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Un peu de féminité dans ce monde de héros masculins, ça fait du bien ! Edith Hardy mène son enquête avec classe, accompagné du jeune et intrépide (mais parfois agaçant) Victor. Belles planches avec une reconstitution efficace du Paris des années 50. On sent l'influence de Tardi dans le dessin mais aussi dans le scénario ("Brouillard au Pont de Tolbiac", de Nestor Burma). Les couleurs auraient gagné à être plus vives. La planche 1 est superbe.
L’histoire se déroule dans le Paris d'après la seconde guerre mondiale. Plus exactement dans le quartier Picpus dans le XIIe arrondissement. On y retrouve l’ambiance du Paris populaire et un peu campagne de cette époque. Les dessins sont magnifiques. Côté histoire, un bon scénario de polar dans une époque trouble où les Soviétiques commencent à poser des problèmes. Jeux de barbouzes qui se concluront à Moscou. Ambiance légère et bonne humeur.
Après trois ans d’attente, Edith revient dans un scénario qui traite d’un sujet délicat: la spoliation du bien des juifs pendant la guerre. On s’amuse de l’apparition d’un personnage « Bad Boy », un petit voleur des bas quartiers de Paris, surnommé le « beau Denis ».
Cet album est le plus « policier » de toute la série. L’actrice Thelma tue son partenaire sur scène car on a remplacé les balles à blanc par de vraies balles. Victor accepte de reprendre le rôle maudit.
Le scénario nous plonge dans la folie du monde théâtral et dans la dictature des metteurs en scène.
Edith doit aider les services secrets français dans une sombre affaire de prise d’otage. Le scénario traite de deux problèmes de l’époque. La guerre d’Algérie (Victor tente de se faire réformer) et l’occupation française à Berlin. Le dessin est vraiment intéressant car on découvre des quartiers de Berlin détruits d’après guerre.
Edith enquête aux usines Renault suite au vol de documents importants. Cet album nous plonge dans le milieu ouvrier et syndicaliste. La France des années 50 est bien restituée tant au niveau des décors que des costumes.
Cet album se veut la suite de « La trace Pale ». Edith Hardy se rend à Moscou pour négocier la récupération de tableaux volés. Le scénario est bien ficelé même si il y a des longueurs. L’intérêt de l’album vient aussi de la rencontre de l’agent de la CIA, Jones, amant d’Edith. Les dessins de la Russie soviétiques sont bons et précis.
Edith enquête sur la disparition du chimiste Antoine Dubreuil kidnappé par les Russes. Edith Hardy infiltre les espions russes. Le scénario prend du relief et confronte l’héroïne aux milieu communistes très puissants après guerre. Le dessin rend Edith de plus en plus sexy.
Le scénario nous plonge dans Paris, en 1955, où la jolie veuve, Edith Hardy a fondé une agence de détectives privés. Cette histoire aux élans féminins car on y traite de la conditions de la femme après guerre, on y parle du vol d’une formule de parfum.
L’intérêt scénaristique vient aussi de la rencontre du jeune Victor, seul collaborateur d’Edith. Le dessin de Christin peut paraître « vieux jeu » mais l’atmosphère fifties est au rendez-vous.
Les plans d’un prototype de course ont été volés dans les bureaux de la Régie Renault. Pour mieux savoir ce qui s’y passe, Edith fait engager son jeune adjoint en tant qu’ouvrier. L’aventure est remarquablement troussée, la reconstitution de la Boulogne ouvrière des années 50 est simplement magistrale avec, entre autres, ces barbecues du dimanche. C’est tout un pan du cinéma social et populaire des années 30 et 50 qui nous reviennent ainsi en mémoire.
Là encore, ce n’est pas l’histoire principale qui passionne mais bien tous les à-côtés. De ces communistes sincères pour qui les révélations concernant le Petit Père des Peuples sont un déchirement mais qui ont un cœur « gros comme ça ». C’est « Bienvenue chez les ch’tis à la Régie Renault » !
Toujours à la recherche de son scientifique, Edith va prendre le prétexte d’une sombre histoire de tableau volé pour passer le rideau de fer et mettre victorieusement fin à cette aventure.
La manière de régler le dénouement est astucieuse mais il était vraiment temps que ce cycle se termine, l’intrigue ou tout au moins son développement restant quand même assez faible.
Suite des plus laborieuses de l’album précédent. Edith Hardy est toujours à la recherche du chimiste qui, sympathisant communiste, tient à offrir au monde les bienfaits de sa découverte pharmaceutique. Du coup à la demande indirecte de la DST, elle va essayer d’infiltrer la fameuse baronne communiste rencontrée au premier album et qui a pour particularité de s’abreuver uniquement –ou presque- au champagne.
Ce qui faisait le charme du premier album est que l’action se déroulait sur Paris exclusivement ou presque. Ce n’est plus le cas ici et l’intrigue n’est pas suffisamment solide pour combler ce vide.
Après avoir notamment commis ensemble « La diva et le Kriegspiel » , « La voyageuse de la Petite Ceinture » et « Paquebot », voici que Christin et Goetzinger commettent ensemble une nouvelle série.
La veuve d’un agent de change, la fameuse Mme Hardy, a du pour subsister ouvrir une agence de détective privé. Un industriel du quartier lui demande de retrouver un jeune ingénieur chimiste qui a disparu.
« Industriel » ? « Quartier » ? Depuis quand les industries sont dans le cœur des villes ?
Car la grande réussite de l’album, plus que l’histoire –plaisante mais sans plus-, est d’avoir situé l’action dans le Paris des années 50 et plus particulièrement dans le 12ème arrondissement, quartier populaire par excellence.
Et ça, c’est vraiment un régal !
Tomes 1 à 3 :
Une séries plutôt intéressantes qui s'améliore d'album en album que ce soit au niveau du scénario que du dessin. En effet après un premier tome plutôt longuet où j'ai eu du mal à accrocher les deux suivants m'on litéralement ravis. L'intrigue y est prenante et les rebondissements intéressants malgrès par moment des ficèles assez grosses.
Une série intéressante à suivre.