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Deux uchronies radicalement différentes, la seconde étant vraiment en dessous la première, très qualitative
Ouch, que c’est fouillé, que c’est travaillé tout ça ! Gros gros travail des scénaristes sur cette trilogie, vraiment. Excellente uchronie !
Il s’agit de la suite de la République des esclaves - tome 23. À mon avis un tome sans grand intérêt au scénario décevant. Les dessins sont intéressants mais le choix de la taille des cases nuit à la compréhension et à la qualité de l’ensemble. Correct, sans plus.
Pour tout fan d’uchronies comme moi, cet album est un must, un indispensable, un ouvrage à lire évidemment.
Les scenarii sont très, très intelligents. On s’amuse tout du long à chercher les détails qu’ont mis les auteurs dans les histoires pour placer personnages historiques ou décors connus de manière uchroniques.
Je découvre la série par lui, et je vais continuer, tiens !
Sur le même longueur d’onde que la critique qui précède. Pour ma part, j’ai pris plaisir à lire ce tome de Jour J. J’ai trouvé le scénario vivant et plutôt bien exploité.
J’ai trouvé les dessins parfaitement adaptés à l’histoire. Un bon cru.
Un bon album de la série.
Les dessins de Farkas sont clairs et précis.
Le scénario n’est pas extraordinaire mais les personnages et l’uchronie sont interessants, notamment le mélange des genres (et donc des dessins) entre l’ambassadeur du Mali (et sa cour) et l’atmosphère type moyen-âge.
Un très bon cru. La fin de ce dyptique est à la hauteur. Un bon scénario, les dessins de Kordey au niveau. À recommander pour tous les amateurs d’uchronie (lire le numéro 22 avant bien entendu).
Un scénario indigent et décousu : de la chute de Constantinople aux hérétiques cathares défendus pas les francs maçons. Pfff, trop c’est trop.
Des dessins parfois à la limite : il ne suffit pas de dessiner des formes généreuses à une princesse byzantine pour en faire une héroïne….
A mon sens pas le meilleur tome de cette. Correct, sans plus.
Très bon diptyque sur Dali et "la guerre d'Espagne".
Un bon imbroglio entre les services secrets russes, franquistes, fascistes, anarchistes, trotskistes.... en lien avec la politique interventionniste française du gouvernement Blum...
Avec au milieu le génial Dali totalement "surréaliste" !
Pour le coup un bon cru et une bonne surprise. On va être claire, l’uchronie n’est ici qu’un prétexte pour un scénario policier. Mais il est réussi avec une vraie atmosphère et une intrigue de qualité.
Les dessins de Denys sont réussis et en adéquation avec l’atmosphère.
Pour qui aime Jour J et les bds policières, c’est à lire absolument. Un bon album pour les autres.
Pour le coup une vraie uchronie , des personnages parfaitement recontextualises, un scénario au niveau. A recommander.
Thème plutôt bien exploité, mais je pense qu'il en manque:
Je m'attendais à un peu plus sur le fait qu'une femme soit le premier homme à poser le pied sur la lune.
L'album date de 2010, #MeToo n'existait pas encore, et la vulgarisation scientifique commençait tout juste à être pertinente sur les réseaux, certes... ça n'empêche pas un peu de recherche et de philanthropie: alors quoi, les femmes ne servent qu'à enfanter, ou se faire dessouder à coup de pied de chaise ou de missile? Alors que le même récit ouvre avec: une femme a posé le premier pied sur la lune... super idée, complètement gâchée.
Au delà, le récit est bon et les idées sont presque toutes bonnes: base lunaire, entraide en milieu hostile, humanité finalement... Très classe. Dommage que l'un des moteurs soit l'alcool et l'autre la fumette, ça décrédibilise radicalement l'action scientifique dans l'espace. Donc on construit des bases lunaires à coûts astronomiques pour distiller de la vodka et cultiver du cannabis, qui ne servent qu'au troc local ? Seriously...
Heureusement le reste, et notamment tous les aspects politiques, sont correctement développés, avec toute l'humanité et l'absurdité que l'on peut en attendre. Cette justesse, parfois un peu ampoulée (genre les 2 militaires US et soviet, tous 2 radicaux, qu'on envoie armés sur la lune qui est un endroit démilitarisé) rend le récit finalement crédible. Comme chaque camp envoie un génie en plus du nettoyeur, l'histoire ne tourne pas (trop) au massacre d'innocents même si on y a droit malgré tout.
Le tout reste agréable à lire, malgré l'oublié number one de cette histoire: la science.
J'aime bien la saga Omega (14 18 21). Ce tome décrit une opération d'espionnage de manière simple, sans chichi mais compréhensible et agréable. Le dessin de Maza est parfaitement adapté.
Un bon album.
Se laisse lire d'une traite. Les dessins de Mr Fab sont agréables mais le scenario aurait pu être plus incroyable et grandiose. Là on a droit a une sorte de campagne de Russie revisitée à la mode inca (recherche de trésor en prime.
Correct, sans plus.
Un volume de la série Jour J qui se lit et se laisse oublier. Les dessins de Kordey sont corrects mais certaines pages (les scènes de combat) comportent des fonds blancs (ce qui est quand même un peu léger).
Le scenario est faiblard : une sorte d'enquête sur une secte terroriste (les chrétiens).
Contrairement à la critique ci dessous, ce n'est pas parce que les catholiques ont été choisis que je m'insurge mais juste parce que c'est nul !
Une uchronie un peu faiblarde, des dessins parfois un peu fouillis ou fades. Dommage car avec l'idée de base(Colomb qui voyage au nom de l'émir de Corfou), il était possible de faire quelque chose de bien. Un album dispensable.
Ce tome est dans mes préférés.
Une uchronie réfléchie, une vrai atmosphère autour des dessins de Kordey. Une histoire d'espionnage au temps des Borgia (avec les Mamelouks et les Ottomans en puissances antagonistes) avec les inventions les unes plus dingues que les autre de Leonard de Vinci.
J'ai vraiment aimé !
4/5
Un bel entrainement à la série "Mousquetaire" pour Calvez.
Rien à redire, les dessins sur cette période de l'histoire 'la révolution" sont vraiment réussis. Et le scenario est clair, lisible et intéressant. Agréable, un bel album.
Pas pour moi, ce tome 10 de Jour J. Les dessins de Wilson sont hyper sombres ce qui rend les cases parfois illisibles. Le scenario est indigent. A mon avis, sans intérêt.
Ce tome est un bon cru pour le scenario. Une vraie uchronie. Des éléments de fiction géopolitique et du suspens.
Les dessins ne nuisent ni à la compréhension ni à l'intrigue.
Un bon album ! 3,5/5
Un album avec un scenario agréable, clair et lisiblement exposé. Des dessins qui ne gâchent pas l'ensemble. Un bon album qui se lit avec plaisir.
Je me suis ennuyé ferme. Si ce n'est le plaisir de caser Mitterrand / Chirac, le scenario n'a strictement aucun intérêt. Rien n'est clair et le gloubi-boulga conceptuel n'arrange rien.
Le dessin n'est pas désagréable mais en même temps l'idée de la BD (Paris tenu par les libertaires de 68) ouvrait un boulevard qui aurait permis à n'importe quel dessinateur de se faire plaisir.
Pour moi, sans aucun intérêt dès lors que je n'ai pris aucun plaisir à sa lecture.
Ce Jour J est un entrainement pour la série "Wonderball". Même dessinateur (et surtout mêmes dessins) et même ordre d'idée scénaristique. J'aime bien les dessins de Wilson donc ça passe bien pour moi même si certaines cases apparaissent parfois comme des copier/coller.
En revanche, elle est montée à l'envers tant les bases de l'uchronie sont intégrées à la fin de la BD. Le scenario est vraiment pas génial !
Dispensable.
Pour ma part, clairement pas mes préférés (tomes 3/4).
L'intrigue est plutôt faiblarde quand même et les dessins laissent parfois un sentiment de vide.
Au surplus, le méli-mélo de concepts politiques pour soutenir l'intrigue (anarchiste / communiste / républicain / ...) confère pour moi à la facilité. L'uchronie aurait été beaucoup plus réussie en inversant les échelles de valeur et les concepts, bref une uchronie philosophico-politique et non historique.
Correct, mais parfaitement dispensable.
D'accord avec l'avis qui précède, peut presque être lu de manière autonome. En tous les cas il complète très bien les deux premiers.
Je réitère, c'est à lire.
Le tome 2 est très bon également.
A recommander à tous les amoureux du genre (espionnage).
Scenario et construction sont réussis.
Les dessins de Kordey parfaitement adaptés !
Je l'avais depuis longtemps et attendais de trouver le tome 30 pour commencer. Et bien je dois dire que c'est très très réussi pour lancer les trois tomes. Entièrement d'accord avec kingtoof j'ai adoré également.
Le dessin de Kordey est égal... au dessin de Kordey, pas spécialement mon truc mais reconnaissable avec une vrai patte artistique. Le côté vintage se prête parfaitement à cet histoire d'espionnage.
A lire absolument pour tout amateur du genre
Le deuxième album est plaisant également (y compris à la relecture). Une sombre histoire d'espionnage de facture classique dans un ville de Paris coupée en deux entre russes/occidentaux.
Les dessins se prêtent parfaitement à l'histoire et Saint-Elme est un personnage principal agréable.
Un bon album (3,5/5)
Tout n’est pas bon dans Jour J mais ce premier album reste un moment plaisant. En réalité, c’est de la SF comique plutôt réussie.
Les dessins de Buchet sont au niveau et le scénario tournée autour de deux bases américaines et russes sur la Lune est suffisamment déjanté pour m’avoir vraiment fait sourire.
3,5/5
La lecture de ce tome n’est pas désagréable. J’ai bien aimé les deux personnages Kerouac/Oppie. Pas le meilleur tome de la série mais de loin pas le plus mauvais. Les dessins de Denys sont clairs et le scénario comprehensible (la traque de Oppie par le KGB et le FBI pour s’accaparer la bombe nucléaire). L’invasion du Japon est totalement secondaire.
Jean Pierre Pécau continue de nous ravir de sa plume, il utilise avec intelligence des théories circulant encore concernant Kennedy et son entourage, réutilise à sa manière certains éléments tout en proposant des données supplémentaires provenant de son imagination et surtout d'une manière romancé qui captive de bout-en-bout. Il y a un côté alternatif propre à la série et je dois dire qu'on arrive à avoir des surprises, même quand on a l'habitude de lire cette série. Le parcours de Link est toujours aussi captivant et bien que le personnage soit plongé dans les grands évènements de cette période de notre Histoire, il n'en oublie pas d'écrire sur son personnage et sur ses traumatismes, j'ai beaucoup aimé comment par le prisme de ses traumatismes, le personnage est sublimé. La force de cet ouvrage, comme des autres de la série, est de proposer des éléments, des personnages qui semblent tout droit sortis des livres d'Histoire alors qu'il n'en est rien. J'aime cela, car les surprises et le plaisir à la lecture n'en est que plus intéressant. J'ai lu pas mal de choses concernant Kennedy, notamment à la BU à l'époque et j'y allais un peu à reculons, mais au final, comme le reste de la série, le plaisir est là. Les dessins ne sont pas en reste et le côté documentaire habituel de la série est pratiquement délaissé pour une approche plus américaine du récit, j'ai souvent eu les Hommes du Président en tête. J'aime beaucoup le trait de l'artiste, c'est dynamique, c'est frais et on veut en voir plus. Ce fut excellent et on en redemande encore.
Un enquête agréable à suivre
Rapine le héros de l'histoire est un personnage complexe et intéressant
Le scénario est bien retor ce qui nous offre un bon one-shot
Je viens de relire le tome 1 de la série, déjà parce que je suis retombé dessus dans ma bibliothèque, mais aussi parce qu'on a un retour prochain sur notre satellite qui nous est annoncé, bref c'était l'occasion. Ce fut un plaisir de retrouver la série, le premier tome est toujours aussi sympathique, certes le travail fait sur la série à l'époque n'est pas aussi abouti que aujourd'hui, mais ça reste maitrisé avec une vraie alternative au monde réel. Par moment, c'est assez naïf dans le propos, mais ça fait plaisir, les séries désespérées ou le russe est forcément le méchant, l'Américain le gentil, qu'il y a des héros, des vilains et j'en passe, c'est gonflant. Le tome est à mes yeux plus subtil et même si le monde réel actuel est loin de celui idéalisé (bon le moment est peut-être mal choisi) dans lequel nous vivons, ça fonctionne. Même des scènes anecdotiques ont leur intérêt, notamment celle de Moscou, mais moi j'aime bien. La construction du récit fonctionne, on a la sensation que ça prend son temps et pourtant ça avance rapidement, ça montre la maîtrise de story-telling de l'artiste. Moi, j'avoue, je reste bluffé et je ne dis pas ça parce que la Mère Patrie a battue les américains ^^. Il y a quelques ellipses, mais ce n'est pas dérangeant et je ne me souvenais pas de tous les éléments composant le récit, mais ce fut tout de même plaisant, une vraie redécouverte d'une série de qualité.
Les dessins sont bons, rien à redire, j'aime beaucoup le soin sur les visages, c'est de qualité et le mot est faible. Le dessinateur retranscrit parfaitement le rythme du scénario et on se laisse facilement embarqué dans le récit, même sans lire les bulles. Bref, une merveille qui me donne envie de relire la suite de la série.
Je ne comprends pas pourquoi les BD historiques ou uchroniques sont si souvent baclées ! dans cet épisode on se perd dans les méandres du Vietnam dont le seul semble de devoir rallonger le scénario et le dessin est caricatural pour ne pas dire parfois malhabile.
Province de Grenade. 19 août 1936.
Le grand poète espagnol Federico Garcia Lorca est exécuté sommairement par des milices franquistes.
Salvador Dali est à Londres lorsqu’il apprend la nouvelle. Il est très peiné par l’assassinat de cet ami très cher. Il décide alors de le faire payer très cher à Franco et à sa clique. Mais comment ? Comment un artiste pourrait-il ourdir un complot pour faire tomber un général Franco qui dispose d’importantes forces armées bien équipées et appuyées par les nazis d’un petit énergumène vociférateur et par les fascistes d’un maître d’école qui a viré au grandiloquent ?
Critique :
Ce n’est pas toujours facile de comprendre ce que raconte Dali et son obsession pour les homards. Peu importe ! L’essentiel se trouve dans les rouages qui se mettent en place pour piéger les franquistes en les amenant à commettre une bévue monumentale. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau nous livrent ici un scénario complexe mais bien ficelé qui fait intervenir les suppôts de Staline, les trotskystes, les franquistes, les fascistes italiens, un milliardaire américain, des gitans… Et le gouvernement français qui, bien que de gauche, ne veut pas être entraîné dans une guerre. C’est puissamment bien imaginé et donne envie de se plonger dans la suite dès que possible.
Les dessins de Renato Arlem sont d’excellente facture, ce qui n’est pas souvent le cas avec la collection Jour J. La mise en couleur de Thiago Rocha est très originale et certaines planches peuvent désarçonner, mais elles mettent en valeur le travail du dessinateur.
Petite précision : l’exécution sommaire du poète Lorca est avérée à la date stipulée dans l’album. A ce jour, si le lieu probable de son exécution est connu, son corps, probablement enterré dans une fosse commune, n’a pas été retrouvé. Federico García Lorca avait publié des textes antifascistes et s’était réjoui de la victoire du Front Populaire en 1936, mais n’avait jamais mené d’activités politiques en tant que telles. Comme quoi, des idées suffisent pour se faire assassiner…
L’assassinat d’Henri IV par Ravaillac est déjoué par les services secrets du roi. Ravaillac est assassiné à son tour avant d’avoir pu parler. A partir de là, le scénario va suivre les enquêteurs dans leur recherche du commanditaire du meurtre.
J’ai trouvé le scénario assez confus même si l'hypothèse choisie par les auteurs est crédible et fait partie des hypothèses envisagées par les historiens. Je n’ai surtout pas compris l’intérêt de l’uchronie ici car à quoi bon laisser vivre Henri IV si les auteurs se contentent d'enquêter sur les commanditaires de l’assassinat ? Ce qui aurait été de l’uchronie c’est d’imaginer une Histoire de France et d’Europe différente de ce qu’elle a été à cause de l'échec de l'assassinat du roi. Là, l’uchronie est traitée de manière expéditive en dernière page au lieu d’être au cœur de l’histoire.
un des meilleurs scénarios de la série ! Le dessin est - certes - perfectible. Mais ce scénario, vraiment d'enfer !
C'est le genre de bd duquel on attend beaucoup car l'idée est originale mais dont le résultat déçoit quelque peu. Tout ça pour ça ? C'est le sentiment qui ressort de cette lecture. Le postulat uchronique est intéressant car on sait que les soviétiques étaient à deux doigts d'atteindre la Lune avant les américains. Est-ce que l'Histoire aurait changé pour autant ?
Cette bd s'attarde trop dans les 25 premières pages à des choses sans intérêt avant de se concentrer sur les actions lunaires. On n'aura même pas le moindre attachement aux différents personnages. C'est dire !
Je n'ai pas trop aimé qu'on nous montre sous un jour clément certains des pires dirigeants de l'Histoire. Mais bon, la morale est sauve dans le genre "créons un bébé de l'espace" pour la paix universelle des peuples. Au final, c'est plutôt décevant.
J’avais laissé une chance à cette série au concept intéressant de se rattraper à l’occasion de la lecture de ce 2ème et 3ème tome. Et là, je constate que c’est toujours aussi flasque. Je m’interroge même sur le concept. Il est déjà difficile au plus grand nombre de connaître véritablement l’Histoire. Je crains que ces lectures jettent totalement le trouble chez les plus jeunes capables de sortir des âneries sans pareilles.
Je sais que ce concept a été utilisé dans d’autres séries comme par exemple Luxley de Valérie Mangin. Je me demande pourquoi ce que j’apprécie chez les uns, je ne le partage pas chez les autres. Pecau et Duval sont des scénaristes dont j’apprécie la plupart des œuvres car typiquement dans une mouvance commerciale et sensationnaliste que je ne rejette pas. Ils essayent tant bien que mal de créer un univers qui apparaîtrait crédible. Cependant, à force de multiplier les clins d’œil à des personnages ayant existé mais remplissant d’autres rôles, cela rend l’ensemble totalement indigeste.
Bref, mon avis sera sans concession. Ce n’est pas simplement le premier tome qui est mauvais : c’est la série! Je confirme d'ailleurs avec ma lecture du 4ème et du 5ème tome! Désolé, il n'y a vraiment rien à sauver!
Un graphisme original et comme d'habitude dans cette série un scenario bien ficelé .
On se laisse porter dans cet l’univers lunaire et sauvage .Même si on n'est pas forcement fan de SF.
De la bonne BD
Voyons la suite ....
Le grand secret ? voila un titre qui nous appâte , mais finalement
on apprend pas grand chose que l'on ne sache déja .
Il y a un manque d'originalité dans cette histoire , ce qui est le comble pour une Uchronie.
Pour le reste , ne revenons pas sur le dessin un peu naïf, heureusement le scenario tient la route!
Décevant!
J'aime beaucoup cette série , mais j'avoue être déçu par cet album au gout de déjà vu .
La mise en scène est correct , le dessin moyen...
Attendons la suite.
New York City. 1943.
Le zeppelin Hindenburg a amené avec lui les négociateurs du IIIe Reich qui doivent signer la paix définitive avec l’Angleterre. Les opposants à cette paix, dont Roosevelt, cherchent désespérément des preuves qui feraient entrer les USA dans la guerre. Les services secrets allemands sont omniprésents dans la ville, aidés en cela par de nombreux Américains, dont Hoover, le big boss du FBI. Les nazis font tout pour que rien ne retarde la signature du traité. Ils ont hâte d’estourbir les soviétiques et les forces qu’ils laissent face à l’Angleterre seraient bien plus utiles à l’Est. Les Soviétiques le savent et apportent leur aide à Roosevelt pour réunir les preuves nécessaires à convaincre le Congrès du danger que représente le sieur Hitler.
Kissinger attend désespérément des nouvelles de Mary partie en Chine à la recherche de preuves accablantes sur les projets des nazis « Nacht und Nebel » (Nuit et Brouillard) visant à éliminer les juifs, mais aussi les tziganes, les homosexuels, les handicapés… Il estime que Mary est plus que probablement morte…
Critique :
Une fois de plus, l’histoire contée par Fred Duval et Jean-Pierre Pécaud nous entraîne dans un mélange de faits et de possibles. Notons au passage la trop grande confiance accordée par les auteurs au roman d’un certain André Malraux (qu’ils ne citent pas) en faisant raconter par un communiste chinois que les Japonais balancent dans les chaudières de leurs locomotives leurs prisonniers communistes. Cet emprunt fait à l’œuvre de Malraux tiré de la « La Condition humaine » est historiquement faux. Dans l’œuvre de Malraux, c’étaient les troupes de Tchang Kaï-chek qui traitaient ainsi les communistes. Rappelons que Malraux n’a jamais mis les pieds en Chine et qu’il n’a jamais été à un mensonge près. On peut être un grand écrivain, et avoir une moralité douteuse quand on prétend rapporter des faits historiques.
Pour en revenir au scénario qui nous occupe, les auteurs n’hésitent pas à faire intervenir et s’entremêler des personnalités bien réelles issues de la pègre et du monde de l’espionnage, mais je n’ai pas envie de spoiler davantage cette histoire en vous révélant quel rôle ils jouent dans ce grand drame.
Je déplore toujours autant la qualité médiocre des dessins de Brada. Je trouve cela regrettable parce qu’une bande dessinée, ce n’est pas qu’un scénario illustré à la va-que-je-te-pousse ! Et une fois encore, l’incroyable couverture est le fruit s’une collaboration entre Nicolas Siner & Fred Blanchard. Une couverture qui « en jette » et aide beaucoup à faire vendre en laissant imaginer que New York est entre les mains des nazis… Non, rien à voir avec « Le Maître du Haut-Château »…
New York City 1943.
Mary Kate Danaher sort de ses cauchemars dans une chambre d’hôpital. Par la fenêtre, elle découvre un énorme Zeppelin arborant fièrement la svastika. Que fait-elle là ? L’attentat ! Elle a échappé de peu à l’attentat préparé par les nazis pour se débarrasser d’elle et de son garde du corps, Sterling. Les nazis auraient-ils pris possession de New York ? Pas tout-à-fait… C’est la fameuse délégation qui se présente pour signer les accords de paix avec le Royaume-Uni vaincu par le IIIe Reich.
Kissinger vient trouver Mary pour lui proposer une petite balade à Shanghai dans la concession internationale. Voyage d’agrément pour se remettre de ses blessures ? Que nenni ! Une nouvelle tentative pour faire capoter les négociations de paix en prouvant que les nazis veulent que les Japonais mettent en œuvre la même politique qu’eux : « Nacht und Nebel » (Nuit et Brouillard), faire disparaître les juifs que les Japs ont déjà enfermés dans un ghetto de la ville.
Elle a beau protester qu’elle ne parle ni chinois, ni japonais et qu’elle ne connaît rien à la ville, Kissinger lui montre une photo qui change sa vision des choses…
Critique :
Magnifique couverture, n’est-ce pas ? Elle n’est pas l’œuvre du dessinateur de la bande dessinée, Brada, mais bien l’enfant de Nicolas Siner et de Fred Blanchard. Elle n’a qu’un tout petit rapport avec la bande dessinée elle-même. Il n’y a pas à dire, les éditions Delcourt s’y connaissent pour appâter les lecteurs en confiant à des artistes talentueux le soin de peindre les couvertures. Les dessins de Breda sont toujours aussi sommaires et peu intéressants.
Le scénario est un vrai thriller avec une héroïne que rien, pas même de vilains SS, ne saurait arrêter. Là voilà condamnée à se rendre dans une Chine où les concessions internationales sont encore respectées par un Japon qui n’est pas en guerre avec les Etats-Unis. Les Nippons espèrent que les Américains les laisseront tranquilles pour faire leurs sales besognes en Chine. Ils n’ont rien contre les juifs mais leurs alliés nazis veulent les convaincre de la nécessité de s’en débarrasser. Dans le récit, les auteurs font plusieurs fois référence à un livre de science-fiction réellement publié en 1937, Swastika Night. Ce récit-là n’a donc rien d’une uchronie puisqu’il a été écrit par une Britannique, Katharine Burdekin, quatre ans après l’accession au pouvoir d’Adolph Hitler et deux ans avant l’invasion de la Pologne. Méconnue des Français jusqu’il y a peu, elle dénonçait dans ses romans la société phallocratique britannique… Mais pas que ! Ce roman se situe peu après "Le meilleur des mondes" d’Aldous Huxley, mais bien avant "1984" de George Orwell. Il semblerait qu’elle y parle déjà des chambres à gaz pour éliminer les opposants du régime nazi, idée irrecevable en 1937, quand l’Allemagne était encore considérée comme une nation comme les autres…
New York City 1943.
Bataille d’Angleterre perdue. Churchill ayant démissionné car ne voulant pas d’un armistice. De Gaulle à Moscou. Une conférence de paix doit se tenir à New York pour mettre définitivement un terme à la guerre.
Le très discret bureau 103 est chargé par D.F. Roosevelt de vérifier ce que font les nazis. Roosevelt voudrait convaincre le Congrès de faire entrer les USA dans la guerre. Trois personnes à peine veillent sur ce travail de vérification des documents qui semblent attester des crimes de guerre commis par les Allemands. Roosevelt attend des preuves incontestables, sinon il risque d’obtenir le résultat inverse d’autant qu’un très puissant lobby pro nazi fait tout ce qu’il peut pour contrer le Président.
Critique :
Il y a un excellent rythme dans la bande dessinée qui rend cette uchronie d’autant plus réaliste et crédible que les auteurs Fred Duval & Jean-Pierre Pécaud se sont bien documentés. Je n’ai pas été convaincu par les dessins de Brada. La couverture de ce premier album, très réussie graphiquement est l’œuvre de Nicolas Siner et de Fred Blanchard… Mais sans aucun rapport avec le contenu de ce premier album.
Si le récit est aussi convaincant, c’est parce que beaucoup d’Américains, notamment parmi les plus grands chefs d’entreprise, admiraient les nazis, et que certains auraient bien vu l’installation d’un état fasciste aux Etats-Unis. Vous trouverez ainsi des noms d’entreprises comme IBM, Ford, Thyssen, soutenir financièrement les mouvements favorables aux nazis. On y découvrira qu’au moins un des Bush était dans le coup. L’avantage avec le recul, c’est qu’il est permis d’évoquer certaines choses que l’on préférait taire au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
Un final très classique, les gentils gagnent à la fin.
Les auteurs font apparaître les grands personnages de l'époque : Roosevelt, Hoover, Kissinger, Churchill, l'espion Sorge et même les mafieux comme Lucky Luciano...
Certains passages asiatiques me font penser à une aventure de Tintin : surtout les scènes de mitraillages.
Je mets à cet album : 2.5 étoiles.
Et bien oui la suite garde la même énergie... avec un final sympathique et une tension qui monte progressivement tout au long de l'album.
Le scénario est digne d'un film/roman d'espionnage.
Les personnages peuvent paraître caricaturaux à certains moments, mais les auteurs ne tombent jamais dans la facilité.
En attente du tome final.
Un album intéressant.
De bonnes scènes d'action : l'héroïne est traquée par les méchants nazis du SD d'Heydrich dans les rues de New-York !
Un scénario sous tension bien construit.
J'espère que la suite gardera la même énergie.
La Guerre de Cent ans au XVIIème siècle !
Le Grand Condé allié à l'Espagne est en guerre contre les fidèles du roi de France (qui n'a plus que Paris comme royaume) et ses alliés de circonstance, l'Angleterre et les Provinces-Unies.
Ce deuxième tome est bien réalisé, même si les dessins sont quelque fois "faciles". En tout cas l'énergie est là : les scènes d'actions sont bien réalisées et en quelques cases on s'habitue aux différents protagonistes et c'est une qualité que j'apprécie en BD.
Les deux premiers tomes nous offre une histoire originale de l'organisation d'un goulag sur la Lune. L'Europe est sous la domination soviétique, la Russie profitant de son avantage lunaire pour utiliser l'énergie issue du satellite : l'Hélium 3.
La révolution qui renversera la dictature communiste ne peut partir que de la Lune. Le 3ème tome nous dévoilera si cela a marché.
Pffff…
Moi qui adore ce genre d’histoire à base de « et si », je suis encore une fois très déçu…
Le postulat de départ n’apporte pas grand-chose (on aurait été à Berlin ou à peut près n’importe où, ça aurait été pareil).
En plus, j’ai eu du mal à rentrer dedans parce que ça ne m’intéressait pas, il y avait trop de noms…
Je n’ai dont pas été captivé ni par une histoire un poil confuse qui s’éparpille et n’a rien d’original, ni par l’uchronie dont le principal intérêt est de glisser quelques noms ici et là…
Des dessins sympas mais qui ne permettent pas à l’ensemble de me paraître satisfaisant…