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Faut reconnaitre qu’avec leurs faux-airs d’Edouard Balladur (période « Je vous demande de vous arrêter », la meilleure) et Bruno le Maire (période J’écris de 4 à 6, la meilleure aussi), ses scénarios à la Wininger et à la Tardi (période Adèle Blanc-sec, pas la meilleure), ses phylactères art-déco et ses 7 cases par pages, c’était pas gagné pour nos deux détectives en culottes longues pour nous donner envie de savoir qui et pourquoi.
Et pourtant, un livre qui copie / colle Le testament de Godefroid de Bouillon pour commencer et se finit comme la fin de la fin de L’homme au Bigos en passant par tout le reste, ne peut pas décevoir son prochain, ni son lointain. Et aussi et surtout. Et surtout et aussi parce que Didier Savard devait être une chouette personne ou un chic type, je crois qu’on dit ça comme ça, ou les deux à la fois. Lui qui mettait un peu du sien dans chacunes de ses pages. Pas plus, mais pas moins. Dans un monde parfait…
Pour tourner la page et reprendre nos esprits, rien ne vaut le bon « Tiens charogne ! » de la 9 et le « Rampez bandes de larves » des familles et du plus bel effet de la 47, surtout lorsque on vient de se taper un OL / Le Havre un dimanche soir pour la der de Laurent Blanc.
Sans oublier la « Je ne suis pas celle que vous croyez ». Dure à caser celle-là, pour un garçon. Même si l’on est ministre et que l’on s’occupe de nos fins de mois. Quel jour on est ? Heu, quel jour sommes-nous ? Le 3 ? J’en perds mon latin.
Album ultime à apprécier en considérant le mal invalidant dont souffrait Didier Savard... bouleversant !
Un blog est dédié à l’auteur et à la série, exclusivement consacré à des recherches et études... un site unique pour prolonger son plaisir de lecture:
https://laconspirationdespassionnes.wordpress.com/
Pour Didier savard, cet album conçu comme une transposition du chien des Baskerville mâtinée d’une nouvelle de Harry Dickson était au départ un exercice de style pour lequel il n’imaginait pas de suite... un album précurseur, encore imparfait, qui posera les bases d’une série en devenir... un jalon indispensable pour qui apprécie Savard et Dick Hérisson. Les fans peuvent rejoindre le groupe Facebook Didier Savard & Dick Hérisson... la conspiration des passionnés !
Le dernier épisode des aventures de Dick Hérisson, un album testament à la dédicace bouleversante: « Je dédie ce livre à mon frère, Christian, lui qui ne voulait jamais qu’on lui raconte la FIN » le mot en lettres capitales... Didier est parti discrètement des suites d’une affreuse maladie qui l’aura privé de son art et laissera une œuvre fantastique inachevée... ses fans peuvent rejoindre le groupe Facebook qui lui est consacré: « Didier Savard & Dick Hérisson... la conspiration des passionnés ! ». Au plaisir de vous y retrouver... Craig Nos
Atmosphère remarquable, servie par un dessin qui ne l'est pas moins . Comme le scénario est également bien troussé, le moment de lecture est forcément délectable.
Je conseillerai à un ami !
Il faut relire absolument la série originale des Harry Dickson de Jean Ray et surtout, tous ses contes fantastiques en particulier Malpertuis (le film sorti dans les années 70 est catastrophique!) J'ai adoré le travail de Didier Savard et l'ambiance un peu rétro de l'ensemble.
Quelqu'un peut-il me dire si une suite est prévue à ce dernier tome ?
Encore une histoire de detective me dirai vous ? Oui mais le dessin , les decors , l'enquete sont precis à souhait , on est pris du debut à la fin et on suit avec interet la marche en avant de la resolution de l'enigme .Pas extraordinaire mais tres tres tres plaisant .
Un des plus banals, ne fut la présence hétéroclite de l'oreille de Van Gogh. Qu'a-t-
il à faire dans cet album? Il est le point de départ d'une autre enquête de Dick et
Doutendieu où le dénouement, encore une fois n'apporte pas la surprise et le
plaisir désiré.
On ne peut pas faire mouche à chaque album...
Un bon suspense qui met en vedette une ancienne déité qui refait surface
quelques mille ans après...avec une odeur de poissons pourris la suivant partout.
Le suspense y est bien; le dénouement est un peu bâclé mais on y passe un bon
moment.
On y retrouve même Hérisson un tantinet amoureux dans une planche. Différent!
Les coupables ne sont pas toujours ceux que l'on croit, merci môssieur HERISSON !
Un p'tit polar à l'ancienne, la police qui patauge, le détective et son ami journaliste qui arrivent et solutionnent l'énigme... Du déjà lu, mais c'est bien fait, alors ne boudons pas le spectacle!
Un scénario extrêmement bien ficelé. On se croit en plein mystère de la Chambre jaune. Beaucoup de protagonistes; une énigme qui semble irrésoluble et inextricable. Il faut s'habituer, il y a énormément de texte; on comprend qu'un roman a dû être condensé.Un bon moment à passer pour s'évader du quotidien...
Un remake d'un cirque de freak conjugué au passé avec un soupçon de Blanche-Neige. Différent et bien ficelé...
Dick Herisson est le cousin germain de Harry Dickson et de Sherlock. Ces bandes dessinées ont cependant l'avantage d'avoir des scénarios plus poussés. On y croirait trouver un bon Gaston Leroux. L'opéra maudit ne représente pas la meilleure de la série mais tire bien son épingle du jeu. Vous ne verrez plus jamais Turandot du même oeil ensuite...
Excellente série pour les amateurs de polars, d'histoire et d'art. Savard mêle admirablement les détails des lieux visités (en Arles, en Bretagne ou à Paris), une intrigue somptueusement construite et un dessin précis. Parfois à la limite du fantastique, se lit et se relit avec délectation. On est proche du souci de la documentation de E. P. Jacobs et on se surprend parfois à consulter une carte géographique des places décrites pour se plonger plus profond encore dans son univers.