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C’est après avoir revu le film "Wolverine : Le Combat de l'immortel", réalisé par James Mangold et sorti en 2013, que je me suis replongé dans les deux comics qui l’ont inspiré. Le film est surtout inspiré de la première aventure en solo de Wolverine au Japon par Chris Claremont et Frank Miller en 1982 (rééditée récemment avec une très jolie couverture de Mathieu Lauffray à l’occasion des 20 ans de Panini Comics). Mais les quelques scènes se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale paraissent inspirées de cet album (Logan 2008, #1-3).
Ainsi, Wolverine est prisonnier de guerre, s’échappe bien évidemment, s’entiche brièvement d’une japonaise peu farouche, se dispute avec son compagnon d’infortune aux étranges pouvoirs et les deux en viennent rapidement à s’affronter sous le soleil ardent d’Hiroshima…
Le scénario de Brian K. Vaughan est basique même si l’on sent une petite volonté de faire plus intelligent que les aventures ordinaires du mutant (il faut bien mériter un minimum la collection Marvel Graphic Novels). De toutes façons, sur trois épisodes pour un total d’une grosse soixantaine de pages – dont près d’un tiers passé à se battre –, il n’y avait guère la place pour développer l’intrigue ou la personnalité de Wolverine. Ça se lit en dix minutes, quinze si l’on s’attarde un peu sur le dessin si particulier d’Eduardo Risso, et c’est très moyen.