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Pas envie de dire que c’est mauvais mais on est tellement habitué aux dessins de Lambil que la lecture en est troublante.
C’était totalement évitable. Je ne recommande pas.
Quand la série s’essouffle, ça se ressent. Il y a des hauts et des bas dans les albums des Tuniques bleues. Ici, on est clairement dans une mauvaise passe.
Le scénario est un peu faiblard, ça manque de punch. L’humour, bien que présent, est moyennement maîtrisé. L’acharnement de Blutch vers l’officier supérieur est lassant à la longue.
Au final, c’est vite lu et ça s’oubliera très rapidement. Dommage car il y avait certainement matière pour mieux faire.
Une série qui continue, mais qui se cherche, n'est pas Cauvin qui veut. Bonne petite histoire, mais l'impression est que le meilleur est désormais derrière nous. Il est un moment où il faut pouvoir s'arrêter en pleine gloire plutôt que trop tard.
Un peu surpris par le dessin. Je me suis même demandé s’ils n’avaient pas changé de dessinateur plutôt que de scénariste.
L’histoire est pleine de rebondissements et il y a quelques réussites comme l’inversion des rôles entre Blutch et Cornelius ou l’affreux rejeton du général Lee. L’album tient la route et c’est louable. Je reste convaincu que pour redonner de la vigueur à cette série il faudrait sortir de cette guerre de sécession qui limites les innovations.
avec le changement de scénariste on espérait beaucoup, et le résultat est peu probant, l'idée de départ est sympa mais au fil des pages cela ronronne et les rebondissements sont sans surprises. Lambil assure à minima le dessin même si celui ci devient moins précis. Quel dommage que les auteurs ne savent pas dire stop!
Nous retrouvons nos deux compères que sont le caporal Blutch et le sergent Chesterfield. Tous les séparent car l'un est plutôt pacifiste quand l'autre a l'âme d'un guerrier. Pour autant, ils sont toujours fourrés ensemble même lorsqu'ils bénéficient d'une permission de sortir.
A noter tout de même que le sergent Chesterfield fait la différence entre un acte de guerre et un pur assassinat. Il va essayer de tenir la promesse qu'il a fait e à un mourant sudiste ce qui ne sera pas une mince affaire quant à sa réalisation.
J'ai trouvé que pour une fois, c'est lui qui semble voler la vedette au caporal Blutch qu'on trouve généralement plus censé et sympathique que le va-t'en-guerre. Chesterfield a visiblement une moralité et de beaux principes.
Ce tome tourne autour du thème du fameux or sudiste qui aurait pu inverser le cours de la guerre. Oui, comme chacun le sait, c'est l'argent qui est le nerf de la guerre. Il reste assez léger malgré toutes les horreurs de la guerre de Sécession. On a également droit à une remarque comme quoi sur le prétexte abolitionniste pour expliquer la cause du Nord. Oui, c’est une guerre pour s’approprier des richesses et rien d’autre.
Nous avons là un album qui demeure encore assez sympathique. Il y a une simplicité et une efficacité dans le scénario qui va de pair avec un dessin dans la tradition des séries humoristes franco-belge. A noter qu’un nouveau scénariste a pris le relai pour nous présenter un récit plus structuré et à rebondissement tout en restant dans la tradition de ce qu’on attend d’une telle série. Bref, un divertissement à l’état pur pour l’une de mes plus grandes séries dans ma collection.
Voilà longtemps que la série a perdu son humour décalé et son originalité, ses dialogues drôles et ciselés entre Blutch et Chesterfield…
Alors, qu’est-ce qu’il reste ?
La nostalgie, d’un côté, le plaisir de retrouver les personnages – et ici, on en retrouve même des anciens.
Le côté historique vrai de l’autre, nous faire découvrir des choses qui ont existé à l’époque.
Mais je n’ai pas été emporté par la folie dynamique des vingt ou trente premiers tomes.
La qualité du dessin est toujours là et c’est sympa de se plonger dedans mais sans procurer les émotions d’antan – sans savoir si c’est la série ou moi qui a vieilli et devrait arrêter…
Un album un peu faiblard comme souvent quand les bleus sont au fort et non au front. Ça reste très sympathique et amusant mais le challenge principal (empêcher les chercheurs d’or de venir sur un territoire indien ce qui relancerait les guerres indiennes) est résolu un peu trop rapidement et facilement. Les auteurs ont privilégié la farce à l’action. Il faudra s’en contenter. Au meilleur de leur forme, ils étaient capables des deux.
Les dessins ne donnent pas envie de continuer la collection, histoire banale d'un journaliste plein de bonnes intentions scénario utilisé en BD et films
quel dommage de ne pas avoir arrêter la série quand il était encore temps, le scénario part dans tous les sens, on part des syndromes touchant les soldats puis on dérive dans une ballade avec un anarchiste qui tutoie mais qui mène nulle part pour arriver sur un territoire ou les gentils indiens sont pris à parti par les sudistes, mais protégé par un chaman ! à coté d'un fort où l'on retrouve l'amour du sergent! et à la fin on a l'impression qu'aucunes des histoires ont aboutis! par ailleurs le dessins lui aussi semble manqué de précisions au fil des pages! un album à oublier!
Critique de la BD “du feu sur la glace”
Je sais pas trop quoi penser de cette BD. Je suis un très grand fan de Cauvin et des tuniques bleues, et j'avais été extrêmement déçu par les précédents tomes. “Les tuniques bleues” s’essouffle. L'histoire est sans intérêt et la fin bâclé. Les dessins franchement moyens. De plus Kris à voulu rajouter un soupçon de magie indienne qui dénote avec l'esprit des précédents opus.
J'ai du mal à me décider si ce nouveau tuniques bleues est mauvais ou simplement nul. Rien ne va ! L'histoire n'est vraiment pas terrible, les personnages inintéressants au possible et le message maladroit. Y a juste les dessins qui sortent un peu du lot. Cependant ils n'ont rien à voir avec le style habituel de ces bandes dessinées. Ils viennent juste rajouter un peu de confusion chez les lecteurs habitués au style de Lambil.
Un échec total, je ne recommande vivement pas !
Tiens tiens, un nouvel album des Tuniques Bleues avec de nouveau Kris au scénario et Lambil aux dessins, après le sympatoche 'Irish Melody'. Est-ce que le présent volet est d'aussi bonne facture voire mieux que le précédent ?
Cet album a malheureusement le cul entre trois chaises (oui c'est possible) avec d'un côté le stress post-traumatique du sergent, les tribus indiennes opprimées par les méchants blancs sudistes et la présence du cartographe anarchiste. Il y a l'envie de traiter de plusieurs sujets sur un album, chose appréciable mais atteindre l'équilibre est délicat. Dans l'ensemble, j'ai eu plus l'impression d'avoir assisté à une greffe qui marche par à-coups.
Le pire se révèle être l'insertion de problématiques progressistes actuelles au forceps, dans un contexte géopolitique et socio-historique qui était beaucoup plus complexe que ce l'on peut supposer. Ce volet insiste là-dessus via le personnage d'Amélie qui veut soigner tout le monde et l'anarchiste qui récite ses belles leçons de vivre-ensemble sans frontière. A mourir de rire.
L'armée de l'Union a aussi massacré son lot de tribus indiennes, et ce encore plus après la guerre de Sécession. Pour une série qui réussissait à ne pas tomber dans un camp ou l'autre (par exemple Black Face ou les cousins d'en face) et à ne jamais être trop pontifiante, c'est vraiment dommage.
cet album ne fait pas partie des plus grands de la série mais c’est un bon album avec une aventure plaisante et drôle aussi grâce à un Blutch qui offre un festival digne d’une comédie de cinéma muet.
Cet album est une énigme pour moi.
Le dessin, pour une raison que j'ignore m'a perturbé sur les premières pages. Je ne saurais dire si c'est une impression ou un réel changement, alors même que Willy Lambil était à la manoeuvre. Outre ce détail qui s'est un peu estompé au fil de ma lecture, je n'ai à vrai dire rien compris au scénario. L'idée de départ d'un Sergent Chesterfield en proie au stress post-traumatique est bonne (quoique trop similaire aux nombreuses péripéties connues par le capitaine Stark au fil des albums suite à l'éclat d'obus). Mais pourquoi diable y insérer un cartographe pacifiste et communiste avant l'heure (ce qui pose question d'un point de vue historique (là où la série les tuniques bleues brille habituellement par sa rigueur historiographique) et des creeks ? Je n'ai pas vraiment compris la logique de l'entremêlement de ces trois problématiques. Cela a créé une surcharge narrative avec un enchaînement d'actions sans véritable fil conducteur. Et que dire de la fin qui introduit un soupçon de surnaturel ? Non cet album est une déception pour moi. J'espère que le prochain tome rehaussera le niveau. Un scénario plus clair avec davantage de légèreté.
Bonjour, j'étais content de retrouver Will Lambil comme dessinateur mais l'histoire de plus d'un siècle parsemée des "états d'ame de notre époque" me laisse perplexe. Il faut arrêter de dénaturer l'histoire en la travestir avec des connaissances inexistantes à l'époque décrite
Visiblement après avoir annoncé ses adieux à sa série à coup de grandes pompes, Willy Lambil revient au dessin pour un tome supplémentaire. Les fans seront évidemment ravis. J'ai la plus grande admiration pour lui en raison de son âge. Il ne lâche pas l'affaire.
C'est la BD que je suis depuis ma plus tendre enfance aussi loin que je me souvienne avec le duo comique entre le Sergent Chesterfield et le caporal Blutch sur fond de guerre de Sécession. Autant, dire que je possède les 67 tomes de cette série qui constitue la plus longue de ma collection. C'est presque devenue comme une habitude.
Pour la partie historique, il s'agit pour les rebelles de massacrer les tributs indiennes situées plus à l'Ouest pour les faire tomber dans leur girons car la plupart sont restés fidèles à l'union. On se rend compte que les indiens ont été massacrés même pour une guerre qui ne les concernaient pas. C'est triste comme la fin où il y aura un sacrifice pour sauver la troupe. Voilà pour le travail de recherche concernant ce tome scénarisé par Kris.
Le ton reste toujours aussi léger avec quelques réparties bien senties. On retrouvera même la délicieuse Amélie Appeltown qui se transforme en infirmière pour soigner les blessés quelque soit la race.
Evidemment, la lecture demeure toujours aussi agréable avec une évolution assez intéressante concernant le personnage du Sergent Chesterfiel qui va s’intéresser à autre chose que le culte de l'armée.
Après un dernier album scénarisé par Cauvin (T.64) très moyen et une reprise catastrophique (T.65), j'avais arrêté la série et pensais passer à autre chose. C'était sans compter ce nouvel opus qui titillait mon regard en grande surface et qui ne demandait qu'à être lu. Après lecture, je suis soulagé de dire que la barre a été (heureusement) relevée.
Bon soyons clair, ce n'est pas un chef d'œuvre et il ne s'y passe pas grand chose au final. Néanmoins, le scénario écrit par Kris ajoute un côté plus brut de décoffrage dans le sens où nous revenons à la réalité meurtrière de la guerre.
Il y a bien entendu de l'humour mais moins qu'à l'accoutumée. J'ai aussi noté la qualité de certains dialogues bien amenés et piquant par moment. L'histoire globale m'a rappelé l'excellent album 'les cousins d'en face' par instant, même si cet opus n'en atteint jamais la qualité.
Au dessin, Lambil est fidèle à lui-même et à 86 ans passés, on peut dire qu'il a du mérite de continuer.
Un album sympathique, sans prétention, mais largement mieux que le précédent (ce qui n'était pas difficile). J'attends de voir les opus suivants avec de nouveau Kris à la barre.
En soi, le tome est assez vivant.
On ne remarquerait quasi pas le changement de scénariste tant Kris s’est parfaitement imprégné de l’esprit de la série.
Lambil est toujours épatant avec ses dessins ronds et vifs à la fois…
Cependant, ça manque pas mal d’humour par rapport aux débuts…
Quelques confrontations entre Blutch et Chesterfield, pour la forme, mais l’ensemble est assez sérieux, on a de la vraie guerre, du mort…
L’histoire avance, certes, mais plus rude que d’habitude et si c’est agréable de voir qu’on pourra toujours avoir un bon scénariste à la série, ce n’est pas le tome que je prendrai plaisir à relire…
Très bon album avec une intrigue émouvante et drôle. J'ai trouvé les graphismes réussis. Au final, j'ai passé un bon moment en compagnie de nos deux zigotos de service. Je n'ai qu'une hâte : de lire le prochain opus !
Ouf, on a retrouvé l'esprit et le dessin des Tuniques Bleues. Bon album, il augure plein de bonne chose pour le suite. Kris prend la relève et est à la hauteur de cette BD mythique.
Seule question: Quid de Lambil qui avait annoncé sa retraite, bien méritée ? Reprend-il du service ? Lui trouver un remplaçant permettrait de repartir pour 60 albums ! ! !
A quand les Blutch et Chesterfield au Mexique ?
Un nouvel album des Tuniques Bleues est toujours une véritable joie quand on a tant adoubé cette série mais force est de constater que si l'idée de base semble bonne, il ne se passe ( une nouvelle fois rien ou pas grand chose) il se lit et se refèrme aussi vite que beaucoup des derniers opus, scénario sympa mais traité sans l'humour, trop de temps morts et faibles, vannes désormais trop lues et entendues, le dessin remonte mais sans plus, bref laissons le temps à Kriss de faire ses armes et on verra!
Pour être honnête j'y allais un peu à reculons, Les Tuniques bleues c'est la série de mon enfance et comme tout le monde le sait vieillir peut être un naufrage aussi pour les sagas de BD. Alors ce tome n'égale pas les grands classiques des TB mais je le trouve malgré intéressant, le scénario est agréable et l'ensemble se laisse lire avec délectation.
Le dessin ne colle pas du tout à cette série mais ce n'est pas le point le plus gênant.
Le scénario est mièvre et digne de collégiens. L'âne du bon et grand journaliste (enfin soi-disant car il est somme toute parfaitement inutile dans l'histoire) serait selon les auteurs un renvoi au parti démocrate. C'est à pouffer de rire. Visiblement ils ne savent pas que c'était le parti politique des confédérés.
À fuir sous peine de perdre son temps.
Scénario très drôle et sans nul doute le plus touffu depuis Émeutes à New York. De plus, au vu du pitch sur le site éditeur, on pouvait craindre un remake des Cousins d'en face mais ce n'est absolument pas le cas. Les deux albums sont finalement très distincts. Belle originalité, donc.
On est très loin du scénario catastrophique du tome 65.
Bravo au nouveau scénariste et merci à Dupuis d'avoir corrigé le tir.
+ Un hommage assez inattendu à Franz via le titre, ce qui est très plaisant pour un fan et de cet auteur et des tuniques bleues comme moi :)
Alors que Willy Lambil nous avait fait ses adieux, voilà qu'il revient alors qu'il est âgé de 86 ans pour un ultime tome sous la direction du scénario de Kris le breton. Il est vrai que sa ligne graphique nous manquait un peu et qu'il s'agit d'un retour un peu inattendu.
Le tome 65 n'a pas été à la hauteur des fans de la série alors qu'au contraire, je l'ai beaucoup apprécié. J'étais sans doute plus mesuré en acceptant le changement d'équipe aux commandes.
J'ai une affection particulière pour cette série que je suis depuis mon enfance. Elle demeure encore aujourd'hui assez intemporelle.
Pour autant, cet irish melody m'a paru bien fade au niveau du scénario où il ne se passera pas grand chose. On semble également revenir aux premières années de la guerre qui ont été maintes fois exploité dans la série. Bref, j'ai l'impression de faire du surplace.
La thématique centrale est de nous montrer que des irlandais combattait pour le Sud et d'autres pour le Nord dans une lutte finalement assez fratricide. Cela ne se terminera pas très bien pour une fois mais la bonne humeur de la série fait vite oublier l'horrible tragédie. Ce qui est réellement plaisant à cette lecture, c'est toute l'atmosphère irlandaise qui en ressort.
Bref, j'ose avouer que ce n'est pas le meilleur de la série bien au contraire. Par contre, les irlandais apprécieront sans doute cette ballade.
Les tuniques bleues font partie de ces séries qui m'ont donné goût à la bande dessinée en étant plus jeune. Elle a donc une place particulière. C'est vrai que mon exploration m'a conduit à des BD plus mâtures.
Cependant, il n'y a pas de mal à lire les tuniques bleues sur un mode plus léger que celui du divertissement. Pourtant, le sujet est grave car il s'agit de la guerre civile qui a frappé les Etats-Unis de 1861 à 1865 en faisant de nombreuses victimes.
Cette fois-ci, ce sont un collectif d'auteurs plus ou moins connus qui font revivre les aventures du caporal Bluch et du sergent Chesterfield. Il est vrai que le style graphique est très varié ainsi que la tonalité de ces petites histoires.
J'avoue avoir nettement préféré certaines qui sortent du lot: tireur au flanc, la cicatrice, le garçon au tambour, la dernière balle. Ma meilleure est certainement mon cousin américain par rapport à sa chute. Il y a un côté également plus engagé dans la lutte contre l'esclavage.
Par contre, je n'ai pas trop aimé : Les bleus en font des caisses, les mots bleues, des bleues en rose et blanc. Il faut dire que le style graphique était assez enfantin. J'avoue avoir une nette préférence pour un style plus mâture.
Au final, un bel hommage rendu par ces 19 auteurs à l'occasion de la parution du 60ème album.
Le scenario est intéressant mais quelle deception pour Les dessin des personnages!
On peine même parfois à les reconnaitre.
Qu'est il arrivé à Willy LAMBIL?
Pourquoi a t il tant baclé cet album.
Très déçu, peut être vais je arrêter là cette collection que j'adorais.
Un vent de fraicheur sur la série qui tournait en rond!
Les caractères de Blutch et Chesterfield sont respectés, très bonne interaction avec le déroulement de l'histoire. On voit bien la différence de réflexion entre les 2.
Très bons personnages secondaires, avec une belle morale à la fin.
Cet opus sera ma dernière acquisition. Le changement physique des personnages est une erreur. SI Tous les dessinateurs ayant repris un héros récurrent les avaient transformés en asperge.
mon dieu que les dessins sont mauvais et lambil continue avec un autre scenariste oula.Je l'ai pris quand mème quelle déception je les suis depuis 1972 regret pour cauvin et lambil devrait stoppée il n'y est plus reste des albums fabuleux a lire et relire pour la suite ce sera sans moi
Dernier tome de Cauvin…
S’il n’aura pas renoué avec l’humour doux mais cynique des débuts, il aura offert un joli dernier tome, plein de tendresse et de bons sentiments.
Il y a de l’humour, c’est vrai, mais on reconnaît la patte et il n’y a pas beaucoup de surprises.
On assiste plus à une succession de petits sketchs sur la trame de la recherche d’Arabesque.
C’est gentil mais pas aussi prenant qu’antan…
Et si les dessins sont toujours sympas, on voit quelques maladresses ici et là…
Dernier tome pas mal, salut à l’auteur d’origine !
Voilà, cet album 64 sonne le glas des aventures de nos deux héros Yankees préférés imaginées par ce duo magique Lambil & Cauvin.
Album que j'attendais impatiemment de découvrir malgré des précédents plutôt moins aboutis qu'espéré, je dois dire que j'ai été agréablement surpris par cette histoire qui tient le lecteur en haleine tout au long du récit. Je me doutais que nous allions retrouver des personnages récurrents de la série, dommage cependant que les auteurs ne nous aient pas offert un retour à Fort Bow, histoire de boucler la boucle.
J'attendais aussi de voir comment les auteurs allaient réaliser la dernière case de la dernière page. Pas de géôle, pas de bataille sanguinaire, pas de course poursuite à cheval, non, rien de tout cela, deux héros assagis dans les actes mais pas dans les mots... chevauchant leurs montures vers le soleil couchant à l'image d'un Lucky Luke en quête de nouvelles aventures avec la satisfaction du devoir accompli.
Voilà l'histoire est désormais terminée. Merci à ce duo d'auteurs qui m'a fait rêver, qui m'a accompagné depuis mes "vertes années" jusqu'à aujourd'hui. Puissent les nouveaux auteurs avoir le même talent et la même énergie que Lambil & Cauvin à poursuivre l'oeuvre imaginée par Salverius et ce même Cauvin qui sont à nouveau réunis maintenant et pour l'éternité.
Ce tome 64 est le dernier du duo Lambil et Cauvin. Raoul Cauvin nous a quitté au mois d’août dernier pour son dernier voyage à 82 ans. Ce tome est paru après le tome 65 qui a mis en place une nouvelle équipe plus jeune: Munuera et Beka.
J'avoue que même si j'ai aimé la vieille équipe qui a eu sa grande époque, je reconnais qu'il fallait passer à la nouvelle. Ce titre ne fera pas partie des meilleures de cette collection. Je l'ai d'ailleurs trouvé un peu vulgaire avec un caporal Blutch qui se met à cracher sur tout le monde ce qui n'est pas de bon goût. Certaines valeurs se perdent !
Le cheval Arabesque se trouve être au cœur de cette intrigue. Il a été donné à un régiment pour combattre et il y aura maintes péripéties afin de retrouver sa trace. On passe toujours un agréable moment de lecture empreint d'une certaine nostalgie.
Les tuniques bleues font partie de ces albums au même titre qu'Astérix que j'achète depuis mon enfance. C'est une impressionnante collection qui s'est constituée au fil des années. Cela fait partie du décors.
Quelle tristesse de finir sur un album de cette qualité! Chers éditeurs arrêter de presser les auteurs à faire un album par an, par fidélité on achète! mais depuis déjà quelques années que de déception. La quantité nuit à la qualité et c'est bien dommage. Ce dernier n'échappe pas à la règle, le scénario s'étire péniblement tout au long de l'album! pauvre Cauvin et le dessin d'habitude irréprochable a de vrai signe de faiblesse sur certaines cases. Je suis bien triste ce soir après une lecture bâclée comme le sentiment de la réalisation de cet album!
Je n'avais plus lu de tuniques bleues depuis bien longtemps, et bien c'est très rafraîchissant.
J'avais peur que la magie au bout de 64 albums soit disparue et que cela ne soit que redites des épisodes précédents, et bien non, j'ai passé un bon moment.
Partir à la recherche d'arabesque est une très bonne idée, cela permet d'enchaîner les gags tout en mettant du suspense...
et hop je vais relire les premiers.
Ça y est le nouvel et dernier album des tuniques bleues (de Cauvin et Lambil) est sorti, est-ce que cela va être enfin l'armistice pour nos célèbres héros nordistes ?
La réponse est non, et encore une fois, Cauvin ne s'est pas trop fatigué pour le scénario: Blutch part à la recherche de son cheval Arabesque qui s'est perdu, en compagnie de Chesterfield. Pas d'armistice en vue donc, et encore moins de sujet très passionnant pour ce nouveau tome…
S'ensuit donc des rencontres et situations improbables, enjolivées de quelques dialogues et gags qui m'ont fait un peu rire.
Pour le reste, Lambil fait comme d'habitude et reste fidèle à lui-même au niveau des dessins.
Que restera t-il de cet album ? Pas grand-chose.
Néanmoins, je retiendrai les dernières cases où l'on peut admirer pour la dernière fois nos deux compères encore en train de se chamailler. J'ai ressenti un doux parfum de nostalgie bien paradoxal: d'un côté je ne peux pas aimer cet album ni les derniers sortis depuis des années, d'un autre côté, cette fin s’apparente un petit peu au dernier tour de piste de vieux artistes avant de tirer le rideau : on a vécu de très bons moments avec eux et malgré le temps et les gadins en tout genre, ils sont toujours là et on les admire en se disant que c’est la dernière fois.
Après des années de fidélité et de lecture, il est temps pour moi de tourner la page des tuniques bleues.
Un scenario minimaliste qui tourne en rond....
On s'ennuie presque , les auteurs poussant même le vice jusqu’à reproduire deux fois la même page sous prétexte de répétition de l'histoire!
Heureusement ,il reste la qualité graphique...
Décevant!
Les auteurs ont parfaitement compris la vision des deux auteurs mythiques et ont su y introduire leurs propres sensations. Le dessin est de plus vraiment très réussi. Un excellent moment de lecture pour une excellente reprise.
Je ne sais trop que penser…
D’un côté, je suis fan de Munuera et il a réussi cette reprise haut la main, on retrouve à la fois les Tuniques de Lampil et le style du dessinateur.
Mais l’ensemble est plus réaliste, moins « bon enfant » que la série d’origine…
Alors oui, celle-ci tournait en rond mais Cauvin avait quand même le sens de la situation loufoque qu’on ne retrouve pas ici, le dialogue amusant qui est plus sérieux ici…
En soi, c’est plutôt sympa mais la marche est grande avec la série d’origine et je n’ai pas totalement eu l’impression de retrouver les héros habituels.
Mais ça reste bien fichu quand même.
Superbe massacre de Blutch et Chesterfield qui sont parfois méconnaissables.
Les soldats ont de façon générale des problèmes de croissances avec leurs jambes interminables.
Des graphiques méconnaissables.
J'ai arrêté après 5 pages... je ne jugerais pas le scénario.
Il parait que Munuera fait des choses intéressantes... mais clairement pas ici, et ce n'est pas cet album qui me donnera envie d'aller voir d'autres séries.
As t'on changé le dessin sur Asterix après reprise?
As t''on changé le dessin sur Lucky Luke après reprise ?
Tout est dit .....
Aïe ! L'une des séries de mon enfance vient d'être sacrifié sur l'autel du dieu "Argent" par les éditeurs et des auteurs peu respectueux.
- Le premier choc concerne le nouveau design des personnages qui ressemble à une version cartoon de ce que l'on a connu. Cet aspect cartoon aurait pu bien passer si, en amont les auteurs avaient eu des idées et/ou une direction précise de là où aller, malheureusement c'est tout le contraire qui se passe... ;(
- Le scénario est un ramassis de non-sens, de clichés, de manichéisme primaire bobo-gauchiste politiquement très correct sur la guerre de Sécession (les méchants sudistes racistes, les pasteurs rigoristes/fanatiques, les femmes battues, les noirs opprimés…). Après "Lucky Luke, un cow-boy dans le coton", qui est passé à la moulinette de la propagande manichéenne bien pensante, les tuniques bleues suivent la même trajectoire :(
En résumé: n'achetez pas cet opus !!! Il ferait tâche d'huile dans votre collection, cet album n'est rien d'autre qu'un doigt d'honneur envers tous les fans de cette série.
Boycottez, histoire de faire comprendre aux auteurs (coupables de ce crachat) et aux éditeurs (qui ont validé et cautionné ce projet) que l'on refuse un résultat d'aussi piètre qualité et aussi malhonnête intellectuellement !!!
Bon, pour être bref.
Je comprends que l'on choisisse un autre style de dessin pour ne pas vouloir faire une "imitation" , mais dans ce cas on le soigne ! La double page 30/31 est pauvre, manque de détails et ne retransmets pas du tout l'effet escompté. Donc Ok pour un nouveau style mais faîtes un effort si vous voulez que ça passe.
Le scenario... Il est plat. C'est une suite de cliché tellement grossier qu'ils donnent envie de défendre le contraire. Le monde est Noir ou Blanc, avec zéro nuance de Gris. Ce type de message est passé, et le manichéisme pure et dure à depuis longtemps montré ses limites. Ayez un peu de finesse, chaque personnage à sa part de bon et sa part de méchant. (visionnez GoT). Le seul intérêt de cette album pour vous, est de comprendre l'attente des lecteurs, leurs faire accepter le changement, petit à petit et de relancer la série.
Reprendre les Tuniques Bleues est un des plus gros challenge que la BD offre. Vous le relevez Bravo, mais appropriez vous la suite. Comme Palacios avec Mc Coy, envoyer Blutch et son Sergent préféré au Mexique pour aider les mexicains à chasser les Français.
Vous voulez faire autre chose, faites le complètement, ce sera plus simple pour vous !
Mais quel que soit votre choix pour la suite, arrêtez ce ridicule ton sur la lutte des classes, les gentils nordistes qui avaient dans leur Union 6 états esclavagiste et un Abraham Lincoln qui à aboli L'esclavage en 1963... seulement dans les états du sud occupé par l'Union. Évoluez, ce discours à minimum 50 ans de retard !
J'ai 56 ans et je suis cette série depuis sa création en 1972.
Il y a quelques mois, sachant que de nouveaux tomes allaient bientot être disponibles, j'ai relu dans son intégralité toute la collection depuis "Un chariot dans l'Ouest".
C'est vrai que ces derniers temps, les formules accompagnant les disputes entre Chesterfield et Blutch étaient un peu répétitives,
"Carte blanche pour un bleu (n°60) était même du réchauffé, mais j'avais toujours le plaisir d'ouvrir chacun de ces albums en me disant que j'allais passer un bon moment.
Qu'elle ne fut pas ma déception à l'ouverture de ce numéro 65 !
Tout d'abord, les couleurs trop criardes, la police de caractères moins lisible que celle à laquelle nous étions habitués et bien plus désagréable et puis les personnages si mal reproduits, difformes par moment, une horreur sans nom.
Le dessinateur a-t-il compris le sens de cette BD d'humour ? Il est totalement à côté de la plaque et j'espère que ce sera son seul exemplaire. En aucun cas, il ne mérite cet honneur de succéder à Willy Lambil.
Pire aux pages 44 et 45, on a l'impression de lire un manga !!
Horreur totale.
Ce qui me fait le plus de peine, c'est que c'est un cadeau de mes enfants, sinon je l'aurai déjà jeté à la poubelle. Une chose est sûre, lorsqu'il me reprendra l'envie de relire toute la collection, cet album raté et honteux restera fermé.
Je me réjouis d'acquérir le tome64 dans les semaines qui viennent et puis ce sera la fin de cette série qui a toujours suscité en moi curiosité et plaisir depuis mon enfance.
Basta. Hors de ma vue messieurs Munuera et Beka et honte à vous d'avoir détruit ainsi mon intérêt et ma joie de lire les Tuniques Bleues
J'ai 53 ans, et je fus auteur de BD (merci à bédéthèque pour ma fiche - pas complète!-)...
J'ai choisi ce métier à 9 ans grâce aux "Tuniques bleues". Mon premier pseudo " d'auteur" fut "Lampus" -Contraction de Lambil/ mon initial/ Salvérius- que j'ai repris ici vu qu'un petit coquin du forum m'a emprunté "l'officiel"; pendant très longtemps je faisais du graphisme "franco-belge" totalement inspiré de Lambil...
C'est pour vous dire combien cette série me tient à coeur...
Alors ce long préambule pour vous dire le dégout que j'ai eu en découvrant cet album !
L'ensemble :
Est-ce que les auteurs ont bien compris la "ligne" des TB ?
Ils disent dans l'avant propos qu'ils ont voulu "l'épicer"... Je veux bien, mais épicer un choux à la crème avec du pili pili, c'est ... nul ! Au départ cette série hommage aux westerns d'antan de John Ford et autres se transforma en humour avec fond antimilitariste... Le dessin tout en rondeur convenait particulièrement aux scénarios de Cauvin...
Etait-ce si simple à comprendre?
Le scénario:
Comme de nombreux commentateurs sur la série, je trouvais aussi les scénars des TB un peu faible depuis quelques temps...
Lui est un mix entre plusieurs albums remodelés avec la sauce des années 2010... Ça aurait pu être bon après-tout si il y avait eu plus d'humour et moins de scènes inutiles.
Le découpage:
Une nouvelle fois, rien à voir avec le "gaufrier" traditionnel... C'est lourd et la page centrale avec si peu de détails: POURQUOI ?
Quand Lambil fait une demi-planche en pano c'est fouillé, rempli de détails et surtout utile...
Le dessin :
Que dire ? Même quand Lambil faisait du "semi-plus-que- réaliste" c'était quand même rond, et ça gâchait rien... Dans cet album on mélange un peu tout sous couvert d'une "démarche artistique" ...
Ben non ! ça marche pas...
Et je parle pas de certaines images très mal cadrés, loin du génie de Lambil.
La couleur:
Et aller ! Aéro Photoshop à tous les étages ! Aplat noir ! Mais y a pire: des images illisibles sous prétexte de faire plus réaliste...
La couleur des TB est avant tout légèreté et lisibilité, encore un truc que les auteurs n'ont pas compris !
Bref cette BD, c'est comme si on avait donné à Casimir la recette des choux à la crème et lui, il arrive avec un gloubi boulga.
Dupuis devrait retirer le numéro 65 et l'identifier comme "hors série" ça satisferait je pense TOUS les fidèles de cette série et leur permettrait de faire d'autres "essais" avec d'autres auteurs...
Mais je suis d'accord avec plein d'autres commentateurs... il faut clore définitivement cette série...
Personnellement j'ai souvent imaginé cet album final (si Dupuis est intéressé ;o)... ) qui répondrait à pas mal de questions en suspend...
J'aimerais voir cet album qui clôturerait ma collection, quitte qu'il fasse 2 ou 5 ans de travail, le tout avec nombre de pages, mais un album somptueux avec toute la magie de nos éternelles "Tuniques bleues"...
Premier commentaire que j'écris. Comme un besoin de me confier.
O My God. Que cette BD était nulle! Ce qui me chagrine c'est ce que cela concerne l'une de mes séries préférées. Quelle trahison! Quel scandale! Quelle atrocité!
Je ne vais pas polémiquer sur le dessin. Beaucoup de choses ont été dites et ce n'est pas ce qui m'a le plus dérangé.
Mais le scénario, o mon dieu! Pourquoi ne pas avoir recruté des scénaristes talentueux et inspirés? C'est une honte, ce scénario! Des clichés à 2 balles, pas de finesse dans l'écriture, aucun humour. Tout est téléphoné. On est surpris certes, mais par la bêtise choisie par les scénaristes. J'ai refermé la BD, je me suis demandé ce que j'avais lu. On dirait une (mauvaise) parodie des tuniques bleues. J'en ai presque pleuré...
J'ai lu successivement le tome 11 des intégrales de Félix de Tillieux puis le tome 65 des tuniques bleues, je peux vous dire que le corps humain n'est pas préparé à une telle différence de talent. Il faut des paliers de décompression pour soutenir le choc.
En lisant le tome 65, j'avais l'impression de régresser intellectuellement tellement le scénario était niais.
Il y a quand même un point positif dans cette BD car de toute chose mauvaise, il faut en tirer une leçon. Ce 65ème tome des tuniques bleues me permettra à l'avenir de fuir comme la peste ET le choléra toutes les productions futures de Munuera et Béka. Cette leçon m'évitera de perdre de l'argent et de faire dangereusement monter ma tension.
Grosse deception, changement de dessin et scenario tres (trop) serieux qui tranche a mon goût avec l'essence original de cette BD. J'attendrais avec impatience le dernier tome de cauvin qui cloturera cette belle collection.
J'ai eu la BD pour Noël et je viens de la lire. Mais quel déception !!
Franchement, c'est quoi ces dessins ? C'est juste DÉGUEULASSE, imprécis, les corps totalement disproportionné !!
Je me suis forcé de la lire jusqu'à la fin, les images sont horribles bordel !
Une BD, pour qu'elle soit attirante, c'est avant tout ce que montrent les dessins, les images, la patte graphique ;Si visuellement ça n'attire pas, cela ne me donne pas envie de lire (même si le scénario est excellent), et là, clairement, j'ai l'impression de voir un black et Mortimer.
Des images trop adulte, trop réalistes, qui ne vont absolument pas dans le style qui est censé apporter un brun d'humour, sans parler du coté fade des couleurs (d'ailleurs y avait-il de l humour ?)
Les angles choisi, parfois cela me choquait tellement que certaine d'entres-elles n'auraient jamais été adopté par l'auteur original, ça saute aux yeux !
Ne laissez plus ce gars toucher au dessin de cette série ! En un seul numéro vous avez réussi a briser la magie qui a été construite sur plusieurs décennies, Bravo !
Si la suite ressemble à cela, je passe mon tour, c'est une certitude !
Heureusement que les autres séries qui ont été reprises (Asterix, Scrameustache...) respecte la patte visuelle de l'auteur...
Condensé de clichés insupportables
Ce n'est pas le traditionnel ton humoristique que l'on retrouve dans cette ouvrage, mais bien de la bande-dessinée engagée : il s'agit d'un condensé de préjugés qui visent à fustiger le métier des armes, la religion, les bourgeois, etc. L'ouvrage est emprunt de morale gauchiste, de certitudes et d'opinions. Ainsi, les militaires sont des personnages assoiffés de gloire et de violence, les sudistes réduits à de méchants esclavagistes qui battent leurs femmes, les pasteurs sont rigoristes et malveillants, les bourgeois méprisent le prolétariat... Tous les clichés sont réunis !
In fine les auteurs ont pondu un ouvrage antagoniste au personnage principal, William Howard Russel, le journaliste objectif : l'album est épris d'idéologie plus que de vérité.
Cet album s'est voulu inédit et dans l'ère du temps. Il s'en suit que la revisitation de ce vieux classique est à l'image de la "modernité" qu'on nous inflige aujourd'hui...