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L'hôte est tiré d'une nouvelle d'Albert Camus que je ne connaissais pas. Il faut dire que je lis assez peu d'oeuvres littéraires car ce n'est pas mon support préféré. Il est bon alors que des bandes dessinées reprennent des oeuvres classiques pour toucher un plus large public.
L'hôte a été écrit dans le contexte de la guerre d'Algérie. On y voit l'extrême pauvreté de ce pays avec ses paysages arides. La nature ne semble pas faire de cadeaux.
Et puis, arrive un évènement inattendue qui va bouleverser la vie d'un instituteur. Après avoir accueilli un hôte bien particulier, il va lui laisser le choix de sa liberté. Or, je n'arrive pas à comprendre le sens du message final. Pourquoi avoir laissé une si mauvaise remarque sur le tableau d'Ecole ? L'instituteur semble s'être aliéné le gendarme qui représentait l'autorité locale sans gagner la sympathie du prisonnier indigène. C'est franchement une terrible conclusion.
Jacques Ferrandez adapte brillamment une nouvelle d'Albert Camus parue dans le recueil L'exil et le royaume. Peu de personnages et peu de mots dans cette bande-dessinée mais de superbes paysages algériens.