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Les champs d’azur est une série sur les pionniers de l’aviation au tout début du XXème siècle. C’est une invention que les industriels et les militaires n’avaient pas pris très au sérieux et qui pourtant va changer radicalement la face du monde. On pourra se déplacer d’un point A à un point B dans un délai record.
Cependant, on mesure le combat de ces pionniers qui devaient affronter des soucis techniques et qui le payaient souvent au prix de leur vie. Les pionniers du plus lourd que l'air : c'est la période des premiers vols d'engins à moteur capables de décoller par leurs propres moyens. Presque chaque vol est une première ou une tentative de record : un peu plus vite, un peu plus loin, un peu plus haut . Les aviateurs sont, le plus souvent, des concepteurs et des aventuriers.
La série est assez avenante pour le grand public. Je regrette juste que le dessin ne soit pas à la hauteur. En effet, je viens de lire L'Aéropostale - Des pilotes de légende dessinée par Dumas : il n’y a pas de comparaison possible ! la lisibilité est quelque fois difficile car je n’avais pas réalisé que ce n’était pas le héros qui prenait place sur le coucou pour traverser la Manche vers la fin du premier tome. Les personnages sont méconnaissables.
Et puis le contexte des pionniers va vite s’effacer au fil des tomes pour laisser place à une aventure plus romanesque. On va terminer par la première Guerre Mondiale et par une intrigue amoureuse loin des balbutiements de l’aviation ce qui constituait la raison d’être de cette série.
Là, le dessin est plus lumineux et lisible. Le mérite en revient en grande partie à Bérengère Marquebreucq, qui est passée coloriste de la couverture à l'ensemble du tome.
Le passé de Théo le rattrape lors du raid Paris-Madrid. Mais bien des attentes ne sont pas exploitées de façon satisfaisante, au point qu'on se demande si les « points de suspension » scénaristiques ne sont là que pour faire acheter l'album suivant. Du côté de l'amour, on attend toujours que Théo saisisse son manche à balais...
Comparer avec le diptyque « Au-delà des nuages », brillamment illustré par Romain Hugault.
Ce qui nous chipotait dans le premier tome demeure : trait perfectible, couleurs kaki, personnages ternes. La scène au début où Théo atterrit dans l'asile est particulièrement difficile à déchiffrer visuellement.
Le scénario agace par ses raccourcis : On bâtit une situation qui semble inextricable pour le héros, et hop, deux mois ont passé, et tout est réglé. Le lien avec le tome 1 est ténu.
Le tout se lit bien, mais trop vite. Encore beaucoup de couacs.
Dessins simplets, sur lesquels on n'est pas porté à s'attarder. Une déception : les aéroplanes, qui étaient si gracieux à cette époque héroïque avec leurs haubans et leurs coutures, n'ont pas la part belle, ni au sol ni dans les airs. Les couleurs pourraient être un peu plus marquées. Les ciels bleus semblent être des photos.
Le scénario est sans surprise; On oscille entre la chronique historique et la saga de famille, mais on ne se prend pas réellement au jeu. À la fin, on ne sait pas trop qui aurait dû être le héros.
Ça sent la série à formule qu'on produit vite. Il faut définitivement augmenter l'indice d'octane pour que ça décolle.
Effectivement un ton au dessous des 2iers opus.
L'histoire paraît un peu plus brouillonne malgré les références historiques.
Les dessins s'améliorent doucement.
7/10.
Un bon deuxième tome plus centré sur les personnages principaux que sur l"épopée de l'aviation.
Les dessins déclinent un peu d'où une note inférieure au 1ier opus.
Excellente lecture tout de même.
7/10.
Un excellent premier tome d'une série prometteuse, celle des faucheurs de marguerite convaincus que le ciel commence au ras du sol.
L'histoire est plutôt agréable, les personnages attachants et leur passion est rapidement communicative.
Les dessins restent perfectibles mais s'éclipsent devant la puissance du scénario de l'une des plus belle conquête de l'homme.
A dévorer sans modération dans l'attente d'une suite.
9/10.
Théo Fayard est de la race des pionniers et il faut des hommes comme lui pour croire, en 1911, à l’avenir de l’aviation. Mais pour que sa petite entreprise ne connaisse pas la crise, il lui faut un contrat avec l’Armée qui ne s’obtiendra qu’en démontant les qualités de son aéroplane lors de la course Paris-Madrid.
A l’image d’un feuilleton de 1974 intitulé "Les faucheurs de marguerites", "Les champs d’azur" est une saga sur les débuts héroïques de l’aviation. A travers les destins de Théo Fayard et de Maureen Lowell, Franck Giroud nous livre une rétrospective alliant réalité et fiction sur cette période de conquête. Il y a là tous les ingrédients propres à ce type d’aventure : amour, trahison, argent, défi, égo… pas de surprise donc ! Du classique mais plutôt bien fait.
Mais au-delà de la maîtrise du scénario, il convient de souligner la qualité du dessin de Luc Brahy qui, sur cet album, a véritablement franchi un cap. Son trait réaliste, sa maîtrise des cadrages aériens et des avions de l’époque donne toute sa crédibilité à cette série. A noter, toutefois des dialogues par trop présents et parfois difficiles à lire !
Un album bien fait, sans réelle surprise mais sans défaut notoire !
Plus éloigné de la course aux innovations pour les plus légers que l'air, ce 2ème tome peut décevoir les aficionado de l'aviation. Ici l'histoire est centrée sur un nouveau personnage, Pénélope, qui propose (à la fin du récit) de sponsoriser les projets de Théodore Fayard. On va peut être enfin retrouver l'aviation 'pure' dans le prochain tome. Les galas aérien aux USA sont par contre de vrais beaux moments.
Dépaysement total pour ce 2ème album. Exit la vieille Europe et "Welcome in America" où notre héros monnaye ses talents de pilote dans un show aérien itinérant…
En recentrant l’histoire sur les personnages, Frank Giroud évite l’écueil de la saga technologique. Dès lors, ce 2ème album permet d’introduire l’ensemble des protagonistes et de poser (vraisemblablement) les dernières bases de l'intrigue.
Une série qui s’installe doucement et dont le 3ème tome devrait lui permettre d’atteindre l’altitude de croisière !
A suivre …
En ce début de XXème siècle, le ciel est à conquérir. A force de passion et d’opiniâtreté, certains parviendront à tutoyer les nuages tandis que d’autres y perdront, vie, fortune ou illusions.
Il est toujours délicat pour une série de poser une histoire et/ou un style, et ce, dès le 1er album. Décollage réussi pour Frank Giroud et Luc Brahy !
Gageons que le vol se poursuivra sans encombre ...
Ce premier opus nous présente le 1er acte d'une saga familiale façon 'maîtres de l'orge' mais dans le monde des pionniers de l'aéronautique. La passion qu'a chaque personnage pour ces "plus lourds que l'air" les pousse, en ce début de 20ème siècle, à prendre tous les risques pour être les premiers à accomplir un exploit. Le scénario nous transmet vite cette frénésie et cette douce folie. Les personnages sans être trop hauts en couleur dénotent d'une personnalité bien complémentaire et bien tranchée. Les scènes où l'action aéronautique est absente en sont que plus crédibles dans ce un récit bien rythmé. L'ensemble donne en somme un album plutôt classique et très maîtrisé. Un beau présage pour la suite.