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Le dessin de cette série est très économe de traits, proche de la lithographie. Les décors sont minimalistes et peu précis. Ce qui permet de lire chaque tome en quelques minutes, comme beaucoup de BD Bayard...
Philibert, le tatoueur quadra prend sous son aile Mosquito, un jeune abo. On pensait que ces prémisses éculées étaient désuètes depuis la fin du colonialisme, mais bon...
En pratique, l'histoire se développera plus autour de l'ado que de l'adulte, qui a ses propres fantômes à aller chasser.
Le tome 1 plante le décor et mène l'aventure à tambour battant. Le plus réussi est le tome 2, les dauphins de Palau. L'histoire se tient bien et ira tirer les cordes sensibles des jeunes ados : respect de la nature, première amourette, décor exotique... On souhaite que la série prenne son essor en suivant cette recette.
Malheureusement, le tome 3 dérape en une hallucination qu'on mettra généreusement sur le compte d'un abus du kava qui y est consommé. Hélas, le dessin est à l'avenant et devient paresseux, comme ébauché avec des crayons de cire. On sympathise avec la coloriste qui a du suer pour trouver des repères dans ces débordements !
Dommage que la série s'arrête là.