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Un excellent opus, petit chef d’œuvre graphique et scénaristiquement très solide.
Certes le Marsupilami n’est qu’un personnage secondaire, mais l’idée d’évoquer l’ancêtre de « notre » Marsupilami au temps des conquistadors, avec le mythe de l’El Dorado et la naissance de la Palombie est juste excellente.
Historiquement, il y a plein de petites références très sympathiques.
Et, surtout, on est dans une histoire pour toute la famille, loin de récits jeunesse parfaitement niais qui pourraient paraître aujourd’hui.
Je rejoins Diddu : c’est un conte assez enchanteur, aux graphismes absolument extraordinaires.
Un poil déçu par cet album. Pas graphiquement, car comme d'habitude le dessin d'Alexis Nesme est du caviar pour les yeux. Mais j'ai trouvé que l'histoire concoctée par Lewis Trondheim manquait un peu de substance. Le Marsupilami n'est finalement qu'un personnage secondaire dans ce récit (le véritable héros étant José) et intervient assez peu. De plus, le récit est parsemé de plusieurs grosses ellipses qui fait qu'on passe plusieurs fois du coq à l'âne, ce qui est un peu déroutant.
Bref, ça reste tout de même très plaisant à lire, mais j'avoue que je m'attendais à mieux.
Ce récit m'a enchanté.
C'est sublime du début à la fin, le graphisme, la mise en couleurs, les effets d'ombre et de lumière, c'est vraiment extra-ordinaire. En plus, les environnements varient, avec la forêt, la mer, des temples, les cimes des montagnes, les paysages enneigés, bref, c'est vraiment très flatteur pour l’œil.
L'histoire est une sorte de conte, je ne l'ai pas trouvée enfantine.
Peut-être faut-il simplement avoir conservé son âme d'enfant, c'est assez différent.
Je me suis parfaitement laissé entrainer par le récit qui est finalement une quête : une quête d'or pour certains, une quête initiatique pour d'autres.
Un gros coup de cœur pour ce El Diablo !
Un petit chef d'œuvre de la bande dessinée d'aventures humoristiques franco-belge !
Tous les ingrédients y sont : une mission mystérieuse, une légende vivante, le tout dans le contexte d'une révolution, avec tous les quiproquos que peuvent générer une telle situation confuse.
L'intrigue se tient, les dialogues fusent, les calembours et clins d'œil abondent, l'action est dense, la narration est dynamique, et le dessin emporte le tout avec ses trognes et caricatures de ploucs, de militaires, de dictateurs. Et le marsu sauvage dans tous ses états !
On dirait du meilleur Greg dans Achille Talon. Ne boudons pas notre plaisir.
Au début, j’étais à fond dedans.
Le dessin rond, le personnage explorateur insouciant à qui tout réussi grâce à sa chance, ses légèretés, ses inventions farfelues.
C’était décalé, délirant, réjouissant.
Et puis on passe à la seconde partie à laquelle j’ai moins adhéré.
D’abord parce que je ne m’attendais pas à ce qu’on lâche Humboldt comme ça et que je l’aimais beaucoup.
Ensuite parce que la seconde partie est plus classique, la petite fille pauvre et ses soucis que tout va se résoudre par miracle, les personnages plus basique et caricaturaux, les traversées de la ville…
Moins de surprises, de décalage…
J’aurais préféré suivre Humboldt tout du long…
3 étoiles seulement pour cette relecture bourrée d'incohérences et de lacunes de scénario, qui est clairement destinée aux très jeune public. La popularité et le côté mythique du personnage aurait dû mettre la puce à l'oreille de l'auteur que des amateurs de la grande époque (comprenez "vieux" - et je m'inclue dedans) étaient lecteurs potentiels. Il n'y trouvent pas leur compte.
Habituellement, j’ai un peu de mal avec cette série, que je trouve trop naïve à mon goût, avec un humour trop basique et simple… Je dois pas être le lecteur cible…
Pourtant, dans cet opus, j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre l’aventure !
Principalement, parce que c’est original, ce gamin qui devient Marsu et nous en montre les caractéristiques…
Ensuite, parce que sa tante, en fond, a une histoire sympathique à suivre, plus réaliste que son voyage précédent dans un pays n’importe-quoitiste, plus juste et drôle…
Bref, agréable à lire.
Il s’agit ici de réparer un oubli puisque je n’avais pas encore posté sur cette série de grande notoriété. Je ne suis pas un fan de Franquin que beaucoup considèrent à juste titre comme un grand de la bande dessinée. Le marsupilami est l’une de ses grandes créations. Après la bd, il y a eu le dessin animée puis le film avec Alain Chabat sorti en avril 2012. C’est vrai que mon plus jeune fils possède même la peluche. Bref, il est difficile d’échapper à ce phénomène purement commercial.
Pourtant, la lecture d’un album se révèle être d’une platitude qui s’explique par l’absence d’un scénario. C’est un bel animal mais ses gloussements ne me font aucun effet. Même durant mon enfance, je n’aimais pas les aventures de ce phénomène de foire dans la revue Spirou et Fantasio. Cela manque d’intelligence et c’est assez répétitif dans le dialogue : houba houba !
En général, je suis moyennement emballé par cette série.
Pourtant, cette fois, j’ai été agréablement surpris – parce que, peut-être, paradoxalement, on voit très peu le Marsu ?
L’histoire diffère des éternelles redites dans la brousse, on est ailleurs, il y a de nouveaux personnages, de nouvelles situations…
Et cette fois, j’ai trouvé de l’humour tout du long, dans les dialogues comme dans les détails…
Alors ça ne restera pas un chef-d’œuvre impérissable mais c’est bien sympa.
On dirait qu’il y a deux albums dans cette BD.
D’abord, l’histoire de monsieur Xing Yun qui, si elle fait penser à Vito la déveine dans Spirou et Fantasio, reste agréable à suivre car amusante, pleine d’inventivité et d’humour.
Et puis, il y a la seconde histoire – qui n’en est même pas une. C’est la description, laborieuse et interminable, du caractère des Marsupilami. On a tous les adjectifs possibles, illustrés de toutes les façons possibles.
Les deux ou trois premières fois, c’est amusant. A la vingtième, je n’en pouvais plus.
Alors qu’il aurait été tellement plus intéressant de développer l’histoire de Xing Yun et comment il parvient à obtenir des poils de marsu, ou ce qu’il advint après…
A moitié satisfaisant.
malheureusement ont est loin du marsupilami de franquin et c'est bien dommage,mais bon faut faire avec
album plus consacré au film d'alain chabat avec jamel debbouze qu'a l'oeuvre d'andré franquin,donc moi personnelement je fuit,non merçi pas pour moi
du pure franquin,un régal,album a découvrir et a avoir dans sa bibliothèque ,malheureusement les futurs albums repris par batem seront moins intéréssants
Hergé faisait de fugaces apparitions dans Tintin, et toujours comme un figurant.
Voulant sans doute faire reculer les frontières du 9e art, et ayant oublié que le ridicule tue, les auteurs n'hésitent pas à se mettre en scène dans cet album qui devrait s'appeler "Luc et Stéphan s'enflent la tête".
Les références sempiternelles au surpoids de Tèhtouthanpatée sont inacceptables et frisent le harcèlement
Ne cherchez pas, il n'y a rien de bon dans ces 44 planches, si ce n'est la splendide coloration de Cerise et quelques vignettes avec les Marsus.
Désolant.
La longue déchéance du Marsupilami se poursuit. Pour attirer une clientèle jeunesse, le héros de ce brouet est un ... drone !
Les personnages sont ternes, sauf le diabolique chasseur Mondron qui épice singulièrement le récit. Malheureusement, il a été transformé en chaleur et lumière, ce qui est rare dans l'univers feutré des Marsu Productions.
Les couleurs sont particulièrement bien réussies par Cerise, et on se surprend à prendre plaisir à décortiquer de petites perles dans les coins des cases. Nul doute que Batem a du improviser ces oeufs de Pâques pour briser l'ennui du scénario pédestre de Colman.
Si vous voulez faire dire des "houbi!" à votre jeune, pourquoi ne pas lui offrir le fabuleux "nid des Marsupilamis" ? C'était crée il y a déjà 55 ans !
Un scénario nettement au dessus de la moyenne de cette série - ce qui n'est pas difficile, direz-vous.
La fin du calendrier Maya en 2012 sert de prétexte à un saut temporel (comme le laisse deviner la couverture), ce qui complique la petite vie rangée des habitants de la jungle palombienne. On regrettera que le Marsupilami sert plutôt de faire-valoir aux autres personnages. Le dessin est compétent, quelques scènes de jungle sont très bien rendues.
L'humour se cantonne dans le nom des Mayas.
On note 3/5; Pas parce que l'album est bon, mais parce qu'il est un cran au dessus du Pablum du reste de la série.
La police change en plein milieu de l'album, pourquoi?? bon après c'est un détail qui ne gêne pas la lecture.
je ne suis pas un fan absolue de cette reprise.
Si le dessin est trés conforme à celui du maitre, il n'en est pas de mème pour le scénar.
pourtant, c'est un grand nom qui le signe, mais je ne le sens pas trés convaincu par cette reprise.
Dans spirou, le marsu me faisait bien rire, et je restais bien souvent plus longtemps sur une case le montrant en action, ici, je trouve que l'on ressent trop la copie, et que l'auteur ne met pas saz patte.
en mème temps, c'est le premier, laissons lui le temps !
Une bonne critique anti-télé-réalité. Cet album dépend des goûts télévisuels des gens : ceux qui aiment la télé-réalité vont détester cet album et inversement. En tout cas moi j'ai adoré!
Il existe une différence entre cet album et ceux à venir : celui-ci a un style de dessin de dessin très proche de celui d'André franquin : on sentait que Batem s'inspirait de lui avant de définir son style. Cet album est donc très agréable à lire.
ça sent les fonds de tiroir, du coup il y a de tout dans cet album, du bon et du moins bon, du vieux et du plus récent.
Au final quelques bons gags, la poésie de Franquin qui revient surtout dans les gags de Noël, mais on est quand mêm bien loin de certains albums de Spirou avec le marsu.
Pas indispensable, mais agréable.