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Je n'ai pas du tout accroché à la lecture de Zéro absolu. Je pense que c'est malheureusement une BD qui date, qui a peut être marqué à sa sortie, mais maintenant il y a trop de choses qui ne vont pas. A commencer par la figure de la blonde, qui (parce qu'elle est blonde et jolie j'imagine), est dessinée dans des poses lascives, bouche ouverte à la Manara ou cul dressé... le mouvement Metoo est passé par là, désolée mais maintenant c'est limite ridicule. Les personnages ne sont pas toujours bien discernables, ça pollue la lecture et la fluidité de l'histoire. Celle ci tient la route, mais ne détrône pas Sanctuaire, qui avait réussi à me faire froid dans le dos. Les références au western spaghetti sont redondantes et plutôt pénibles et sans intérêt. La fin n'est pas très claire je trouve, bref je n'ai pas aimé.
J’ai remédié avec cette lecture à une carence : celle de n’avoir pas encore avisé cette série pourtant emblématique d’une nouvelle vague de bd science-fiction à atmosphère pesante.
Je n’avais absolument pas d’a priori négatif en commençant cette découverte. Je me suis dit que j’allais m’accrocher car la lecture s’avérait plutôt difficile. Je ne suis pas du genre à abandonner facilement même si le début n’était pas vraiment ce que j’attendais. Non, je suis plutôt du genre à m’infliger les pires tortures de lecture jusqu’au bout pour pouvoir délivrer un avis en toute connaissance de cause et loin du reproche légitime de n’avoir pas terminé ce que j’ai commencé. Je crois que l’œuvre doit être jugée que si on la lit dans son intégralité pour pouvoir donner un avis valable, exception faite des séries à rallonge. C’est la règle : il faut la respecter.
On se voit bombardé dans cette lecture d’une multitude de personnages qu’on va suivre au cours d’une mission périlleuse sur une planète où il fait visiblement très froid. Quelque chose de mystérieux attaque les membres de cet équipage les uns après les autres. Le rythme ainsi que la progression de l’histoire seront très lents. On se dit que les auteurs ont voulu conférer une dimension plutôt psychologique à cette œuvre. Cependant, les dialogues ne sont franchement pas intéressants. Et finalement, il n’y a véritablement aucun personnage attachant. Ils sont froids et inexpressifs à l’image de cette planète glacière désertique. Même les scènes d’actions sont plutôt statiques. Je n’ai rien ressenti de terrifiant. Ce n’est franchement pas ce qu’on pouvait attendre !
Par ailleurs, l’une des trouvailles des auteurs était d’insérer des images venant de la littérature et du cinéma terrien de notre époque. Franchement, c’est comme un cheveu sur la soupe : réellement inopportun car vide de sens… Cela me rappelle ces bandes dessinées vaguement pseudo-intellectuelles. Honnêtement, je ne comprends pas tout le battage qu’il y avait autour de cette série qui ne me marquera pas.
Dessin correct mais scénario prise tête et alambiqué. A l’instar des autres commentaires, il y a une tentative de faire de la Bd d’auteur sans y parvenir. Une forme d’élitisme surjoué pour satisfaire un égo surdimensionné ?
Le titre en revanche porte bien son nom
cet album est comme un huis clos dans un vaisseau spatial. Mais le scénario est rendu abscons par de trop nombreux flahbacks et digressions (les pages 25-42-13 sont totalement hors sujet). Le texte est par moment illisible la faute à des bulles trop petites comme dans la page 26. Les dessins et les couleurs sont parois sans âme et d'une monotonie endormante.
Bref une cruelle désillusion.
Sans interet.
1/10.
Aucun intérêt, certain dise que le scénario est génial ? et bin, je sais pas ou on peux dire ça, j'ai jamais reussi a rentrer dans 'l'histoire', si il y en a vraiment une.
enchainement des cases toujours flou, incompréhensible, un vrai truc de ouf
juste pour dire que , au bout des 3 bds, j'ai zappé la moitié des pages fautes de compréhension.
une fin ..... nulle
Pire que le tome 1, totalement perdu dans les méandres d'une histoire byzarre avec des enchainements de bulles toujours pas claires et des bouts de scénario du livre du héros, dur dur
j'attaque le tome 3 ce soir ....
Quoi dire sur ce tome 1, bin assez complexe et pas du tout facile a comprendre, l'enchainement des bulles on est par moment completement perdu et on suis pas le fil de l'histoire, l'enchainement de certaine ne permet également pas de comprendre ce qui se passe.
Et puis la manie d'inserer des bouts de scenes western ou 19ieme siecle, reference au bouquin que lis le heros, oulalala faut suivre, ah bin en fait non, on comprend rien et c'est nul
Je suis devenu un fan SF de Marazano, mais sur cette série, BOF ! heureusement que j'ai acheté les albums à bon prix !
Le genre de l'histoire est SF tendant fortement vers le fantastique. Est-ce qu'elle porte surtout la patte de Bec ou de Marazano ? Peu importe car c'est assez indigeste.
Le dessin est celui de Bec: très classique pour moi, pas désagréable mais pas révolutionnaire. Beaucoup de critiques lui ont reproché de ne pas suffisament bien travailler les visages. Bon, pour moi, cela passe relativement bien, mais ce qu'il faut remettre en cause, c'est plutôt la mise en scène, la manière dont certaines sont découpées: on a parfois du mal à suivre le fil. Le nombre de personnage n'aide pas forcément. Le jeu de changement de points de vue entre les caméras est assez intéressant.
Il y a un point noir et c'est cette manie des auteurs d'insérer dans le cours de l'histoire des scènes styles western ou style XIXième qui renvoient au livre que relit le héros en permanence. C'est franchement enervant, cela n'apporte rien à l'histoire et cela la rend encore moins compréhensible. Se référer au film "on l'appelle personne" avec terence Hill et Henry Fonda: on se demande ce que cela vient faire là. Et puis il y a ces espèces d'échos radio que l'on "entend" dans le dernier album et qui accompagnent la fin de la narration: franchement, on s'en passerait !!
L'idée du scénario est celle d'un "esprit" qui prend successivement possession des corps des membres du commando, un peu comme un parasite. Il veut se "nourrir" de ses hôtes. Bon... est-ce original ? Le fil scénaristique est assez convenu: les rebondissements sont prévisibles car ils y passent tous à la queue leuleu. Il y a une sorte d'atmosphère proche d'alien, mais c'est insuffisant pour remonter le niveau. Les personnages sont somme toute assez caricaturaux: cela aurait pu avoir son charme, mais pour moi cela tend plutôt à enfoncer l'ensemble.
A découvrir pour les fans de Bec, pour ceux de Marazano dont je suis, j'ai plus de doutes.
Les critiques sont légion ! Pourtant, importe plus que le scénario, il sert de prétexte, peu importe la fin, elle sert le mythe. Tous les codes du genres sont présent mais surtout magnifiés !!! La raison n'est pas le fond (l'histoire) mais la forme (la mise en scène) !!! Et elle est magnifique. Comme un film d'Alexandre Aja, il y a les thèmes ultra connus, et la mamière dont ils sont traités... un chef d'oeuvre du genre. Une immersion dans un univers clos, glauque, froid, sombre, on ressent la peur, la folie... une pure merveille !!! Mythique !
Et qui d'autre est capable de nous livré de telles ambiances en BD ?
Je trouve cette série de science-fiction très intéressante (les trois volumes). Elle me fait penser aux films Aliens ou à l'odyssée de l'espace avec une ambiance très oppressante. Personnellement, je trouve que l'on a un peu de mal a identifier les personnages au début du premier volume mais par la suite ça s'arrange. Par contre je n'ai pas trop compris le rapport entre l'histoire et les films illustrés dans la BD. Sinon j'aime bien ce scénario qui est original et le dessin qui est bien approprié.
Je fais parti des gens qui ont été réellement déçu ! Je me suis procuré les 2 premiers albums d'un seul coup et je le regrette beaucoup.
Pour résumer, les auteurs ont voulu faire de la B.D. d'auteur avec des effets et tout le toutim... bref, il faut s'y reprendre a plusieurs reprises pour comprendre la trame de l'histoire qui est pourtant la plus classique possible...
Par moment, on comprends que dalle et donc c'est vraiment chiant à lire.
J'aime pourtant le travail de Beck, mais là , ZERO POINTE.
Zero Absolu est une série qui possède indéniablement un cachet à part au sein de la production de BD de science-fiction. Elle est le fruit de la collaboration de deux jeunes auteurs passionnés de cinéma et notamment de séries B.
Incarnations en est la 3ème et dernière partie. Ce tome se devait d’éclaircir de nombreuses zones d’ombres du scénario. Etant donné le ton très personnel de la série jusqu’à présent on pouvait craindre un épilogue farfelus qui ne se justifierais que par la volonté de se placer à contre-courant ou de consacrer l’originalité de la série.
Il n’en est heureusement rien. Zero Absolu bénéficie d’un dénouement plutôt sobre et réussit qui donne une certaine cohérence à l’ensemble.
En plus d’un joli final inspiré des westerns spaghettis de la belle époque, Incarnations jouit d’une narration et un découpage beaucoup plus fuides qui offrent plus de place à l’action. Bec en profite d’ailleurs pour démontrer qu’il maîtrise aussi bien les extérieurs enneigés que les intérieurs confinés.
Voilà une série originale qui mérite la seconde chance qui lui a été offerte avec la belle réédition de 2006 et dont je recommande fortement la lecture.
Après un Programme Siberia fort prometteur mais très hermétique je comptais beaucoup sur ce deuxième tome pour m’apporter des indices afin d’en savoir plus sur les personnages, le lieu, la menace et l’intrigue en général.
Je suis resté sur ma faim. Comme c’est souvent le cas dans les séries en 3 tomes, la seconde partie de Zero Absolu n’apporte pas d’éléments bouleversants à l’histoire, qui demeure opaque.
Bien sûr il se passe des choses (la mort de certains commandos notamment) mais les situations ont tendance à se répéter et les enjeux n’évoluent pas.
La tension en revanche, ne retombe à aucun moment. On est clairement plus dans un huit-clos psychologique que dans une aventure spatiale. Ceux qui attendaient que la trame se dynamise sous un flot d’affrontements pyrotechniques avec l’ennemi en auront pour leur frais. Au contraire, le découpage s’est resserré et les dessins très précis de Bec collent plus que jamais aux personnages. A tel point que l’on peut parfois sentir le souffle de leur respiration.
Graphiquement, même si le faciès de certains membres du commando n’est pas parfaitement reproduit dans quelques cases, l’œuvre est toujours rigoureuse et ce n’est pas sur ce point qu’elle sera prise en défaut.
Un tome de transition un peu décevant mais toujours prenant. J’attends beaucoup de la troisième et dernière partie du récit.
Oufff...quelle tension. Voici un 1er tome au caractère bien trempé, à la fois très référencé et vraiment singulier, ce qui relève du tour de force.
La situation de départ a déjà été exploitée 100 fois, surtout au cinéma, et d'ailleurs les auteurs ne cachent pas leur influences (Alien, The Thing...) mais les utilisent assez intelligemment pour ne pas que leur travail ne s'apparente à un vulgaire plagiat. La reprise de certains codes relève d'avantage de l'hommage que de l'exploitation pratique ou commerciale.
Zero Absolu possèdent 2 atouts qui fond d'ores et déjà sortir cette série du lot: une approche scénaristique unique, risquée et ambitieuse, fondée sur les personnages plus que sur l'action et un dessin de Bec au diapason: hyper-réaliste pour les corps et les visages (on pense au Vance de la grande époque) et audacieux de part son découpage et ses plans très cinématographiques (vision infrarouge, vue subjective, de caméras, filtres de couleurs...).
Le revers de la médaille est que la lecture nécessite une réelle implication de la part du lecteur. Il faut parfois s'y reprendre à 2 fois pour comprendre une scène sur-découpée ou le sous-entendu ironique d'un dialogue. Certains pesteront contre le degré de concentration exigé. Pour ma part, j'apprécie toujours de ne pas être pris par la main et que les auteurs fassent confiance à la jugeote du lecteur. A ce titre notons que les rééditions de 2006 bénéficient d'un changement de couleur et d'un relettrage appréciables qui rendent la lecture plus aisée.
Reste que ce tome demeure très mystérieux quant aux voies futures du récit. La menace n'est pas encore identifiée et chaque membre du comando semblent dissimuler un lourd passé qui ne demande qu'à ressurgir...il y a beaucoup de questions en suspens auxquelles on espère pouvoir répondre grâce aux prochains albums.
Personnellement, voici une de mes bds favorites. A travers cette série, j'ai découvert une intrigue vraiment passionnante.
Plantons le décors: Imaginez-vous sur une planète hostile. Devant vous, un ennemi invisible et vraiment pas recommandable. Si cela vous fait penser au film-culte "Planète interdit", détrompez-vous car, ici, la bête est d'un genre tout à fait different et franchement, j'ai trouvé celle-ci beaucoup plus vicieuse et inquietante.
Le scénario de Richard Marazano est oppressant à souhaits.
Plus on avance dans l'histoire, plus on constate qu'une lente descente aux enfers est au rendez-vous. Notre curiosité étant ainsi titillée, on frissonne album après album.
A travers son dessin, Christophe Bec a réussi à developper un climat réaliste et glauque qui donne beaucoup d'intensité à l'histoire. Il est clair que la comparaison avec le premier opus d'Alien est inévitable tant l'ambiance est similaire.
En résumé, cette série, aux références cinématographiques, est assez spéciale au premier abord mais celle-ci est vraiment fascinante.
Et si vous êtes fan de science-fiction, vous devez possèder Zéro Absolu dans votre bédéthèque, c'est indispensable !
ALors là, je ne m'étais jamais autant ennuyer en lisant une BD.
J'ai pas compris le scénario, le dessin m'a "repoussé" plus d'une fois.
Et pour les personnages, qui est qui?? Je continue a me poser la question.
Bref, a éviter selon moi
Sur une planete,une base terrienne sans vie.Un commando va tenter de découvrir ce qu'il s'y passe.
De la science fiction,avec une histoire de base très classique.Ce qui complique tout c'est le scenario et l'évolution de l'intrigue.
Attention,ne pas lire quand on est fatigué ou dans le "coltar" parce qu'on est vite largué.Je m'y suis pris à deux fois pour tout saisir.
En fait la Bd est construite comme un film,on devine le travail fourni mais voilà le résultat n'est pas au rendez-vous.Dommage,j'ai l'impression que l'histoire n'est pas structuré,malgré un dessin intéressant.
Je me suis ennuyé à mourir, et j'ai dû me forcer pour finir.
C'est lent et très confus. Les quelques scènes d'action ne sont malheureusement
pas mise en valeur par le découpage et certains choix graphiques.
Les personnage sont trop nombreux sans être présentés, les prénoms volent sans
que l'on sache à qui ils se ratachent, et de ce fait, les personnages n'ont pas vraiment
de personnalité.
Le dessin est très correct, mais la mise en couleur informatique n'est pas maîtrisé,
et les effets "photoshop" cassent le parti pris graphique.
Quant au scénario, il se met en place douloureusement dans ce premier tome.
Je ne me procurerait pas le second tellement ça a été dur....
J'ai eu du mal à terminer la lecture. On se demande toujours qui est qui et qui fait quoi dans cette BD.
Par contre, la série est plutôt originale, construite comme un film, avec beaucoup de "flash". La bande dessinée n'est peu être pas le meilleur support pour cela.
Bref, la grande équipe qui a travaillée pour cette série a essayé des choses nouvelles au niveau du scénario et des images qui ne sont pas classiques. A lire une fois pour se faire un avis.
jef