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La sortie récente de cette intégrale noir et blanc m’a convaincu de lire, enfin, Jazz Maynard. Elle contient les 3 premiers tomes, la trilogie barcelonnaise. J’ai triché, j’ai préféré les lire en couleurs… Mais l’effet est le même. La plongée dans les bas-fonds de Barcelone est folle, ça va à 100 à l’heure, le dessin est très dynamique et ne vous laisse aucun répit. Quant au scénario, il se dévoile au fil de ces 3 premiers albums.. on comprend petit à petit les liens qui unissent Jazz et Barcelone, ainsi que les liens qui l’unissent à Téo et Judas, ses amis d’enfance. Le crime organisé, le vol, la prostitution, la corruption, tout y passe. On s’attache bigrement à ce Jazz Maynard, personnage complexe, ambivalent, sorte d’Arsène Lupin avec une ceinture noire, et on a bien envie de lire la suite pour en savoir plus !
j'ai trouvé ce tome 2 un ton au dessus de celui d'ouverture.
le flashback du début et le reste de l'histoire qui avance bien m'ont plu
Avis portant sur la série:
Je n'ai pas simplement aimé Jazz Maynard ; j'ai véritablement adoré ! Au début, on ne sait pas quelle direction va prendre cette histoire entre vengeance, prostitution et vol en haute voltige. Il y a une réelle fluidité du scénario qu'on n'observe que dans les grandes bandes dessinées. Chapeau pour une telle maîtrise narrative ! Et dire que la couverture ainsi que le titre m'avaient un peu rebuté au début.
La scène d'ouverture en flash-back du second tome est d'anthologie. Ce second tome arrive à placer la barre encore plus haute que le premier volume déjà excellent. Quelques défauts cependant mais au niveau du dessin : le visage de Jazz est réellement rachitique. Ceux des méchants sont presque dignes d'un film d'horreur genre Frankenstein. On se demande si ce n'est pas fait exprès. Globalement, j'ai bien aimé ce trait particulier qui s'accommode à merveille aux les scènes d'action. La colorisation est d'ailleurs très séduisante... Ah, cette ville de Barcelone by night !
Je dois cependant modérer quelque peu mon ardeur après la lecture des 3 tomes car au fur et à mesure, cela perdait un petit peu en qualité au niveau scénaristique. Cela devient de la baston loin de l'aspect psychologique qui m'avait séduit au premier abord. Je m'étais résolu à m'arrêter au bout du 3ème tome de ce que je considérais comme une trilogie mais voilà que le 4ème tome semble relancer l'histoire de manière un peu inattendue. Je ne me suis pas réconcilié avec la série qui a perdu un peu de son attrait.
Note Dessin: 3/5 - Note Scénario: 3/5 - Note Globale: 3/5
Du pan-pan-boum-boum avec des dialogues "malins". Jazz Maynard sait tout faire : jouer de la trompette comme un dieu, flinguer une demi-douzaine de personnes dans un bordel, faire des acrobaties façon ninja. Et quand il est attaché sur une chaise et quand même bien dans la merde, il a droit à un deus ex machina : un vieux copain qui vient le sauver. Très bas de gamme.
Dernier album de cette excellente série.
Maynard flirte plus que jamais entre sa vie "légale" de musicien et sa vie interlope de voleur.
Son choix sera orienté par sa fidélité à sa famille.
Un final surprenant, peut être un peu moraliste.
Il est vraiment dommage que Roger produise à chacun des albums des couvertures très peu engageantes pour qui n’aurait pas encore fait connaissance avec Jazz Maynard. Sa colorisation tout à fait dispensable écrase la puissance de ses dessins et la spécificité de l’exercice « couverture » lui échappe. Il se fait plaisir mais le rôle d’accroche de la couverture n’est pas rempli. Vraiment dommage et quand on voit la place du dernier tome de cette série d’exception dans les ventes d’albums cela confirme que la communication autour du cambrioleur trompettiste est bien en-deça d]e ce qu’elle devrait être…
Retour à El Raval pour Jazz et Téo après leur périple islandais. Là, dans la chaleur des nuits barcelonaises Jazz s’apprête à sortir son premier album… si son passé lui en laisse le temps. Car lorsque l’on est aussi de la rue il est difficile de s’en couper définitivement…
Ce Live in Barcelona est un Requiem. Un étonnant objet qui sonne comme le chant du cygne d’une série que ses auteurs n’ont pas vu évoluer et qu’ils n’ont pas su comment clôturer. Fermant en un one-shot trop court deux trilogies très différentes mais ô combien ébouriffantes il commence sur une note optimiste, sorte de tombé de rideau revenant au titre de la série et au nom d’un personnage que l’on n’a que trop peu vu jouer de l’instrument… avant de se précipiter en une poursuite mortifère. On y revoit des têtes familières, le commissaire, la clocharde, les grands-parents, mais trop vite, fugacement et sans lendemain. La question se pose alors dès l’étonnante dernière page: fallait-il ce dernier album? Ou plutôt ne fallait-il pas rester sur un rythme ternaire? [...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/10/13/jazz-maynard-7-live-in-barcelona/
La série Jazz Maynard se termine cet automne avec un septième opus qui conclut les deux cycles (la trilogie barcelonnaise et l'islandaise). Chaque album est disponible en version simple couleur et la première trilogie est parue en intégrales grand format couleur et n&b. Cette dernière est assortie d'une passionnante préface du scénariste Raule qui raconte l'origine du personnage et de la série, ainsi qu'un cahier graphique final qui achève de nous faire tomber la mâchoire si celle-ci n'est pas totalement décrochée après cent trente pages d'encrages virtuoses.
"Jazz" Maynard est un enfant de la rue, de la nuit barcelonnaise. Revenu d'un séjour de dix ans aux Etats-Unis, il retrouve les saveurs, l'ambiance des clubs et la musique de sa trompette. Il retrouve aussi son pote Téo, spécialisé dans les embrouilles, la pègre locale et la police corrompue. Jazz aime la musique et la paix. Mais lorsqu'on touche à ses proches il est obligé d'intervenir...
J'ai découvert la série Jazz Maynard tardivement car les couvertures ne m'avaient pas attiré et que je croyais avoir affaire à une BD musicale. Lorsque je suis tombé dedans j'ai été scotché par deux choses: la puissance des encrages et le sens du mouvement. Roger est un virtuose capable en deux traits de suggérer un geste, une intention. Comme pour Ronan Toulhoat, autre dessinateur très encré, sa colorisation est assez monochrome et peut décevoir. Le fait de le lire en grand format noir et blanc confirme plus que jamais la puissance de son intuition graphique. Sous un aspect parfois grossier (notamment sur le premier tome) avec des visages caricaturaux, littéralement coupés au couteau, transformant certains sbires presque en androïdes et les femmes aux formes extrêmement plantureuses, il propose des planches à la force cinématographique rarement vue. J'ai coutume de dire que la supériorité de la BD franco-belge est basée sur le fait que ses dessinateurs ont digéré les atouts du manga et du comics pour en proposer une synthèse adulte et artistique. On en est là avec Jazz Maynard où les traits parfois non finis sur la planche encrée et destinés à être comblés par la couleur... se suffisent à eux-même et laissent la mémoire visuelle du lecteur faire le boulot avec une impression de mouvement saisissant.[...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/09/20/jazz-maynard-la-trilogie-barcelonaise
Dernier volume d'un second cycle se déroulant en Islande, Trois corbeaux s'ouvre alors que l'ami Théo a été capturé par des suprémacistes et sera très probablement tué dans les prochaines heures. L'album commence immédiatement après la fin du précédent et va voir Jazz se lancer à la recherche de son ami en même temps qu'il doit remplir la mission que les iraniens lui ont confié. Pas ou peu de mise en place dans ce dernier album qui voit les planches débouler à cent à l'heure avec une maestria de découpage et de trait totalement ahurissante! L'action chez Raul et Roger c'est rapide, brutal, rugueux. Héros complet, Jazz sait pirater autant que combattre à main nue ou au fusil.
Cet opus nous en apprend cependant encore un peu sur sa jeunesse aux Etats-Unis auprès d'un maître du cambriolage, même si j'ai été un peu déçu de ne pas assister à la formation proprement dite du prodige. Le passé se recoupera d'ailleurs avec le présent, la série liant toujours l'intime, le familial avec les affaires de corruption ou criminelles. Au-delà de héros a peu près invincibles, une des forces de la série est de proposer des galeries de gueules de truands, toutes aussi patibulaires, sadiques, perverses. Mais contrairement an premier cycle où les tueurs chauves mettaient fort à mal les talents de Jazz, ici le combat est plutôt une balade islandaise où malgré les séquences de combat extrêmement dynamiques, pas un instant l'inquiétude ne point sur le destin de notre héros. Ceci appuyé par un Deus Ex Machina pas forcément dérangeant mais sans doute un peu facile même s'il apporte une pointe de fantastique bien intrigante. De même, les quelques cases historiques (une première dans la série) illustrant des vikings nous font bien saliver quand à l'opportunité de trouver dans quelques années Roger dans une saga historique se rapprochant du travail de Ronan Toulhoat...
Étant donnée sa construction il est préférable de lire les précédents tomes du cycle islandais avant d'entamer ces Trois corbeaux, qui reste malgré tout un nouveau chef d’œuvre visuel. Si la trilogie barcelonaise est un cran au dessus, Jazz Maynard reste, quel que soit l'album, un incontournable de la BD que l'on relis aussitôt l'album terminé pour ausculter chaque case.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/25/les-trois-corbeaux
De l'action à l'état pur...
Jazz Maynard me fait un peu penser au personnage de Nicky Larson, du côté des voleurs : Jazz est le plus doué de sa génération, il ne se prend pas au sérieux et il est un séducteur...
Toujours très bon, les personnages prennent de l’épaisseur et l’atmosphère glauque à souhait reste la marque de fabrique de cette très bonne série. Vivement le prochain tome.
Le meilleur album de la série (avant la lecture du 5) à mes yeux. La violence laisse un peu de place à l'intrigue et ce n'est pas plus mal. Les dessins et l'atmosphère sont toujours au rendez-vous. C'est du très bon !
J'ai vraiment du mal à comprendre l'engouement pour cette série. Si la noirceur des situations est appréciable pour un polar, je trouve le dessin typé manga très déplaisant (d'autant que les couleurs plutôt ternes ne le mettent vraiment pas en valeur) et surtout, c'est souvent très très caricatural (le héros quasi-invincible qui se sort indemme des situations les plus désespérées ... c'est totalement improbable ! Autant que les scènes de bagarres façon manga qui paraissent très incongrues pour du polar glauque).
Bref, le mélange des genres est très déroutant et je n'ai pas accroché.
Un bon finish ce 3ème opus, qui conclut "gentiment" ce 1er cycle. Cette violence et cette démesure digne d'un Tarantino associées à l'atmosphère "nocturne" d'un Scorcese font de cette série un polar presque à part qui mérite quand même le détour. Un soupçon de finesse n'aurait pourtant pas fait de mal et probablement aidé à gommer les excès d'un scénario un peu trop porté sur les baguarres et l'action.
Notre Jazz reste bien mystérieux, espérons qu'une partie du voile se dissipe avec les prochains albums.
Une bonne suite un peu en deçà du tome précédent mais dont le scénario reste prenant et les dessins fidèles à l'atmosphère glauque et violente du 1er opus. Je commence à m'attacher à ses personnages malgré une histoire qui part un peu dans tout les sens. Je continu l'aventure !
Un excellent polar, sombre, violent et très rythmé. Les dessins retranscrivent l'atmosphère glauque des quartiers chauds en parfaite symbiose avec le scénario. Scénario qui nous plonge très rapidement dans les bas fonds d'une Espagne miséreuse.
Une série prometteuse... Ravis d'apprendre qu'elle comporte déjà 5 albums. A suivre donc !!!
Un petit air de jazz, de la cambriole, des nanas bien roulées, des scènes de bagarres et d'action... c'est du Jazz Maynard...
Bonne première partie pour cette nouvelle aventure en Islande...
On attend la suite... "Tu as déjà survolé Reykjavik la nuit ?"
Jazz MAYNARD est un personnage attachant car énigmatique violent et romantique. De surcroit grand musicien et trompettiste de jazz, il s'apparente à Chet BAKER enfant terrible du swing qui a connu une fin digne d'un polar... On espérait que les auteurs sauraient rebondir par rapport à la trilogie précédente et l'on est pas déçu, Jazz MAYNARD et ses amis se retrouvent à nouveau impliqués dans une drôle d'embrouille où se mêle amour et amitié. Les planches ont gagné encore en impact et nous suivons avec passion nos héros dans les nuits chaudes de BARCELONE... Du torride quoi !
Le passé fini toujours par vous rattraper et Jazz Maynard se voit proposer d’abandonner provisoirement la trompette pour voler un objet une valeur inestimable. Mais avant, il lui reste à régler une petite affaire avec un certain Caligula, nouveau maître d’El Raval.
Avec un scénario qui vous emporte immédiatement et un dessin qui donne littéralement vie aux personnages, Raule et Roger nous offrent encore, un grand, un très grand moment de BD.
A lire et relire en attendant le tirage de tête (de chez BD Fugue) ou le 5ème album (!).
Un de mes personnage preferer les dessins sont magnifique un scenario qui tient la route apres les trois autres tomes, c etailt la peur que j avais mais non . pour moi cette series fait partie des indispensable comme blacksad en un mot j adore je conseille vraiment de lire cette serie des dessns magnifique des personnages attrayant un scenario bien ficeller voila !!!!!
bonne lecture
Un graphisme qui, au fil des pages, affirme son originalité et sa pertinence.
Un parti pris au niveau des couleurs qui vous englue dans le côté sombre d’un Barcelone que l’on souhaite qu’imaginaire.
Un scénario alternant flash-back, ambiances intimistes et scènes d’une rare violence.
Une kyrielle de « Méchants » plus sordides les uns que les autres et des « Bons » quelques peu ambigus…
De ce cocktail détonant émane une ambiance qui porte littéralement le récit et donne toute sa particularité et sa puissance à cette trilogie qui est appelée à devenir une référence.
Cette trilogie barcelonaise a un parfum particulier, celui d'une fleur exotique et vénéneuse. Elle met en scène des personnages hors du commun et mélange avec brio les combats à mains nues au sabre et avec des flingues sur fond de pots de vin et de pédophilie... Sans complaisance, les auteurs nous emmènent dans un rythme effréné où Jazz mène la danse sur un tempo effréné. Le scénario est solide et laisse entrevoir une suite que l'on souhaite rapide tant le récit de qualité nous a tenu en haleine. Les planches sont très soignées et rendent parfaitement les ambiances nocturnes et les mouvements. Seul bémol à la clé dans cette partition, le recours systématique aux massacres de groupe qui a tendance à atténuer la force de l'action.
J'avais bien accroché avec le premier tome de cette bédé espagnole. C'est toujours sympa mais je suis un peu déçu par l'évolution, j'aurais préféré qu'on reste dans une atmosphère polar glauque et moins dans un délire action mangaïsant. ça se laisse tout à fait lire avec plaisir mais un peu plus d'ambition dans le scénario n'aurait pas fait de mal. Je pense que je vais continuer encore un peu, au moins jusqu'à la fin de ce premier arc.
"La mélodie d'El Raval" est rythmée et nous raconte la jeunesse de Jazz avec un swing décapant. Les actions s'enchainent dans un tempo d'enfer. Peu de silences dans cette partition soutenue servie par des dessins aux couleurs "en demi teinte" éclairées par les solos de Maynard, équilibriste de haut vol. Cette trilogie barcelonaise aborde le polar dans un groove original, servi par un scénario au rythme syncopé qui devrait plaire aux passionnés comme aux néophites.
Vraiment une BD sympa, avec un tempo qui bouge! Une histoire qui pour l'instant va dans pas mal de directions, mais un vrai rythme, en accord avec le dessin, une atmosphère qui m'a (sans doute à cause du personnage principal similaire) immédiatement fait penser à la série d'anime "Cowboy Bebop", dont la musique se marrie d'ailleurs très bien à la lecture de cet opus dont on attend la suite!
Excellent premier tome, et pourtant il fallait vraiment avoir envie de l'acheter avec une couverture aussi peu engageante.
Un polar de plus ? non, cette histoire sort des sentiers battus. Le graphisme est en mouvement perpétuel et les couleurs tirant sur l'ocre contribuent à renforcer cette impression. Il y a du Taxi driver dans les premières planches lorsque Jazz part sauver sa soeur... Il y a une sorte de poésie musicale dans les combats, une chorégraphie d'expressions et de "prises de vue" qui cachent les repères du genre tout en les laissant deviner. Intéressant !