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Super-héros
Série finie
USA
28 albums
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Enfin un comics assez original qui sort du lot. J'ai bien aimé ce côté très adulte qui nous change un peu.
Il y a également une thématique qui a d'ailleurs été reprise par le dernier Batman v Superman: l'aube de la Justice à savoir les dommages collatéraux provoqués par les super-héros. The Boys apparaît comme assez novateur.
Je viens d'enchaîner avec Top 10 et là, je peux dire aisément qu'il n'y a pas photo. Certes, The Boys est violent mais surtout dérangeant pour l'image qu'on avait des super-héros. C'est même assez subversif.
Il est cependant dommage que cela flirte avec le potache. Par ailleurs, le rythme est plutôt lent. Néanmoins, on ne s'ennuie pas à cette lecture avec des dialogues parfois savoureux. Il y a même de la profondeur chez certains personnages. J'ai bien aimé ces parcours parallèles de deux leader et de deux naïfs dans des équipes différentes. On sent que la confrontation va être intéressante.
En ces temps où l'on voit des homophobes courants les rues en prônant les clichés et l'étroitesse d'esprit, j'me suis particulièrement bien marré sur ce tome (comme sur chaque création d'Ennis ou presque en fait). En effet l'homosexualité/homophobie abordée dans ce tome est traitée objectivement et exceptionnellement bien voire mieux que ce que l'on a pu voir aux infos avec une certaine manif… Belle critique de la société amércaine, occidentale même, une belle et violente claque envers les super-slips et les extrémistes.
Après un petit coup de mou la série redémarre reprenant ses aires satyriques du début.
C'est irrévérencieux et plein d'une vulgarité hilarante au second degré.
Du tout bon.
7/10.
Intermède sentimental au scénario pas toujours réussi car trop "fleur bleue", loin du ton satirique habituel.
Une qualité de dessins en hausse.
Bref à lire.
6/10.
Belle vision de l'Amérique puritaine, mais le scénario vaut surtout pour le tournant dans les relations entre Hughie et Stella.
Un excellent tome.
7/10.
Retour aux fondamentaux dans cet album.
Du bon sans être excellent.
Un série qui cherche un second souffle.
Agréable à lire sans plus.
6/10
Un léger mieux par rapport à l'album précédent.
Mais la série s'essouffle assurément.
Du deuxième degré mais peu de révélation, on s'éloigne de la parodie des comics de super-héros.
6/10
Un album à oublier.
De la violence gratuite, aucun humour.
Très peu de référence aux superhéros de comics.
Bref un ratage!!!
5/10.
Un tome complètement baclé!!
Les supers héros ne sont qu'un prétexte à nous faire découvrir un vice président américain complètement débile façon Georges Bush au Guignols.
La profusion de sexe et perversion rend le scénario bien peu crédible faute pour une fois de se projeter au deuxième degré dans l'histoire.
Bref une série en net perte de vitesse.
5/10.
même note que pour le tome précédent et pour les mêmes raisons.
De plus j'ai trouvé le final complètement raté.
Reste l'humour au deuxième voire troisième degré.
5/10.
Indéniablement la série s'essouffle.
Ici la référence aux X-men et à toutes les séries mutantes est à peine voilée.
Mais finalement à force de décrire les super comme des super-pervers in finit par lasser le lecteur.
Scénaristes reprenez-vous!!
5/10.
Du lourd.
le 11 septembre revu et corrigé par les supers.
La guerre du Vietnam repensé par une société d'armement américaine plus interressée par le profit que par la victoire.
Et des superhéros ridicules au possible.
Le pied!!
8/10.
Un peu moins bon que les autres ou en tout cas moins original. Ici on a droit à P'tit Huguies contre un ersatz de Bonimenteur, ramené à la vie mais plus proche du zombie. Un clin d'oeil à peine voilé à tous ces héros de comics mort pour de nobles causes et revenus à la vie peu de temps après.
Ce tome n'est portant pas dénué d'humour mais plus au 2ème degré.
Il fait surtout la part belle aux personnages un peu plus secondaires comme Annie January alias Stella.
Que le monde des supers est moche!!!!!
6/10.
Franchement c'est drôle presque plus au deuxième qu'au premier degré.
Cette fois-ci nos héros s'embarquent pour la russie. Ce tome est bourré de clichés en tout genre avec une mention particulière pour Boudin d'amour, une version soviétique et très personnelle de captain américa. Dans le tome 2 la fin est plus explosive.
A lire pour tous les amateurs de comics mais encore plus pour les non amateur.
8/10.
Toujours aussi réussi et mine de rien une bien belle satyre de la société américaine puritaine et une réflexion sur l'homosexualité.
La fin m'a paru par contre un peu bâclée.
Vivement la suite.
8/10.
Cela fait longtemps que j'ai abandonné la lecture des comics de super-héros. Mais à la lecture du tome 1 de "The boys" je suis resté sur le c...Remarquez que j'étais déjà assis pour lire ce comic.
L'idée est de montrer une brigade d'hommes ordinaires chargée de surveiller les activités des supers. Ces derniers loin des êtres assexués de chez Marvel ou DC ont des comportements parfois très limite. Quel pied que de voir ces "ordinaires" casser la gueule à des "supers"!!!
Le scénario est original, complètement décalé des histoires habituelles de superhéros. C'est drôle, politiquement incorrect avec un poil d'érotisme provocateur.
Un vrai grand moment de pur plaisir. pour moi ma révélation de l'année.
On en redemande.
10/10.
Un coup de pied, que dis-je, un énorme coup de pelle dans la tronche de l'univers des supers héros !
Mon coup de coeur, depuis un bon moment.
Pour un public averti, mais que c'est bon de voir la face cachée des Super Héros en slip, leur côtés vicieux et pervers....
Un conseil, si vous en avez assez des comics de héros lissent et irréprochables, foncez tête baissée et procurez vous "The Boys" car c'est ENORMISSIME !!
Etant un neofan des comics,
je peux seulement dire que c'est une des comics qui m'a donné
envie d'en lire d'autre. L'imagination de Garth Ennis est un vrai plaisir
dans toutes ses comics. Je vous recommande chaudement de la lire.
Que dire à part Bravo ! On en redemande. J'ai connu Garth Ennis à travers The Preacher qui est déjà bien caustique à souhait. J'ai continué à lire Garth Ennis à travers la série des Punisher MAX et là, mon choix s'est définitivement porté sur Garth. Depuis je cherche, achète et avale tout ce que Garth à pondu des méandres de son imagination. Dans The boys, on retrouve toutes les faces des personnages du monde d'Ennis. Il y a toujours des moqueries sur les Français et dans cette série, il y a carrément un des personnages principaux qui est français (bien que le personnage passe pour un barge et un bouzeux à l'accent mauvais). Ennis a aussi une dent contre la religion et dès le début de The boys, il en met une bonne couche. Cela reste acceptable. Plutôt que de paraphraser mes confrères qui ont déjà bien résumé ce tome, je vous dirais que si vous aimez les comics trash dans la lignée de Kick-ass, Preacher, The pilgrim et autres, foncez !!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai découvert avec cette série le format de séries "Comics" de chez Panini qui est très agréable à lire. Ensuite, les dessins sont sympas et le scénario, bien que réservé à un public avertit, l'est également. Une série à lire pour se défouler.
Voilà !! Voilà un comics à contre que l'on attends, que l'on demande et que l'on relis avec plaisir et impatience -pas comme wanted- dans la même veine sans le talent. Le dessin est excellent les personnages ont des visages traités d'une manière qui rappeleront des choses aux gamers Pc de Guérilla 2 jagged alliance, là aussi réussite dans la même veine du mélange des genres humour/parodie-action sérieuses. L'histoire tournent autour d'un petit groupe de "régulateurs" de super-héros pas si proprets que çà. Absolument jubilatoire pour le coté barrés de ces agents. Une réelle réussite. Donc détournez le regard des piles de Wanted que l'on vous colle en tête de rayon pour dénicher cette merveille.
Garth Ennis n'a jamais vraiment porté les super-héros dans son coeur. Il suffit de lire certains passages de son punisher pour s'en convaincre (la scène dans laquelle il se sert de spider man comme bouclier, le laissant se faire tabasser, est énorme). Là, avec the boys, il pousse le bouchon encore plus loin. Ses super-héros sont des produits marketing à la solde d'une multinationale, à l'image lisse et irréprochable devant les caméras, mais sont en vérité obsédés sexuels (aucune déviance ne nous sera épargnée), arrogants, vaniteux et j'en passe, la liste de leurs défauts étant trop longue à énumérer. Nous suivons donc une équipe de "nettoyeurs", dont certains sont carrément déments, mandatés par la CIA et chargés de recadrer les éléments déviants... et il y a du boulot. Aucun personnage de ce livre n'est sympathique, Garth Ennis semblant mettre tout le monde dans le même panier aux rebuts, les puissants comme les autres ; même le personnage de p'tit Hughie, servant de facteur d'identification du lecteur, n'est pas exempt de défauts. En conclusion, c'est vulgaire, choquant, violent, souvent hilarant, clairement polémique, mais c'est ça qui est bon !