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Nico est une bd intéressante qui part encore d'une uchronie : celle de l'utilisation d'une technologie extra-terrestre suite au crash de Roswell en 1947. On va retrouver l'intrigue 19 ans plus tard avec un monde qui a totalement évolué mais qui est toujours soumis à l'antagonisme entre les deux super-puissances.
J'ai eu plaisir à retrouver le dessin toujours aussi maîtrisé et rétro de Berthet. Il faut dire que Pin-up figure parmi mes bd cultes. Quant au scénario de Duval, il brille par son intelligence. Il est dommage cependant que les différents personnages manquent d'épaisseur et que certaines situations soient assez classiques (bouh les méchants viennent de l'Est !). Le début semblait très prometteur mais la suite se révèle une affaire d'espionnage à la James Bond (d'ailleurs les références ne manquent pas à commencer par cette base sous-marine).
Un univers pictural intéressant à découvrir !
Un cycle magistral, je le relie toujours avec un très grand plaisir, je suis sous le charme total de NICO, des dessins de Berthet, de l'uchronie de Duval et des couleurs ahurissantes d'Hubert.
Un trio en osmose.
Action, suspens, tension, de magnifiques grandes cases qui posent l'ambiance si particulière de la série., on va de révélations en nouvelles surprises. Tout ce que je recherche dans une lecture.
Un très bon moment d'aventure et d'évasion.
Cette suite tient en 1 seul album contrairement au 1er cycle en 2, et dans un sens heureusement pour nous, car la série semble abandonnée ... ???
L'histoire défile assez vite, et on y apprend pas mal sur les personnages.
Moins de grandes cases, moins de place pour poser cette univers qui pouvait nous offrir beaucoup plus (Merci M.Duval :).
Reste de sublimes couleurs d'Hubert, la ligne si particulière et tant apprécié de Berthet.
A lire pour clôturer le 1er cycle.
Personnellement j'idéalise un nouveau cycle.
Un album qui nous en apprend plus sur les origines de notre héroïne, tout en nous servant notre lot d'aventures rocambolesques, entre martiens infiltrés sur Terre, poursuite d'espion russe à bord de véhicules futuristes, base spatiale soviétique, etc. Ce n'est certes pas la série du siècle, mais c'est un très bon moment de détente, d'autant que le dessin au style rétro est très plaisant.
Toujours aussi décalées et toujours aussi improbables, les aventures de NICO (jeune agent de la CIA) se poursuivent dans ce second volet, qui se lit avec autant de plaisir que le premier. On a droit à un cocktail très "jamesbondien" entre agents doubles, organisations secrètes, gadgets en tous genres, base sous-marine, véhicules futuristes, menace nucléaire, mission désespérée pour sauver le monde ... bref tout cela est très extravagant mais c'est ce que j'aime dans cette série. Le dessin très "old school" sied bien à cette ambiance années 60 et est tout à fait convaincant.
Une uchronie très plaisante à lire, qui mixe efficacement espionnage et science-fiction, dans un contexte de Guerre Froide revisitée. Le scénario est assez lunaire et sort vraiment des sentiers battus. Tout l'inverse du dessin, d'un grand classicisme, mais qui s'avère tout de même très réussi. Une BD assez étrange au final, mais que j'ai lu avec beaucoup de plaisir.
Franchement je ne comprends pas l'engouement pour cette série...Scénario inexistant... je mets 1 étoile parce que berthet dessine toujours très bien les personnages féminin mais franchement il est bien meilleur dans ces bd catégories polar !
Toujours aussi décalé et bourré de clins d'oeil.
Les dessins ont un coté rétro.
Mais il s'agit d'une BD d'espionnage;
Un bon moment de lecture.
8/10.
Déjà peu enthousiasmé par le tome 1, on lit le tome 2 avec circonspection. Patatras ! De mal en pis...
Le graphisme minimaliste de Berthet, qui convenait à merveille aux premiers «Pin-Up», déconcerte dans ce cadre de science/politique-fiction. Il aurait été plus avisé d'utiliser son style «Yoni».
Le scénario? Prenez une forte dose de James Bond, un soupçon des «Sarcophages du 6e continent», et quelques pilules d'Ecstasy. Passez à la mixette, ne filtrez surtout pas - tous les résidus doivent rester dans la décoction !
Les chroniqueurs affublent généreusement cette série de «délicieux James Bond féminin au second degré». Mais ces prétendus clins d'oeils à la BD des années 50 et 60 ne sont qu'un ramassis de solutions de facilité, pêchés de ci de là. Les apparitions de personnages historiques (hystériques??) dans des rôles atypiques titillent le lecteur en lui permettant de découvrir des références fort peu subtiles disséminées partout. «Où est Charlie» a eu son heure de gloire il y a 25 ans, Requiescat in pace.
Bref, un fatras mal ficelé qui surfe sur la vague de popularité de ses auteurs.
La série Nico est une série à part qui réunit 2 talents très complémentaires et dont la rencontre fait partie des heureuses surprises... Ph BERTHET aux dessins et F DUVAL au scénario. Ce 3ème opus est passionnant du début à la fin. Il est plein d'humour, de suspens et fortement teinté BD années 60. Ce second degré permanent loin d'être fatiguant est la signature très réussie du géniteur de Pin-up et de Carmen Mc Callum. Mais attention, Nico, superbe héroïne, n'est en aucun cas l'ersatz de ses ainées ! Elle a acquis au fil des volumes sa propre personnalité pour notre plus grand plaisir !!!
Soyons honnête, ce n'est certes pas la bande dessinée de l'année mais ,en tout cas, ce troisième opus est fort divertissant.
Mais ce qui prime dans cette série, c'est le dessin de Berthet, dessin reconnaissable entre tous. Hommage aux séries des années 50 et 60, cette uchronie(bien que ce caractère s'estompe avec le temps) fait une part belle aux références: à l'âge d'or de la bd avec d'entrée, une reprise de la marque jaune, et plus loin on aperçoit le professeur Philip Mortimer parmi les savants exfiltrés; aux séries TV avec des vaisseaux sortis tout des droits des "Thunderbirds" ; ou encore aux James Bond de la période Sean Connery.
Même si les ficelles scénaristiques sont un peu grosses, d'ailleurs ce ne sont plus des ficelles mais des cordes (l'histoire des parents de Nico, par exemple), j'ai été séduit par l'ambiance générale de cet album, qui constitue une seule histoire.
Je vous conseille de découvrir cette aventure avec l'édition "tirage limité" dos toilé,(avec suppléments de croquis)qui rappelle les albums d'antan et qui y ajoute, s'il le fallait encore, un côté rétro
Finalement bien ficelé ce tome 2.
Tout est réuni dans ce tome : de l'humour avec de nombreux anachronismes, de l'action et un souoçon de manipulation dans la pure tradition de la guerre froide.
Les dessins sont excellents.
Bref une vrai réussite.
8/10.
Séduit par la couverture et le dessin, je me suis laissé tenté et j'ai acheté les 2 tomes. C'est plutôt une bonne surprise : histoire assez décalée, dans un passé futuriste assez étrange mais suffisamment crédible. Beaucoup d'action, un scénario simple qui me rappelle mes lectures d'enfance.
Il y a en effet un côté vieux James Bond qui me plait bien. Un très bon moment de lecture donc, en espérant une suite.
Nous avions laissé Nico dans une mauvaise posture dans le précédent album, et bien avec ce second opus intitulé "Opération Caraïbes" nous retrouvons notre espionne encore plus James Bond que jamais.
En effet, outre le titre, les références au héros de Ian Fleming sont légions dans cet album: que ce soit la base sous-marine ou encore la référence au Spectre (avec le fameux chat) ou les costumes et les décors, tout fait songer aux films avec Sean Connery.
Mais cet opus croule sous les références et allusions, parfois inutiles si bien que le lecteur finit par en avoir le tournis. Je cite pèle mèle: apparition de Truffault s'entretenant avec Alfred Hitchcock, d'un Bob Dylan ahuri,d'un personnage issu de la série "Thundebirds" qui a bercé mon enfance et j'en passe.
Par contre quelque jeux de mots plutôt faciles m'ont gaché quelque peu ma lecture, du genre : "Cuba! non coup bas!" ou encore en parlant de Dallas, partenaire de Nico: "Dallas et Kennedy n'ont jamais fait bon ménage..."
Les ficelles du scénario sont si grosses qu'elles ressemblent à des cordes et pourtant....ça marche.
Le dessin de Berthet y est sans doute pour beaucoup et cette uchronie est assez réussie dans l'ensemble.
Malgré les facilité scénaristiques, on ne s'ennuie pas une seconde dans les aventures de Nico.
Une histoire rafraichissante, hautement improbable donc à lire.
J'ajoute que, comme pour le premier album, les éditions Dargaud ont eu la bonne idée d'éditer un tirage spécial avec dos toilé, qui ajoute au côté rétro de cette bd.
La fin,volontairement ouverte, peut laisser songer,je l'espère à un nouveau cycle.
En même temps qu’elle recherche sa mère naturelle, Nico sauve (accessoirement) le monde des foudres nucléaires.
Avec ce nouvel album, Berthet et Duval transforment l’essai et développent un univers pictural où la situation a le mérite d’être claire : le péril vient (généralement) de l’Est, les filles sont (toujours) très belles et les méchants (souvent) mégalomanes.
Cet album, au futurisme un rien suranné, possède (par bien des égards) l’agréable saveur des vieux James Bond.
A lire… au deuxième degré !
Ce deuxième volet de Nico est savoureux et conclut parfaitement l'intrigue commencée dans le tome précédent. L'ouvrage d'une fabrication et d'une présentation parfaite, alimente notre lecture avec 64 planches superbes. Les auteurs s'y amusent franchement pour notre plus grand plaisir en bousculant les évènements et en mettant des personnages historiques comme Kennedy, Fidel Castro ou Staline, dans des situations inopinées voire comiques. Dans un univers à l'esthétique des années 60 où les voitures au design futuriste volent et où les trains sont propulsés à l'énergie atomique, Nico véritable descendante de Pin-up combat les russes pour sauver le monde. La fin laisse présager une suite qui ne peut, compte tenu du niveau du récit, que nous ravir !
Voilà une rencontre franco belge intéressante pour des auteurs aux parcours différents. NICO représente une synthèse des deux talents. On y retrouve le coup de crayon et les couleurs magiques de l'un et le scénario puisant sa source dans l'uchronie brillante pour l'autre. Le tout nous donne un récit qui commence comme un "film" d'espionnage à priori classique mais évoluant dans un univers décalé où nos références culturelles et historiques s'entrechoquent de façon subtile. Les planches savoureuses, illuminées par le sourire et les yeux de la belle NICO se dévorent comme une friandise et l'on a tous envie de monter dans l'ATOMIUM-EXPRESS pour l'accompagner dans la suite de son périlleux voyage !
L'idée de départ est plutôt originale et laisse présager d'un scénario hors des sentiers battus.
A la place on a droit à une vulgaire histoire d'espionnage avec quelques anachronismes en plus.
Le dessin est de style rétro; on aime ou on aime pas.
Au total une oeuvre qui aurait gagné à être plus décalée.
Je réserve ma cotation pour le tome 2 mais je crains une déception.
Paris : 1966. Pour sa 1ère mission, Nico - jeune agent(e) de la CIA - se fait piéger par le KGB et doit fuir pour Vienne à bord de l’Atomium Express…
Grâce au savoir-faire de Fred Duval, ce qui s’apparenterait à une classique histoire d’espionnage se révèle être, en fait, une uchronie des 60’.
Entre un certain Mc Queen (chauffeur à la CIA !) ou un dénommé Fidel Castro (barbouze de son état !), Philippe Berthet élabore un univers rétro-futuriste où évolue une gent féminine à la plastique (toujours) irréprochable…
Prometteuse uchronie ou simple histoire d’espionnage ? Le tome 2 nous le dira !
Berthet nous sort son meilleur dessin ( et c’est pas peu dire) pour cette nouvelle série, son graphisme « rétro » fait merveille pour cette histoire de SF qui se déroule dans le passé.
Le principe de l’uchronie et de la réécriture de l’histoire est ici particulièrement bien exploité, avec des petits clins d’œil anecdotique tout à fait savoureux.
Le scénario est passionnant, bourré de surprises et de bonnes idées.
Le genre d’album qu’on lit très vite pour savoir ce qu’il va se passer… et qu’on relit tout de suite après pour mieux apprécier les dessins.
Une des bonnes surprises de 2010,et déjà un des meilleurs albums de l’année.
Recommandé !
Retour gagnant pour Berthet qui après s'être associé à Yann pour "Yoni" ,série interrompue et assez décevante, nous revient en force avec ce nouvel opus , avec Fred Duval au scénario, à qui l'on doit déjà le désormais classique "Carmen Mc Callum" et le très remarqué et remarquable "Code Mc Callum".
Un dessin parfait, qui arrive à nous faire oublier les mythiques "Pin Up", servi sur un scénario impéccable de Duval, bref une série qui débute bien et qui me donne envie de lire la suite.
Même si j'apporterai certains bémols.
En effet, l'histoire part sur les chapeaux de roues avec un début d'uchronie assez originale mais qui se transforme assez vite en une histoire classique d'espionnage qui s'éparpille un peu entre la trame personnelle (recherche de ses parents par Nico) et les missions de la parfaite espionne.
Pour ma part, j'ai passé un très agréable moment de lecture,que demander de plus à une bande dessinée? Et les petits défauts du premier opus sont vite effacés par un dessin et un sens du rythme efficace.
J'ajoute que j'ai choisi d'acheter la version dite "collector" même si l'édition commerciale présente une qualité égale de papier. La couverture,le dos toilé , le carnet de croquis et mon éternel esprit de collectionneur m'a irrésistiblement poussé vers l'achat de cette version , somme toute très abordable.
A savourer évidemment.
Lecture agréable en ce qui me concerne. Dessin sans surprise mais parfaitement maîtrisé de Berthet, qui mêle habilement le côté rétro d'un Pin-up avec le côté futuriste d'un Yoni. Scénario hyper-huilé de Duval, rien à redire, en attendant que les personnages gagnent un peu en épaisseur.