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Cela faisait quelques temps, pour ne pas dire un bon moment que je n'avais plus lu de Lefranc, et je constate que la série a bien évoluée depuis les albums de Jacques Martin !
Je constate donc que Jean Jean n'est plus de la partie (ce qui n'est pas nécessairement une mauvaise chose, car ce gamin n'apportait pas grand chose dans mes précédents souvenirs ou relectures récentes).
Je découvre en revanche le personnage de Mélanie, figure féminine bien campée. J'ai bien apprécié les petits à-côtés qui ne servent pas le récit, mais qui ancrent les personnages dans une certaine réalité, leur donnant un peu de corps. Des banalités comme le passage chez le coiffeur ou bien le fait qu'elle se fasse gentiment draguée en attendant Lefranc. Ça ne prend que quelques cases, mais ça rend les personnages vivants.
Autre personnage que je découvre, celui d'Arnold Fischer qui semble être devenu le nouvel antagoniste de Lefranc.
Axel Borg a donc disparu ou du moins se fait plus discret ?
Depuis combien de temps cet Arnold Fischer est-il apparu dans la série ?
Concernant l'intrigue, je l'ai trouvée agréable à suivre et bien construite. J'ai été légèrement perdu au milieu du récit lors de la profusion de noms flamands avec lesquels je ne suis pas familier, et qui ne servent en rien l'histoire à mon sens, mais sinon, ça se lit très bien et on suit malgré l'ensemble sans difficulté majeure. Le récit ne comporte pas beaucoup d'action, mais ça n'est pas un défaut à mes yeux pour autant. D'une manière générale, je pense que l'action doit servir l'histoire, et pas l'inverse. Dans cet album, elle ne se justifie pas, et c'est donc très bien comme cela.
J'ai repéré de jolis hommages, notamment à Gil Jourdan et à Tintin, bien entendu. Du bonus de scénariste et de dessinateur, qui sont bien intégrés et ne font pas superficiels. Graphiquement, je découvre aussi le dessinateur, et il a fait du très bon travail.
A la finale, il s'agit de l'un des meilleurs albums publiés au cours de l'année 2021.
Le mystère Borg est un summun.
Il y a du James Bond dans ce récit. Sa lecture m'a fait pensé à Rien que pour vos yeux (l'un de mes James Bond préférés avec son ambiance méditerranéenne) et notamment tout le passage se déroulant à Cortina d'Ampezzo. Sauf que Rien que pour vos yeux est sorti bien des années après ! Non content de nous émerveiller avec son récit enneigé, Jacques Martin nous régale à la fin de l'album avec une scène à Lucerne pour un final à Venise !
Il n'y a pas à dire, il nous en donne pour notre argent. Les récits sont denses. Encore une fois, je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec beaucoup de récits actuels qui sont vides, creux, ou avec des intrigues étirées sur 3, 4 voire 6 tomes. Ici, c'est dense, c'est complet. La belle pagination est un plus, mais en réalité, ce n'est même pas à ce niveau là que cela se joue.
C'est un régal.
Cet album est un classique absolu, un indémodable.
L'intrigue et le twist de l'album étaient sans doute assez originaux pour l'époque, même si de nos jours, il s'agit d'un procédé que l'on a vu souvent décliné désormais.
La réalisation est superbe, graphiquement c'est parfait. Les ambiances sont bien retranscrites, on est immergé dans le récit.
Cependant, d'un point de vue scénaristique, je me demande bien pourquoi Borg fait tant de détours pour arriver à ses fins. J'ai du mal à comprendre pourquoi il ne va pas directement à son but. Ce qui fait que la grande majorité du récit ne sert en réalité pas à grand chose. Et bien des péripéties auraient pu être évitées.
Ça n'en reste pas moins un récit solide et un très bon Lefranc
Un Lefranc franchement pas si mauvais pour un album post années 80.
Graphiquement, c'est parfaitement maitrisé. C'est toujours dynamique,, avec de belles ambiances.
Quelques ficelles scénaristiques en milieu d’album, et la rencontre un peu grotesque avec l'irlandaise.
Néanmoins, ça fonctionne pas si mal et j'ai passé un agréable moment de lecture.
Le résultat, c'est un album classique, un peu moyen au niveau du scénario mais qui se lit sans déplaisir, et une réalisation graphique réussie.
C'est un bon récit, solide et bien maitrisé. Le dessin classique assure vraiment.
L'histoire est intéressante à suivre. Je suis juste dubitatif sur la démarche initiale de Lefranc, plutôt que de se rendre directement sur place. C'est ce que j'aurais fait à sa place, et c'est ce que j'attendais de sa part. Mais cette première démarche était sans doute une nécessité pour le scénario, puisque c'est ce qui met en branle une bonne partie de l'intrigue.
Encore un bon cru, même si légèrement inférieur à d'autres aventures de Lefranc.
Il y a deux parties dans cet album : l'alsacienne, qui m'a beaucoup plus, et l'africaine que j'ai trouvée un peu en-deça.
Le scénario tient bien la route, tout comme le dessin d'ailleurs, mais il manque un petit quelque chose de plus qui ferait la différence.
L'intrigue a un petit côté géo-politique finalement assez actuel, et même si l'histoire se déroule dans les années 50, elle est présentée de manière contemporaine. Ce qui permettrait finalement de dire que sur cette affaire, Lefranc est en avance sur son temps !
La localisation sud-africaine du scénario offre un cadre assez atypique. La lecture de cet album m'a parfois fait penser à celle d'un autre, Kivu, même si la région d'Afrique n'est pas la même. Les enjeux sont néanmoins assez similaires, avec des commanditaires occidentaux et l'exploitation de minerais africains.
Encore un très agréable moment de lecture avec cet album !
Le scénario est bien construit, bien amené, avec une progression fluide et plaisante à lire alors même qu'un certain nombre de points de vue évoluent en parallèle pour une belle convergence dans la dernière partie de l'album, puis un final à la hauteur.
En cela, la construction scénaristique est un modèle du genre. Le découpage est lui aussi à la hauteur et le graphisme et surtout son ambiance ensoleillée participent indiscutablement à la belle impression laissée par cet album.
Côté histoire, on est assez proche d'un James Bond époque Roger Moore, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Plusieurs personnages historiques sont conviés, mais cela ne fait qu'ancrer le récit dans un certain réalisme historique.
Cette bonne idée n'a pas pris le dessus sur le scénario qui aurait très bien fonctionné sans eux.
Je le perçois donc comme une savoureuse couche supplémentaire.
Vous l'aurez compris, je me suis une nouvelle fois régalé
Que dire si ce n'est que je me suis régalé !
Il y a quelques ficelles de l'intrigue un peu grotesques, et quelques raccourcis dans la narration qui rendent parfois la lecture pas aussi fluide qu'elle ne devrait l'être. Je me dis que c'est un album qui aurait dû s'étirer sur 60 planches comme les premiers de la série.
Ces réserves mises-à-part, c'est un donc régal. Graphiquement, l’Alsace en automne est magnifique. On sent l'amour des auteurs pour cette région. Que ce soit les paysages, l'architecture ou les intérieurs, c'est splendide.
Le récit est prenant, et a un même un côté un peu touchant. Le fait de voir Lefranc et Bord collaboré est intéressant aussi.
Bref, je me suis offert un vrai plaisir avec la lecture de cet album, qui confirme tout le bien que je pense de cette série lorsqu'elle produit des albums aussi réussis.
Le reporter se lance seul à la rescousse d’otages d’un Airbus par des pirates, c’est un peu too much quand on y pense.
Néanmoins l’histoire est plutôt bien ficelée et le scénario suit bien son cours. On ne s’ennuie pas dans cette aventure.
Les dessins sont très bons et la lecture est plaisante.
Lecture très agréable pour ma part. Aussi bien le scénario que le dessin très classique me vont bien.
J'ai trouvé intéressant de partir de cet événement réel et de le placer dans ce contexte historique espagnol et dans l'histoire familiale de Lefranc.
Cette série reste d'un très bon niveau.
Je viens de finir la lecture de ce dernier album de Lefranc. Il est très bien écrit et très intéressant. Il parle de la guerre civile espagnole qui a fait beaucoup de ravages à la fin des années 30. Les personnages sont très intéressants. Dommage que l'album ne soit pas plus long.
Très bon opus de Lefranc qui confirme la bonne tenue de la série depuis plusieurs albums . L'intrigue sur fond historique post guerre civile espagnole est tout à fait crédible, compte tenu du contexte historique.
Coucou tout le monde, je viens donner mon avis sur le dernier Lefranc ... amateur des personnages créés par Jacques Martin ( et notamment Lefranc ), j'avoue que c'est toujours avec plaisir que je lis les derniers album sortis ... ayant été déçu par " la Route de Los Angeles " ( cf mon post à ce sujet ), j'appréhendais un peu ce dernier opus ... hé bien cette fois-ci, je n'ai pas été déçu, je trouve que c'est un bon album ... les graphismes de Régric sont beaux ( moins beau que ceux de Christophe Alvès par contre ) la couverture est réussie, le scénario tient la route et l'aspect historique est intéressant. En effet, j'ai trouvé ce retour vers la guerre civile espagnole et le franquisme passionnant ... en fait, le scénario tourne autour des vieilles rancoeurs liées à la guerre civile ainsi que l'anti américanisme primaire de certains protagonistes, sur fond de Guerre Froide ... seul petit bémol : comme je le disais plus haut, les graphismes de Régric sont moins fins que ceux de Alvès ... je ne sais pas si cela vient de moi, mais je trouve notamment que Régric a des difficultés à dessiner les visages, en particulier les yeux ... mais bon, c'est mon opinion personnelle ... bref un bon album qui se laisse lire sans ennui ni déplaisir et qui pourrait aussi plaire à ceux qui ne connaissent pas l'univers de Lefranc. Allez à une prochaine fois pour un nouvel avis ... bonne continuation !
Les commentaires positifs sur cet album m'ont donné envie de le lire, j'étais complètement passé à côté à l'époque de sa sortie. Je rejoins les éloges, c'est très bien documenté et cet opus nous replonge dans l'ambiance sombre des années 50 avec ce quotidien des "gueules noires" dans le bassin houiller du Pas-de-Calais. Pour cette aventure, le scénariste s'est inspiré de la catastrophe de Courrières survenue en 1906 avec un bilan effroyable (plus de 1000 mineurs morts). Bref, ça se lit très bien et cet album se démarque de ceux qui l'ont précédé. Petite remarque pour un album si bien documenté : le prénom Mirko attribué au boutefeu polonais alors que ce prénom n'est pas du tout usité en Pologne où on lui préfère Michal ou Mirek.
Un récit poignant avec un fond historique très travaillé, l'histoire est dense, les explications techniques concernant le charbonnage sont bien amenés.
La grande histoire rejoint la petite avec un drame qui fend le coeur, qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière case ...
J'ai apprécié le parti pris des auteurs de nous livrer plusieurs souvenirs de notre journaliste préféré ( ... et engagé ).
Du grand Lefranc et un bel hommage a ces travailleurs au dur labeur.
Bon, je n'avais jamais lu cet album jusqu'à aujourd'hui et je comprends mieux pourquoi j'étais passé à côté lors de sa sortie. Le dessin est plutôt réussi, excepté certains visages dont celui de Lefranc à peine reconnaissable par moment mais alors que dire du scénario ? Si le début de l'histoire est correct et surtout sauvé par les magnifiques paysages du Cambodge, la seconde partie est tellement alambiquée avec un enchaînement d'événements improbables qu'elle en devient à la limite du compréhensible ! Bref, un album aussi vite lu qu'oublié...
Salut à tous. J'ai lu le dernier Lefranc ... d'habitude, je suis assez conciliant en ce qui concerne les Lefranc et par extension l'univers des personnages créés par Jacques Martin ... là, j'avoue que je reste perplexe après la lecture du dernier opus des aventures de notre journaliste préféré ... ce serait exagéré de dire que je n'ai pas aimé, mais franchement, je suis assez déçu. Tout d'abord, parlons des points positifs : le graphisme est super beau ( comme toujours avec les dessins de Christophe Alvés ), l'atmosphère et les décors des U.S.A des années 50-60 sont bien restitués et cela fait toujours plaisir de retrouver Lefranc dans de nouvelles aventures ( qui plus est en charmante compagnie ... ). Là où le bat blesse, c'est au niveau du scénario : que c'est alambiqué, tiré par les cheveux ... j'avoue que je me suis ennuyé à la lecture de cet album ... un de mes amis, grand fan devant l'éternel de Lefranc ( salut Patrice ) m'a dit qu'il n'avait qu'une hâte : terminer la lecture tant pour lui cela avait été éprouvant, et à la limite il n'a pas tort ... de plus, les dialogues sont ( trop ) abondants, ce qui, encore une fois, ralentit l'action ( cf ma critique des " juges intègres " ). Si vous ajoutez quelques invraisemblances ( Stella qui sort presque indemne de l'accident de voiture ) et quelques " Deus ex Machina ", cela donne au final un résultat décevant. De plus, il est clair que les auteurs font allusion au destin de Marylin Monroe dans cet album ( mêmes initiales du nom et du prénom, la liaison avec le Président des U.S.A, les rapports troubles avec la Mafia, le tournage de " Something's Got to Give ", son dernier film, jusqu'au " suicide " de la star ... ) Alors pourquoi ne pas directement mêler la petite histoire avec la grande et imaginer une rencontre entre Lefranc et la regrettée Marylin ? Après tout, ce ne serait pas la 1ere fois que Lefranc rencontrerait des personnes célèbres ( souvenez vous d'Ernest Hémingway et d'Ernesto " Tché " Guevara dans " Cuba Libre " ). En bref, je pense que c'est un album qui ne restera pas dans les annales. C'est dommage car il s'agit du dernier album scénarisé par François Cortegiani et je pense qu'il est parti sur une fausse note alors qu'il nous avait habitué à mieux ... J'espère que le prochain album sera d'un autre niveau.
Allez, sans rancune Guy, salue Jeanjean et le vieux Renard de ma part ... lol ...
Mon second Lefranc après "le repaire du loup".
L'intrigue est très sympas, même si il y a quelques légèretés (ça date aussi...) c'est réussi et on ne s'ennuie pas.
Par contre, les dessins...aie aie aie, c'est splendide.
Des paysages et des couleurs magnifiques.
Il mérite un bien plus grand format.
Mon premier Lefranc, Découverte tardive en 2023.
J'ai apprécié l'enquête jusqu'à la fin, pas mal du tout.
Les dessins sont réussis, même si j'ai préféré la finesse et les incroyables couleurs de Gilles Chaillet.
Personnellement , j'ai bien aimé. Je rejoins Diddu par contre sur sa présence aux USA, je ne suis pas fan de cela, mais bon, je ne suis jamais trop fans de nos héros européens aux USA, alors que j'adore le Western, les récits avec des personnages américains et j'en passe, c'est ridicule et il ne faut pas chercher à comprendre.
Bref, le scénario est simple, on ne retrouve pas les vilains habituels et on s'éloigne du genre lui aussi habituel de notre récit, on a l'impression de voir un dépliant touriste de qualité de ce coin des USA et sincèrement le dessin y est pour beaucoup en ce qui concerne la qualité de cet album . J'ai eu l'impression de voir un récit illustré de James Ellroy. Ce n'est pas déplaisant et le complot du récit fonctionne bien. Les mécaniques sont efficaces et on voit que le scénariste se fait plaisir, mais bon il manque un petit quelque chose pour nous faire sauter au plafond.
J'ai tout de fois retrouver le même plaisir de lecture que j'avais avec les albums de monsieur Martin. Les dernières pages de l'album font plaisir et donnent le sourire, on cette sensation d'avoir un bout d'histoire de cette série et d'avoir suivi du début à la fin le périple de notre équipe artistique et d'avoir proposé ce qu'ils avaient de mieux à donner pour le héros.
Ce n'est pas un sans faute, ça reste un album mineur si on compare aux précédents, mais ça reste plaisant et on passe un bon moment.
J'ai hâte de voir qui seront les prochains artistes prenant en main le destin de notre héros.
Retour en 1955 pour Lefranc avec ce récit excessivement bien maitrisé tant au niveau scénaristique qu’au dessin, pour une histoire oppressante et pleine de psychologie dans les charbonnages du nord de la France. C’est un des rares titres de la série où Lefranc montre un visage humain, et où un personnage féminin apporte une dimension profonde à l’histoire. L’époque et sa réalité très dure est admirablement bien restituée. Une réussite.
Après beaucoup d'hésitation je me suis procuré [i]"Le scandale Arès"[/i]. L'intrigue m'a intéressé, notamment la partie enquête avec Lefranc, Marlène, leurs amis & ailiers... mais l'avion et ses exploits 'anti-chars' ont confirmé les mauvaises impressions sur le plan aéronautique que m'avais laissé le premier feuilletage de album...
Régric ne c'est vraiment pas foulé pour militariser et 'muscler' le Payen... surtout quand ont compare avec la rigueur de Francis Bergèse sur les imaginaires "Spur" et "Renkell" du 'Biggles', "Le cygne jaune"... ou même celle de Frank Robbins avec le fantaisiste chasseur japonnais du "Johnny Hazard" de 1944/1945.... Même le "Stratonef H.22" d'Hergé - imaginé à une époque où internet n'existait pas - je le trouve moins farfelu que l''Arès'.
J'aurais encore accepté les exagérations des attaques des colonnes de chars(1) si les auteurs avais au moins donné à leur 'Arès' les caractéristiques physiques d'un bon avion anti-char de la ww2... c'est qui n'est pas le cas.
Le pire étant les petites pétoires - censées êtres des armes 'anti-char' - installées sous les ailes... Quand ont songe à la taille des gondoles-canons des Hawker Hurricane IID, Junkers Ju 87 G et Iliouchine Il-2 Type 3M, ont mesure le grotesque de la chose ! :mdr:
Quand à la soi-disante vélocité de l'engin, c'est pas avec une moteur en ligne à un seule rangée de cylindre, une hélice bipale et un train fixe, que l'Arès aurait pu faire de l'ombre au Dewoitine D.520 (et encore moins au Mig-15).
Au sujet du D.520, les auteurs font aussi dire n'importe-quoi au constructeur de l'Arès, quand il le compare défavorablement à son avion dans le scène de l'interrogatoire au château : la technique aéronautique de l'époque (Fin des années 30-début 40) ne permettait-pas un avions polyvalent aussi performant qu'un avion spécialisé. Le Dewoitine D.520, son cahier des charges ne lui a jamais demandé des capacités d'attaque au sol, il était optimisé pour la chasse et l'interception, avec un moteur à compresseur 'haute-altitude' qui donnait ses meilleur performances à haute et moyenne altitude, mais beaucoup moins à basse altitude - idem pour les Spitfire, Bf-109, P-51B et P-51D. A l'inverse les P-39, P-40 et P-51A, dotés de compresseurs 'basse-altitude', étaient plutôt véloces au ras du sol mais à la peine en altitude.
[i]"Le scandale Arès"[/i], une bonne histoire policière, mais une médiocre bd aéronautique... dommage, surtout qu'il aurais eu moyen de faire un avion anti-char uchronique vraisemblable à partir des Payen d'avant-guerre... par ex, en greffant sur une version agrandie et à trains rentrants du Pa.22/2 (ou du Pa.100) un ensemble moteur-canon inspiré du Yakovlev Yak-9T, mais avec un Hispano-Suiza 12 Y 51, équipé d'un compresseur 'basse-altitude' (comme l'hydravion de chasse HD.780) et d'un canon antichar SA-L modèle 1934 de 25mm, modifié (uchronie) avec un système de tir automatique alimenté par chargeur(plus simple à réaliser) ou par bande(plus compliqué).
(1) Pour réaliser un tel massacre [u]dés la première passe[/u] contre des Panzer III (1940) et surtout des T-34 (1956) il aurait fallu à Guillaume Tessier un Fairchild A-10... et aussi des tonnes de napalms pour espéré arriver à exterminé 99% des équipages !
Album Mi-figues Mi-raisins Surprenant par la SF et poussif sur le scénario. Je pense à un peu plus d'actions sur le cour du temps, une intervention de Borg Axel d'une façon volontaire ou non, aurait insufflé un plus.
À lire absolument pour une simple raison : Ce tome 33 permet d'oublier sans aucun regret les tomes 29, 30 et 31 !
Ici pas d'américains qui vont bombarder la Corée du nord 6 ans après la fin de la guerre et autres turlupineries du même genre ...
Bien sûr les "méchants" sont des méchants de pacotille mais cet album se lit sans nous confronter à des invraisemblances trop criantes.
Les puristes diront qu'un avion à hélice des années 40, surtout de construction artisanale, ne pouvait pas voler plus vite qu'un Mig 15 à réaction des années 50 dont la vitesse voisinait les 1100 km/h.
Mais bon, ne gâchons pas notre plaisir de retrouver un Lefranc de bonne facture.
Album bien meilleur que les deux précédents.
Reste que voir réapparaître Arnold Fischer en méchant de service quand on sait quel sera son sort dans un album précédent ...
ClarkBD dit que cet album a clairement fait l'objet de recherches approfondies ...
On s'en aperçoit immédiatement dès les 1ères pages de cette histoire sensée se dérouler en 1959 et où, page 10, on apprend que l'Alpha Roméo de Lefranc prend la direction du Vésinet dans le département des Yvelines ... Département des Yvelines créé en Juillet 1964 :-))
Des références au feuilleton british avec l'agent US nommé John Drake.
Lefranc parle même d'une "Destination danger", titre de ce feuilleton
Quand on sait tous les coups tordus que les américains, les russes, mêmes les français ont pu mener dans ses années-là, voir la CIA s’adjoindre au pied levé un petit échotier français pour mener une action en Corée, ce manque de crédibilité est à pisser de rire.
Enfin, imaginez-vous ce qui se serait passé dans la réalité si les américains avaient mené un raid aérien sur la Corée du Nord, 6 ans après la fin de la guerre de Corée ?
Ridicule, absolument ridicule.
Je suis en train de rattraper mon retard dans la lecture des 5 derniers Lefranc.
Déjà que "la stratégie du chaos" n'était pas brillant, je crains que la fin de ma lecture de cet opus me déçoive encore plus que le précédent.
J'ai l'impression d'être Ulysse, je vais de Charybde en Scylla.
Un avion lance-t-il un SOS ou un MAYDAY ?
Visiblement le scénariste l'ignore.
S'il n'y avait que cela ...
Un excellent Lefranc, superbe scénario, le dessin est bien mais avec quelques faiblesses par moments. Mais ça reste un très bon album dans la série. Un agréable moment de lecture pour cet album, bien sûr très classique.
Le pire album de la série autant niveau dessin qu'histoire. Heureusement le niveau remonte avec les suivants
LE CHEF-D'OEUVRE DE REGRIC
J'avais déjà beaucoup aimé ses précédents albums (en particulier CUBA LIBRE) mais cette fois Régric porte son art au maximum. Ses dessins sur LA RANCON sont une merveille. Oui, à l'heure du manga dominant, la ligne claire européenne a encore de beaux arguments à faire valoir. Les premières planches sont dingues, la ville de Strasbourg est sublimée. Les animaux du bush sud-africain ou de la ville de New-York sont aussi superbement recréés. Les contours sont simples, réalistes et vont droit au coeur du lecteur. J'associe au triomphe de Régric, Bruno Wesel, qui a employé un jeu puissant et ahurissant de couleurs. Par son travail, il a ainsi réhaussé le travail du dessinateur.
Concernant le scénario, il est très bon. Roger Seiter nous éclaire sur les manipulations de l'ombre et démontre à son tour que les "complotistes" ne sont pas les simples citoyens comme on l'entend mais bien des gens puissants, disposant de beaucoup d'argent.
LA RANCON est ce type de bande-dessinée que je ferai lire aux plus jeunes, en les faisant disserter dessus. Les éclairer sur les dessins, les couleurs, le scénario ne pourra que les améliorer et les enrichir.
Vive LEFRANC !
Je viens de lire cet album et je l'ai beaucoup apprécié. Tout d'abord, l'intrigue est passionnante et bien menée de bout en bout avec l'enlèvement d'un jeune fille. Fort heureusement, il y a un heureux dénouement parce qu'on la retrouve à la fin de l'album. Par ailleurs, il y a des jolies vues.
J'ai récemment relu cet album et je pense que c'est l'un des meilleurs de Jacques Martin. Tous les ingrédients sont réunis pour faire une bonne bande dessinée : très beaux dessins, très jolis paysages en Suisse ou en Italie. De plus, le thème de l'histoire, une bombe bactériologique pour détruire, tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page. Bref, je recommande vivement cette bande dessinée.
Bonne bd d’aventure … se laisse lire avec plaisir.
Imaginatif et assez solide … ça laisserait des regrets à la France !!!
Je viens d'acheter ce dernier album de Lefranc et j'ai beaucoup aimé cette histoire. Le scénario est bien ficelé et on suit bien cet événement historique du début jusqu'à la fin où on découvre le dénouement. Je regrette qu'il n'y ait pas plus de pages.
Un grand Lefranc. Nous voilà replongé dans un thème qui revient souvent avec le héros de Jacques Martin. Suspense bien entretenu et personnages forts parcourent ce récit. Ca fait du bien de parcourir et même (re)découvrir de pittoresques communes de notre beau pays. Peut-être justement manque-t-il une vision un peu "large" à cette aventure de notre reporter adoré…
Des dessins très purs, très lisibles avec des couleurs toujours justes. Un régal.. Les ambiances nocturnes et sombres sont particulièrement bien faites. Mes cases préférées sont : 3 et 4 (page 3), 9 (page 5), 7 (page 6), 1+7+8 (page 9), 1+2+7 (page 10), 4 (page 11), 4+5+6+7 (page 12), 3+10 (page 15), 7 (page 19), 5 (page 23), 6 (page 25), 1+4+5 (page 26), 6 (page 28), 2+6 (page 31), 4 (page 39), 9 (page 41), 10 (page 42), 1 (page 44), 7 (page 45) et 2+3+4 (page 47).
Très bon album, avec un bon scénario et un bon dessin. Le fait qu'il y ait 54 planches est aussi très agréable et permet d'étoffer un peu plus les histoires.
Excellent album qui m'a énormément fait penser à Jacques Martin lui-même (sans copier faab9400). Le dessin d'une très belle facture, la colorisation précise et un scénario tricoté juste assez serré, ni trop dense ni trop léger. Cet album est à mon avis l'un des excellents de la série. A mettre dans la lignée du «Mystère Borg».
Un album qui aurait pu être réalisé par Jacques Martin lui-même ? C'est l'effet que m'a fait cet album. Superbes dessins, une intrigue complexe à souhait, et Lefranc, d'abord journaliste, puis aventurier vers la fin de l'histoire, qui résoud l'énigme. Enfin l'histoire est ponctuée de nombreuses références à la BD du journal de Tintin : l'Ile Noire (Ranko le Gorille), Jacobs, sans oublier la Jaguar verte de Borg....
Reconstituer des ambiances, c'est bien. S'appliquer sur des décors fouillés, c'est mieux. Raconter une bonne histoire, c'est encore mieux.
Et là...
L'histoire n'est pas inintéressante, et les ambiances sont chouettes. Mais les décors sont parfois d'une pauvreté navrante (pour un "Lefranc") et la fin tourne au jus de boudin (dans le genre "tout doit disparaitre").
Le personnage féminin, prometteur en début d'album, disparait ensuite et c'est dommage. Il aurait pu être mieux exploité.
Comparé au "Blake et Mortimer" sorti en même temps, la comparaison n'est pas flatteuse pour ce "Lefranc". Van Hamme a fait très fort.
Et pour revenir à ce "Lefranc", Martin était un très grand auteur, aux dessins exigeants et aux scenarii grandioses et prenants. Pas facile de passer derrière !
Salut à tous. Je viens de finir le dernier album de Lefranc. Tout comme Alix, la série des Lefranc se poursuit sans catastrophe ni chef d'oeuvre ... Je pense que c'est un bon album, je trouve très bonne l'idée des auteurs d'avoir projeté cet aventure dans le monde de l'art. Les graphismes sont très beaux, les tableaux très bien restitués dans les dessins et la partie historique est très intéressante ( l'allusion aux " Monument's Men " ). J'ai aussi bien aimé le clin d'oeil au commissaire Maigret. Et c'est toujours un plaisir de retrouver ces personnages familiers ( l'inspecteur Renard par exemple ) ! Il ne manque plus que Jean-Jean ... lol. Par contre, il faut vraiment aimer la lecture pour apprécier cet album : les auteurs n'y sont pas allé de main morte avec les dialogues ! C'est dommage car je trouve que cette abondance de dialogues ralentit l'action et la dynamique de ce dernier opus ... Je pense que cet album est à réserver aux habitués de l'univers Lefranc, les autres risquent d'être un peu décontenancés ... Bref, un bon album à lire au coin du feu ( attention à ne pas s'endormir ... lol ) avec un petit chat qui ronronne sur les genoux, sans bouder son plaisir ...
Un très bon album avec de magnifiques graphismes. On sent Christophe Alvès très inspiré par le scénario. L'intrigue est remarquablement construite. On peut dire que le niveau est nettement relevé après la déception du précédent album. Une réussite !
Rappelle l'univers de Blake et Mortimer (plagiat?)
Incroyablement decevant ..limite incomprehensible..
N'a rien a faire au rayon bd enfants d'une bibliotheque.
Des annees que je n'avait pas lu un Lefranc!
Tout surpris d'en trouver en bibliotheque,j'ai pris celui-ci en me disant que je pourrais le faire lire a mes petits enfants...
Surtout pas!!! Heureusement que je l'ai lu en premier.
C'est nul,cafardeux,incomprehensible,desastreux limite scandaleux.
Certainement jamais pour les enfants..
A fuir absolument!( en tout cas a ne pas acheter!)
Cette épisode n'a pas la saveur des précédent, c'est indéniable, mais le souffle de l'aventure est là.
Une petite pause Borg est plaisante, le thème aussi surtout pour l'époque, passé les quelques invraisemblances, un bon moment de lecture.
S'il y a trop de références historiques ou scientifiques, l'album a clairement fait l'objet de recherches approfondies et rend le tout intéressant. L'intrigue prend son temps mais la suite s'avère réussie avec une sorte de mission derrière les lignes ennemies de Corée du Nord. On retrouve un Axel Borg déterminé. Pour ma part, je l'ai lu d'une traite. J'ai adoré !
Une intrigue passionnante et un Lefranc qui nous en met plein la vue. Les dessins sont de très grande qualité. On en redemande ...
Un très bon cru, par deux auteurs confirmés.
Ce 31ème opus réveille beaucoup de (très bons) souvenirs et se place dans le panthéon des meilleurs albums de reprise, et ne dépareillerait pas dans ceux de monsieur Martin lui-même.
Le dessin frise l'excellence, dans les décors, et les ambiances en général, avec une Alsace très bien reconstituée (et fantasmée, car hélas, de nos jours, pour retrouver autant de neige, c'est devenu de la science fiction, réchauffement oblige...). L'Alsace de cette époque là devait être très jolie.
L'afrique n'est pas en reste, avec un village étonnant (fantasmé ou réel ?), et de beux décors de safari.
L'histoire est prenante, savant mélange de géopolitique et de criminalité organisée, comme dans les meileurs "Lefranc". De ce point de vue là, Seiter rend une copie impeccable, respectant les canons de la série en tous points.
Un petit bémol pour certaines têtes des personnages ; parfois, elles sont moins réussies, voire franchement étranges, comme si une loupe était passé sur uen case, agrandissant la tête d'un policier devenue énorme par rapport à son corps. N'est pas Martin qui veut !
(même si, je suis admiratif de la capacité de Régric à passer du style Hergé/De Moor à celui de Martin, excusez du peu)
Mais enfin cela n'a pas gaché mon plaisir de lecture.
Réjouissant.
Très bien dessiné par Bob de moor et beau scénario de Martin le plus beau album de la série Le franc jusqu’à présent ...a lire
Un pointé zéro.
Dessin pas terrible et une aventure de Martin avec un scénario qui n'a ni queue ni tête,comment peut-on donner un 5 étoiles?
Rien à dire concernant le dessin d’Alves, mais qu’est ce que je me suis ennuyé à la lecture de cet album. C’est barbant tout le long. François Corteggiani a déjà fait beaucoup mieux. Il devrait songer à épurer son écriture…