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Cette série n'a pas eu la popularité que ses grandes qualités auraient dû lui garantir. Ce premier tome semble touché par un état de grâce: d'un côté un scénario fabuleusement bien troussé, avec des dialogues qui frappent par leur justesse, et de l'autre des dessins de grande classe.
Stanislas est un merveilleux dessinateur dont les talents d'évocation ne cesse de surprendre au fil des planches.
Nom d'une pipe en bois, quel bel album!!!
Quelque part entre "Les espions" de Clouzot et "Mon Oncle" de Tati, Victor Levallois, quelque part entre "Tintin" d’Hergé et "Théodore Poussin" de Le Gall, reprend du service commandé, quelque part entre les beaux quartiers et la banlieue rouge. Prolo non syndiqué et "taupe" d’une bande de drôles de cocos à la solde des Soviets. Des Viets aux Soviets, il n’y avait qu’un pas(sager). Clandestin du Casamance en l'occurence.
2 cv et 4 cv. Tractions et espions. Képis, calots, casquettes et bérets pour une histoire qui part sur les chapeaux de roues d’une Citroën et se finit sur un train (d’atterrissage).
"P’tit salopiot d’collabo ! Odure ! Crouiic ! P’tit con ! Fumier ! Espèce se salaud !..." Et dire que c’était les 30 glorieuses… Victor qui rencontre Piotr sur sa planche à dessin (comme Tintin rencontrera Szut sur son radeau). Le Jeune Albert qui rencontre Victor. Une histoire ou l’on se contre et se rencontre. Ou l’on se trouve et se retrouve. Soi-même. Quelque part entre son âme et sa conscience, juste là ou il faut.
"Le manchot de la butte rouge", une histoire sociale, une histoire de sécurité (du territoire). Devrait être remboursé par la sécurité sociale.
Un album qui donne envie de tomber amoureux d’une pute d’un bordel de Cao Bang ça n’a pas de prix. Sans en avoir l’air, Victor Levallois, second couteau de troisième zone, nous raconte la fin de l’Indochine comme personne. (Je suppose, j’y étais pas)
Des coupes (de champagne), des coupes-coupes, des clopes, des cliques et des claques, ce deuxième tome faisait suite au premier (tome) et précédait le troisième (tome). Dire qu’il y aura un quatrième (tome), mais pas de cinquième (tome) et encore moins de sixième (tome) et encore encore moins de septième (tome)... C'est toujours ça de gagné pour l'étagère Ikea du salon, mais toujours ça de perdu pour nos longues soirée d'hiver.
Inventeur de la ligne claire gribouillée, du phylactère rentré et de l’onomatopée sonore, Stanislas (et Rullier) devait envoyer leur (anti) héros sur le mur (de Berlin), sur un tournage de péplum (à Cinecita), dans le Swinging London…Ne retournons pas le couteau dans la plaie(santerie). Pour une fois la plus courte n'était pas la meilleure. A propos de plaisanterie, j'arrête de donner mon (humble) avis, car quand ça par en thèse, il faut savoir (s’) arrêter.
un bon scenario et un bon dessin
que demander de plus ?