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Cliff Burton est un détective snob dans le genre de Sherlock Holmes. En lisant ces aventures, j’étais persuadé d’avoir déjà posté un avis sur cette série. Bref, j’avais déjà lu ce type d’aventure avec les mêmes ressorts.
Bon, je ne souhaite pas faire de procès de manque d’originalité car cette série semble ancienne et dispose de sérieux atouts. A commencer par un graphisme dans le style impressionniste que j’aime bien car elle restitue très bien l’atmosphère de cette Angleterre victorienne. Puis, par le comique de certaines scènes ou de certains personnages dont on nous livre plutôt leurs pensées. Rien n’est dit, c’est un peu hypocrite dans le fond. Cependant, c’est dans l’esprit de cette société qui ne voulait froisser personne.
Les enquêtes sont tout de même rondement bien menées. On ne sombre pas dans une surenchère de violence malgré le caractère sordide de certains meurtres. Les jeux de mots et les clins d’œil au genre du polar noir sont multiples. Il est dommage que le côté policier va s’estomper un peu au fil des albums pour se plonger dans le fantastique. C’est une tare qui finalement concerne plusieurs séries happées par le phénomène X files des années 90.
Cette série s’est arrêtée souffrant vraisemblablement de la concurrence avec d’autres détectives. Le marché est en effet inondé!
Cet album est la preuve qu'un dessin épatant et une bonne idée de départ ne permettent pas toujours d'éviter le naufrage !
C'est hélas la fin de l'aventure. J'ai tant espéré que cette série est au moins un album ultime de conclusion; et avec les évènements de ce tome 9, il y avait matière à faire.
J'avais imaginé la déchéance ultime de Cliff pour un T10 et un renversement des rôles déjà entamé ici.
Cliff devenant un repoussoir à fille, alcoolique, et Wigelow prenant de l'assurance et résolvant une énigme façon Hercule Poirot !
Ca aurait été tellement bien que j'ai déjà toute j'histoire en tête ;)
Dommage que les ventes n'aient plus été au rendez-vous .
Une série superbe !
Quelle était belle l'affiche promotionnelle de l'album à l'époque de la sortie de ce tome! Folle comme l'histoire de cette course de voitures.
Toujours l'ambiance superbe de l'Angleterre avec chateau, bobbies, caves et souterrains cachés , ... Et des personnages superbement croqués comme le colonel et son air si dur qui contrebalance la fragilité d'un Wigelow toujours plus émotionnellement atteint !
Tout n'est que folie ici et l'astuce scénaristique est magnifique.
Cette série avec Michel Durand a atteint des sommets !
J'imagine vu la tournure des albums, que Michel Durand et Rodolphe ont dû connaître quelques discussions agitées quant à ce que devait être la série! Et je pense que Michel a su la tirer là où il l'a voulu. . . Vers la folie pure incarnée par Wigelow
Fan absolu, je donnerai tant pour connaître une nouvelle histoire de Cliff, Véra et Wigelow !
Un choc que cet album ! Déja les 2 précédents de la série retenaient l'attention,
la reprise du dessin par ce grand dessinateur qu'est Michel Durand y étant pour baucoup!
Mais là, ça décole vraiment grace à des cases magnifiquement peintes notamment.
Tout part en vrille et le personnage de Cliff commence à s'estomper au profit de son collègue de boulôt, qui n'a visiblement pas trouvé sa voie auprès de Scotland Yard.
Une vraie ambiance de mystère et de folie douce !
Cette série commence à se dégrader sévèrement à partir de cet album. Pourquoi l'appeler encore "Une aventure de Cliff Burton" puisque, pour la deuxième fois de suite on a droit à un délire du grotesque inspecteur Wigelow tout au long de l'album! Cliff Burton en est réduit à de la pure figuration!
Oui, cette série part en sucette et n'a plus rien de commun avec ce qui faisait d'elle dans les premiers albums. Ce n'est plus que de la piètre parodie sans intérêt...
Suite et fin d'un diptyque assez déroutant mais plutôt bien troussé.
Cet album marque aussi l'adieu à la série, laquelle ne fut pas prétentieuse et somme toute agréable.
C'est encore une fois Wigelow qui est le héros de cette aventure. Cette fois ci le bonhomme est taraudé par les choses du sexe. Evidemment les choses ne peuvent pas être aussi simple.
Wigelow, l'employé de Cliff Burton, s'évade dans la lecture et finit par se perdre en rêveries. Le titre de l'album explique tout. Un grandissime moment.
Souvent drôle de surcroît car Wigelow tient quand même davantage du gnome que du prince charmant.
Bizarre histoire de course de voiture. Original certes mais pas inoubliable !
Le dessin est passé à un niveau supérieur; le scénario aussi. Nous sommes quasiment dans le fantastique le plus complet. Enfin presque ...
Une vague histoire aux connotations faussement fantastiques. On en a lu quelques dizaines comme celle-là. Pas catastrophique au demeurant.
Suite du premier album, l'action (il n'en manque pas !) se déroule cette fois-ci aux Indes. Faut-il préciser que Ckiff Burton saura mâter les adorateurs de Kali et la menace qu'il font peser sur l'Empire (rien de moins !) ?
Commencée comme une série d'aventures policières assez standard, cette saga se modifiera avec le temps pour atteindre un excellent niveau.
Ce premier album, pas très bien dessiné, nous vaut l'histoire d'une malédiction venue des Indes.
A noter que la première planche se veut un hommage à celle de la Marque Jaune.