Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
(4/10: insuffisant)
Le scénariste Ira Ishida est un écrivain, jouissant d'une certaine reconnaissance au Japon (prix Noaki 2003). Il s'est spécialisé dans la descriptions des cultures adolescentes, en particulier chez les otakus ou les jeunes adultes sans emploi.
Akihabara@Deep est l'adaptation d'un roman du même titre, publié au Japon un an auparavant (2004). Ce manga est illustré par Makoto Akane (dont je n'ai pas trouvé d'autres œuvres).
Dans ce 1ier tome, les manga-kas ont choisis d'introduire assez rapidement l'ensemble des personnages. Il s'agit une bande d'ados qui, chacun à sa manière (hacker, otaku, cosplayer, ...), se considère mis à l'écart.
De façon assez confuse, nos héros se retrouvent à fonder une start-up dont le produit révolutionnaire pourra paraitre désuet en 2018 : un avatar de dauphin qui arrive à soutenir un semblant de conversation écrite avec les humains (cf. test de Turing).
Mais une grosse entreprise japonaise veut s'approprier l'invention, en discréditant cette bande d'adolescents déjà à la marge de la société japonaise.
J'ai été surpris que ce manga soit l’œuvre d'un écrivain aguerri, car les particularités de chaque personnage ne paraissent pas trés approfondis. Le dessin est quant à lui assez maladroit.
Le quartier tokyoïte de Akihabara, où se trouve de nombreux magasins d'électronique ou de culture manga, est décrit de façon assez anecdotique.