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Voilà enfin une croisade digne de ce nom qui me plaît bien ! Non seulement nous avons un scénario à la fois habile et intelligent signé, il est vrai, par un grand maître mais nous pouvons également admirer un dessin qui possède la finesse du détail notamment des personnages et des décors. J'aime cette ambiance orientale entre ésotérisme et trahisons amoureuses.
J'ai apprécié cette bataille qui couvre simultanément quatre pages dépliantes. C'est vraiment magnifique ! Comme quoi, à côté de sombres navets, il peut exister des merveilles graphiques qui ne demandent qu'à être feuilletées par des lecteurs avisés. On pourra également féliciter l'auteur d'avoir introduit l'histoire des huit croisades : ce fut réellement instructif.
A découvrir en espérant que la suite nous étonne davantage. Le second tome sera dans la prolongation du premier avec un dessin qui nous émerveille toujours autant. Je dirai que j'ai un petit regret par le fait que les auteurs s'éloignent progressivement de la réalité historique pour se tourner vers le fantastique. Il faut dire qu'on sentait déjà une touche de magie et d'ésotérisme dès le commencement de cette épopée. Au 4ème tome, on s'aperçoit que ce n'est que la fin d'un cycle qui laisse la porte grande ouverte.
J'avoue avoir du mal à comprendre l'arrêt de ce spin-off de la série Croisade. C'était pourtant une bande dessinée qui remplissait son quota d'aventures exotiques au pays des mille et une nuits. Il devait y avoir 4 tomes et le second était déjà programmé. Il y a sans doute eu moins de ventes que l'éditeur ne l'espérait par rapport à la série mère.
Le scénario de Dufaux est plutôt basique et un peu en-dessous de ce qu'il a l'habitude de nous livrer. On a droit au beau héros tourmenté qui va connaître un amour fugace auprès d'une belle guerrière. Il y aura une quête pour retrouver un esprit démon et un zeste de fantastique. Oui, une trame classique mais honorable avec une belle beauté des planches.
Ville sainte de Hiérus Halem.
La rumeur rapporte que le sultan du Croissant et des Sables est tombé amoureux d’une princesse chrétienne. Il n’en faut pas plus pour que le très respecté et redouté Mufti d’Alkar demande à ce qu’on ouvre les grilles de sa cellule alors qu’il s’y était volontairement enfermé depuis des années… Recourant à la magie, il pénètre dans le palais du sultan et s’introduit dans la chambre de la princesse chrétienne endormie. Il constate à quel point elle est belle et, à sa manière, ensorcelle le sultan qui n’envisage nullement de s’en séparer…
Critique :
Petits rappels : nous sommes dans un univers parallèle à celui des croisades historiques (amateurs d’histoire, passez votre chemin) qui fait la part belle au fantastique ; il est impératif d’entreprendre cette saga par la lecture du premier album si vous voulez comprendre un tant soit peu cette quatrième aventure qui marque la fin d’un cycle.
Dufaux tient ses promesses puisque dans ce quatrième album nous trouvons la « résolution des problèmes » rencontrés par les personnages dans les tomes 1 à 3… Mais, l’auteur prépare le terrain pour un nouveau cycle en semant ses petits cailloux.
Les dessins de Philippe Xavier vont, notamment, nous plonger dans une bataille épique puisqu’une partie de l’album est consacrée à la bataille de Hiérus Halem. Pour saigner, ça va saigner !
Si vous avez lu les trois précédents, ce serait dommage de ne pas lire le quatrième qui referme plusieurs parenthèses.
Si le fantastique vous botte bien davantage que l’histoire et que la magie vous ensorcèle, pensez à acheter l’intégrale du cycle de Hiérus Halem qui comprend les 4 tomes et qui est magnifiquement reliée… En plus, vous gagnerez de la place sur vos étagères…
Avertissement :
Si vous n’avez pas lu les deux tomes précédents, vous allez complètement vous perdre dans cette histoire…
Gauthier de Flandres s’égare dans les sous-sols où se trouve le monstre invincible, le AA. Mais à quoi ressemble-t-il ? D’où tire-t-il sa force ? Le AA a capturé le fidèle ami de Gauthier, Nakash. Notre croisé n’a plus avec lui que le juif Osarias… Légèrement insuffisant pour affronter une armée de morts-vivants…
Soudain, Nakash apparaît devant Gauthier… Va-t-il pouvoir sauver son ami ?
Critique :
Si vous aimez le « gore », ce tome devrait vous réjouir… Moi, je n’aime pas le gore ! Je déteste le gore ! JE HAIS LE GORE !
Heureusement, il arrive qu’il y ait quelques moments pour des respirations empreintes de douceur (dans un monde peuplé de brutes), notamment dans le palais d’Ab’dul Razim où se repose Syria, fille du défunt Grégoire d’Arcos, femme à la beauté éblouissante à laquelle Ab’dul Razim ne saurait résister.
Pendant ce temps, Robert de Tarente poursuit sa déchéance mentale, que le fait de coucher avec l’ambitieuse Eléonor d’Arcos ne peut empêcher, le miroir ne lui renvoyant qu’un reflet diabolique. Il se prétend le seul et unique commandant des croisés, mais sa décision est contestée par Jurand de Poméranie, le prédicateur aux 7 plaies (ne me demandez pas lesquelles, elles sont bien dissimulées). Il va devoir se soumettre au jugement de Dieu… Un petit duel, quoi ! Et qui va l’affronter après un suspense insoutenable ? Qui ? … Son nouvel allié, le Maître des Machines (qui ressemble davantage à un demi-orc qu’à un honnête chrétien) !
Vous l’aurez compris, Dufaux laisse libre cours à des délires de plus en plus nombreux et qui obligent le lecteur à se replonger dans les albums précédents pour essayer de trouver un fil conducteur.
Quant à Philippe Xavier, il donne vie à l’histoire par son trait de plus en plus vigoureux et précis. Jean-Jacques Chagnaud à la couleur apporte se touche qui rend l’histoire bien plus agréable à regarder qu’à lire.
Où l’on retrouve Gauthier de Flandres et son compagnon à côté d’un puits…
Trois jours ! Trois jours qu’ils n’ont pas bu ! Enfin, un puits se présente devant leurs yeux desséchés. Guillaume se penche… Et il voit une roue gigantesque… Une roue d’une machine de guerre baignant dans l’eau… Le Seigneur des Machines est passé par là et cette eau ne peut plus être consommée car elle est plongée dans la pestilence comme tout ce qui appartient au Seigneur des Machines… (Mais c’est qui ce mec ? D’où il sort ? … Sais pas ! Je n’ai pas écrit le scénario, moi !) Et au moment où Gauthier et son compagnon s’apprêtent à mourir de soif, VLAN ! Un vieux bonhomme, genre épouvantail (très) défraichi leur apparaît et d’un coup de baguette magique (pardon, de bâton magique), il fait disparaître la roue et rend l’eau potable ! C’est-y pas beau ça, mesdames et messieurs ? Mais Gauthier, le preux chevalier, sait que dans le désert tout a un prix. Que va leur demander ce vieillard décrépi en échange de sa bénéfique intervention ?
Critique :
Dans les critiques que j’ai lues, la plupart parlent d’un roman historique avec un peu de fantastique… C’est une blague ! Il n’y a RIEN d’historique dans ce récit ! Pour les malentendants, je répète : IL N’Y A RIEN D’HISTORIQUE DANS CE RECIT ! Il ne suffit pas de prendre des quidams avec une espèce de chasuble sur laquelle trône une croix rouge, un désert et des mecs bronzés, genre « Arabes », pour parler d’histoire ! On est dans le fantastique pur et dur ! Il y a même un squelette de Mammouth qui traîne au-delà de la Porte de Samarande, derrière laquelle vivent des juifs, rejetés de tous, tant des chrétiens que des musulmans. (Mon Dieu, que c’est beau les religions qui parlent d’amour et de paix !)
Et puis, il y a le AA ! J’ai dit le AA ! Pas les AA (Alcooliques Anonymes) ! Qui c’est celui-là ? Oh ! La ! La ! La ! Rien qu’à l’évocation de son nom j’en ai des cheveux qui poussent sur le sommet de mon crâne dégarni !
La maladie d’Isis, vous connaissez ? Brrr ! C’est autre chose que la rougeole ! C’est un machin qui vous transforme en masse informe (ou plutôt avec des formes dégueulasses) et contagieuse ! Autrement, ce ne serait pas marrant ! Pourquoi est-ce que je vous en parle ? Parce que le sympathique Sarek Pacha en est atteint et qu’il vient de faire une splendide acquisition pour son harem ! Vous la connaissez ? … Mais si ! Vous la connaissez ! C’est la Miss Univers du coin ! Vous ne voyez toujours pas ? Faudrait penser à changer d’ophtalmologue !
Des dessins magnifiques du Français Philippe Xavier sur un scénario du Belge Jean Dufaux, qui a dû abuser des champignons hallucinogènes au point d’en oublier ses cours d’histoire du Moyen Âge en général et des Croisades en particulier, servis par la splendeur des couleurs de Jean-Jacques Chagnaud vous attendent. Ô miracle, au milieu de mille et une horreurs, toutes les femmes de cette BD sont jeunes, belles et sexy ! Visiblement, le directeur de casting a très bon goût dès lors qu’il s’agit de la gent féminine même si c’est peu crédible ! … C’est idiot, ce que j’écris là ! C’est toute l’histoire qui n’est pas crédible… Mais il y en a qui aiment ça : la magie, le surnaturel, …
Bienvenue dans une Croisade qui n’a existé que dans la tête de Jean Dufaux et sous le crayon de Philippe Xavier.
Elle se situe aux environs de la IIIe Croisade et le fantastique est omniprésent. Amateurs d’histoire, passez votre chemin, il n’y arien à voir pour vous dans cet album.
Fans de magie et de maléfices en tout genre, bienvenue !
Pour vous résumer le pitch de l’histoire, il faudrait que je l’aie compris… En gros, il y a les bons du côté des forces du bien (très peu nombreux) et ceux qui cèdent aux forces du mal (diable !) nettement plus nombreux. Dans la première catégorie, nous avons une très jolie femme, mais qui sait comment se battre et trucider son adversaire. Elle s’appelle Syria d’Arcos et elle est sexy en diable (là, je dis n’importe quoi, parce que le Diable, justement, ne fait partie de ses copains) ! Elle va bénéficier d’un miroir qui ne joue pas un rôle primordial dans ce premier tome. Toujours dans le camp des gentils, il y a Gauthier, comte de Flandre. Un grand guerrier pacifiste. Un incompris en qui la plupart voient un lâche, y compris son épouse (la pas très tendre) Eléonore d’Arcos. Sœur de Syria, elle est tout son opposé. C’est une ambitieuse qui promet au duc de Tarente de… à condition qu’il remporte la victoire. Toujours chez les gentils, il y a Grégoire d’Arcos, le père des deux charmantes dames. C’est un homme juste et bon, mais aussi un grand guerrier… Mais ne vous attachez pas trop à lui…
Dans le camp des forces obscures, il y a beaucoup de monde qui se bouscule au portillon, tant chez les Croisés que chez les musulmans. Chez ces derniers, il y a Ab’dul Razim. Pas forcément un mauvais bougre, même si ça décapite sec là où il gouverne, mais vous savez ce que c’est : il y a des mecs qui n’apprennent à vivre que lorsqu’on tranche le problème. Comme il veut gagner, il passe un pacte avec le Diable par l’intermédiaire du Mufti d’Alkar, un joyeux drille qui vit en ascète derrière les barreaux sur un tapis de crânes. Ce mec respire la joie de vivre… Il y a la déjà citée Eléonore d’Arcos, dévorée par l’ambition et très insatisfaite par l’attitude de son mari (ne voyez point là une appréciation grivoise). Le duc de Tarente est bien un personnage de son époque, un noble qui aimerait inscrire son nom en lettres d’or dans l’histoire écrite avec le sang des autres, et tant qu’à parler d’or, un peu (ou beaucoup) de ce métal ne serait pas pour lui déplaire car, s’emparer du tombeau sacré, c’est bien, mais un petit royaume avec la Ville sainte, ce ne serait pas mal non plus. Il va revenir vivant d’une bataille qui va voir s’opposer chrétiens et musulmans mais dont la victoire revient à Simoun Dja ! Qui c’est celui-là ? Ce n’est pas vraiment un personnage, encore que… (Ne croyez pas que je vais tout vous dire… Surtout que je ne suis pas sûr d’avoir tout compris !)
Bien sûr, on peut compter sur les religieux pour pousser leurs ouailles à verser leur sang, et si possible plus encore chez les « ennemis », c’est-à-dire d’autres bougres qui adorent une autre divinité, qui est peut-être la même à quelques différences près, que les hommes ont pris soin de cultiver au nom de Dieu ou de son prophète.
Vous l’avez compris : je ne suis pas sous le charme de ce scénario bien que j’aie acheté les deux premières intégrales attiré par les dessins de Philippe Xavier. Dufaux a plongé dans le fantastique… Et je n’ai pas été convaincu… Mais il est temps de passer à la suite avant de porter un jugement définitif sur l’ensemble…
Fresque épique magnifique, premier tome de Croisade est plutôt bonne et intéressante. Le contexte historique est excellente, les scènes de batailles sont assez réussies, les décors sont très beaux.
4/5
Je ne suis pas toujours séduit par le dessin de Xavier, fort rigide par moments. Pourtant, je n'ai jamais loupé la sortie d'un seul album de cette série. Séduit sans doute par le sorcier Dufaux et ses scénarios diaboliques. Le souffle épique de Croisade résonne encore en moi... A lire si vous avez aimez cette série: Conquistador, par les mêmes auteurs, chez Glénat.
Pénible ce changement de nom pour deux albums qui se suivent.
On retrouve donc Gautier qui est poursuivi pas les assassins, mais la Sybille annoncée dont on raconte l'enfance n'apparait qu'à la fin son destin appartient donc aux prochains tomes.
Bref beaucoup de péripéties croisées (sans jeu de mots !) avec de belles images qui ne sont pas désagréables à lire, mais on a du mal à s'attacher aux personnages.
De la bonne distraction et un bel objet, sur un fonds historique, on peut se laisser tenter mais ce n'est pas indispensable.
Un peu déroutant par moment avec violence et sexe gratuit. Un scénario qui ne fait pas dans la finesse et franchement on se demande par moment où l'auteur veut nous conduire.
Mais en fait il ne s'agit que d'une simple histoire de magie dans l'orient du moyen âge. N'y chercher surtout pas un message mais passer un bon moment de lecture.
8/10.
Les marchands du Temple ont encore frappé. Exit donc « Nomade » et vive le retour de « Croisade » avec ce 6ème opus intitulé « Sybille – Jadis ». De fait, il est fort peu question de la gente Dame dans cet album qui nous conte plutôt les pérégrinations et les états d’âme de Gauthier de Flandres face à la secte des Assassins et à la troublante réincarnation du Simoun Dja. Lhianes meurt donc dans les bras de notre héro mais, une dame en chassant une autre, voici que l’énigmatique et sublimissime Sybille d’Aubois entraine son frère sur la route de Hiérus Halem.
Ce spin-off de Croisade redevient - par les joies du marketing - un cycle (ou la suite !) de la série initiale. Je laisse, aux spécialistes, le soin de se pencher plus doctement que moi sur l’exégèse de ce nouvel opus. Pour ma part, je me contente d’être toujours aussi impressionné par la maestria du graphisme de Philippe Xavier. Quant au scénario, une fois habitué au style de Jean Dufaux et au fait qu’il faille éviter de chercher midi à quatorze heure, il ne reste plus qu’à se laisser envahir par les délices, la violence et la magie du Moyen-Orient où tout est différent pour celui qui ne cherche pas à se fondre dans les sables…
Graphiquement, un album pleinement maîtrisé qui peine cependant à donner un sens à cette nouvelle aventure de Gauthier de Flandres.
Plutôt déçu par cet album.
Le scénario se cherche sans se trouver. L'auteur semble hésiter entre récit historique et fantastique. Il nous livre au final une BD sans saveur aux dessins superbes mais qui nullement ne déclenchera cette sensation de satiété.
Attendons au moins le 2ème opus pour conclure.
5/10
Récit qualité Dufaux, avec héros tourmenté, intervention surnaturel et amours contrariées.
Mise en image agréables avec héroïnes sexy et grands paysages.
Bref ce n'est pas révolutionnaire mais on passe un agréable moment de lecture.
On peut donc se laisser tenter.
Gauthier de Flandres, désormais chevalier sans cause, erre à travers le désert pour finalement échouer dans le caravansérail de Meg Halstar où de nouveaux dangers l’attendent…
Graphiquement, le trait est toujours très réaliste et la mise en couleur de qualité ; de nombreuses planches sont d’une précision et d’une richesse qui font tout l’attrait de l’album. Toutefois, l’esthétisme développé par Philippe Xavier ne peut faire oublier un scénario qui se cherche quelque peu et peine à installer sa trame.
Si « Nomade » puise dans l’univers de « Croisade », il ne semble pas (pour l’instant) en constituer (vraiment) la suite, tout au plus un spin-off…
Le prochain album nous en dira plus …
Chrétiens et Sarrasins se font enfin face au pied de Hiérus Halen. Mais les arcanes du destin décideront du sort des protagonistes plus sûrement que les alliances nouées dans les sables du désert ou dans l’ombre des palais. De cette bataille, d’où naîtra un nouvel équilibre, chacun sortira transformé et conscient de son destin.
Si Jean Dufaux joue encore une fois, et avec une certaine réussite, sur les registres de l’historique et du magique, il importe de relire les albums précédents pour bien saisir le cours de l’histoire !
Quant aux dessins de Philippe Xavier, nous pouvons juste regretter qu’au fil des albums, les personnages n’aient pas acquis cette expressivité et surtout cette intensité qui habitent les scènes de bataille …
Toutefois, ce 4ème album clôt superbement la fin d’un cycle...
Ce quatrième et dernier opus clos l'histoire qui reste néanmoins inachevée.
Les dessins restent excellents continuant de faire le succès de cette série et de sa probable suite dont il faudra guetter l'arrivée.
8/10
Même si le scénario finirait par lasser il reste les fantastiques dessins de cette saga.
L'idée de batailles sur des pages doubles est tout simplement splendides.
A noter que les auteurs s'éloignent de la réalité historique des croisades pour se tourner plutôt vers l'aventure fantastique de qualité.
8/10.
Deuxième album de cette passionnante série du même acabit que le premier mélant réalité historique et fantastique.
Les déssins sont subjuguants. rien à redire sur les couleurs.
Une réussite à découvrir.
8/10.
Du très bon Duffaux cette histoire de croisades.
Le scénario tient en haleine et mêle histoire et fantastique.
Les dessins sont excellents.
L'ensemble se laisse lire avec un plaisir certain et on attend impatiemment la suite.
8/10.
J'avais lu le tome 1 un premiére fois: trés moyen..
Je l'ai relu c'etait mieux
Mais relire les deux à la suite, c'est excellent: Ils se suivent à merveille..
Le contenu est trop dense pour etre apprécié sur un seul album...
Excellent dessin, scénar en béton
Histoire d’une croisade maudite dans un désert improbable où légendes, djinns et mirages manipulent hommes et femmes : cette série est de celles qui se bonifient au fil des albums.
Le scénario de Dufaux sert à merveille les dessins de Xavier dont la richesse fait tout l’attrait de cette série.
En attente du 4ème opus !
Le dessin est toujours aussi bien réussi, comme pour l'histoire.
Mélange d'histoire et de fantastique, ou chevaliers rencontrent des démons, ne font pas bon ménage.
L'histoire avance petit à petit, et est toujours intérressante.
Une série qui nous emmène aux temps troubles des croisades: voilà un thème riche, et ce premier album tient ses promesses.
Nous voici plongés dans une aventure épique où se mêlent luttes d'influence, trahison, ambition, foi, mysticisme et fantastique. Faisons confiance à Dufaux côté scénario, car il nous a habitué à des séries sombres à souhait (Rapaces, Sang de lune...).
Donc j'ai accroché sur le scénario, même si je dois avouer que c'est à la relecture que j'ai mieux appréhendé les différents enjeux et la noirceur sous-jacente.
Quant au dessin, un trait clair et des couleurs prononcées contrastent agréablement avec le scénario, ce qui renforce la profondeur de l'histoire.
Donc pour résumer, bonne lecture à tous, car cette série est attrayante et prometteuse
Pour parler de se second album, je dirais qu'une fois que l'on est à nouveau rentré dans l'histoire avec les différents personnages, cette série est tout bonnement géniale. On a le droit à un mélange d'historique et de fantastique qui se mélangent parfaitement entre eux.
Les dessins sont toujours aussi bien réalisés.
Un album ou Dufaux nous propose une histoire en terre Sainte au temps des croisades, qui opposes les chrétiens aux musulmans.
Parmis les français, seul Gauthier de Flandres est contre cette bataille qui serait un massacre.
De l'autre coté, Sar Mytra, un étrange personnage se lie avec le chef des musulmans.
Un très bon premier album, avec des couleurs très jolies, vivement la suite.
De grandes batailles, des personnages assez convenus, un peu de surnaturel... l'ensemble manque décidément de quelque chose, d'un grain de sel, pour être bien.
Peut-être que le tome 2 apportera ce quelque chose, avec l'arrivée de la troisième religion monothéiste? Je n'en suis pas sûre, mais bon, pourquoi pas?
Sinon, les couleurs sont réussies, la grande scène de la bataille également, mais on est toujours dans le convenu.
Un bel album, très bien dessiné au scénario intéressant (mélange historique / fantastique), mais le récit n'est pas toujours clair et parfois difficile à suivre, j'attends tout de même la suite.
Un début intéressant, avec une touche d'ésotéro-magie chère à Dufaux