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Un nouvel opus des quatre de Baker Street, cela ne se refuse pas puisque les auteurs de cette série ont su, depuis quelques années, allier qualité graphique et scénario prenant/bien écrit par rapport aux "petites mains" au service de Sherlock Holmes.
De l'aveu d'Etien lui-même, cet album aura été exigeant et retors en raison de la mise en page (toujours excellente !) et des nombreuses scènes d'action/violence. Il est vrai que si la tenue graphique est toujours impressionnante de qualité, il faut souligner le fait que l'histoire reprend certains éléments de l'album précédent mais avec Tom au cœur de l'intrigue.
Le plaisir de lecture est toujours intacte, mais au demeurant, je pense qu'il est temps de conclure. Au vu de la fin de cet opus, les auteurs se dirigent visiblement dans cette direction.
Bon, on ne va pas se leurrer: Quand on en est là, à attendre la sortie du tome 10, c'est qu'on est un fan de la série et rien ne vous fera changer d'avis!
Pourtant, même si les dessins sont toujours aussi profonds et le scénario bien ficelé, il m'a manqué ce petit supplément d'âme qui faisait jusqu'à présent le côté exceptionnel de la série. Peut-être parce que trop de violence? Peut-être parce que, même si l'histoire est différente, il reprend les mêmes ressorts que l'album précédent. Ou peut-être est-ce tout simplement moi qui me lasse?...
Lecture agréable, mais pas les yeux qui brillent comme pour les albums précédents. Au point que je me suis dit que c'était peut-être la fin de la série, surtout vu l'épilogue! Et puis ça se termine par un "Fin de l'épisode", donc j'en déduis que ça va continuer.
Je feuilletterai consciencieusement le prochain opus chez mon libraire avant de décider. Je ne l'achèterai pas les yeux fermés comme tous les précédents!
LES QUATRE DE BAKER STREET se retrouvent une fois de plus dans le pétrin, depuis que Tom se soit fait piéger en acceptant un marché de dupes d'un vieil ennemi pour qui il doit dérober la célèbre lettre "From Hell" rédigée par Jack l'Eventreur. Sauf que pour cela, nos héros vont devoir cambrioler ... Scotland Yard, sans se faire démasquer par Holmes !
Encore un excellent épisode de cette série décidément bluffante. Une fois de plus, nos jeunes héros unis par les valeurs de l'amitié et de la solidarité vont devoir faire face à la violence, la cruauté, la bassesse et la haine de leurs adversaires, dans un environnement où la misère et la crasse se taillent la part du lion. Mais comme si cela ne leur suffisait pas, les voici cette fois-ci opposés (du moins non alliés) à leur mentor Sherlock Holmes !
Comme d'hab' le scénario est brillamment ficelé, entre des personnages bien brossés, des dialogues aux petits oignons, de la tension et de l'action bien rythmée; et le dessin est remarquable. Brillant !
LES QUATRE DE BAKER STREET enquêtent pour savoir qui a agressé Polly Perkins, une chanteuse de cabaret avec qui ils sont amis depuis peu. Une enquête dangereuse au coeur de l'East End, l'un des quartiers les plus mal famés de Londres.
Comme d'hab', le dessin joliment dynamique et le scénario très prenant (avec quelques scènes d'une violence assez crue) font passer un très bon moment de lecture. Cette série est excellente depuis le premier tome et n'a jamais faibli au fur et à mesure de la parution des albums. C'est assez rare pour le souligner.
Ce qui pourrait apparaître comme une variante jeunesse de Sherlock trouve pourtant une pertinence qui densifie tout au long de ce premier volume les caractères de ces trois moussaillons des rues, tous trois dotés d’un caractère bien trempé et lancés à la rescousse de la jeune chérie de l’un d’eux, enlevée par un réseau de proxénétisme. Si l’intrigue est sommes toutes classique, c’est la percussion du rythme et des cadrages qui impressionne, appuyés sur les dessins magnifiquement colorisés par Etien (bien avant sa participation à Avant la Quête) mais pas que… Utilisant leurs talents d’acrobates et l’innocence de la jeunesse dans les yeux des badauds du XIX° siècle, les quatre (… on imagine que dernier larron est le chat!) lancent leur enquête à un rythme effréné, n’hésitant pas à aller affronter le roi des mendiants et autres coupe-jarret, permettant de belles acrobaties et contre-plongées vertigineuses. Cette originalité de cadrage et le chatoiement colorimétrique permet une grosse immersion dans ce décors que l’on aime tant, le Londres victorien, sale, foisonnant de pègre, prostituées et d’une population de la plèbe aux grands bourgeois, les auteurs aimant à habiller les décors de mille et un détails. Au final on sort tout à fait enjoué de cette introduction avec un format qui promet des stand-alone qui autorisent une découverte au choix.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/09/12/bd-en-vrac-21-teleportation-inc-2/
Un bon album où plusieurs affaires se croisent.
C'est une belle réussite, une série vraiment très sympa.
Cette série décidemment se maintient à un très bon niveau, des dessins dynamiques et agréables, une belle ambiance 'Londres 1880" , des personnages bien typés, du suspense et des scénarios bien ficelés. Que demander de plus !
Bravo aux auteurs et merci
Un scenario un peu compliqué ,une fin prévisible et peu de recul dans l'aide que les héros apportent aux agents de la révolution ,qui amènera des millions de mort et une dictature (du prolétariat) des plus féroces (avec le nazisme) du XX siecle.
Dommage de politisé cette série somme toute sympathique.
A nouveau un très bon album de cette série. Les dessins sont précis, ils rendent bien l'atmosphère de ces bas fonds. Ils servent parfaitement le scénario, à moins que ce ne soit l'inverse tellement les deux fonctionnent en symbiose parfaite!
Définitivement, les Quatre de Baker Street s'émancipent de Sherlock Holmes qui ne sert que de prétexte à l'énigme.
Deux (très) légères déceptions cependant : 1)J'ai trouvé les personnages moins profonds (sauf le chat!) que lors des précédents opus et, même s'ils évoluent, c'est moins visible que dans les précédents albums. 2)La fin me semble un peu bâclée, l'épilogue, tout comme le retour de Sherlock Holmes, arrive soudainement comme un cheveu sur la soupe.
Mais quel régal à nouveau cet album!!!!
Billy, Charlie et Black Tom, fidèles assistants de Sherlock Holmes sont embarqués dans une série d’aventures toutes plus rocambolesques les unes que les autres. C’est une manière originale de revisiter l’œuvre de Conan Doyle et de le mettre à la portée des jeunes lecteurs. D’assistants à enquêteurs livrés à eux-mêmes, il n’y a qu’un pas qu’ils franchissent à chaque fois que l’occasion se présente… Ce Club des Cinq façon Sherlock Holmes sillonne Londres et ses bas-fonds, côtoyant mendiants et escrocs et mène ses enquêtes tambours battants. C’est sympa, bien écrit, rythmé et le dessin d’Etien est superbe avec une colorisation magnifique. Il apporte énormément à la série dont le scénario reste classique. Au fil des albums, la mécanique bien huilée des enquêtes nous fait vivre différentes aventures tout en faisant évoluer ses jeunes enquêteurs qui grandissent. La neuvième aventure de nos jeunes héros nous plonge une nouvelle fois dans l’ambiance londonienne. Quand on est un inconditionnel de Sherlock Holmes, on attend avec impatience chaque nouvel album. Une de fois de plus, c’est un bon moment de lecture !
Le dernier album des quatre de Baker Street est sorti et comme on pouvait s'y attendre: la qualité est (toujours) au rendez-vous !
Les dessins et couleurs de David Etien sont toujours au top et rendent très bien l'atmosphère poisseuse et brumeuse des quartiers de White Chapel du XIXe siècle.
Le scénario est dans la continuité des précédents, à savoir de très bonne facture, avec des personnages qui continuent d'évoluer.
Le découpage est au service d'une histoire riche en action, suspense, rebondissements et émotion.
Un très bon album pour une série qui ne m'a pas déçu une seule fois. Vivement la suite !
Un très bon 2ème tome, avec un scénario subtile et complexe, mais qui peut compliquer la compréhension de l'histoire pour les plus jeune.
Un bon moment de lecture.
Billy, Charlie et Black Tom sont des gamins des rues inséparables dans le Londres des années 1889 en pleine époque victorienne. Ils ont dans leurs relations un certain Sherlock Holmes pour lequel ils font parfois des missions d'espionnage. Je ne sais pas pourquoi le titre de la série fait référence aux quatre de Baker Street quand on n'en compte que trois. Peut-être que leur chat est compté avec ?!
On ne verra d'ailleurs que Scherlock Holmes et son fidèle Dr Watson qu'à la toute fin de l'aventure comme un épilogue.
Le dessin précis et la colorisation flamboyante sont réellement au top. Je tire d'ailleurs un vrai coup de chapeau au jeune dessinateur encore dans la vingtaine qui a un réel talent. Les vues sur ce Londres victorien sont tout simplement splendides.
Cependant, il est dommage que le scénario soit si léger et si naïf. La série s'adresse t'elle alors à un public plus jeune alors qu'il est question de maison closes et de prostituées dans un milieu plutôt sordide ? Je ne sais pas...
Régis Loisel signe la préface comme un gage de bonne garantie. Il est vrai que la mise en scène est dynamique et que le cadrage est effectué à bon escient. C'est un véritable plaisir de lecture. C'est classique mais on retiendra surtout un visuel hors norme.
Les points positifs : de beaux décors, un dessin apuré et dynamique, un album truffé d'actions, tout bouge. Ce côté mouvant est pour moi une réussite absolue. On trouvera également une panoplie vestimentaire très originale, très étoffée et très conforme avec l'époque, les carreaux sur les bérets apportent beaucoup de fraîcheur. Le scénario également est très en corrélation avec la période victorienne. On trouvera de suite un indice de la prostitution dès la première planche. C'est très réussi. J'y ai retrouvé la même cruauté du monde adulte envers le monde des enfants que dans le magnifique film "Oliver Twist" pour moi Chef-d'oeuvre de Roman Polansky, avec l'extraordiaire Ben Kingsley dans le rôle de Fagen et on retrouve également les passerelles entre les immeubles à la page 7. Les visages sont cruels, taillés au couteau, des tronches mauvaises avec des favoris très en phase, des moustaches aussi : un véritable exercice de style. Les jeunes sont intrépides, ils s'en prennent "plein la gueule" mais sauvent la situation et Abraham Lincoln meurt à la fin. C'est un bon album. A ne pas mettre entre toutes les mains.
Les points négatifs : quasiment toutes les bulles sont carrés, ça manque un peu d'esthétisme, les deux premières planches en sont démunies et les suivantes sont un peu touffues au niveau des dialogues, on s'y perd un peu au début. Je trouve que les dessins manquent un peu de traits, je ne sais pas comment le dire autrement, l'ensemble manque de lumière. Même si ça se passe dans des tavernes ou des endroits glauques, il y a trop d'orange à partir de la page 15 jusqu'à la page 34. Le scénario est un peu simplet.
L'ensemble m'a plu, ça c'est lu trop vite. Très belle bande-dessinée.
Un bon album jeunesse.
Des dessins excellents.
Une bonne ambiance holmésienne même si cela reste très policé.
Je vais continuer cette série avec plaisir pour mes enfants.
Avant de partir pour la France afin d'y résoudre une affaire, Sherlock Holmes charge LES QUATRE DE BAKER STREET de surveiller les docks de Limehouse pendant son absence, où un caïd de la pègre locale a été retrouvé mystérieusement assassiné ces derniers jours. Nos jeunes héros vont ainsi se retrouver mêlés à une guerre des gangs sur fond de trafic d'opium entre des truands britanniques et des triades chinoises et se retrouver, une fois de plus, coincés entre le marteau et l'enclume ...
Je pensais que la série s'était achevée à la fin de l'opus précédent; content de voir que ce n'est pas le cas ! "Les quatre" sont de retour dans une affaire des plus périlleuses, d'autant que cette fois-ci Holmes ne sera pas là pour les protéger. L'esprit général de la série est toujours là, ses qualités aussi (scénario haletant et dessin remarquable), mais - chose intéressante - nos héros évoluent et leurs préoccupations commencent à changer petit à petit : Billy tombe amoureux, Charly a des aspirations plus féminines ... La série évolue lentement mais sûrement. Hâte de voir où tout cela va nous mener !
Une fois de plus, je suis tombé sous le charme de cette série. Le graphisme de David Etien s’enrichit à chaque album. Ce dessinateur va devenir incontournable s’il sait bien choisir ses séries. J’attends avec une certaine impatience sa prestation dans le prochain « Quête de l’oiseau du temps » en 2020.
Les personnages deviennent de plus en plus attachants. Mais ils grandissent et chacun d'eux cherche sa voie. Comme Charlie qui aimerait redevenir Charlotte. Billy va tomber amoureux d’une jeune chinoise revancharde et le destin les séparera bouleversant notre jeune ado. Pourtant, cela va rapprocher un peu plus Tom de Billy, lui qui avait dans un album précédent subit les contre-coups d’un premier amour.
Le scénario va nous emmener, dans le quartier Chinois de Londres, sur une affaire liée à l’Opium. Le successeur de Bloody Percy va succomber d’une fléchette empoisonnée et réveiller les susceptibilités, les envies et les méfiances. Sherlock appelé pour une histoire criminelle en France ne sera pas de la partie pour aider les francs-tireurs.
L’histoire est captivante à souhait prolongeant l’excellence des Quatre de Baker Street.
Nos francs-tireurs ont encore pris une année et nous n’avons plus affaire à des enfants mais à des pré-ados. La « petite vérole » de Scabs, ennemi juré de Billy, Tom et Charlie va être à l’origine de la sortie de l’ombre de Sherlock et de la fin du Colonel. En effet, une de ses fouines, un jeune garçon, va suivre nos jeunes amis et découvrir le lieu où s’est retiré Sherlock Holmes. Tout va alors s’enchainer, jusqu’à la perte de Moran. On sent que nos francs-tireurs ont grandi, c’est d’ailleurs peut-être pour cela qu’à la fin de l’histoire ils vont recruter de plus jeunes qu’eux. Encore un bel album, un ton en dessous du précédent, où le dessin de David Etien fait des merveilles.
Une histoire sombre autour d’une sombre histoire. Le décès de la femme de Watson, les retrouvailles de Tom avec sa cousine Kitty puis sa mort, des policiers qui se positionnent et parfois maladroitement, un Sherlock obstiné par le démantèlement de la succession de Moriarty, des francs-tireurs en ligne de mire… Un cocktail explosif nous est servi dans ce sixième album de haute voltige avec un graphisme proche de la perfection. Du grand art !
Sherlock Holmes n’est pas mort dans la chute du Reichenbach et revient à Londres à l’insu de tous. Moriarty, lui, n’a pas survécu à la chute mais ses comparses rêves de prendre sa succession. C’est ainsi qu’ils vont mettre en œuvre un plan prévu par Moriarty… l’enlèvement d’un enfant de l’une des plus grosses fortunes de Londres.
Certes, l’album est une fois de plus très bon, mais je n’ai pas retrouvé le registre dramatique des deux précédents. On ne peut pas être excellent à chaque tome, mais la succession Moriarty reste une très bonne histoire.
La nouvelle vient de tomber, Sherlock Holmes est mort en Suisse lors d’une rixe avec le professeur Moriarty. Du coup la bande des francs-tireurs de Baker Street vole en mille morceaux. Tom rejoint ses cousins de Kilburn et va retomber dans la rapine. Charlie erre comme une âme en peine. La faim lui fait commettre l’irréparable, elle vole une tourte et se fait arrêter. Elle se retrouve dans une maison de redressement pour jeunes filles. Quant à Billy il a du mal à accepter la mort de Holmes. Une autre nouvelle tombe, Bloody Percy, l’ignoble dandy du précèdent album s’est échappé de prison et n’a qu’une obsession, la vengeance.
Un scénario béton pour une histoire fusant à mille à l’heure. Encore un album de premier ordre où le dessin mêlé à l’histoire nous offre de nombreuses émotions. Chaque album dévoile un peu plus un bout du miroir de la vie des gens de basse extraction. Ici, une famille irlandaise qui survit en faisant de ses enfants des voleurs et là un institut pour jeunes filles d’ordre religieux qui ne connait pourtant pas la pitié.
Une succession grandiose d’albums, bien au-delà d’une série pour la jeunesse comme j’avais pu le penser lors de la lecture du premier tome. L’aventure des quatre de Baker Street prend de l’ampleur dans l’émotion et dans le graphisme vraiment magnifique.
Une très belle histoire où l’amour d’un jeune aristocrate pour une chanteuse de cabaret prend le dessus sur la fortune familiale. Le jeune homme est soupçonné par ses proches de dilapider cette fortune dans des lieux de débauche. Mais lui n’a d’yeux que pour la belle chanteuse et fera tout avec l’aide de nos petits héros (par l’âge mais pas par le courage) pour tirer celle-ci et son père des mains de la bande de Harry Sykes et de son dandy de bras droit, l’ignoble Percy.
L’histoire d’amour est belle mais la réalité Londonienne de l’époque Victorienne est toute autre. Elle est ici bien mise en exergue avec des personnages plus odieux les uns que les autres et l’internement du jeune aristocrate Neville, dans un asile de fous, par sa propre famille. Heureusement que Billy, Tom, Charlie et le docteur Watson viendront à son secours.
Cette fin de troisième tome réserve plusieurs surprises qui laisse augurer de futures histoires palpitantes. L’ombre du professeur Moriarty plane déjà sur Londres.
L’élégance des dessins de cet album donne de la puissance à l’histoire et la représentation de prédateur du dandy Percy est saisissante.
Pour cette deuxième aventure, nos héros vont être confrontés à la fois à l’okhrana, la police tsariste, et à une sorte de doublure de Jack l’éventreur.
Le cœur de l’enquête se situe dans le milieu des socialistes russes réfugiés au Royaume Uni. Billy, Tom et Charlotte vont assez rapidement démasquer un traître à la cause socialiste russe responsable de l’arrestation de Victor soupçonné d’être le fameux Jack l’éventreur. Ils viendront au secours d’Ivanovna, la compagne de Victor, venue demander le l’aide à Holmes. Mais, celui-ci a été manipulé par l’okhrana et envoyé sur une affaire bidon en Autriche.
Une nouvelle fois, pas le temps de s’ennuyer dans les aventures des quatre de Baker Street. Le scénario nous mène de surprises en surprises avec un dessin toujours aussi plaisant.
Cette BD pour la jeunesse est un vrai régal. A Londres, en pleine époque Victorienne, Black Tom vole au secours de la jeune fille dont il est tombé amoureux. Celle-ci a été enlevée pour le compte d’une tenancière de maison close. Bien évidemment nos trois jeunes héros se lancent à la poursuite des malfaisants en suivant les préceptes du célèbre Sherlock Holmes.
Pas de répit et pas le temps de s’ennuyer avec cette histoire qui va à cent à l’heure. L’époque, très dure, est édulcorée de ses côtés les plus terribles mais il ne faut pas oublier que cette série s’adresse d’abord aux plus jeunes.
Concernant le dessin, il est certain que David Etien n’est pas encore au sommet de son art. Mais, en voyant le travail effectué sur le tome 9 de la quête de l’oiseau du temps, il est évident que le niveau va s’élever avec les albums suivants.
Ayant éliminé un à un tous les anciens lieutenants du professeur Moriarty, il ne reste plus à Sherlock Holmes qu'à se débarrasser du dangereux colonel Moran, l'ancien bras droit du défunt professeur. Mais la mise hors d'état de nuire de ce tireur d'élite hors pair et chasseur impitoyable va s'avérer éminemment compliquée. Et bien sûr, ce sont LES QUATRE DE BAKER STREET qui risquent d'attraper les balles perdues de la partie de chasse qui se joue entre Holmes et Moran ...
Encore une franche réussite, avec un album remarquable, dans la lignée des précédents opus : scénario bien élaboré, suspense bien dosé, personnages secondaires réussis et dessins magistraux. Un régal.
Les anciens lieutenants de feu Moriarty cherchent à remonter la piste de Sherlock Holmes, caché quelque part dans Londres. Et c'est en s'attaquant à ses francs-tireurs qu'ils espèrent mettre la main sur le célèbre détective, et l'éliminer définitivement. Voilà donc LES QUATRE DE BAKER STREET traqués comme un gibier aux abois, et plus en danger que jamais !
Le dessin est toujours aussi irréprochable et le scénario est une nouvelle fois parfaitement imaginé, complexe juste ce qu'il faut, avec son lot de suspense, d'action, de personnages bien imaginés, de répliques percutantes, d'humour et d’événements tragiques. En bref, un très bon album, et une série qui se maintient toujours à un très bon niveau de qualité.
Le meilleur des 5 premiers tomes.
La dérive de la série vers "une aventure de Sherlock Holmes" rend l'intrigue encore plus palpitante. Le dessin et la colorisation sont toujours aussi magnifiques !
Toujours au top !
Une série au dessin toujours irréprochable, et aux scénarios simples mais efficaces. Ce tome 4 est aussi bon que le précédent et meilleur encore que les 2 premiers. Excellent.
Je trouve ce livre (et cette série) super et je le conseille à tout le monde. C'est une aventure imaginative. Ce livre est bien dessiné. A lire absolument et à mettre dans vos coups de cœur. Ce livre est indispensable.
Alors que tous les journaux du pays l'annonçaient mort suite à son duel avec Moriarty, Sherlock Holmes réapparaît à Londres sous une fausse identité. Il renoue aussitôt contact avec LES QUATRE DE BAKER STREET en leur demandant d'espionner pour son compte les plus proches lieutenants de feu Moriarty, impliqués dans le rapt d'un nourrisson issu d'une richissime famille londonienne. Enlèvement qui, après paiement de la rançon exorbitante, doit permettre aux criminels de financer de nouveau leur diabolique organisation, ce dont Holmes veut bien entendu éviter à tout prix.
Un bon scénario et un dessin et une colorisation impeccables font de ce cinquième volume de la série une vraie réussite, même si la présence de Holmes, davantage marquée que dans les précédents épisodes, tend à reléguer quelque peu "les quatre" au second plan.
Cette belle série s'étoffe un peu plus avec ce nouvel épisode.
La qualité graphique est toujours au rendez vous et le scénario (sans être génial) reste classique mais efficace.
L'omnipresence de Sherlock Holmes est une première dans cette série, elle nous offre d'ailleurs une scène intéressante avec le Dr Watson qui fait suite au grand Hiatus.
Un très bon moment comme d'habitude.
Excellent épisode !
Les personnalités des "quatre" s'affirment de plus en plus. La reconstitution de l'époque à travers le dessin d'Etien est réussie. Watson est irrésistible...
Opus très instructif et toujours très plaisant visuellement, qui comblera les fans de la série et d'histoire.
Dans ce quatrième volet, LES QUATRE DE BAKER STREET sont plus mal en point que jamais : leur mentor Sherlock Holmes est annoncé mort dans tous les journaux du pays et le petit groupe de nos héros explose en plein vol suite à une malencontreuse dispute : voilà donc Charlie, Tom et Billy (et le chat Watson ...) livrés à eux-mêmes, plus seuls et vulnérables que jamais. Pour couronner le tout, leur pire ennemi vient de s'évader de prison et est bien décidé à leur faire la peau.
Un très bon quatrième tome, bien plus dur que les précédents : entre scènes de racisme ouvertement déclarées envers les Irlandais, pensions de redressement pour enfants et tentatives de meurtres sur enfants, l'ambiance fait parfois froid dans le dos. Heureusement, de nombreux passages humoristiques, bien dans le style de la série, détendent un peu l'atmosphère.
Pour moi, le meilleur album de la série à ce jour.
Très bon troisième opus de la série LES QUATRE DE BAKER STREET : une intrigue de nouveau bien menée et des nouveaux méchants d'envergure qui vont donner pas mal de fil à retordre à nos trois héros. Cerise sur la gâteau, contrairement aux deux premiers épisodes, dans ce troisième volet Holmes joue un rôle primordial (même s'il apparaît très peu au fil des cases) et cela est particulièrement réjouissant. De même que l'apparition de Moriarty en fin d'album est un grand moment.
Grâce à se qualités graphiques et scénaristiques, LES QUATRE DE BAKER STREET séduira facilement les amateurs de BD et du héros de Sir Conan Doyle.
Un second tome encore meilleur que le premier. Cette fois-ci, Billy, Charlie et Tom se retrouvent mêlés à un complot d'anarchistes russes en plein coeur de la cité londonienne alors que dans le même temps le mystérieux et terrifiant Jack l'Eventreur semble avoir fait son retour dans la ville ! Bref, voilà nos héros embarqués dans une affaire qui à priori les dépasse mais où ils vont se révéler au final très utiles.
Une atmosphère un tantinet plus sombre, des dessins toujours autant épatants, une belle galerie de personnages, de l'action à tout-va et une intrigue dont la solution est loin d'être devinée d'avance ... bref, que du bon !
Un bon premier album pour démarrer cette série que j'ai découverte le week-end dernier. Certes, le scénario peut paraître un peu simpliste mais il ne faut pas oublier que LES QUATRE DE BAKER STREET est d'abord une série destinée aux jeunes. A ce titre, je ne trouve pas l'intrigue si naïve que ça; au contraire, on aurait pu s'attendre à quelque chose d'assez léger or il n'en est rien : les héros - trois gamins des rues effectuant de temps à autre des missions de surveillance pour Sherlock Holmes - se trouvent confrontés à la violence des adultes et ces derniers ne leur épargnent rien. Rapts d'enfants, proxénétisme, scènes de bagarres ensanglantées, morts violentes de certains personnages ... tous ces éléments ajoutent une bonne dose de crédibilité à l'histoire et rendent la lecture d'autant plus attrayante.
Les héros sont très attachants (j'aime particulièrement Charlie) et l'atmosphère victorienne de l'époque magnifiquement retranscrite. A cela s'ajoutent un dessin splendide, des couleurs lumineuses parfaitement choisies, ainsi que beaucoup de rythme et d'action qui font que l'on a très peu le temps de s'ennuyer.
Bref, voici une BD d'aventure très divertissante. Une jolie surprise;
Cet excellent troisième tome nous plonge dans l'univers sombre des rues de Londres. Les trois amis sont confronter à plusieurs méchants, ils doivent aider un jeune homme à retrouver celle qui l'aime, enlevée par des mercenaires. Un graphique haut en couleur et une bonne intrigue. Un délice. A lire absolument.
Ce quatrième tome des "Quatre de Baker Street" voit les jeunes détectives se séparer après l'annonce de la mort de leur protecteur. Comble de malheur, leur ennemi le plus farouche parvient à s'évader.
Un scénario efficace, à défaut d'être original, servit par un dessin toujours aussi lumineux et riche en détail.
Pour commencer, je tiens à dire que j'ai commencer par ce volume avant le premier. Question de logistique car mon libraire n'avait pas le Tome 1 quand je me suis rendu chez lui.
Pour être direct, j'ai tout de suite accroché à la lecture.
Les dessins m'ont plu et sont à la hauteur de la couverture (chose qui est devenu rare dans le milieu de la BD). Les planches sont vraiment réussi et détaillées à la perfection. L'ambiance victorienne est vraiment très bien représentée.
En bref très bon dessin.
Le scénario, il est recherché aussi même si je ne m'attendait pas du tout à ça, j'imaginais plus une énigme à la Sherlock Holmes, peut être un peu plus policière...ça peu être une piste à suivre pour les prochains tomes...
C'est sûr qu'en lisant ce tome, vous vous direz qu'il serait bien le début d'une nouvelle grande série.
Pour conclure, je vous conseil l'achat de l'album car c'est pour moi l'héritage de Loisel qui repose dans ces pages...Donc si ce n'est pas encore le cas foncez l'acheter.
Tome 2 en main, la première chose qui m'interpelle c'est que le lettrage me semble plus conséquent dans ce tome. En effet, il n'était pas rare de voir une ou deux planches à la suite sans commentaire dans "le rideau bleu".
Dès les premières planches, les protagonistes sont présentés: on retrouve bien évidemment nos détectives en herbe (Billy, Black Tom, Charlie, sans oublier le chat) et les "russkof". Qui sont-ils? Je vous laisse le découvrir par vous même.
Le dessin d'Etien est toujours aussi bon, et les détails de second plan agrémentent allégrement certaines cases. Le découpage, lui, s'est amélioré: de nombreuses cases par planches, ce qui donne un certain dynamisme à l'histoire. Quant au scénario, il se tient mais sent un peu le réchauffé: des réfugiés politiques, des assassinats, des meurtriers tout désignés, des diplomates magouilleurs, une police secrète, des taupes..le tout remué par nos jeunes détectives.
On en apprend d'ailleurs un peu plus sur eux: quelques brides de leur passé sont évoqués par les auteurs, mais le mystère autour d'eux reste bel et bien présent. Qui sont-ils vraiment? Comment sont-ils devenus amis? Comment ont-ils rencontré Holmes? On est quand même en droit de penser qu'au fil des albums, tous ces points seront petit à petit élucidés.
Ici, c'est surtout Billy qui mène l'enquête (surement choqué par la mort de la vieille Sally et intrigué par les articles de presse évoquant les meurtres des prostituées). C'est lui qui entraine ses camarades, alors que dans le tome 1 c'était Black Tom qui souhaitait retrouver son amie par tous les moyens. Est-ce que ce sera au tour de Charlie de se transformer en détective en chef dans la prochaine aventure? A voir.
Pour résumer, un bon dessin, une histoire qui se tient malgré un scénario loin d'être très original, de belles couleurs, un découpage et un lettrage amélioré. A lire.
BD d'introduction qui présentent les héros de la série. Au début heureux d'avoir cette BD entre les mains, je me suis un peu "forcé" à finir ma lecture. En effet, je trouve que le scénario (relativement simpliste) n'est pas à la hauteur du dessin. De plus, pour moi, les déductions de nos jeunes détectives et l'enchainement de leurs actions se font trop facilement et rapidement.
Les premières planches annonçaient pourtant une bonne intrigue. Malheureusement, au fil de la lecture, j'ai trouvé que l'histoire manquait de dynamisme et de retournements de situation.
Bref, une BD somme toute sympathique, mais qui me laisse un peu sur ma fin.
Espérons que le scénario sera un peu plus étoffé pour le deuxième tome.
A suivre.
J'aurais aimé donné plus; j'ai malheureusement été déçue par cette oeuvre.
Le dessin magistral, il va sans dire, est eclipsé selon moi par les teintes brunâtres qui ont été données , sûrement pour souligner l'ère victorienne. Ça devient raplapla à la longue et masque tous les détails de l'histoire.
Quant à l'histoire, et bien, le scénario n'est pas mauvais mais je m'attendais à plus.
J'ai trouvé qu'on se servait de Sherlock comme prétexte. Oui il est présent dans quelques cases mais de là à dire qu'ils se serviront de ses méthodes pour retrouver la dulcinée de Black Tom, il y a un pas.
Je suis curieuse de voir la suite.
Que dire sur cette petite BD toute sympathique...
Que c'est très jouissif, très marrant de voir l'aventure de ces 4 héros en herbe (et en patte pour certain...).
La mise en place des personnages est excellente avec une représentation visuelle pour chacun très intéressante. Un Black Tom très puissant dans ses mouvements qui sont sans rappeler certain des yamakasis récents...
Je trouve pour ma part, mais ce n'est pas un point noir, que l'intrigue de l'histoire et surtout la conclusion est assez rapide. Mais cela me fait penser au style "Nouvelle", comme le format des Sherlock Holmes finalement.
Les dessins sont tout bonnement excellent, et les couleurs éclairées et lumineuses, qui raviront tant les grands que les petits à la lecture visuelle.
On est heureux d'apercevoir M. Holmes, Dr. Watson et leur gouvernante. Mais nous nous en serions passé, sauf pour certain petit clin d'oeil à découvrir ...
En plus, c'est toujours agréable de voir que M. Holmes à toujours l'oeil... le bon coup d'oeil...
A lire et à relire... vivement la suite...
Quel plaisir! On comprend pourquoi ce jeune auteur, David Etien, est suivi par Régis Loisel, ses dessins sont vraiment très beau. Mixer cela avec un travail au scénario de la doublette Djian/Legrand tout aussi bon, et vous optennez une BD à ne pas râter. Vivement la suite!
Que tout ceux qui s'imaginer voir notre bon vieux Sherlock Holmes en personnages principale peuvent poser ce premier tome.
Ici Sherlock n'est qu'un personnage plus que secondaire n'apparaissant quasiment jamais dans la BD. Les vrais héros sont des gamins en culottes courtes qui sont chargés des filatures pour notre bon vieux détective.
Pour le scénario, l'ambiance est là. Et il est plaisant je trouve de voir ces gamins ce transformer en détectives en herbes, mettre à mal une bande de malfrats... Surtout de les voir crier, "J'ai un plan",les yeux brillant.
Il est par contre regrettables que ce même scénario ne soit pas un peu plus, on vas dire développé. En effet à la fin de ce tome on à l'impression d'avoir lu un One-Shot. Au point de ce demander, ce que le tome 2 apportera de plus pour garder ses lecteurs...
Le graphisme quant à lui est excellent, on y retrouve tout ces petits détails qui nous plonge dans le vieux Londres de la fin du 19ème siècle. Les visages ont une expressivité excellente, les décors fabuleux, de même que la colorisation.
Une sorte de "Spin off" à l'univers de Sherlock Holmes. Univers que l'on est pas spécialement obligé de connaître pour apprécier cette BD plutôt prometteuse, aux dessins très expressifs, avec une histoire "loiselienne" non dénuée d'humour. A suivre.
Une BD, qui ravira les plus jeunes et les moins jeunes. Trois détectives en herbe (et un chat) sont à la recherche d'un ravisseur pas très recommandable. Ce premier tome aide à placer les personnages principaux que l'on retrouvera par la suite, mais l'enquête, même si elle est simple, est bien amenée, aidée par un dessin fluide. Des scènes dynamiques et calmes ou l'on découvre le Londres du 19ème, font que l'on ne s'ennuie pas un instant.
Pour ma part j'ai bien aimé retrouvé le trait de "Chito Grant", le même style de personnage (allure, physionnomie et mouvement), sans parler des couleurs....j'en reste sans voix