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Il est question de lutte entre blancs et noirs dans un futur proche aux Etats-Unis. Il s'agit également d'un Mad Max ferroviaire. J'ai beaucoup aimé cette histoire de pirates du rail qui sillonne le pays avec leurs trains équipés tel des navires de guerre. Il y a beaucoup d'originalité dans l'air.
Un flic métis rejeté par les noirs et méprisé par les blancs essaye de s'infiltrer afin de démanteler le réseau. Il faudra choisir son camp dans une Amérique où le parti patriotique chrétien, ultraréactionnaire, domine et où une guerre raciale conduit implicitement à l'extermination des populations noires.
Là également, il y a un réel manque de clairvoyance quant à la société du futur. Cependant, les situations ne sont guère manichéennes au travers des réflexions plus poussives.
Cette saga reste très inégale dans son ensemble mais assez originale pour pouvoir l'apprécier.
L’affrontement final entre Davis et Pearse dans ce quatrième tome est un petit peu décevant.
La fin est à la fois cruelle et tellement prévisible. Pearse préfère faire le choix de sa vie précédente plutôt que d’affronter les galères et vivre en marge de la société xénophobe présentée dans cette série. Quel aurait été son choix s’il avait su que la femme qu’il aimait était toujours vivante ? L’amour nous guide souvent vers un choix différent et parfois à l’encontre de nos idées.
Le point positif de cette série étant de dénoncer les discriminations envers les minorités, je ne peux que louer celle-ci. De plus, d’album en album l’amélioration graphique apporte l’envie de poursuivre l’aventure.
Oui, on peut se laisser tenter par « Rails » qui est peut-être un avertissement prémonitoire de l’Amérique que le président actuel essaye de bâtir.
Davis et sa garde blanche vont prendre d’assaut la capitale en profitant de l’inattention des sentinelles de la ville. Le massacre est programmé et Dread n’y survivra pas. Il aura néanmoins le temps d’expliquer à Pearse pourquoi il l’a sauvé (voir fin tome 1 et début tome 2) et tous les espoirs qu’il avait placé en lui. On pressent déjà que les exactions de Davis arrivent à leur terme. Encore un bon album sans pour autant être extraordinaire. Mais on passe plutôt un bon moment à sa lecture.
La suite de l’histoire et la lutte entre gangs noirs et suprématistes blanc fait rage. Pearse a rejoint, avec son compère Dread, un gang mené par une femme dont il va devenir amoureux. Leur train va à son tour tomber dans une embuscade et ils devront s’enfuir et rejoindre la « capitale » du peuple noir. L’album ne manque pas d’action et se parcourt très vite.
Le postulat de départ de cette série est totalement absurde avec des pirates du rail qui terrorisent une population qui ne peut être protégée après qu'une loi, interdisant toute action aéroportée, ait été votée. C’est quoi ce monde ? Les dirigeants ont fumé la moquette ?
Une fois accepté ce contexte, nous voici lancé dans une histoire d’espionnage de gang par le policier Pearse qui ne se sait pas manipulé par ses supérieurs qui lui cachent un mouchard dans ses chaussures. Comme cette société est devenue extrêmement raciste, notre policier métis va devoir opter pour sa mission ou bien rejoindre corps et âme la bande des pirates noirs les jaguars.
Il va faire le choix du gang après l’excitation éprouvée lors du premier acte de piraterie. Mais cela va lui porter préjudice car il devra tuer son meilleur ami, un policier, lors d’un traquenard mis au point par les autorités.
Comme on peut s’en apercevoir, la moralité n’est pas vraiment le leitmotiv de l’histoire. Mais peu importe, on se laisse porter par l’absurdité de ce conte pseudo-futuriste et en formatant son esprit au ridicule, le moment passé sur cette bd est plutôt satisfaisant.
Quant au dessin de Fred Simon, il s’agit des prémices à l’excellent « Mermaid Project » scénarisé par Léo. Le dessin est moins précis et plus fouillis (au moins pour ce premier tome) mais très reconnaissable. Au final, on se laisse facilement séduire par l’histoire.
Je n'ai pas bien compris l'interêt d'une telle histoire. le scénario est sans aucune surprise, les personnages sont fades et manichéens à souhait.
Et les dessins sont absolument sans aucun style.
Bref on a pas envie de lire l'opus n°2.
3/10.
Cette histoire de gangs noirs en lutte contre les blanc du entre PPC nous fait penser un peu au KKK , meme lieu U.S.A. mais on ne comprend pas pourquoi dans ce monde futuriste l'avion n'existe pas , c'est vrai qu'il n'y a plus de raison de faire la BD , mais c 'est bizarre .On suit sans probleme cette lutte grace a un superbe dessin et de magnifiques couleurs , pas extra mais se laisse lire .
Dieu que cette fin est irritante mais Dieu quelle est originale !
Elle m'a assez surpris alors que le reste de l'album était d'un conventionnel achevé. A vrai dire le scénariste a été assez bon prince avec ses héros car leur survie est assez miraculeuse ... mais cela sert aussi à cela un scénariste.
Reste au bilan une saga originale, pas toujours très bien menée, mais qui bénéficie d'une mise en couleurs et de dessins somptueux.
Globalement à lire donc.
Réfugiés dans la cité des 12 Tribus, ville phare de la république Rasta, Wolf Pearse et ses amis doivent faire face aux assauts des hordes de la garde blanche.
Album très classique quant à son déroulement puisque nous assistons à la classique attaque du chateau-fort ou du fort des tuniques bleues. Sauf que le thème (la haine raciale), les dessins et les couleurs donnent à cet écheveau convenu une dimension supplémentaire. Un très bon album.
Dans une Amérique où le Parti Patriotique Chrétien, ultra-réactionnaire, domine et où la guerre raciale sous-tend implicitement le massacre des populations noires, Wolf Pearse -notre héros métis- choisit véritablement son camp.
Cet opus ne m'a ni emballé, ni convaincu, même si le personnage de Soeur-Mère, formidable chef de gang, est tout à fait réussi. Ce retrait de ma part s'explique essentiellement par les explications fugaces donc pas très claires qui sont données à propos de ce monde infernal d'où l'avion a été banni; ce qui explique l'importance qu'ont repris les chemins de fer.
En attendant, dessins et couleurs sont toujours au top.
David Chauvel nous offre sa version personnelle de "La compagnie des Glaces", cette saga de près de 100 romans aujourd'hui adaptée en BD et en série TV.
Mais à la différence du cycle d'Arnaud, nous ne sommes pas dans un monde post nucléaire et les glaces ne recouvrent pas le globe. En revanche, les Etats-Unis sont disloqués et profitant de cette situation une centaine de gangs noirs écument le pays.
Un flic est chargé d'infiltrer le gang des Jaguars, l'une des plus fameuses et plus terribles de ces hordes.
La série doit beaucoup au dessin de Simon Fred et aux couleurs de Brigitte Findakly, pour le reste nous sommes dans un schéma classique post-civilationnel.
Mauvaise suite et fin d’une série attrayante jusque là. Pas de surprise dans cette fin de cycle, où les événements des 3 précédents tomes s’achèvent de manière logique.
Les pirates ferroviaires parviennent à échapper (on va dire de façon miraculeuse) à la Garde Blanche. Pearse s’échappe (de façon tout aussi miraculeuse) du convoi de la Garde Blanche et retrouve (comme par hasard et au beau milieu d’une tempête de neige s.v.pl.) son ex-chef Davis au beau milieu de la nature. Non seulement il réussit à se venger, mais en plus il reçoit une jolie compagne en guise d’adieu à cette série.
Bref, une excellente série qui connaît une fin plutôt ridicule !
Dans ce tome on s’éloigne pour ainsi dire des rails pour se concentrer sur la gare, c.à.d. le repère des gangs ferroviaires. Pearse a réussi à rejoindre cette forteresse où les trains sont entretenus et où les hommes, telles des marins revenus sur la terre ferme, se défoulent et règles leurs comptes.
Davis, ayant perdu ses appuis politiques, a lui aussi découvert le repère des gangs et se prépare à donner l’assaut avec l’aide de la Garde Blanche afin de redorer son blason auprès de la population.
Si les batailles des tomes précédents faisaient penser à l’abordage de pirates sur les navires ennemis en pleine mer, ils ressemblent maintenant plus à une guerre de tranchées ou à la prise d’assaut d’une forteresse de cavalerie par les Indiens.
Ce qui reste inchangé, par contre, sont les deux camps qui s’affrontent de manière manichéenne depuis le début de la série, c.à.d. les blancs (Davis) et les noirs (Pearse).
Les gangs de pirates ferroviaires noirs qui assaillaient les convois de blancs dans le tome précédent, se voient maintenant traqués par les trains entièrement blancs de la Garde Blanche, organisation héritière du K.K.K. qui lance une croisade raciste sous l’impulsion de l’ancien chef de Pearse.
Le traqueur devenant traqué, ce récit à tendance à tomber dans un certain manichéisme. Néanmoins le développement des passés de Pearse et de son sauveur, tout comme l’ascension politique de son ancien chef Davis à l’aide de corruption et chantages, donnent un peu plus de profondeur à ce conflit entre noirs et blancs.
Repéré par Davis, le séjour de Pearse au sein du nouveau gang black des Fils de Judah tourne néanmoins court, donnant une nouvelle tournure à cette histoire en fin d’album.
Plus qu’une mise en place, ce premier tome, non seulement nous plonge dans l’ambiance originale de cette série, mais nous livre déjà une histoire bien ficelée à la fin surprenante.
Le décor très original, nous plonge dans un gang de noirs sillonnant le pays à bord de trains équipés comme des navires de guerre. Telle des pirates ils passent à l’abordage d’autres trains afin de piller les blancs !
C’est ce groupe de sauvages que le sergent Pearce, flic métis rejeté par les noirs et méprisé par ses collègues blancs, doit infiltré pour enfin pouvoir démanteler ce réseau de gangs.
Parsemé de trahison et de racisme, Chauvel nous livre un premier tome attrayant d’une série qui parait déjà très prometteuse.