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Léo et Loco sont en Martinique pour enquêter sur la disparition d'un jeune plongeur.
Un LEO LODEN dépaysant mais fidèle aux codes de la série, que ce soit d'un point de vue graphique comme scénaristique. Rien de vraiment nouveau sous le soleil, mais la lecture reste bien agréable.
Juste avant la grande première d'une adaptation controversée de "Carmen" à l'opéra de Marseille, la cantatrice incarnant Carmen est victime d'un accident sur scène au cours d'une répétition, un élément du décor s'étant effondré sur celle-ci. Simple accident, sabotage pour empêcher l'opéra d'être joué ou tentative de meurtre ? C'est ce que devra déterminer LEO LODEN, dans une enquête compliquée qui mêlera notre détective au monde très particulier de la Culture, et le verra arpenter plusieurs lieux de Marseille, de l'opéra en centre-ville à l'hôtel Intercontinental, en passant par les anciens abattoirs de Saint-Louis.
Une bonne enquête avec toute une galerie de suspects qui ont tous une bonne raison de voir la pièce sabotée, ce qui fait qu'on ne devine pas le coupable trop vite. Comme les dessins sont toujours aussi bons et que l'humour suit bien, la lecture est fort plaisante. Petit plus : dorénavant Léo est papa et aux contraintes du métier de détective privé viennent se mêler les contraintes familiales, ce qui engendre encore plus de situations humoristiques.
Un album de bonne facture, pas un des meilleurs, mais on retrouve avec plaisir les aventures de Leo et ses amis. Bientôt 30 ans que le détective résout des crimes, et on peut dire qu'il tient toujours la forme.
Cette série se situe entre humour et polar dans la plus bonne tradition franchouillarde. On visite en effet toutes les villes françaises de Marseille à Lille en passant par Strasbourg dans "Bretzel fatal". Au passage, les auteurs n'ont pas une belle vision de ce que sont les alsaciens. Cela sent le cliché à plein nez. On mettra cela sur le compte de l'humour ce qui est bien pratique dans l'absolu.
L'oncle loufoque est là pour mettre la bonne ambiance. Cela est très sympa mais c'est sans plus. Il n'y a pas véritablement les ingrédients qui en feraient une série incontournable.
Les aventures de ce détective marseillais apparaissent souvent bien fades. Les dénouements des histoires sont souvent très laborieux. La psychologie des personnages demeure bien enfantine. On a vu beaucoup mieux.
Léo et Tonton Loco sont à Sète, et plus précisément sur les bords de l'étang de Thau, pour enquêter sur la mort d'un ostréiculteur.
Nouvelle incursion "régionale" de LEO LODEN qui réunit tous les bons ingrédients de la série : dessin efficace et plaisant, enquête policière peu complexe mais bien ficelée, humour léger et toujours présent, liste de suspects bien fournie, sans oublier quelques citations humoristiques bien senties pour planter le décor. Bref, la recette est connue mais elle fonctionne toujours. En outre, l'album se révèle même didactique car on en apprend pas mal sur la filière ostréicole.
Au final, un épisode très sympa (malgré une fin un peu précipitée), d'autant qu'il est très plaisant de voir évoluer LEO LODEN à Sète et dans ses environs, un joli coin de France qui personnellement me plaît beaucoup.
LEO LODEN enquête sur la disparition d’un adolescent, pour le compte de ses parents qui n’ont plus eu de ses nouvelles depuis trois semaines. Fugue ? Enlèvement ? Pris à partie dans un règlement de comptes ? Une enquête difficile, qui mêlera Léo à l’univers des teufeurs et des rave party, et le fera arpenter de nombreux quartiers de Marseille, du Vallon des Auffes au plateau de Carpiagne, en passant par le quartier industriel des Arnavaux ou les bistrots étudiants autour du lycée Thiers.
Un tome qui renoue avec l’esprit des premiers albums de la série, à savoir une enquête contemporaine se déroulant entièrement à Marseille. Dessin agréable, humour second degré amusant, bons dialogues avec comme toujours quelques répliques humoristiques bien senties … bref, un excellent LEO LODEN !
Une enquête originale et inattendue pour Léo LODEN alias Léo LODANUM. J'ai beaucoup apprécié cette nouvelle aventure. Un scénario et des dessins toujours au top. Tous mes félicitations et mes remerciements aux auteurs.
Il y a un peu plus de 2000 ans, le questeur privé Leo Lodenum enquête au coeur de la jeune Massilia sur l'assassinat du patron des thermes d'Aquae Sextiae, qui s'opposait au projet de construction du nouveau port sur les rives du Lacydon. Une enquête semée d'embuches qui verra notre héros massaliote arpenter les vertes campagnes des quartiers nord de la cité phocéenne, les tavernes louches des quais du port ou encore les théâtres antiques où le tout-Massilia se côtoie.
Un LEO LODEN au parfum d'ASTERIX pour le moins original. L'enquête proposée n'est pas la plus étoffée de la série mais reste plutôt sympa et l'humour reste bien présent, avec de nombreux anachronismes bien drôles. En outre, il est très sympa de s'imaginer Marseille à cette époque-là, et la représentation qu'en font les auteurs laisse suggérer que les lieux à l'époque devaient être vraiment paradisiaques !
Personnellement j’ai toujours aimé cette série depuis sa création.
Pour son 25ème anniversaire, notre détective nous fait remonter le temps, c’est toujours à Marseille mais à l’époque de la la Rome Antique.
Nous retrouvons tous les codes de cette série qui font tout son charme, avec un scénario bien d’aujourd’hui, je dirais plus d’actualité sur l’abus des promoteurs, l’expropriation, le chantage et la corruption.
Le scénario de Loïc est bien structuré et il y a toujours cette pointe d’humour qui fait le charme de cette série.
Que dire sur les dessins magnifiquement réalisés par serge. Toujours d’une qualité qui mette en valeur la série.
Comme d’habitude les couleurs sont superbes, elles correspondent à l’ambiance générale de l’album.
En résumé: C'est un bon album, l’opération pour son anniversaire était fort sympathique, pour ma part j’aurais préféré le 4x4 de Léo mais les différentes tractions sont magnifiques, à collectionner.
Un nouveau Leo Loden ,d'abord je le dévore ...puis je le relis en le savourant... Je connais les répliques comme celles de Tillieux et de Libellule ou de Crouton ,et le dessin (oups,graphisme,ça fait mieux ) c'est toute mon enfance! C'est vrai que l'intrigue n'est pas ici le point fort mais bon... Encore, encore! PS je suis un peu chauvin ,je vis au pied du LubEron (et pas Lubéron,A Perroud !Parisien,je suppose?)
Suite à un concours de circonstances, LEO LODEN, Tonton et Marlène sont amenés à participer à un "rallye" (course de voitures anciennes sur deux jours, avec énigmes à résoudre le long du parcours) entre Arles et Saint-Rémy de Provence. Obnubilés par la victoire, les participants s'échangent coups fourrés et vacheries, comme il est plus ou moins de coutume ... jusqu'à ce que le principal favori de la course soit retrouvé assassiné à l'issue de la première journée ! Pour Léo, cela ne fait aucun doute : l'assassin est l'un des concurrents et se cache au sein des participants. Il décide donc de continuer la course pour pouvoir mener l'enquête ...
J'ai beau éprouver de la sympathie pour cette série, ce dernier opus m'a beaucoup déçu. Si le dessin reste convenable, l'enquête proposée est hélas beaucoup moins passionnante que d'habitude et de plus, on devine très facilement le coupable dès les premières pages. Maigre consolation : le plaisir de voir LEO LODEN se promener dans les Alpilles, indéniablement l'un des plus beaux coins de Provence.
Alors qu'il se trouve à Lille pour suivre des cours de cuisine dans un grand restaurant, Tonton se retrouve impliqué dans le meurtre d'un officier de police. Arrêté et risquant la prison à perpétuité, il demande à Léo et Marlène de venir l'aider à se sortir de cette embarrassante situation. Une enquête compliquée qui mettra LEO LODEN aux prises avec des flics ripoux et un groupuscule d'extrême-droite.
Un scénario très bien imaginé, du suspens, de l'action, de l'humour; bref, un excellent LEO LODEN.
Marlène enceinte et encore plus ingérable que d’habitude, Léo s’éclipse un temps du côté de Saint-Tropez pour rencontrer un client potentiel voulant lui proposer une affaire. Mais il déchante vite en constatant que le dit-client est un parrain de la mafia russe et décline donc son offre. Le problème étant que refuser une offre de la mafia russe peut s’avérer assez néfaste pour la santé …
Une aventure sympathique qui se déroule essentiellement dans le Var, entre Toulon et Saint-Tropez. Les dessins sont réussis et le scénario drôle et plaisant comme d’habitude, malgré quelques incohérences dommageables (les papys corses qui s’attaquent seuls au bunker russe armés de leurs seules pétoires et fusils de chasse et qui s’en sortent sans une égratignure, mmouais …). Toutefois l’album se lit bien et reste divertissant.
Léo et Loco se rendent en Bretagne pour épauler Erwan, un jeune détective privé ami de Léo, qui piétine dans son enquête pour retrouver une journaliste disparue il y a peu. Une enquête qui va vite se révéler périlleuse et qui va conduire Léo sur la piste de passeurs de clandestins africains peu scrupuleux.
Une aventure sans grande saveur, malgré le sujet abordé qui est alarmant et traité correctement, avec des scènes qui font parfois froid dans le dos. Hélas tout cela est gâché par un humour beaucoup trop lourdingue et surtout par le personnage exaspérant d’Erwan, absolument pas crédible en tant que détective, et dont on se demande bien en quoi sa fonction de sosie officiel de Johny Hallyday peut être utile au scénario.
Ce dix-huitième tome est un peu à part dans la série puisqu’il propose non pas comme d’habitude une grande aventure de LEO LODEN mais au contraire deux courtes enquêtes. Dans la première, Léo assiste en direct à un meurtre en plein cœur de la Fnac lors d’une séance de dédicace d’un journaliste et il se charge de retrouver le tueur. La seconde aventure a pour héroïne Marlène, victime d’une prise d’otages au sein-même du commissariat central de l’Evêché.
Honnêtement il s’agit d’un album très décevant, l’un des moins bon de la série, à cause justement de ce nouveau format avec deux petites histoires au lieu d’une seule, et qui ne me convient pas. En effet, le gros inconvénient de ce format est que le scénario demeure à chaque fois trop superficiel car il n’y a pas la place de développer un peu plus l’histoire. Ainsi la première enquête est intéressante et aurait méritée d’être traitée de manière un peu plus étoffée sur un album tout entier, hélas elle est trop vite expédiée et se termine très rapidement. Quant à la deuxième histoire avec Marlène, elle est beaucoup trop rocambolesque à mon goût et ne m’a pas du tout passionné.
LEO LODEN est chargé par la société Carte Plus, leader mondial de la carte à puce, de retrouver la mallette comportant des plans exclusifs d’un de leurs ingénieurs disparu il y a peu dans un accident d’hélicoptère … « accident » bien sûr terriblement louche dont Léo a également failli faire les frais!
Une très bonne enquête qui se déroule entre Marseille et ses environs et dont Léo a du mal à démêler les fils, principalement à cause d’un nouveau personnage très séduisant et très casse-pieds en la personne de Dorinda, elle-aussi détective privé et par conséquent rivale de LEO LODEN puisqu’elle cherche à le doubler, en plus d’être accessoirement une bombe sexuelle à laquelle Léo a du mal à résister. Il est d’ailleurs dommage que Léo succombe à ses charmes, ce pêché d’adultère enlevant une grande part de sympathie au personnage de LEO LODEN jusqu’ici très attachant.
Léo et Loco enquêtent sur le meurtre d’un chirurgien marseillais, propriétaire d’une clinique privée où de nombreux décès inexplicables sont survenus ces derniers temps. Une enquête difficile qui mêle Léo au monde médical et le fait arpenter de nombreux quartiers de Marseille, entre les riches villas du Prado, les théâtres du Vieux-Port et les terrasses du cours Julien.
L’un des meilleurs épisodes de la série; le scénario est bien imaginé avec toute une série de suspects dont il est bien difficile de deviner le coupable. Les dessins sont bons et il y a beaucoup de passages humoristiques, notamment toutes les séquences où Tonton est à l’hôpital. Un bon cru, en somme.
LEO LODEN et son oncle Loco sont chargés de récupérer un authentique "Cézanne" dont la vente aux enchères doit avoir lieu sous peu à Aix-en-Provence; toile qui revient de droit à leur client du moment car elle appartenait à sa famille avant d'avoir été dérobée pendant la Seconde Guerre mondiale.
Un album "de routine" avec une enquête simple mais efficace, des personnages un peu étranges et toujours quelques citations bien placées. Cet épisode aurait pu s'avérer selon moi bien meilleur s'il avait bénéficié d'un graphisme plus convaincant, le dessin de Carrère apparaîssant ici assez baclé.
LEO LODEN et son oncle Loco se retrouvent par hasard sur la piste d'un tueur en série suite à l'assassinat d'une jeune demoiselle d'origine russe qu'ils recherchaient pour le compte de leur ami Ivan Dlabibine Ossouzof. Une enquête sous forme de course-poursuite qui se déroule, une fois n'est pas coutume, non pas à Marseille mais à Strasbourg.
Certainement l'un des épisodes de la série les plus plaisants. L'enquête est plutôt bien ficelée, il y a de l'action à tout-va, et les citations et petites "piques" envers Strasbourg et l'Alsace sont particulièrement drôles (les références à la gastronomie, au dialecte alsacien, etc.).
Suite à un héritage, Tonton Loco se retrouve propriétaire de plusieurs restaurants, night-clubs et salon de massage situés dans le centre-ville de Marseille. Une situation qui n'est pas du goût de tous, et notamment la mafia corse qui cherche à faire main-basse sur la ville et décide donc de racketter l'oncle de LEO LODEN.
Un épisode assez amusant (surtout grâce aux différents personnages corses) mais qui n'atteint pas la qualité des premiers albums.
LEO LODEN et son oncle Ulysse Loco se portent à la rescousse de leur ami et complice Amadeus, victime d'un enlèvement. Les ennuis n'arrivant jamais seuls, Léo apprend qu'il va bientôt être papa ... Une enquête qui conduira nos héros sur la piste de trafiquants d'armes et qui les fera déambuler entre les docks du port autonome de Marseille et la cité de Plan Vallon dans les quartiers Nord.
Un album plaisant, bourré d'action et de répliques rigolotes, dans la droite ligne des meilleurs épisodes de la série. Classique, mais efficace.
LEO LODEN et son oncle Loco sont en mission à Toulouse où ils doivent coincer un petit dealer d'héroïne. Une mission à priori facile mais qui les conduira dans de plus hautes sphères, sur la piste d'espionnage industriel et de sabotage au sein du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales).
Une enquête assez complexe, un scénario bien ficelé, de l'action, de l'humour et des dessins de qualité : un très bon LEO LODEN.
Léo et tonton Loco sont chargés de protéger une juge italienne menacée par la mafia à cause de ses enquêtes sur la Côte d'Azur. Une mission risquée qui conduira Léo de Marseille à Nice, avec des tueurs à ses trousses.
Un scénario un chouilla moins maîtrisé que ceux des précédents tomes et un personnage plutôt horripilant (la juge italienne) rendent cet album moins captivant que ses prédécesseurs. Surtout, contrairement aux cinq premiers tomes, ici le fait de connaître d'emblée les méchants de cette aventure enlèvent une grosse part de suspens à l'enquête que mène LEO LODEN. C'est le principal écueil de cet épisode et ce dernier se révèle de fait moyennement intéressant.
Léo et Loco se retrouvent coincés sur le château d'If à cause d'une tempête, en compagnie de membres d'un séminaire pharmaceutique. La situation est déjà particulière à la base, alors quand en plus le grand patron du labo de pharmacie meurt empoisonné lors du cocktail ... la nuit risque d'être mouvementée sur l'île d'If.
Une enquête sous forme de huis-clos mais qui n'apporte que peu d'éléments nouveaux à la série. Le scénario est encore plus tiré par les cheveux que d'habitude. Une vraie déception.
Léo et Loco sont au festival de BD d’Angoulême et doivent enquêter, pour le compte des éditions Soleil, sur le vol de planches du tout nouveau "Lanfeust de Troy", vol constaté par le dessinateur Didier Tarquin lui-même alors que les planches se trouvaient dans sa chambre d’hôtel et n'y sont plus. Une enquête qui mènera nos héros jusqu'à Bruxelles évidemment, capitale mondiale de la BD.
Le scénario un peu trop "private joke" fait de cet épisode un album quelque peu dispensable. Clairement pas le LEO LODEN le plus passionnant de la série.
LEO LODEN et Tonton Loco sont à Bordeaux, et plus exactement dans le Médoc, pour enquêter sur le meurtre d'un vigneron, propriétaire d'un grand domaine viticole.
Une enquête sympathique qui mêle Léo au monde du vin où se déroule tout un tas de magouilles et où les rivalités et tensions entre vignerons et négociants peuvent s'avérer néfastes pour certains. Un épisode où Tonton est bien évidemment à son aise et particulièrement drôle.
Initialement intitulé "Léo Loden et Jules sauvent la coupe du monde", cet album était paru début 1998, quelques mois avant le début du Mondial en France. Un épisode se déroulant donc en pleine coupe du monde de football où un attentat doit avoir lieu, mobilisant ainsi LEO LODEN.
Un album totalement loufoque, encore plus incongru que toutes les autres aventures de LEO LODEN. Léo y côtoie Aimé Jacquet, Zinédine Zidane, Ronaldo, Didier Deschamps ... bref, c'est un album très étrange et vraiment à part dans la série. Personnellement je n'ai pas accroché plus que ça.
LEO LODEN et son oncle Loco sont dans la Provence authentique, et plus exactement au cœur du Luberon, entre Gordes et l'Isle-sur-Sorgues, pour retrouver qui menace une vieille villageoise. Une enquête qui conduira Léo autant sur la piste de stars parisiennes du show-biz installés dans le Luberon que sur celles de vieux paysans provençaux qui trafiquent les truffes ...
Un bon album, au dessin et scénario plaisants, qui met en valeur l'arrière-pays provençal.
Léo et tonton Loco enquêtent sur le rapt d'Ivan Dlabibine Ossouzov, ex-officier du KGB reconverti dans les petites combines et arnaques marseillaises. Enquête qui conduira notamment nos héros sur la piste d'un trafic nucléaire, et qui les verra arpenter de nombreux quartiers de Marseille, depuis le palais Longchamps jusqu'aux anciens docks de la Joliette, en passant entre autre par la Plaine ou le cours Ju.
Un scénario un peu trop rocambolesque, amusant mais inférieur néanmoins à ceux des premiers tomes de la série (sans conteste les meilleurs). Toutefois le dessin est de bonne qualité.
Délaissant un temps Marseille, LEO LODEN se trouve à Lyon pour goûter aux joies du Beaujolais Nouveau ... et enquêter sur le vol de la Kabbale, ouvrage ésotérique de grande valeur, daté du 16ème siècle.
Une enquête "musclée" et résolument tournée vers l'action qui confrontera Léo et Loco au monde peu expansif de la grande bourgeoisie lyonnaise, et qui verra nos deux héros déambuler depuis les traboules du vieux Lyon jusqu'au village médiéval de Pérouges, en passant par les bouquinistes des quais de Saône de la cité lyonnaise.
Un excellent épisode plein de rebondissements qui fait surtout honneur à la ville de Lyon.
Un promoteur immobilier engage LEO LODEN afin que ce dernier trouve les personnes qui cherchent à le piéger en lui faisant endosser la responsabilité de plusieurs incendies dans la pinède provençale. Une enquête compliquée qui mènera Léo sur la piste d'un groupuscule néo-nazi et le fera se balader depuis la campagne aixoise au cœur de la Sainte-Victoire jusque dans le quartier du Panier, le plus vieux quartier de Marseille.
Encore un excellent épisode avec une enquête à la fois drôle et bien ficelée; l'un des tout meilleurs albums de la série.
Amédée, vieil ami docker de tonton Loco, est retrouvé mort chez lui dans son appartement de la Joliette (le port industriel de Marseille). Une mort qui ne semble pas naturelle selon sa fille et dont LEO LODEN va devoir résoudre le mystère. Une enquête qui mènera notre ami Léo de bistrots en parties de pétanque entre les calanques de Cassis, le quartier populaire de la Joliette à Marseille et la ville vauclusienne de Cavaillon.
L'un des meilleurs épisodes de la série, avec un scénario très bien ficelé et un dessin toujours meilleur.
Dans ce deuxième opus, LEO LODEN est chargé de retrouver Paméla Cayols, étudiante en journalisme disparue depuis plus d'une semaine alors qu'elle préparait un sujet sur la prostitution à Marseille. Une enquête dangereuse qui mènera Léo et son oncle Loco des quartiers Nord de Marseille aux riches quartiers bourgeois d'Aix-en-Provence, en passant par les bars à filles du quartier de l'opéra et du Vieux-Port.
Une bonne intrigue, très plaisante et efficacement menée, des personnages secondaires amusants et un dessin en nette amélioration par rapport au premier album. Le tout sous un ton plutôt drôle. Un bon album.
LEO LODEN, c'est un peu "Tintin à Marseille". Le détective privé LEO LODEN mène des enquêtes au cœur de la cité phocéenne, aidé et accompagné de son oncle Loco, un marin exubérant et gaffeur, sorte de capitaine Haddock à la marseillaise.
Dans ce premier album, le commissaire LEO LODEN est accusé à tort d'un meurtre qu'il n'a pas commis et est de fait destitué de ses fonctions et renvoyé de la police. Il décide alors de mener l'enquête pour savoir qui est derrière tout ça, afin de s'innocenter.
Le dessin de Serge Carrère, à défaut d'être exceptionnel, a le gros avantage d'être très efficace et d'être en total accord avec le ton humoristique de la série, ce qui le rend finalement plaisant. De son côté, Arleston (dont LEO LODEN est l'une des premières séries, bien avant le succès de LANFEUST DE TROY), développe des scénarios peu complexes mais bien imaginés, parsemés d'humour gentillet qui fait souvent sourire.
Les deux auteurs sont donc en adéquation et font de LEO LODEN une série policière sympathique qui fait honneur à la région provençale en général et à la ville de Marseille en particulier.
Un bon album de Loden, les répliques font mouche, l'humour est au rendez-vous. Bien meilleur que certains autres de la série en tout cas.
Un bon moment de détente pour ma part
Comme je commence à manquer de place dans ma bibliothèque et que j'en suis arrivé à cette alternative :
1- Déménager.
2 - Réduire mes achats de BD.
La lecture de cet album de Léo Loden me pousse vers la solution n° 2. il n'apporte rien de nouveau si ce n'est de ce dire qu'il faudrait peut-être un nouveau scénariste à cette série.
Celle-ci est comme le beaujolais nouveau. Tous les ans, un nouveau cru moins bon que le précédent et meilleur que le suivant.
Reste à déterminer à quelle classe d'âge cette série se destine. Si c'est pour les 5 / 8 ans, mon avis est alors sans objet mais il faudrait alors le dire haut et fort.
Ouh là là, on descend de deux crans avec cet album.
Dès le premier coup d'oeil, le dessin est désespérant, et rappelle le Spirou de Fournier (horreur !). La descente aux enfers commencée depuis plusieurs albums a atteint son nadir. Tout le charme mutin des personnages a disparu, les décors sont à peine esquissés - pour être généreux.
L'histoire du trafic humain est d'actualité, mais sa mise en oeuvre est pédestre. Le faire-valoir sosie de Johnny est d'une nullité affligeante et gaspille le tiers de l'album.
Alors, l'équipe Arleston-Carrère se réveille au plus vite, ou elle arrête les frais de cette série qui a perdu tout caractère.
Série très amusante et bien ficelée. Pour avoir vécu à Marseille, c'est aussi une ballade et des souvenirs de lieux qui reviennent.
Trés bon tome. Bon il y a deux histoires, chacune fait environ 20-25 pages.
La première concerne un meurtre, l'histoire est bien ficelée mais on peut regretter quelle soit si courte. Ca enlève un peu de suspens. La deuxième est ma préférée, elle traite un sujet inédit (je dis ca sans garantie ^^ ) je crois dans Léo Loden, la prise d'otages. Marlène est le personnage principal. C'est intéressant. Parfois deux petites histoire valent mieux qu'une grande, et je crois que c'est le cas ici. Bonne idée pour la suite peut-être.
La réputation de Tonton laisse nettement à désirer question cuisine.
Aussi l'idée de faire un stage dans un grand restaurant lillois est elle une bonne idée. Sauf qu'il s'agit d'une recette au sang.
Du coup Léo et Marlène partent faire un petit tour dans les Flandres.
Les Russes depuis la lointaine époque des Tsars ont toujours aimé la côte méditérannéenne. N'est-il pas normal alors qu'un ancien officier du KGB, un peu mafieux sur les bords vienne dans notre belle Provence.
Ce qui est un peu moins normal c'est qu'il soit enlevé !
Et ce qu'il l'est encore moins c'est que ce soit par 2 Tartares à cheval.
Arleston en profite pour aboder le trafic nucléaire, si rémunérateur mais tant dangereux pour notre sécurité.
Une juge italienne vient enquêter sur la Côte d'Azur. Sa vie est menacée et ce sont donc Marlène (et Léo) qui sont chargés de la portéger. Mais qui dit Léo dit aussi Tonton.
Drôle et dynamique mais que j'ai trouvé un poilu moins bien que les précédents. Ne me demandez pas pourquoi, je serais bien en mal de vous donner de bonnes explications. C'est juste une impression.
Première incursion "régionale" de Léo. Le choix de Lyon est judicieux d'autant qu'il s'agit de récupérer un exemplaire du 16ème siècle de la Kabbale, livre ayant appartenu à de grands alchimistes.
Tonton va évidemment provoquer quelques incongruités dans dans le monde feutré de la grande bourgeoisie lyonnaise.
Une nouvelle réussite.
Album sorti en marge de la série, peu de temps avant la coupe du Monde de foot de 1998 en France. Un attentat doit avoir lieu et bien sûr Léo est sur la piste.
A fini dans les bacs de soldeurs ce que cet album ne méritait pas car il est plus que correct. En plus nous avons bien droit à une finale France-Brésil (bien vu), Zidane y marque un but (re bien-vu) et Guivarc'h aussi (pas bien vu !)
Gattene est un écrivain venu faire des dédicaces à la FNAC de Marseille. C'est un vieux copain de Tonton, malheureusement il n'a pas que des amis car quelqu'un lit tire dessus en pleine séance de dédicace.
Intéressante petite histoire (22 planches) qui nous fait remonter aux drames de l'indépendance du Congo. Offert à l'époque par la FNAC pour l'achat de deux albums de Léo Loden. Excellente idée !
Après quelques albums en balade sur différents points de l'Hexagone voici nos héros de retour en Provence et Marlène n'est pas trop contente car Léo lui a promis le mariage et rien ne vient.
Et bien suit justement quelque chose vient : les huissiers !
Il est temps qu'une petite enquête arrive ...
Quand la forêt provencale brûle cela fait des dégâts, mais cela libère aussi des terrains sur lesquels ont peu construire avec un fort profit. Et voilà que justement un client fait appel à Léo car l'inspecteur Marlène Soral a découvert dans la voiture dudit client de quoi faire griller la moitié de la Provence.
Or cet homme se dit innocent.
Encore une enquête qui va compliquer les relations Léo/Marlène.
PAR-FAIT !
La Joliette, c'est le port (industriel et commercial) de Marseille. C'est donc aussi le lieu d'un certain nombre de trafics en tout genre. Il était inévitable que Léo y mette son museau. Cette enquête haute en couleurs le conduira à Cassis chez les pétanqueurs professionnels, un peu marlous sur les bords.
Tout à fait délectable.
En choisissant la Provence, Arleston ajoute à sa truculence la chaleur méditarréenne qu'elle soit humaine ou climatique. Le personnage de Tonton Loco, mélange d'inspecteur Croûton chez Gil Jourdan et du capitaine Haddock est une espècce d'Obélix moderne. Quant à Marlène c'est la nouvelle Queue de Cerise chez Gil Jourdan.
Tout ceci pour dire qu'Arleston a su reprendre des formules consacrées tout en y ajoutant sa pâte et cela donne quelque chose de purement magnifique.
Le commissaire Loden en voulant opérer une arrestation tire en l'air mais pas de chance le fuyard s'écroule mortellement atteint. C'est ce qu'on appelle une bavure et les ennuis de Léo commencent. Mais est-ce vraiment une bavure ?
Version moderne de Gil Jourdan, ce Léo Loden est une incontestable réussite qui sait mettre en valeur la ville de Marseille. Le scénar est impeccable, l'humour constant. On en redemande.