Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
A lire absolument !
Voila le dernier tome de l'intégrale - le format incite à tout lire d'un coup, c'est plus facile pour la compréhension, même si le dernier tome nécessite un peu de réflexion pour tout recoller.
La couleur manque un peu à la compréhension: certains passages pour moi sont incompréhensibles si l'on n'a pas vu la version colorisée (en particulier pour la distinction entre les deux New-York).
Cependant, Andreas est un maitre (le maitre !) du dessin et de la mise en page.
Pour ceux qui connaissent - pas la peine d'y aller.
Pour les fans: allez-y !
Pour ceux qui ne connaissent pas: comment est-ce possible?
Andreas est ici confronté au difficile exercice de conclure une longue série, surtout quand il s'agit d'un polar où s'emboitent tant de mystères et de symboles! On a donc une avalanche de révélations un peu abruptes... Il faut digérer... A relire tranquillement plus tard après mûrissement :-)
PFFIOUU... Difficile de trouver un album bon chez un autre auteur quand on lit l'oeuvre de Andreas! JU BI LA TOIRE ! L'absence de texte et les clins d'oeil (auto-citation, signes...) disséminés dans l'album créent une sorte de complicité entre Andreas et le lecteur, on sourit en coin tout du long et on admire...
Attention chef d'oeuvre. Andreas se fait une fois de plus plaisir avec une mise en page surprenante et pourtant cohérente avec son propos... C'est du génie et le jeu avec la structure rappelle certaines planches du tome 6 de Rork: Descente. Bref, on jubile!
Suite de la "pause" établie par Andreas dans le tome précédent... Les fans d'action sont forcément interloqués. Mais le récit est quand même relié à l'intrigue globale de la série Capricorne et amène le lecteur à réfléchir sur plusieurs points. Dessin et mise en page toujours inventifs et admirables.
Ce tome est déroutant, comme une pause dans les aventures de Capricorne. Presque un spin off... Déroutant mais pas mauvais! Tous les fans d'Andreas se régaleront forcément.
La série Capricorne tourne autour d'un héros très différent de l'énigmatique et laconique RORK, autre icône de l'univers d'Andreas. Chaque tome est plein de rebondissements et nous plonge dans un univers entre SF, ésotérisme et polar, tout en évoquant des êtres fabuleux hors du temps qui ont un air Lovecraftien... Le dessin et la mise en page sont magistraux, Andreas à la manoeuvre...
(Pour écouter Andreas: https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/la-case-medium-dc-comics-andreas )
Enfin l'intégrale que cette série mérite.
Et quelle bonne idée de l'éditeur de la publier en noir et blanc.
J'en apprécie encore plus le trait d'Andréas, même si la mise en couleurs des tomes originaux était réussie.
Précipitez vous sur cette intégrale qui permet de relire ces différents épisodes, et de découvrir des détails qui vous ont probablement échappé à la première lecture.
Cet ultime épisode de la série CAPRICORNE dévoile toutes les clés des mystères et événements marquants de la série, ainsi que la raison d'être de notre héros. Un tome intéressant parsemé de nombreuses révélations donc, mais qui, justement, au lieu de tout éclaircir, m'a parfois embrouillé le cerveau, tant ces révélations sont nombreuses et arrivent toutes en même temps.
Un tome de conclusion un peu décevant à mon goût donc, d'autant que le dessin d'Andreas, s'il est parfaitement exécuté, n'a cette fois-ci rien non plus de follement original. Mais cette série est tellement géniale qu'on pardonne à Andreas ce dernier album un peu facile, et qu'on le remercie pour tous ces bons moments de lecture !
Toutefois, je conseille de relire la série dans son ensemble avant d'entamer la lecture de ce dernier volume, sous peine de ne pas comprendre grand chose !
Un excellent épisode, graphiquement très réussi. Un album qui apporte de nombreuses réponses et qui aurait probablement fait une excellente conclusion à cette épatante série ... mais non, Andreas nous prend une fois de plus à revers avec cette étonnante pirouette en dernière page, prolongeant ainsi le mystère et par là-même la série. Où tout cela va-t-il encore nous mener ? On n'en sait rien et c'est tant mieux !
La lutte contre les forces du Mal continue. Tandis que CAPRICORNE est forcé de payer sa dette envers Dahmaloch, il se trouve temporairement un remplaçant et le charge pendant son absence, en compagnie d'Astor, de stopper les Cavaliers de l'Apocalypse, en route pour détruire New York. Pendant ce temps, Ash est elle en bien mauvaise posture, trahie par le Passager.
Un bon album qui entame la dernière ligne droite avant la conclusion de la série. Certains mystères sont résolus, mais évidemment pas tout ... et d'autres énigmes apparaissent, ce qui rend la lecture toujours autant addictive.
Côté dessin, si Andreas s'est un peu moins laché que dans certains albums précédents, il varie tout de même les plaisirs en proposant certaines planches originales comme une splendide double page (planches 20-21), des planches très minimalistes (pl. 26-27) ou bien évidemment cette fameuse page au découpage totalement indédit (pl. 18).
Un album au final très intéressant.
Un album qui présente la particularité de proposer uniquement des cases zoomées en gros plans. Un exercice graphique certes original mais qui se révèle au bout de quelques pages fatigant pour la rétine. On retiendra néanmoins quelques planches visuellement spectaculaires (dont effectivement cette fameuse poursuite en voitures planches 28-29).
Niveau intrigue ça avance, doucement mais sûrement. Difficile de prédire où tout ça va nous mener tant de nouvelles questions se posent suite à des révélations qui sont distillées au compte-goutte, mais c'est toujours aussi captivant.
Après un long exil, CAPRICORNE revient enfin dans sa chère ville de New York. Une ville qui a subi d'énormes bouleversements depuis son départ et que notre astrologue préféré va tenter de sauver.
Après plusieurs albums "de transition", ce tome renoue enfin avec l'intrigue principale de la série. Que ce soit au niveau des décors (les gratte-ciels et les tacots typiques de la Grosse Pomme des années 30-40) ou de l'ambiance (avec un scénario qui mélange mysticisme, univers paralllèles, bagarres entre les bons et les méchants ...), il est très agréable de retrouver la saveur des premiers épisodes de la série. Et puis, retrouver les personnages attachants des premiers albums (Ash Grey, Astor, le chat, le club 29 ...) est un réel plaisir, tant ils nous avaient manqué. La scène de retrouvailles entre CAPRICORNE et Astor dès la première page est d'ailleurs très émouvante.
Certainement pas le meilleur album de la série, mais un album qui fait plaisir, comme on aurait plaisir à retrouver des vieux copains perdus de vue depuis longtemps.
CAPRICORNE s'embarque sur un vieux raffiot censé le ramener à New York ... sans se douter qu'il s'avance une nouvelle fois dans un piège tendu par un être étrange.
Un tome où l''action est assez peu présente (Cap est étendu et immobilisé quasiment tout au long de l'album), ce qui permet à Andreas de résoudre quelques mystères entretenus depuis bon nombre d'albums et de démarrer un nouveau cycle avec une nouvelle intrigue : nouvel adversaire, anciens alliés à secourir, nouveaux enjeux, etc.
Une lecture très enthousiasmante.
Pff ... que dire ? Andreas se surpasse une fois de plus dans la construction de son récit et s'amuse avec les codes de la bande-dessinée. La façon de mettre en page et de découper cette intrigue est tout simplement hallucinante et si toutes les planches sont visuellement grandioses et valent le détour, certaines sont carrément jubilatoires (mention spéciale pour les planches 36 à 38).
A côté de ça l'intrigue est un petit bijou, tout le scénario étant basé sur les aventures de CAPRICORNE au coeur de l'un de ses propres rêves, ce qui permet de revoir quasiment tous les personnages apparus depuis le début de la série (!) et d'avancer dans la compréhension générale de l'intrigue avec quelques clés d'énigmes dévoilées.
C'est avec ce genre d'album que l'on se rend compte à quel point Andreas est un auteur hors-norme. Le mec a l'audace de nous proposer un album sans couverture, sans titre, sans texte ! Une histoire entièrement muette (la raison de cette absence de phyllactère, dévoilée planche 8, est d'ailleurs tout bonnement géniale) mise en image de manière grandiose (les décors de vastes étendues enneigées sont envoûtants).
Un album là-encore transitoire mais diablement original, et qui renoue qui plus est avec le côté thriller / fantastique de la série.
Mêmes remarques que pour l'album précédent : si ce tome est visuellement impeccable (avec un dessin exquis et surtout un découpage répétitif qui va de pair avec la monotonie du récit), le ton de cet album ne colle pas trop avec l'esprit général de la série CAPRICORNE (une sorte de polar mystico-fantastique qui mêle très efficacement énigmes et action).
Ce récit intimiste est certes très poignant, mais je suis néanmoins resté sur ma faim. Seule la lecture du manuscrit que Cap détenait sur lui m'a bien plu, car on en apprend un peu plus sur l'origine et le rôle de CAPRICORNE.
Encore un album de transition donc, une nouvelle fois déroutant et très particulier (à noter d'ailleurs la couverture de ce T11 étrangement similaire à celle du T10; est-ce fait exprès ou pas ?).
Intrinsèquement, cet album est très bon : un dessin soigné (même si le découpage est plus "classique", donc moins surprenant) et un très bon scénario, avec des personnages abjects et une histoire très glauque qui installe un climat de tension bien palpable.
Le problème, c'est que ce récit très réaliste s'éloigne fortement du ton fantastique qui était la marque de la série jusqu'alors, et cet album dénote beaucoup trop par son style des albums précédents. A la rigueur, cette tragédie rurale aurait pu très bien se dérouler avec un autre héros que Cap, cela aurait fonctionné aussi.
Un tome très atypique donc, qui fait office d'album de transition, mais dont personnellement je ne comprends pas bien l'intérêt.
Magistral ! Un dessin époustouflant (la transition entre la première et la deuxième page est à couper le souffle), un scénario en béton qui résous de nombreuses énigmes disséminées depuis le début de la série (l’identité de CAPRICORNE enfin dévoilée, l’origine du « Concept », la nature de Mordor Gott, etc.) et une construction une nouvelle fois inattendue et originale (deux albums entrecoupés d’une histoire crayonnée sur huit pages qui fait parfaitement le lien entre les deux récits).
De l’action, du suspense, des révélations, de nouvelles énigmes : ce neuvième tome est incontestablement l’un des albums-phares de la série !
La résistance contre l'organisation du "Concept" s'organise, notamment grâce aux gens du peuple des égouts, qu'ont rejoints CAPRICORNE et ses alliés. Ayant mis la main sur un document secret du "Concept" qui semble indiquer la cachette d'une mystérieuse arme, CAPRICORNE et ses amis vont tenter de parvenir à ce lieu en creusant des galeries sous les égouts. Mais à force de creuser dans la roche, un danger enfoui depuis des siècles dans les profondeurs de la Terre pourrait ressurgir ...
Un très bon huitième tome qui mêle efficacement le fantastique à l'aventure. Graphiquement très réussi (les couleurs sont superbes), cet album se termine de manière bien énigmatique ("le Concept" a-t-il volontairement prévu de disparaître ?), ce qui donne bien évidemment envie de poursuivre la lecture de cette série. Et puis ... voir CAPRICORNE tomber amoureux ajoute une dimension humaine au personnage et le rend d'autant plus attachant.
Les évènements relatés dans ce septième tome se déroulent en fait simultanément à ceux subis par CAPRICORNE dans le tome 6. Cet album met donc en exergue la lutte amorcée par Ash Grey, Astor et Mordor Gott (entre autres) contre "le Concept", pendant la captivité de notre héros dans un camp d'internement.
Un album en tout point excellent, entre un dessin toujours aussi original et réussi et surtout un scénario qui éclaire beaucoup de choses (notamment le rôle du personnage aux mains tatouées, dont la présence énigmatique intriguait depuis le début de la série).
Des énigmes résolues, d'autres qui font leur apparition et suscitent l'interrogation, le retour tonitruant de Dahmaloch l'esprit du Mal, des batailles aériennes grandioses, l'invocation du Dragon bleu et la destruction de la bibliothèque, la perte de raison d'Astor, l'alliance temporelle avec Mordor Gott ... et surtout une fin excellente qui donne vraiment envie de continuer la lecture : un album génial à tous points de vue !
CAPRICORNE en mode séquestration dans un camp de concentration nazi. Ce tome 6 est éprouvant, dur et très noir. La lecture a de quoi faire enrager par moments, tant notre héros vit des situations aussi cruelles qu'absurdes.
Un sixième tome très résussi graphiquement, et qui marque surtout un tournant dans la série en basant le scénario de celle-ci sur la lutte entre CAPRICORNE et l'organisation fasciste baptisée "le Concept", lutte passionante qui se déroulera sur bon nombre d'albums suivants.
J'aime bien la manière dont s'ouvre cet album, avec un extrait des aventures romancées de notre héros intitulées "les Etranges Aventures de CAPRICORNE". Cette soit-disante nouvelle, titrée "RORK, l'Enigmatique", est en fait un résumé des tomes 5 et 7 de la série RORK. Une introduction très originale qui permet de faire habilement le lien entre les deux séries.
La suite de cet album est à la hauteur de cette introduction, avec un scénario basé sur une enquête policière que mène CAPRICORNE pour secourir son acolyte Ash Grey, enlevée par de mystérieux individus. Un tome construit de façon très originale, avec plusieurs chapitres qui finissent par s'imbriquer tous les uns dans les autres, et qui propose en outre toute une galerie de personnages secondaires extravagants (super-héros, cyborgs, savants fous ...).
Un tome dont l'action se déroule dans les profondeurs sousmarines, ce qui permet à Andréas de nous offrir des planches de toute beauté, avec un découpage très original. Un album pas forcément évident à suivre à la première lecture mais qui révèle toutes ses qualités à la seconde : un scénario rocambolesque mais plaisant, des personnages secondaires charismatiques, de l'action, du suspense, un soupçon de mystère ... bref on ne s'ennuie pas à la lecture et cet album est un vrai plaisir !
Ceux qui ont lu la série RORK auparavant seront certainement contents d'apprendre dans cet album l'origine de certains personnages-phares de l'univers de CAPRICORNE à cheval sur les deux séries (Deliah, Manga, Mordor Gott ...).
Un album très sympa avec une bonne intrigue et un dessin toujours très spécial, mais qui est en outre assez comique, avec pas mal de scènes humoristiques, ce qui est assez rare dans l'univers d'Andréas pour être souligné.
Un individu doté de supers-pouvoirs grâce à la foudre, un monstre revenu du passé, une organisation gouvernementale dangereuse, des gangsters, des énigmes occultes ... Andréas laisse libre cours à son imagination et développe dans CAPRICORNE un univers très personnel. Ce n'est pas toujours facile d'accès mais c'est toujours original, et j'aime beaucoup.
Ce deuxième album, sans être génial, demeure sympa. L'univers est très prenant et les personnages attachants (surtout les héros). Un album qui en outre bénéficie d'un dessin plus travaillé, avec quelques cases gigantesques et certains angles de vue originaux.
CAPRICORNE est le nom d'un astrologue-détective qui, dans le New-York des années 30, est confronté à tout un tas de phénomènes paranormaux et d'enquêtes étranges.
Cette série très originale débute de belle manière avec un premier tome de qualité, qui explique en gros comment CAPRICORNE s'est installé à NY et s'est emparé du building gigantesque qui va lui servir de QG au cours de toutes ses aventures. Un album sympa très orienté polar-fantastique, sorte de mix entre X-FILES et JAMES BOND.
Rien d'exceptionnel encore (le dessin manque un peu de folie), mais les bases sont posées joliment et cette série ne va cesser de s'améliorer.
Encore un très bon album ,les personnages sont de plus en plus nombreux et tous plus inventifs et charismatiques les un que les autres (Deliah ,Ira Zeus ,le Club 29.....) ,les fils de l’histoire partent dans tout les sens ,chacun de leurs côtés ,puis ,finalement ,se rejoignent en une seule ligne de fuite......... MAGISTRAL !!!!!!!!!!!!!!!!!
Encore un très bon album ,les personnages sont de plus en plus nombreux et tous plus inventifs et charismatiques les un que les autres (Deliah ,Ira Zeus ,le Club 29.....) ,les fils de l’histoire partent dans tout les sens ,chacun de leurs côtés ,puis ,finalement ,se rejoignent en une seule ligne de fuite......... MAGISTRAL !!!!!!!!!!!!!!!!!
Bah je suis vraiment surpris par les commentaires négatifs ......... D’accord chacun ses goûts mais quand même......... En les lisant ,on dirait que personne n’aime vraiment cet auteur pourtant hors du commun.........
Donc ouais ,un album un poil moins bon que le précédent ,mais toujours l’histoire alambiquée ,les dessins splendides (surtout la magnifique descente dans les tréfonds de la Terre avec une case pleine page) ,l’histoire ,bien que pleine d’éléments ,commence à se développer et à s’étoffer..... Donc 18,9/20!!!
Pfff... Que dire?... Du grand Andréas! En un tome il met en place une histoire étrange ,à l’univers inventif et recherché... Le personnage de Capricorne ,bien qu’ayant peu de personnalité ,est complexe et fascinant ,l’ambiance mystique est très envoûtante et le dessin... Aaaah ,le dessin... Andréas est sûrement l’un des meilleurs dessinateurs au monde et la ,même si ce n'est pas son summum ,c’est très esthétique est original...
Bref ,ce n’est pas le meilleur d’Andréas ,mais il n’a rien fait de mauvais et surtout pas ça......... 19/20!!!!!!!!!
grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab
un 17éme albulm qui vient fermer quelques portes (une carte du destin va disparaitre) et amener des réponses à des questions que l'on se pose en relisant les épiosdes précédents. Mais d'autres portes se sont ouvertes, des personnages secondaires prennent de l'ampleur au détriment de CAP.
Scénario jubilatoire mais exigeant.
Coté dessin, peu d'innovations mais encore une page avec un découpage inédit: je ne comprends toujours pas comment Andréas peut continuer à inventer!
Un petit bémol pour les couleurs de l'album: trop sombres à mon gout, mais c'est suremt voulu.
Je découvre depuis peu Andreas (par Rork et Cromwell stone). J'aime son univers, son trait, ses découpages qui donne toute l'ambiance si particulière de cet auteur.
Pour ce tome, je ne retrouve pas l'Andreas de Cromwell stone, mais quand même pas de doute c'est du Andreas à la sauce Dr.No de james bond, pourquoi cet impression de james bond vintage ? Je ne sais pas mais ça m'a plu. C'est un bon début pour une série qui donne envie de continuer et de prolonger le plaisir de plonger dans le monde qu'Andreas héberge dans ses neurones.
Je découvre depuis peu Andreas (par Rork et Cromwell stone). J'aime son univers, son trait, ses découpages qui donne toute l'ambiance si particulière de cet auteur.
Pour ce tome, ce fut agréable, quelques découpages "Andreassien", un dessin agréable mais sans plus, une histoire sympathique mais sans plus, on est dans le un monde en construction et si la patte d'Andreas est là elle est pour moi plus discrète que mes autres lectures.
Scénarios: plein de pistes qui rebouclent sur les derniers albums, ca sent la fin... C'est la première fois qu'Andréas explicite autant les références: le puzzle prend forme même si on a pas encore toute la fresque.
Dessins: le parti pris pour la mise en page est assumé jusqu'au bout. Cependant au bout de qqs planches cela devient fatiguant, Andréas a du s'en rendre compte et a élargi quelques plans. La poursuite en voiture reste pour moi le point d'orgue de cette mise en page (allez jeter un coup d'oeil chez votre libraire aux planches 28 et 29).
Merci pour ce moment de lecture: a chaque Cap, je me relisla série en entier...
Il l'a fait !
Il s'y était déjà essayé sur quelques pages dans "Raffington Event, détective privé", mais là, il s'est lâché (retenu plutôt ?) sur la totalité de l'album : pas une parole, pas une bulle, pas un cartouche d'explication, même pas de titre, rien, pas un mot ; cet album resplendit de mutisme neigeux. Et ça fonctionne, en complète cohérence avec les albums précédents. Andreas nous ouvre les portes du pays blanc et envoie Capricorne à la conquête de clés pour nous faire vivre un grand moment de bande dessinée.
Au 12 ème tome de sa série, quand beaucoup de ses confrères auraient mollement assuré sur les bases déjà solidement installées, Andreas continue de prendre des risques pour mieux interpeller ses lecteurs.
Ô Génie qui titille ma curiosité, agace ma logique et bouleverse mes attentes, je te vénère, à genoux dans la neige !
Enfin, pourrait-on dire. Andréas revient dans l'univers de New-York, on retrouve les personnages centraux de Capricorne et l'histoire est toujours aussi 'tordu'...
Du trés bon, pour les fans évidemment mais pas que...
Enfin, pourrait-on dire. Andréas revient dans l'univers de New-York, on retrouve les personnages centraux de Capricorne et l'histoire est toujours aussi 'tordu'...
Du trés bon, pour les fans évidemment mais pas que...
Retour aux affaires pour Cap: finis les albums intimistes et introspectifs depuis les Chinois. Les albums 10 à 14 ont cassé le rythme de l'intrigue principale, on pourrait presque ne pas les lire (mais il ne faut pas s'en priver à la vue de leur richesse graphique).
On reprend tous les personnages vus jusqu'au Passage (T.9) et l'histoire continue: Astor, Ash, l'ancienne équipe du Concept et autres puissances sont de nouveau réunis.
Coté scénario: des mondes parallèles, des puissance occultes, en fait du classique pour Andréas qui nous livre ici une bonne suite à la première partie du cycle.
Côté dessins: des immeubles, des plongées et contre plongéers qui servent le rythme, un sens du découpage hors-norme, en fait du classique pour Andréas.
Pour ceux qui ne connaissent pas: il faut commencer par le n°1, c'est le défaut de cette série ou tout s'enchaine et s'emboite...
Pour les amateurs: à lire.
Pour les fans: à acheter, ranger et garder précieusement, Andréas sera un jour considéré comme un génie de la bande-dessinée.
Capricorne embarque pour New York dans un bateau réél ou pas ? Quelle question, un nouvel adversaire, une découvert au sujet de Ash Grey, des dessins toujours aussi juste et précis. Du bon Andréas qui va ramener Capricorne vers son environnement des premiers albums. Album de transition qui démarre un nouveau cycle. A lire absolument pour les fans de la série....
Donner un avis sur une telle oeuvre n'est pas simple. Sur l'histoire, il est évident qu'Andréas nous donne des indications concernant Capricorne et son entourage, et il est vrai que quelque fois on peut s'y perdre.
Mais alors, quel génie sur la réalisation de l'album, la mise en scéne avec ce découpage en vingt cases, à lire de façon différente sur chaque planche (rien que pour le coup d'oeil la planche 17 est superbe et pour la mise en scéne les planches 34,35 et 36 valent le détour).
Andréas, après un tome 12 sans bulle, nous bluffe totalement avec cet épisode.
A lire de toute urgence (surtout pour les amateurs du Cap)
L'histoire ne m'a pas trop emballée. Pour moi, le dessin est moyen et le scénario un peu n'importe quoi. Ca part dans le fantastique et l'étrange, mais l'intrigue n'est pas assez prenante et au final, on lit cette aventure sans trop de conviction.
Voila un album qui m'a surpris. Une atmosphere particuliere, un peu gothico-fantastique, des personnages eux-aussi particulier, bref, on nage dans un monde plutot etrange. Le dessin ne m'a pas tellement plu, bon, pas trop grave, il colle plutot bien a cette atmosphere qui règne. Le scénario est assez bien construit, on découvre au fur et à mesure ce qui se passe, avec quelques petits rebondissements. Au final, on passe un bon moment, mais je n'ai pas été totalement emballé.
Très bon album dans lequel Capricorne se remet de son aventure lors du tome 10. Dans cet album il n'y a que deux personnages Capricorne et Patrick se qui donne une ambiance plus intimiste avec la découverte de deux personnages qui ne se connaissent pas. Chaque personnage a des choses à cacher et le fait de se cotoyer au fil du temps va peu à peu détruire les barrières qui les séparent pour enfin se découvrir totalement. C'est un vrai plaisir de lire cet album de bout en bout.
Cette série est un spin-off de Rork, où l'on voit la première apparition de Capricorne. Etant un inconditionnel de Rork, je me suis nécessairement précipité sur la série quand elle est apparue. Quel plaisir de retrouver le monde un peu baroque d'Andreas ! Moins mystique que Rork, elle est tout autant innovante et nous place dans un univers cohérent et plein de surprise. Au niveau graphisme, on note l'évolution et une utilisation des couleurs plus soutenue, totalement en phase avec l'histoire. C'est encore une fois très beau et indispensable.
Très bon album que voilà. Tout d'abord il est bon de préciser qu'il s'agit d'une histoire complète en dehors de l'intrigue de fond et peut dont se lire tel quel. L'intrigue est bien construite, le suspense est très présent, les personnes sont intéressant bien que classique dans ce genre d'histoire et les révélations arrivent au bon moment sans que ça face cliché. Le seul point qui me fait me poser des questions c'est le comportement de Capricorne qui reste tout au long de l'album (sauf à un moment vers la fin) un simple spectateur alors qu'une tragédie prévisible dans une certaine mesure est en train de se dérouler sous ses yeux. Par rapport aux albums précédent ça me semble sonner relativement faux mais peut être aura-t-on une explication dans les prochains.
J'adore Andréas, j'adore Capricorne.
Mais là j'ai peur.... Il n'est pas mauvais, une bonne ambiance bien glauque et des personnages genre "Délivrance". Capricorne n'est cependant qu'un spectateur et on a bien l'impression qu'il n'a rien à faire ici. Pause méditative après la fin du Spectre?
Ce tome 10 pourrait conclure une belle fin à cette série. Mais le tome 11 est en préparation et j'ai vraiment peur d'une suite à la XIII, sans intérêt et uniquement commerciale.
Pas Andréas quand même?
Bon Andreas on aime ou on aime pas, moi je suis plutôt fan. Nous sommes vraiment dans cet ambiance particulière à cette série avec cette truculente Déliah qui nous mène de médiums en voyante. A lire même si la fin est un peu décevante tout de même.
Attention chef d'oeuvre...
Tout y est... l'intrigue trouve un denouement inattendu comme sait si bien le faire Andreas, Capricorne va enfin en apprendre plus sur lui même... La série n'est pas pour autant terminée et c'est avec plaisir que je me jeterai sur les tomes suivants....
Les dessins sont grandioses, des plans excellents une gestion de la case comme je l'aime.
Il faut signaler aussi qu'il s'agit d'un album double donc contenant 2 tomes de l'histoire ainsi que 8 pages en crayonné inédite et pour cause puisque qu'elle s'insert parfaitement entre ces 2 albums en 1...