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Les Schtroumpfs olympiques : 1/5
Encore une histoire enfantine, simpliste. La morale de l'histoire avec le Schtroumpf chétif est bien, mais le scénario contient l'humour le plus basique qui soit. Même la façon dont le marathon est gagné par le Schtroumpf chétif est ridicule, venant un peu contredire la morale de l'histoire. On est loin des grandes histoires du début de la série... Par contre, je concède que c'est une histoire amusante pour les enfants.
Pâques schtroumpfantes : 1/5
Petite histoire cocasse de vol d'oeuf pour faire plaisir au Grand Schtroumpf, correct.
Le Jardin des Schtroumpfs : 1/5
Mêmes commentaires. Bof. On donne la victoire au Schtroumpf bêta.
Le début de la fin pour moi...
La Soupe aux Schtroumpfs : 1/5
Même enfant, je n'étais pas grand fan de cette histoire. Pourtant, cette histoire est malheureusement uniquement pour les enfants. Un premier humain avec un rôle prépondérant apparaît depuis Gargamel (le roi du tome 3 n'avait pas de rôle, et on ne compte pas Johan et Pirlouit, une autre série). Mais Grossbouf (c'est son nom) est un idiot fini qui ne pense qu'à manger. Et toute l'histoire tourne autour de ce personnage apparu de nulle part qui veut manger des Schtroumpfs et des Schtroumpfs qui essaient d'user de ruse pour éviter d'être mangés. C'est simpliste, enfantin, l'histoire et l'humour le sont également. Seules les transformations de Grossbouf à la fin m'intéressaient quand j'étais enfant, mais même là, il y a un manque de cohérence!? Lors de la dernière transformation, Grossbouf boit clairement une fiole (glou glou glou) qui aurait dû le faire changer d'apparence encore, mais pour une raison étrange, il reste pareil! C'est bizarre. Grossbouf déception.
Schtroumpferies : 1/5
Encore des gags d'une page! (sauf pour le dernier, qui fait 4 pages) Bâille! Le seul que je trouve intéressant, c'est celui qui fait référence aux Schtroumpfs noirs. D'ailleurs, à quand une suite à cette histoire en album complet? On peut rêver.
Schtroumpf vert et vert Schtroumpf : 5/5
Difficile pour moi de ne pas aimer une histoire qui parle de langue. Je ne sais pas si Peyo s'était fait dire que son langage schtroumpf manquait de cohérence (ce qui était le cas!), mais en tout cas, l'histoire qu'il a concoctée pour ne plus avoir à y penser une bonne fois pour toutes est géniale. Les Schtroumpfs se divisent en « Schtroumpfs du Nord » ou « Schtroumpfs du Sud » selon le patois qu'ils utilisent, selon le mot remplacé par « schtroumpf », et c'est absolument brillant. Une véritable guerre s'en suit, où chaque camp se moque de l'autre et refuse de coopérer avec ceux de l'autre côté de la « frontière ». Le seul défaut de cette histoire, c'est qu'elle ne fait que 30 planches au lieu de 40 comme les autres grands titres de la série (Le Schtroupfissime, La Schtroumpfette...). C'est d'ailleurs l'une des dernières « longues histoires » de Peyo. Dommage, surtout que la deuxième histoire n'est qu'une série de gags (encore)!
Jeux Olympschtroumpfs : 0/5
Le seul côté intéressant de cette série de gags (comme pour le tome 8 ou la fin du tome 7), c'est son titre! Parce qu'en effet, si ici on parle de jeux « olympschtroumpfs », le tome 11 s'intitulera... « Les Schtroumpfs olympiques »!! C'est carrément une référence directe à la première histoire de cet album. Sinon, les gags d'une page sont vraiment très peu drôles et c'est malheureusement la partie qui empêche cet album d'être un chef-d’œuvre.
52 gags de Schtroumpfs d'une page.
Y a-t-il quelque chose à dire? Certains font sourire, mais en général, ça vaut ce que ça vaut. Je préfère de loin les histoires longues.
Seul intérêt historique -- le Schtroumpf cuisinier est vu pour la première fois, mais il s'appelle ici le Schtroumpf cuistot!
L’histoire est assez amusante avec des schtroumpfs qui voient leur spécificité inversée. C’est souvent positif comme par exemple pour le schtroumpf grognon qui s’extasie pour tout. Mais des fois cela peut être dangereux comme pour le Schtroumpf paresseux qui se tue à la tache ou le Schtroumpf gourmand qui a perdu l'appétit. S’en suivent des péripéties pour parvenir à un retour à la normale.
Clairement pas le meilleur album de la série mais on passe un bon moment.
À partir de cet album, mes souvenirs de jeunesse sont vraiment de plus en plus flous, sauf pour un tome en particulier. Pas étonnant, la séquence génialissime des albums ne pouvait durer éternellement. Peyo semble avoir perdu sa verve.
L'apprenti Schtroumpf : 2/5
Histoire très moyenne d'un Schtroumpf qui veut devenir magicien, mais qui finit par se transformer en sorte de bête toute verte. Il faut donc aller chez Gargamel pour qu'il retrouve son allure. Bof, l'histoire est simpliste, sans grande surprise. Et pourquoi les dessins sont aussi gros!? Pourquoi sont-ils aussi brouillons??
Pièges à Schtroumpfs : 2/5
Gargamel met des pièges partout et attrape tous les Schtroumpfs... ou presque! Une histoire qui avait du potentiel, mais qui est malheureusement beaucoup trop courte!
Roméos et Schtroumpfette : 1/5
Prélude au tome 8, à partir d'ici on a droit à une série de gags d'une planche. Comme on peut se l'imaginer, c'est très moyen dans l'ensemble. Tous les gags (sauf un) mettent en scène la Schtroumpfette ou y font allusion, ce qui marque sa première apparition depuis le tome 3.
Décidément, Peyo n'arrête pas de schtroumpfer de schtroumpfs albums! C'est dans cet album que l'on nous dit pour la première fois que les Schtroumpfs sont au nombre de cent!
Le Cosmoschtroumpf : 5/5
L'une des meilleures histoires de la série, le Cosmoschtroumpf se démarque vraiment par son humour. Les Schtroumpfs, toujours enclins à aider leurs semblables, vont faire des efforts herculéens pour laisser croire au Cosmoschtroumpf qu'il est vraiment arrivé sur une nouvelle planète! Tout fonctionne, de la construction de la palissade jusqu'à la tentative de décollage, du jus de framboise jusqu'à la transformation des Schtroumpfs en Schlips, des épreuves jusqu'au retour! Il est très amusant de voir le Cosmoschtroumpf se moquer du Grand Schtroumpf sans qu'il ne puisse rien dire... Une véritable réussite. Vive les Schlips!
Le Schtroumpfeur de pluie : 4/5
Même la petite histoire est super! Un Schtroumpf va fabriquer une machine à faire la pluie et le beau temps, et elle va bien sûr se détraquer complètement, forçant ainsi nos amis à faire face à toutes sortes de changements météorologiques. Rigolo et agréable à lire.
Un classique qui reste indémodable.
Cet album a beau avoir près de 60 ans, ça se lit toujours avec plaisir.
Un album a mettre entre toutes les mains, petits et grands.
C'est dans ce tome que le Schtroumpf à lunettes prend finalement son nom, "Schtroumpf-lunettes", alors qu'il était plutôt appelé "Schtroumpf moralisateur" avant ça!
Les Schtroumpfs et le Cracoucass : 4/5
Vous croyiez que "Les Schtroumpfs noirs" était le seul récit d'horreur de l'univers des Schtroumpfs? Vous n'avez pas lu "Les Schtroumpfs et le Cracoucass"! Le début, avec la plante schtroumpfivore, quelle frayeur! En fait, je crois que Peyo aurait pu construire toute son histoire rien qu'avec ça! Finalement, on va avoir droit à un oiseau gigantesque (question de perspective) qui va tenter de supprimer nos pauvres petits bonshommes bleus à la manière d'un bon vieux film de monstre! Nos amis doivent fuir pour éviter de se faire manger! L'oiseau détruit tout et la tension est bien présente. Et le Grand Schtroumpf qui fait le toréro, j'ai toujours trouvé ça drôle. Ce que je trouve moins drôle, c'est que malgré ça, j'ai l'impression qu'on commence à infantiliser les histoires de Schtroumpfs. Les blagues récurrentes sont fréquentes chez les Schtroumpfs (le Schtroumpf bêta), mais la blague de la culotte ici, surtout rendu dans la tour, c'était la fois de trop. Ou l'éjection du Schtroumpf à lunettes par l'arbalète, ça manque de cohérence avec le reste de l'histoire. Bref, peu importe, une bonne histoire malgré tout!
Un Schtroumpf pas comme les autres : 2/5
Un Schtroumpf veut partir à l'aventure! L'idée est bonne, mais le récit est trop court, et tout de suite Gargamel vient brouiller les cartes. Hormis le sifflet magique, une histoire sans grande saveur.
Comme les histoires des Schtroumpfs sont publiées en album dans le désordre, pas nécessairement dans l'ordre qu'elles sont apparues dans le journal Spirou, ça donne parfois lieu à d'étranges astérisques. Comme de référencer une histoire pas encore vue, ou, comme ici, de nous faire croire que c'est la deuxième fois que l'on rencontre Gargamel, alors que c'est déjà la quatrième...
L'Œuf et les Schtroumpfs : 3/5
Enfant, c'était certainement l'une de mes histoires préférées. Adulte, je me rends compte de ses lacunes. D'où vient l'œuf magique? Bah! C'est une excuse pour pouvoir faire n'importe quoi avec cette histoire. Histoire certes amusante, avec les Schtroumpfs qui changent de couleur et se transforment, prennent la place du Grand Schtroumpf, etc., mais l'histoire ne tient qu'à ce seul concept. En ce qui concerne l'élevage du poussin, déjà enfant, mon petit cerveau se demandait pourquoi le Schtroumpf n'avait pas remarqué bien avant ce qui se passerait, mais bon, c'est chercher de la logique dans une histoire qui n'en a pas. Tout de même, l'histoire demeure agréable à lire et très colorée.
Le Faux Schtroumpf : 3/5
Probablement la meilleure des trois histoires de l'album pour moi, Gargamel se transforme en Schtroumpf et va essayer de tous les exterminer en se faisant passer pour l'un deux. La difficulté de Gargamel à s'adapter à la vie de Schtroumpf est une bonne idée qui enchaîne les situations cocasses. Il y a une incohérence, par contre, en ce qui concerne le langage schtroumpf quand on le compare à celui du récit dans "La Faim des Schtroumpfs" dans le tome 3, mais peu importe. Je doute que Peyo s'en souciât vraiment.
Le Centième Schtroumpf : 2/5
Histoire qui débute de manière un peu moyenne, mais j'ai toujours aimé le Schtroumpf miroir et son texte à l'envers. Lire le texte à l'envers a toujours représenté un petit défi qui m'amusait, enfant. Ça se laisse lire, mais sans plus.
Ne me lapidez pas, SVP!
La Schtroumpfette : 5/5
Cette histoire est incroyable. Peyo pousse le stéréotype du penchant féminin tellement loin que c'est à mourir de rire. Certains diront que c'est sexiste, mais franchement, même pour les années 60, Peyo savait qu'il poussait le bouchon un peu loin. Sauf que dans les années 60, les gens avaient encore un sens de l'humour.
Il faut vraiment lire cette histoire pour le croire. La Schtroumpfette, créée avec des ingrédients pour le moins... particuliers (!), sème la discorde chez les Schtroumpfs par son attitude de manipulatrice sans vergogne. Elle est à la fois Ève (remet en doute l'autorité), fifille (veut peindre le barrage en rose), bavarde, indisciplinée, prétentieuse, bonne cuisinière mais tête en l'air, coquette, pleurnicharde, contrôlante (mouche du coche), et inquiète pour son poids...
Mais ce n'est pas tout! Les Schtroumpfs se schtroumpfent bien d'elle... cheveux courts noirs mal coiffés (on va jusqu'à dire qu'elle n'est pas très jolie!) jusqu'à ce que le Grand Schtroumpf la transforme en... belle blonde aux cheveux longs! Et là tous les Schtroumpfs tombent amoureux d'elle!
Bref, si vous n'avez jamais lu la Schtroumpfette, tenez-vous bien, votre sensibilité du 21e siècle risque d'en prendre un coup! L'histoire est très bien écrite et très divertissante, pourvu que vous ne soyez pas enclins à détester tout ce qui a "mal vieilli". À la fin, on a aussi droit à un procès quand même très drôle, surtout grâce au Schtroumpf à lunettes.
La Faim des Schtroumpfs : 2/5
Petite histoire sans prétention qui clôt l'album. Les Schtroumpfs doivent quitter leur village pour échapper à la famine. Ce qui me plaît le plus dans cette histoire, ce sont les paysages enneigés, très jolis.
Enfant, c'était l'album que je lisais le moins souvent. Pas étonnant, ça traite de concepts beaucoup trop avancés pour des gamins!
Le Schtroumpfissime : 5/5
Et pourtant, cette première histoire est incroyable. Intelligente, futée, drôle... Je ne sais pas ce que Peyo avait en tête lorsqu'il a écrit ça (il faudrait que je lise l'intégrale...), mais il réalise ici un véritable coup de maître!
D'abord, Schroumpf se rend compte que pour que les autres veuillent voter pour lui, il lui suffit de leur promettre des trucs! Après un long monologue incompréhensible pour les enfants mais succulent pour les adultes écrit entièrement en schtroumpf sur l'importance de voter pour ledit candidat (...!), on passe au vote! Après quelques tentatives de tricherie (!), Schtroumpf est élu! On se moque de lui à cause de son costume, alors on devient très vite tyrannique, et en prison les dissidents! Porte-parole, gardes pour faire régner l'ordre, réunions nocturnes secrètes, palais et enceintes, village caché pour fuir la dictature, guerre schtroumpficide (!!)... suis-je vraiment en train de lire un album des Schtroumpfs!?!?
Si tous les albums Schtroumpfs avaient été du niveau du Schtroumpfissime, je doute que la série ait été considérée enfantine bien longtemps. Hélas, cette histoire est un ovni de génie dans l'univers Schtroumpf. Un classique absolu et l'une des plus grandes histoires "jeunesse" jamais écrites!
Schtroumpfonie en ut : 2/5
Histoire écrite avant le Schtroumpfissime, mais présentée après dans la chronologie des albums, cette histoire fait pâle figure à côté de la principale. Elle débute bien, avec cette symphonie et ce Schtroumpf qui n'est capable de jouer d'aucun instrument de musique, mais elle dégénère en jeu du chat et de la souris avec Gargamel, et on obtient réellement une histoire enfantine.
Justement, beaucoup d'albums des Schtroumpfs, plus tard, ne deviendront que des histoires pour les petits enfants, un peu comme cette symphonie en ut. Sans être au niveau du Schtroumpfissime, il est possible d'écrire des bonnes histoires jeunesse qui peuvent plaire aux adultes également. Heureusement, certains des albums qui s'en viennent le prouveront encore.
Comment juger une série jeunesse aussi mythique avec laquelle on a grandi? Difficile, difficile.
Les Schtroumpfs noirs : 4/5
J'ai toujours eu un faible pour cette première histoire des Schtroumpfs. Les Schtroumpfs noirs, c'est en quelque sorte ma première histoire de zombies à vie. J'ai toujours été fasciné par cette contagion qui réduit les bleus de plus en plus. Quand le Grand Schtroumpf devient noir, à la fin -- ma première rencontre avec le désespoir total. J'imaginais le sentiment du Grand Schtroumpf lorsqu'il disait : "Tout est perdu! C'est... C'est fini!". Une émotion qui me troublait déjà à l'époque et qui a toujours fait de cette histoire l'une des pierres angulaires de mon parcours de lecteur de BDs. Également, le Schtroumpf noir qui se peint en bleu pour mordre impunément, une ruse qui m'a marqué dès ma plus tendre enfance. Mais j'ai toujours trouvé l'histoire trop courte, et encore plus aujourd'hui en tant qu'adulte! C'est une histoire qui aurait mérité un album complet...
Le Schtroumpf volant : 4/5
Enfant, les deux histoires qui suivent les Schtroumpfs noirs m'ont toujours ennuyé. Je les trouvais tellement moins excitantes que la première. Adulte, je me rends compte qu'elles sont tout aussi bonnes. Le Schtroumpf volant présente l'histoire d'un Schtroumpf qui refuse d'abandonner. Toujours un peu plus haut, toujours un peu plus loin, l'histoire enseigne la persévérance... et peut-être aussi le danger de la témérité. L'humour est également très bon, avec ce nombre toujours croissant de Schtroumpfs qui demandent sans cesse à ravoir leurs objets volés.
Le Voleur de Schtroumpfs : 3/5
Première apparition de Gargamel et de son chat Azraël. Il est intéressant de découvrir le sorcier alors qu'il ne connaissait pas encore les Schtroumpfs. Ici, on découvre le travail d'équipe et l'ingéniosité. Et si l'histoire à première vue semble moins originale que les deux premières de l'album, elle demeure tout aussi divertissante.
Ultimement, un classique absolu dans l'histoire de la BD jeunesse. À noter d'ailleurs que j'aime les premiers albums car les dessins sont tout petits. Éventuellement, les Schtroumpfs dans leurs cases prendront toujours un peu plus de place, comme si on voulait que la série vise de plus en plus les tout-petits. Dommage.
Coup de théâtre dans le petit monde des Schtroumpfs, Gargamel a renoncé à les capturer après avoir appris d’un confrère que les schtroumpfs n’étaient d’aucune utilité pour un alchimiste. Malheureusement pour les schtroumpfs un savant naturaliste sans scrupule s’est mis en tête de les étudier. Un certain Jean-Louis Bouffon. Pour faire face à cette nouvelle menace, les schtroumpfs pourront compter sur l’aide inattendue de Gargamel.
Cette histoire de schtroumpfs plaira sans doute aux petits et peut-être aussi aux plus grands s’ils ont su garder leurs yeux d’enfants. Une lecture amusante et agréable, il ne faut pas s’attendre à plus. On reste loin du meilleur des Schtroumpfs même dans les albums post-Peyo.
J'aime nos lutins bleus, bon pas comme Azraël qui veut les manger, mais je les aime... au point de faire du forcing auprès de ma cousine quand dans ça boite, je puisse récupérer les promos qu'ils font autour de cette BD. J'ai même récupéré le Schtroumpf noir hier sur une brocante, il ne m'a pas mordu et il trône fièrement dans mon bureau avec d'autres figurines de BD.
Le nouveau tome est chouette. On part d'un postulat simple et déjà vu dans l'univers de la BD comme Zorglub pour Spirou pour ne citer que le plus connu. Ce n'est pas aussi efficace qu'avec Franquin et pas aussi ingénieux sans vouloir dénigrer le travail du scénariste bien entendu, mais c'est efficace et même si on se doute de la supercherie, on se laisse transporter par le récit et voir nos petits lutins avec Gargamel contre une autre menace, c'est intéressant. J'ai bien aimé par moment certains personnages, notamment ceux avec notre matou toujours aussi interrogatif sur l'attitude de son maitre. J'aime beaucoup l'introduction du récit, qui à mon sens pourrait permettre d'autres aventures pour nos héros. Le cercle des sorciers est intriguant et on comprend très vite ce qui va arriver à Gargamel. Le scénariste enfile ses idées rapidement et de manière logique. L'idée du faux grimoire est brillant, simple certes, mais brillant et c'est limite attristant de voir le monde de Gargamel s'effondrant, même si on est heureux pour notre petit peuple. Nos héros font preuve d'une grande ingéniosité comme toujours quand tout part en sucette et quand tu es enfant, tu es bluffé, bon, je suis adulte et je le suis aussi :D J'ai beaucoup aimé aussi le travail fait sur certains personnages, que ce soit le grand Schtroumpf et ses amitiés où notre Schtroupfette nationale.
Les dessins comme toujours sont de qualité, certes ce n'est pas du Peyo à 100%, mais cela ne dépaysera pas les fans, selon moi bien entendu et je trouve qu'ils sont mêmes meilleurs que les albums précédents. Bref, c'était chouette et j'ai hâte de lire leurs prochaines aventures.
Pour fêter les 50 ans de la création des Schtroumpfs, le fils de Peyo ainsi que Luc Parthoens, l'un des scénaristes attitrés de la série,, ont concocté cette aventure mêlant aventure et magie pour le plus grand plaisir des amateurs. En plus des 28 planches de cette histoire, l'album recèle un lexique paru en 1971 dans le journal Spirou sur le langage Schtroumpfs. Sachant que cet opus n'a été publié qu'en nombre limité (50 000 exemplaires), vous comprendrez qu'il est indispensable de l'avoir pour tout fan qui se respecte !
Un album qui met en avant Gargamel, c'est rare. Et pour le coup, c'est très réussi. Les dessins sont excellents. Pas doute, la série de Peyo reste un must absolu !
Une fois encore, les scénaristes se calquent sur l'actualité et ça donne ce petit bijou : on se régale. C'est drôle, c'est sacrément bien pensé et les dessins sont de qualité !
Un album dédié au courage de la Schtroumpfette, qui s'avère être un personnage plus intéressant qu'elle ne l'était au départ de la série. Une intrigue bien construite aux dialogues savoureux. A lire et relire !
Quatre histoires épatantes qui sont superbement illustrés par Peyo. Je n'ai pas de préférées dans cet album et pour une raison très simple : elles sont toutes réussies !
Un scénario astucieux qui aborde le thème du partisanisme de façon drôle et cocasse. Comme quoi, on peut faire de l'humour tout en réfléchissant sur notre société. C'est d'ailleurs là que les schtroumpfs réussissent souvent leurs meilleurs albums, ce qui est le cas ici !
52 gags sont contenus dans cet albums. Pas vraiment d'histoire mais un bon moment à passer à lire les péripéties des petits bonhommes bleus. A lire tout de même !
Un album en demi-teinte. En fait, il n'y a que la première histoire qui est intéressante, celle de l'apprenti schtroumpf, les deux autres sont anecdotiques, surtout la dernière qui n'est ni plus ni moins qu'un best-of de plusieurs gags additionnés pour faire une histoire !
J'adore cet album, les trois histoires se laissent lire d'un seul tenant. C'est drôle et les graphismes sont excellents. J'ai un faible pour le faux Schtroumpf dans lequel Gargamel essaye de s'introduire dans le village en prenant l'apparence des petits lutins bleus. C'est frais et pour tous les âges !
Une idée toute simple (le village des Schtroumpfs enseveli sous la neige) qui donne un très bel album. Retour très appréciable d'Alain Maury au dessin, vingt-et-un ans après la Menace Schtroumpf, notamment via une superbe double planche.
Le meilleur tome de la reprise, jusqu'à présent. C'est un peu plus sombre que d'habitude mais c'est très prenant.
Très beau dessin de Maury, pilier du studio et à mon humble avis le meilleur repreneur graphique jusqu'à présent (même si la reprise a depuis toujours été assez irréprochable sur ce point).
L'album le plus drôle de la série, pour moi. Trois histoires très très drôles et très marquantes alors qu'elles sont en apparence très légères. C'est un tome purement comique qui remplit parfaitement son office. Le dessin est d'une beauté et d'une clarté incontestables.
Mon tome favori avec le Schtroumpfissime et le Cosmoschtroumpf.
Beaucoup de monde sur ce dernier album signé Peyo, avec un retour à une grande aventure après plusieurs albums de petites histoires. La première équipe de la reprise (son fils Thierry co-scénariste, Alain Maury co-dessinateur et Luc Parthoens crédité ici au dessin qui passera ensuite au scénario) est déjà là, en tout cas c'est la première fois qu'elle est créditée pour un album. Celui-ci est une franche réussite. Peyo a terminé en beauté.
Une histoire un peu plus sombre qu'à l'accoutumée, avec un air d'Oliver Twist, pour une reprise toujours de qualité.
Excellent dessin de Diaz Vizoso, dans la lignée de ses prédécesseurs Maury, Borecki, De Coninck et Garray.
Faire des Schtroumpfs des géants est la grande idée de cet album qui s’inspire très légèrement du voyage de Gulliver. Les Schtroumpfs y rencontrent donc plus petits qu’eux. Un peuple qui parle comme Yoda et se nourrit de graines.
Cependant l’album souffre du même mal que les autres albums post Peyo. Il semble conçu uniquement pour les enfants.
Alambix a tout dit.
Si je le pouvais, je ferais un copier-coller de son avis, qui est le mien à 100%.
Emprunté à la bibliothèque pour mon fils de 6 ans, j'ai été très surpris de l'intelligence de cet album. Pour moi, c'est le meilleur de la série, même époque Peyo, car c'est une histoire longue alors que les albums historiques étaient le plus souvent composés d'histoires courtes, plus faciles à réaliser.
L'enfant a aimé, l'adulte aussi.
Je recommande vraiment, et je vais tacher d'acheter cet album, vraiment excellent.
Incroyable que je n'avais pas encore avisé cette série mythique pour la jeunesse. C'est beaucoup de bons souvenirs qui refont surface. J'ai suivi avec plaisir durant toute mon enfance les aventures de cette peuplade de petits lutins bleus au langage si particulier. On y retrouve tous les corps de métiers avec beaucoup de clins d'oeil. Ce petit paradis perdus à l'orée d'une forêt fait l'objet de vaines recherches de la part du méchant Gargamel affublé de son matou Azraël.
Je me rappelle d'albums indispensables comme "la Schtroumpfette", ou encore "le Cosmoschtroumpf", ainsi que le génialissime "Schtroumpfissime" qui est une bien belle caricature du monde politique et une critique sévère du régime totalitaire avec à leur tête des mégalomanes. A de nombreuses reprises, les Schtroumpfs tentent d'adopter un système correspondant à celui des humains, pour retomber sur leurs pieds avec la conclusion que leur monde est bien mieux sans. Les valeurs véhiculées sont celles du respect et de l'amitié.
Cette bd peut donc être très éducatif pour les enfants mais également très divertissant pour les adultes.
Finalement Peyo était un avangardiste !!
Il mettait déjà en scène les zombies dans les années soixante !!
Bonjour,
J'ai une édition datée de 1978 (en page 2) dont le 4ème de couverture est identique à la 2b75 et D 1972/0089/35 qui n'apparait pas dans votre liste.
Merci,
CB
Les auteurs changent complètement les personnalités des personnages pour faire du féminisme aux gros sabots.
belle histoire des schtroumpfs,pas trés compliquée et qui se lie tranquillement,album que j'ai lue en une journée et avec le talent de peyo
Excellent album.
Pour être franc, j'avais l'impression de retrouver une aventure de Johan et Pirlouit.
Il faut admettre que depuis très longtemps, les Schtroumpfs n'étaient pas revenus voir les humains. Avec cet album, ils s'inscrivent à nouveau dans la lignée des histoires de Peyo.
Le retour de Fafnir est intéressant, car il permet de redonner du neuf à cette série de rencontres entre les Schtroumpfs et les humains. La couverture induit totalement en erreur quant à elle : personnellement je pensais que ce serait une parodie du Loch Ness et en fait pas du tout. Donc j'ai été agréablement surpris.
Si l'un des auteurs de cette BD voit ce commentaire, sachez que vous ferez un heureux en continuant ce type de scénarios.
Bon courage pour la suite.
La couverture laissait envisager une histoire très enfantine, ce n'est pas le cas.
On a ici l'un des albums les plus drôle de la série et extrêmement bien mis en image par Jeroen de Coninck qui nous gratifie d'un style plus nerveux qu'à l'habitude.
L'insolence de l'enfant provoque le rire.
Petit bémol, d'avoir renoncé à l'idée originale qui été de révéler au final cet enfant en tant que Gargamel enfant (et situé l'histoire bien des années auparavant).
Un bon album dans cette reprise de qualité.
Toujours la même constance dans la qualité du dessin avec un Pascal Garray bien en place.
Un scénario intelligent qui renverse le rapport de force avec une belle morale.
Très bon tome de cette reprise qui, sans être mise en avant, est l'une des meilleures et des plus cohérentes.
Le dessin est très bon, le scénario se tient et à l'avantage de faire se dérouler l'histoire en partie dans le bourg (ce qui rattache d'autant plus les schtroumpfs à leur origine).
On en apprend un peu plus sur l' "enfance" de Gargamel qui semble justifier en partie sa méchanceté.
Une BD jeunesse qui remplit tout à fait sa fonction !
Un indispensable dans la collection des schtroumpfs et un album qui s'inscrit parmi les meilleurs dans la reprise de cette série.
Cet album fait partie des très bons albums sociétaux de la série avec une critique très fine du tourisme de masse, et du syndrome du burn-out.
Une double lecture qui permet de découvrir cet album enfant et de le redécouvrir adulte, comme Le schtroumpfissime l'était lui-aussi.
Et encore une fois un dessin impeccable du regretté Pascal Garray qui nous signe là certaines des plus belle cases de cette série.
Un très bon moment de lecture.
Les auteurs s'effacent derrière les personnages pour une série qui s'inscrit dans la continuité et qui, sans barnum commercial à chaque sortie, s'inscrit comme l'une des meilleures reprises.
Acheté l'album Samedi, lu hier, et beaucoup apprécié.
Le dessin est impeccable, du beau boulot encore une fois de Pascal Garray, qui signe là malheureusement sa dernière réalisation ... J'ai beaucoup apprécié son travail sur la série.
De très belles cases parfois dont une grande où Gargamel se fait attaquer par les schtroumpfs, très simple, mais parfaitement réalisé au niveau proportions et effet de contraste.
Le scénario s'inscrit dans les albums "sociétaux" de la série avec une mise en abime du syndrome de la malbouffe, à la sauce (blanche ?) schtroumpf.
De beaux clins d’œil aux "baraques à frites", hamburgers, pita ou pizza. Une double lecture comme l'aurait apprécié Peyo, et un message qui peut facilement être compris par les enfants, 1er public de cet album.
Une fin où on retrouve encore une fois Gargamel (pas vraiment de spoiler, vu qu'il apparait sur quasiment TOUS les albums de la série), mais sa présence se justifie et donne lieu à des moments plutôt drôles.
Peu de vrais gags sur cet album, on ne rit pas à gorges déployées, mais on lit une histoire, simple mais claire et très bien mise en scène.
Petit bémol sur la qualité du papier. Je déteste ce papier brillant qui donne, pour moi, un aspect très commercial. Je préfère de loin la collection Hachette qui donne une autre vision à ces nouveaux albums.
C'est certainement une des BD les plus connues qui existent. Je l'ai lue des dizaines de fois, la dernière était il y a vingt ans à peu près. Je viens de l'ouvrir à nouveau et de la savourer, une demi-heure de délectation. J'ai retrouvé exactement le même plaisir qu'autrefois, me rappelant de presque tous les dialogues et situations.
Et en plus, cela parle (bien) de politique !
Cinq histoires courtes réunies dans cet album. Au programme, un vieillissement, un train, un dragon, des pompiers et une taupe. C'est plaisant et drôle.
Profitant de l'absence du Grand-Schtroumpf, les Schtroumpfs demandent au Schtroumpf-Bricoleur de leur fabriquer des automates pour les délester de leurs corvées. Cette album parle des méfaits de la mécanisation. Le public visé est jeune mais l'album est plaisant.
Aidé d'un livre qui sait tout, le Schtroumpf à lunettes s'emballe et prend la grosse tête. Une histoire plaisante de l'ère post-Peyo.
Qu'est-ce qui fait une bonne bande-dessinée ? Un bon dessin et un bon scénario. C'est tout simple.
Ici, le dessin est très bon, bien meilleurs que sur les albums précédents. Rien à redire sur les personnages et les décors, seul Gargamel est, pour moi, raté.
Les décors n'ont rien d'exceptionnels (hormis une superbe maison du schtroumpf financier à la fin), mais l'ensemble est très plaisant à regarder.
Côté scénario, on a ENFIN une vraie longue histoire après plusieurs albums d'histoires courtes. Peyo renoue avec les albums à thème, ici le thème de l'argent qui offre une double lecture que les enfants ne peuvent pas comprendre (comme par exemple la place dans la société de la "femme au foyer"). Le scénario est très bien construit et on sent monter la tension petit à petit.
Il s'agit ici du dernier album "PAR" Peyo (même s'il l'a surtout supervisé) et on sent que l'auteur avait retrouvé l'amour du métier, après des années à se perdre dans le merchandising et les produits dérivés.
Un très bon moment !
Un des derniers albums de (ou au moins en partie) Peyo.
Et honnêtement, on passe un très bon moment à la lecture de cet album.
Le dessin est de très bonne qualité, les formes rondes comme jamais. Dans l'ensemble, je trouve les graphismes bien meilleurs que ceux du "bébé Schtroumpf" précédent.
On a d'ailleurs droit à de très belles cases, notamment celle du château du Père Temps.
Côté scénario, il se lit très bien, l'enchainement est bien vu et réserve quelques blagues très drôles ("Schtroumpf paresseux tu dors !" "Mais je ne suis pas le schtroumpf paresseux !"). L'idée en elle-même (le choc des générations) est bien amenée et bien traitée.
Franchement un album sur lequel je ne trouve aucun défaut.
Un classique de cette série !
Le dessin est au top, bien rond et esthétiquement très agréable à suivre.
L'histoire-titre est convenue, certes, mais se laisse lire très bien.
Par contre, celle-ci aurait peut-être méritée un traitement plus long (sur l'album en entier pourquoi pas) avec un enchainement des péripéties plus travaillées.
Mais un album qui renvoie de suite en enfance !
@kingtoof
J'irais même plus loin en disant qu'en dehors de la morale, on renoue avec les fondements de l'univers des Schtroumpfs via la retrouvaille avec le baron du tome 2 et la référence à Schtroumpf les Bains. On en apprend un peu plus d'ailleurs sur l'environnement qui entoure les lutins bleus avec le passage sur la bibliothèque et dans laquelle on peut voir des livres écrits tant en français qu'en anglais et allemand.
Mais ça, ce sont de petites anecdotes. À chaque nouvelle parution d'album, je me pose toujours la question de savoir quelle morale les continuateurs de la série vont exploiter. L'idée d'une rencontre amoureuse de Gargamel était déjà originale et redonnait un peu de piment à la série ; avec Schtroumpf le Héros, on poursuit ce redynamisme avec le constat que l'arruivée d'un événement, aussi minime soit-il, peut entraîner de grandes conséquences. C'est important car on comprend que chaque action ne sert pas à rien, comme ils le disent justement à la fin de la BD, mais cette fois pour parler de l'utilité qu'a eue cette expédition.
On notera aussi le petit clin d'oeil du scénariste avec la phrase "Aucune chauve-souris n'a été maltraitée au cours de cet épisode", ainsi que la référence au mythe de la légende, représentée à travers le brouillard qui pendant un temps fait passer le schtroumpf qui a déclenché l'éboulement avec son bâton pour le schtroumpf héros.
Bref, un bon album pour ma part, que je recommande plus particulièrement aux amateurs des petits clins d’œil ou détails vis-à-vis de l'univers des Schtroumpfs.