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    Erik67 Le 13/11/2020 à 12:55:46

    Au début de ma lecture, j'étais assez circonspect. La narration commence invariablement par la phrase "je me souviens", un peu comme la devise du Québec. Cependant, on est plutôt loin de la belle province puisqu'il s'agit d'évoquer les souvenirs d'une vie de famille dans un Beyrouth en guerre. Il faut dire que les libanais ont beaucoup souffert de ce long conflit interminable dans les années 80. Ce beau pays a été complètement détruit sous les bombardements.

    Le dessin est en noir et blanc avec des traits assez gras. Ce n'est pas très beau esthétiquement. Cela rappelle un peu le Persepolis de Marjane Satrapi.

    Cependant, je n'en tiendrais pas compte dans ma notation car j'ai été emporté le propos qui peut susciter une certaine compassion. C'est clair que de souvenir de ça et de cela peut conférer à un ennui mortel dans la répétitivité. Mais comme dit, c'est presque poétique. Cela reste émouvant quad on sait que la famille de l'auteur est restée au pays et qu'un nouveau conflit a démarré en 2006. Pauvre Liban !