reste. Pour amateur de vieille bagnoles seulement ; les autres se lasseront très vite.
Le N ième Jacques Gipar, bien loin des premiers et sans doute meilleur que les suivants ... Ici, le scénario est inconsistant.
Dans ce tome, on boit, on mange, on passe le Gois.
On reboit, on remange, on se bagarre, on repasse le Gois.
On re-reboit, on re-remange, on se re-bagarre, on re-repasse le Gois.
On re ...
Et bien évidemment on a droit aux personnages en rade au milieu du Gois.
Tillieux avait magnifiquement traité la panne dans une des aventures de Gil Jourdan. Ici c'est plat, les personnages marchent tranquillement alors que la marée monte (pas de courant visiblement). Petit-Breton se vautre sur marche glissante (hi hi comme c'est drôle).
L'auteur réutilise le dialogue du Corniaud (film de Gérard Oury) : "Elle va marcher beaucoup moins bien, forcément".
Et à la fin, le collabo en imper genre Gérard Jugnot dans Papy fait de la résistance.
Pour ceux qui aiment voir des BD avec des Facel Véga, des Dauphine, de vieilles Panhard.
Ne vous arrêtez pas à la chronique, elle n'a rien compris au principe de cette série.
"Jacques Gipar" est une excellente série, qui se déguste comme un bon vin, à lire le soir, dans son fauteuil, prêt pour une immersion dans les années 50, l'élégance et les bons mots.
Oui, cette série est clairement nostalgique, et plaira aux plus jeunes comme aux anciens, à ceux qui ont vécu cette époque comme à ceux (comme moi) qui ne l'ont pas du tout connu.
Série d'utilité publique, ce nouvel opus est très agréable à lire, parce qu'il contient tous les ingrédients d'un bon album. Pas besoin de réviser son "Gil Jourdan" pour apprécier.
L'appel du large, le passage du Gois comme si on y était, des personnages truculents et très "Bd de l'age d'or", ambiance ambiance...
Vivement le prochain album !!!!
Comment ne pas craquer devant cette superbe couverture qui nous replonge instantanément dans l’ambiance du chef-d’œuvre de Maurice Tillieux, « La voiture immergée », troisième et incontournable album de Gil Jourdan. Car oui, il s’agit bien d’un hommage appuyé au grand Maurice. Les références à Gil Jourdan sont nombreuses, des ambiances à l’intrigue, de la voiture Dauphine de Gil Jourdan qui devient celle de Jacques Gipar en passant du jaune au rouge, des rapports amicalement moqueurs entre les personnages, des décors de Vendée à certaines scènes directement empruntées à Tillieux. Comme dans un bon vieux Gil Jourdan le récit s’ouvre sur un rendez-vous de bistrot où le bref dialogue pose la trame de l’histoire. Et il n’y a pas que des références à « La voiture immergée » : par exemple lorsque Jacques Gipar se déguise en électricien de l’EDF (gaz & électricité français) pour s’introduire chez le suspect, la scène fait allusion à une similaire de Gil Jourdan dans « Patée explosive ».
« Le trésor de Noirmoutier » situe son action en 1956, tandis que Maurice Tillieux réalisa son Gil Jourdan en 1958. Les deux histoires exploitent la singularité du passage du Gois, une route de plus de quatre kilomètres de long reliant la côte française à l’île de Noirmoutier, et submergée par la mer à marée haute. Honnêtement cet album est réussi, même s’il n’égale évidemment pas Tillieux. Mais on est loin du fiasco lamentable des « Camions du diable », la reprise du Marc Jaguar créé par Tillieux avant Gil Jourdan, et à laquelle s’était risqué le même dessinateur, Jean-Luc Delvaux. Il était alors complètement à côté de la plaque et de l’esprit de l’original. Voici qui est rattrapé pour les nostalgiques dont je suis, avec un scénario qui tient la route malgré quelques petites faiblesses dont la répétition redondante du passage de justesse à la marée montante. Une mention particulière pour les couleurs chatoyantes des carrosseries de voitures.
A France Enquêtes, c’est l’inquiétude : Jacques Gipar a disparu depuis trois semaines ! Petit-Breton, son assistant, est chargé de le retrouver. Il commence par se rendre à l’appartement de Gipar… Quelqu’un s’y trouve…
Critique :
Cette fois-ci, Thierry Dubois, l’auteur nous entraîne dans une affaire d’espionnage débutée dans « L’Echo de la Taïga », le 8e album, à lire de préférence avant d’aborder celui-ci. Les Russes semblent s’intéresser très fort à la nouvelle centrale atomique de Saclay. Y aurait-il des traîtres parmi l’équipe d’ingénieurs ? Et Jacques Gipar va-t-il réapparaître ? Difficile, en si peu de planches, de donner un côté crédible à cette histoire d’espionnage. Le livre se laisse lire tout de même, d’autant que Jean-Luc Delvaux nous immerge dans les années 50 grâce en particulier aux véhicules de l’époque auxquels il donne vie.
Il existe une version en noir et blanc de cet album qui présente en vis-à-vis des pages crayonnées et en noir et blanc. Il s’agit d’un tirage limité à 699 exemplaires.
Mais pourquoi donc un simple représentant de commerce, célibataire et pratiquement sans famille, se fait-il assassiner à côté de sa voiture ?
Hmm… On raconte qu’il ne passait pas la nuit seul à l’hôtel des Alliés où il avait ses habitudes… Les bruits courent qu’il serait l’amant de la femme du notaire… Se pourrait-il que le notaire… Hmm… Difficile ! Le notaire se fait assassiner à son tour… Puis, c’est au tour du clerc de notaire ! Mais pour l’inspecteur Général, Général c’est son nom, le coupable est tout trouvé : un gitan du nom de Manolo ! Jacques Gipar trouve le raisonnement beaucoup trop simpliste d’autant que des crimes sont commis après l’arrestation de Manolo…
Critique :
Difficile de ne pas penser à Gil Jourdan et à Maurice Tillieux lorsqu’on déguste cette série. Le cadre des années 50 est bien restitué, en particulier pour ce qui touche aux voitures dont Jean-Luc Delvaux est un grand fan. L’enquête en 44 planches est menée avec autant de suspense que ce format autorise. Le rebondissement final est bien pensé.
Impossible pour moi de ne pas songer à la série Gil Jourdan, et même si comparaison n’est pas raison, je regrette l’absence d’un personnage aussi truculent qu’un Libellule. Petit-Breton, le compagnon de Jacques Gipar ne sert pas à grand-chose. J’étais convaincu qu’il deviendrait le personnage comique de cette série. J’espère qu’il le deviendra un jour.
Régalez-vous avec cette ambiance de roman noir des années 50, surtout si vous êtes amateur de voitures de cette époque.
Cet album est, hélas, représentatif de ces séries dont les auteurs sont tenus à une parution annuelle.
Ici, on se traine, les héros et seconds rôles font de la figuration.
J'aimais bien cette série et l'époque où les aventures se déroulaient.
Cet album sera le dernier que j'achète.
Mon Dieu ! Je suis atterré qu’on fasse encore des bd dignes des années 50. Toute la bd que je déteste dans son expression est ressuscitée parmi les morts. Je ne croyais pas que je reverrai cela de mon vivant. Les miracles négatifs sont toujours possibles.
Les dialogues sont d’une platitude toute épreuve. On ne peut pas dire que la finesse sera la marque de fabrique. C’est comme tout d’ailleurs.
J’ai bien compris que les voitures et notamment les anciens modèles et autres véhicules aujourd’hui de collection sont les véritables héros. Toutes les scènes sont construites autour d’elles que cela soit une course poursuite ou autre. Du coup, le scénario demeure assez classique et peu emballant.
Par contre, j’ai bien aimé le dessin malgré la ligne claire. Je dois bien avouer que c’est de l’excellente ligne claire. Les détails ne sont pas absents des décors méditerranéens. Le charme essentiel va encore aux magnifiques véhicules bien dessinés. Les collectionneurs seront ravis ainsi que les nostalgiques d’une époque aujourd’hui disparue. Comme dit, il en faut pour tous les goûts et je respecte cela.
Est-ce l'effet confinement ?
Ou une sorte de bonification à retardement ?
En tout cas, j'ai dévoré cet album, hier soir.
Pourtant, le périmètre de cette histoire se cantonne à l'Ile de France ; plus de N7, de bords de mer.
Mais toujours autant de plaisir à s'immerger dans cette France des années 50, ces véhicules d'autrefois, ces femmes élégantes et ces messieurs en costume et pardessus.
Les décors sont plus fouillés que d'habitude, je trouve. Et l'histoire est intéressante et très prenante, avec des personnages bien définis et ayant une réelle fonction.
Il y aura une suite, et j'espère que nous n'attendront pas trop longtemps avant de pouvoir la lire !
Du bel ouvrage, pour une série qui me séduit de plus en plus.
Je suis toujours fan de ces aventures qui fleurent bon la nostalgie des années 50 et 60.
Le look rétro des voitures, des pompes à essences avec leur gigantesque logo (Esso, Azur, Shell), des restaurants pour routiers, etc.
Aussi j'achète toujours chaque album sans hésiter.
Cependant, je m'interroge de savoir comment le scénario de cet album a été fait.
* Soit il était prévu de faire 2 tomes avec cette histoire et que cela n'a pas pu se faire comme prévu initialement et trop tardivement annoncé aux auteurs.
* Soit JL Delvaux dessinait au fur et à mesure que Thierry Dubois lui fournissait matière à dessiner et il s'est aperçu qu'il y a eu trop de pages dessinées pour finir l'histoire correctement en 44 pages.
* Soit les auteurs non pas fait le rappel de tous leurs personnages au moment de boucler l'histoire et qu'ils ne pouvaient pas ajouter des pages supplémentaires.
Car très sincèrement, rajouter 2 cases d'épilogue en toute fin d'album (après les traditionnelles pages de présentation des véhicules et de la région où se situe l'histoire), on sent qu'ils avaient oublié un personnage dans la nature.
Je ne dévoilerai pas non plus le geste final d'un des personnages. Incompréhensible !
À moins que, et là j'en reviens à mon interrogation, était-il prévu de faire 2 tomes de cette histoire et à défaut puisque cela ne semble pas être le cas vu la résolution rapide (pour ne pas dire très rapide) de l'énigme, verra-t-on certains des protagonistes revenir dans un autre tome ?
J'ose l'espérer sinon c'est à désespérer du scénariste.
Bonjour un album moyen une énigme intéressante qui aurait mérité un peu plus de développement mais je reste fan de l ambiance et du dessin J ai rencontré MR Delvaux qui est à l image de ses dessins vraiment très sympa et ouvert à toutes discussion
Le dessin très épuré n'est pas déplaisant mais ce style "ligne claire" à l'ancienne n'est pas particulièrement ma tasse de thé. Quant à l'intrigue, elle est désespérément trop simpliste et de fait pas réellement passionnante. Enfin, pour couronner le tout, les personnages ne sont pas du tout attachants. Reste l'ambiance (les années 50 et la N7), qui est assez appréciable.
Si vous cherchez une série policière avec des intrigues plus solides, un humour plus percutant et un dessin aussi (voire plus) soigné et élégant, je vous conseillerais de vous tourner vers GIL JOURDAN (pour l'ambiance des années 50/60) ou LEO LODEN (pour un cadre d'action se situant majoritairement à Marseille et dans le sud de la France).
Beaucoup de bonne volonté mais peut mieux faire.
Autant que Charles Trenet, Thierry Dubois a réussi, à travers tous les travaux qu'il mène (Bd, livres et présence médiatique) à me rendre nostalgique d'une époque que je n'ai pas connu, les années 50, et à rêver, à mon tour, d'emprunter cette fameuse "nationale 7" qui menait de Paris à Menton.
Je me suis donc acheté une Peugeot 203 de 1951 et je rêve de sillonner les petites routes du sud de la France jusqu'aux bords de la mer méditerranée.
Alors je lis chaque nouvel album de "Jacques Gipar" avec bienveillance et l'espoir que, cette fois, l'histoire sera réussie.
Malheureusement, une fois encore, il n'en est rien.
Le dessin est un peu trop "rond" à mon gout, et pas assez fouillé. J'ai la désagréable impression de lire l'album avec une loupe grossissante.
Et le scénario...
c'est vraiment très moyen.
Documenté, visiblement, mais pas très prenant ni très intéressant.
Quel dommage.
Les décors ainsi que les voitures sont très bien réalisés dans cette nouvelle histoire (comme d'habitude), mais c'est hélas le seul point positif, un peu faible pour réaliser une belle histoire.
Toujours autant déçu par cette série, ce tome hélas n’échappe pas à la règle et que dire du scénario....... soupir !
Décidément....
un peu rebuté par le coup de crayon "simple" finalement très ravi de cette aventure a la gil jourdan; on y est: station service des années 60, bagnoles a l essence plombé...et énigme passionnante. super travail.
ravi par "la femme du notaire" me voici là déçu de la fin du "trafic sur la grande bleu" mais très bon album.a posséder dans votre bdtheque
Cette série (pourtant prometteuse) soufre toujours des mêmes défauts : un manque d’intrigue, d’humour et d’histoire…
On en arrive même à se poser la question de l’utilité de certains personnages comme Petit Breton ?
Si le seul prétexte des voitures anciennes (genre Arronde) et des routes Françaises est le seul ciment de ces aventures alors… c’est vraiment un peu léger pour faire un album de ce prix.
Album bien dispensable comme d’habitude… soupir !
Voici notre journaliste et son comparse de retour pour de nouvelles aventures avec la mythique 2 CV. Le tome est composé de plusieurs petites histoires à base de courses-poursuites automobiles. Dans cet opus nous assistons à la première rencontre entre le héros et Petit-Breton son futur comparse.
L’atmosphère des années 50-60 est bien rendue, les véhicules de cette époque aussi…mais que des dire des personnages, l’auteur a toujours les mêmes soucis à les dessiner toutefois il y a une nette amélioration de ce coté là (les traits sont un peu moins gras !).
Par contre, les intrigues sont désespérément… sans intérêts et on devine la fin très rapidement. Ce tome est le plus léger de la série, en sachant déjà que la série souffrait d’un manque d’idées et d’intérêts chroniques… en clair ce tome est vraiment à oublier !
J’espère sincèrement que le tome 4 « La femme du notaire » sera bien meilleur au niveau du scénario et des intrigues… jusqu’à présent je ne vais que de déceptions en désillusions…
Sans doute pas le meilleur de la série mais cet album plaira toujours aux amateurs des années 50-60 et début 70 (et ils sont nombreux).
L'époque des embouteillages sur la N7 et des voitures en panne sur le bord des routes après un pétage de durite, des caravanes qui roulaient à 50 km/h et qui généraient des files de voitures derrière elles, des voitures de sport qui doublaient en 3ème position, des petites stations d'essence où le pompiste vous nettoyait la vitre et vous demandait s'il devait vérifier les niveaux, des restaurants en bord de route dont l'odeur de graillon vous prenait à la gorge lorsque vous y entriez ...
L'auteur nous parle d'un temps "... que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre-eu ...".
Du tout bon !"
Autant le premier tome était de bonne facture, quoique… mais bon la série semblait prometteuse.
Autant le deuxième tome est moins bon !
Effectivement, l’intrigue est légère et la fin très rapidement prévisible. Le dessin des décors et des véhicules anciens sont eux trés bien dessinés…mais les personnages sont hélas très mal réalisés. Les traits sont très gras (genre crayons premier-âge) et sa manque d’application.
Pour couronner le tout son comparse/faire valoir, n’apparait qu’à la dernière planche. Son absence se fait sentir très vite, car cela manque de légèreté et d’humour. Cet album ressemble plus à un résumé de faits divers des années 50-60 plutôt qu’à une BD. Moi un grand fan des histoires à la « JOURDAN » de Tillieux, je croyais trouver en cette série une ressemblance intéressante…raté !
En ce qui concerne la chronique de fin d’histoire, là aussi …encore raté !
Qui s’intéresse à l’histoire de la nationale n°9 ? Surtout quand il n’y a rien à dire… Sauf si votre passion c'est le cadastre et les vieux tracès de route. Palpitant !
Je tiens à modifier un peu mon avis, c'est vrai que lors de mon premier post, j'ai été un peu dur ! Je l'ai un peu édulcoré, surtout si j.a.-... del... s'en mêle !
Je tiens donc à faire une petite modification à la hausse...mais j'attends donc le pied ferme le tome 3, comme viens de nous l'annoncer l'auteur.
PS: un dictionnaire c'est pour l'orthographe, moi j'aurais plutôt des soucis de conjugaison et de grammaire.
Je viens de terminer la lecture du second tome et je l'ai trouvé plus que plaisant. L'intrigue et le dessin sont de bonne facture avec un petit plus par rapport au premier album en ce qui concerne la gamme de couleurs.
J'attends donc avec impatience la sortie du troisième tome!
P.S: didier24 me semble avoir la critique facile. Il devrait pourtant s'armer d'un bon dictionnaire...