Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Je ne verrai pas Okinawa : faut-il en faire tout un drame ? L'idée est assez singulière. Notre auteure est coincée dans un aéroport japonais pour une question de durée de son visa touristique. C'est une critique féroce de la bureaucratie japonaise qui accepte les immigrants au compte-goutte. A l'inverse, nous voyons déferler une horde de touristes japonais notamment dans notre pays. Les rapports du Japon avec les étrangers demeurent assez ambigus.
Maintenant, notre auteure semble comparer ce qu'elle a vécu avec le 1984 de George Orwell. C'est là qu'elle exagère car il y a des Etats autrement plus difficiles d'accès que le Japon sur la planète. Que dirait-elle de vendre Fraise et Chocolat en Arabie Saoudite ou de se promener avec à l'aéroport de Riyad ? Bref, c'est simplement une anecdote personnelle montée en épingle !
Au niveau du dessin, il y a de réels progrès depuis que j'avais avisé le sensuel et troublant Angora qui fut remarqué en son temps par la critique. J'avoue bien aimer la rondeur de son trait ainsi que la tête du personnage de Chenda. On arrive à ressentir toutes les expressions du personnage. Il y a de l'humour, de la tolérance et de la légèreté.
Pour les lecteurs les plus chastes qui ont été outrés par ses deux volumes de Fraise et Chocolat, il n'y aura pas ici la moindre scène de sexe traité avec crudité mais non sans candeur. Est-ce un plus ? Incroyable tout de même qu'une même personne puisse produire deux oeuvres si différentes.