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One shot sous la forme d'un recueil en l'honneur du premier amour de Spidey : Gwen Stacy . J'ai aimé la mise en scène, le dessin reconnaissable de Tim Sale (avec notament ce défaut majeur des visages semblables, masculin comme féminin) ,la présentation rapide de chacun des vilains historiques jusqu'à l'antagoniste suprême de l'homme araignée .
Bien évidemment, malgré le thème bouleversant de ce "Spider-Man Bleu", il en reste pas moins une lecture facile avec l'humour habituel destiné aux "teenagers", pouvant être perçu comme ringard de nos jours ou référence de cette époque (début 2000).
Il peut se lire indépendamment des autres comics Spider-Man, mais n'est pas la meilleure entrée en matière car survole de nombreuses précédentes aventures amenant au drame Gwen Stacy .
La preview enthousiasmante que j'avais lue se concrétisait dans la collection 100% de Panini en VF, ou quelque chose d’approchant écrit par L. Bélingard, toujours fâchée avec les « ne »… Kaare Andrews apporte sa pierre à l’édifice du temple que les jeunes artistes ont élevé à la gloire de l’artiste moribond Frank Miller.
Dans un futur désespéré, un héros a baissé les bras, seul avec ses souvenirs. Errant dans une métropole grise et pluvieuse sous un régime para-militaire liberticide relayé par des médias complaisants dont la figure la plus emblématique s’appelle Miller Janson, le vieillard rumine ses échecs sans prêter attention à la jeunesse rebelle qui refuse de vendre sa liberté contre la sécurité et le confort. Une altercation musclée dans la rue et un symbole du passé soudain ressurgi vont le pousser à réagir. Tout au long d’un chemin de croix qui le mènera à la rédemption et permettra à la ville de se libérer, le héros sur le retour endurci par l’amertume croise les fantômes morts et vivants de sa vie passée et se prépare à mener son dernier combat contre sa Némésis... Oui, c’est le scénario standard livré en Kit pour faire entrer un héros dans l’age adulte du Grim’n’gritty.
Tout le problème de Kaare Andrews est là. Plus qu’un hommage, son Reign est un copié-collé du scénario de Miller. Il y a repris tous les lieux-communs : la télé corrompue et abrutissante avec ses sourires figés, les cieux zébrés d’éclairs apocalyptiques, les vilains sous contrôle resurgit du passé, l’énergie du désespoir qui anime un le corps usé par les années d’un héros brutal, les jeunes paumés des rues qui représentent l’espoir, la gamine qui veut reprendre le flambeau de l’âge des héros….
Andrews assume le moindre trait tremblotant Millerien pour justifier la filiation de sa « Dark knightisation » de Spider-Man. Quelques expressions faciales peu réussies et un usage immodéré de Photoshop en matière de décors finissent de décrédibiliser l’ensemble
Enfin, cerise sur le gâteau, il m’a semblé plus que douteux que M.J ait succombé à une super MST attrapé en folâtrant avec un Peter Parker dont le sang, au fil des années est passé dans presque tous les labos de New-york sans que des amateurs comme Reed Richards ou Curt Connors ne détectent le moindre problème !
Après l’attente fiévreuse née des quelques pages lues sur le Net, la déception était au rendez-vous. Kaare Andrews échoue à donner une personnalité propre à son travail et, à l’issue d’un pari effectivement risqué, reste dans l’ombre de son modèle par excès de respect pour l’œuvre originale.
Vraiment très moyen.
Pourquoi broder autours des origines de Spider-Man si c'est pour y insérer des inepties et des péripéties qui sont aux antipodes de l'essence du personnage ?
Si vous pouvez vous en passer, faites-le !
Je vais faire court.
Très bon volume, explorant l'univers futur-alternatif du tisseur.
Kaare Andrews est très bon sur cette histoire.
Attention, traduction calamiteuse !
Ce recit fait suite au Spiderman HS 18, qui voyait la naissance du fils de Carnage : Toxin. On suit donc ce dernier qui à decider de devenir un "super heros", l'histoire se situe pendant la periode de la massive evasion de super vilain dans les new avengers. Le recit est surtout axé sur la relation entre Pat le flic et son symbiote : Toxin. Pat essaye de garder le control de son corps mais sa s'avere plus difficile qu'il l'avait prévu. En plus de devoir controler Toxin, il doit s'occuper d'un terrible mechant. Histoire assez captivante et dessin plutot agreable, le meilleur spiderman de cette collection pour moi.