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Cet édition contient Après l'Incal qui est probablement le plus mauvais album de Moebius et Jodorowsky. Le scénario de Jodo n'a ni queue ni tête et il n'a visiblement pas inspiré Moebius qui est en roue libre totale. Quand en plus on ajoute des couleurs hideuses il ne reste pas grand chose à garder de cet Après l'Incal.
Conscient de son erreur, Jodorowsky a repris son scénario qui a été légèrement modifié et redessiné intégralement par Lädronn. Le premier tome de Final Incal est donc proche de l'album de Moebius mais tout fonctionne mieux et les dessins de Lädronn sont sublimes. La promesse de ce premier tome de Final Incal ne sera malheureusement pas tenu, les 2 tomes suivants ne sont pas mauvais: Lädronn ne démérite pas et Jodo arrive à tenir son scénario mais tout cela se révèle assez vain. Final Incal est en définitive une histoire trop proche de l'Incal mais dans une version moins riche, expédiée (seulement 3 tomes) et qui n'apporte pas d'idée nouvelle par rapport à la série principale. Au final une série parfaitement dispensable contrairement à l'Incal.
Voici une bd qui ne pourrait aucunement être qualifiée de fond de tiroir! Mon erreur : la découvrir aussi tardivement. Bien sûr, j'en avais longuement entendu parler car elle a donné lieu à tout un univers de science-fiction qui a certainement dû inspirer plus d'un cinéaste à commencer par Luc Besson et son 5ème élément. Et puis, c'est l'association entre deux grands maîtres de la bande dessinée à savoir Moebius et le contesté Jodorowsky. Pour un titre qui commence à dater, c'est du tout bon!
En effet, j'ai littéralement adoré les aventures de John Difool, ce minable détective de classe R surnommé JDF par ses amis. Il est entraîné malgré lui dans une histoire qui le dépasse totalement et qui l'amènera à être le sauveur de deux galaxies. Il est l'image même de l’antihéros voulant simplement vivre égoïstement.
L'Incal est une sorte de pyramide blanche possédant des pouvoirs extraordinaires convoités par de nombreuses factions : une secte de scientifique, un chef d'état dictateur, des extraterrestres venant d'une autre galaxie etc...
Il y a des personnages secondaires très intéressants ou marrants comme Deepo la mouette de béton ou encore Kill tête de chien. Le scénario n'est pas linéaire et se complique un petit peu à chaque tome mais garde une parfaite cohérence et lisibilité. Ce mélange de space-opéra est peut-être l'une des meilleures séries de science-fiction de la bd.
Après avoir entamé L'Incal Noir il y a deux semaines, passé à travers la jeunesse de John Difool dans L'Avant l'Incal, j'ai complété la saga de l'Incal après lecture des 3 tomes de Final Incal, avec en bonus la lecture du premier tome de Final Incal avec Moebius au dessin.
Tant la saga originale m'avait plutôt laissé indécis et sur mon appétit, et que celle de l'Avant Incal m'avait redonné le goût d'en savoir plus, Final Incal complète à merveille cette fantastique épopée d'un homme héroïque sans vouloir l'être. Grâce à ces trois derniers tomes, j’obtiens finalement réponses à la majorité des questions qui m'assaillaient lorsque j'eu complété les deux séries précédentes. Ça m'a permis de faire la paix avec John Difool que j'avais détesté dès le début de la lecture de l'Incal Noire.
Quant aux dessins, j'implore d'avance le pardon des bédéphiles, mais wow, quelle claque que ceux de Zoran Janjetov ! Dommage que toute la série n'ai pas été dessinée par lui, ça aurait été tellement plus plaisant et agréable à lire ! Cependant, j'ai en profité pour lire le tome 1 de Après l'Incal, dessiné par Moebius, et je dois avouer que j'ai beaucoup plus aimé son dessin que dans ceux des volets précédents. Mais, n’en demeure pas moins, que j’ai de loin préféré ceux de Janjetov.
Final épique pour un Final Incal, ça se termine avec un super 8.5/10 !
Ma petite recommandation personnelle : Si vous n’avez jamais lu cette saga, commencez-la par ‘’Avant l’Incal’’ plutôt que l’Incal Noire, vous me remercierez par la suite.
Ce qui marque tout d'abord dans cet album ce sont les dessin de José Omar
Ladrönn, un parfait inconnu (pour moi du moins) qui nous offre ici des
planches tout simplement époustouflantes, des illustrations grandioses, des
cases extrêmement travaillées. Jodorowsky de son côté foisonne d'idées et les
exploite à merveille. On retrouve le souffle épique qu'il sait si bien insuffler à
ses scenarii, sans oublier la touche bizaroïde qui lui est propre.
MAIS (parce qu'il y a toujours un "mais" avec les BD de Jodo depuis 15 ans)
force est de constater qu'au fil de la lecture l'album s'essouffle. Les dessins
eux-mêmes semblent un peu moins travaillés, moins précis, légèrement
grossiers (mais peut-être n'est-ce qu'une impression). Mais c'est surtout
Jodorowsky qui pèche en partant dans des délires assez difficiles à suivre,
sabordant ainsi lui-même les bases pourtant géniales de son propre album.
Espérons donc que la suite sera du même niveau de qualité que les 30-35
premières pages de cet album et ne devienne pas un gros bordel répétitif et
indigeste comme ce cher Jodorowsky nous en a déjà servit à la pelle.
Là il faut m'expliqur...
En 2000 j'ai acheté "Le Nouveau rêve", premier tome de "Après l'incal" (scenario de Jodo et dessin de Moebius). 8 ans que j'attend la suite et rien...
Aujourd'hui je me procure ce 1er tome de Final incal et Ho surpirse, c'est le même scénario à quelque nuance prêt...
Jodo m'a fait rêver dans le passé, mais il commence vraiment à nous prendre pour des c.... Depuis quelques années, il est clair qu'il est en manque d'inspiration et il nous recuit ses chef d'oeuvre (cf Le monde d' Alef Thau)...
Déçu et dégouté.
Tout de même un ppint positif: Les dessins et la couleur de Landrönn qui apporte une vrai renouveau dans ce "remake"...
Les années 80 de Jodo me manque...