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Je suis passé totalement à côté de cet album...
Je ne comprends pas son utilité dans la série, ok la jeunesse de Donovan (et encore...), mais autrement pour moi les autres passages n'ont aucun intérêt.
j'ai bien aimé cet album qui redonne un nouveau soufle à la série
l'histoire est principalement tournée vers Donovan avec des scénes avec ce qu'il faut de tension dramatique
l'on découvre également un peu du passé de Donovan
vivement la suite
Alors que la série était sur le point de s'arrêter, il y a visiblement une relance de cette franchise autour d'une catastrophe nucléaire survenue en 2027 avec un nouveau diptyque cette fois-ci centré sur Donovan, le chasseur de bête étrange à la solde du milliardaire tirant toutes les ficelles.
Il faut savoir que Donovan est l'un des principaux protagonistes de la saga. Accompagné par l'indien Tuak, ils se sont réfugiés dans une caverne dans le grand Nord afin d'échapper aux radiations liées aux bombes nucléaires larguées sur un monde en guerre.
Le tome s'intitule « au cœur des ténèbres » comme pour décrire une situation malheureusement dramatique. Cependant, la nuance est qu'il y a toujours une petite lueur d'espoir même au fond de l'abîme à condition de se battre.
La couverture est assez intrigante et je la trouve particulièrement réussie. Le dessinateur italien Ennio Bufi arrive grâce à son dessin totalement réaliste à nous faire entrer dans cette triste destinée de l'humanité. C'est du bon travail graphique même si on peut lui reprocher une certaine froideur. Moi, je ne retiens que la modernité dans le trait ainsi qu'une mise en page et une colorisation parfaitement adaptée au récit.
On voit évidemment le parallèle avec une autre longue série de Christophe Bec à savoir « Prométhée » et plus récemment le fameux « Inexistences » que j'aviserais d'ailleurs prochainement. Le thème est toujours celui de catastrophes qui détruisent totalement la planète nous faisant entrer dans une ère post-apocalyptique difficile à vivre.
Il est question de survie mais également de faire les bons choix pour ne pas mourir. Cela demande de très gros sacrifices à la limite de l'insupportable.
Ce tome nous dévoile également un pan de l'enfance de notre héros dans le climat froid de l'Alaska. Il est plutôt réussi grâce à un côté intimiste qui constitue une autre approche adopté par cette série. On a hâte de voir comment cela se termine dans le second et dernier tome.
Complexe d'évaluer cet album
L'affrontement entre les deux groupes de moines est intéressant
Il y a de nombreuses grandes planches dans ce tome et elles sont réussies
Cependant, cette BD se survole en 10 minutes...
enfin un album de cette longue série qui vaut à nouveau le coup.
le scénario de C Bec n'est, pour une fois, pas trop capillotracté et se laisse lire.
les dessins sont bons voir très bons sur certaines planches en particulier les doubles pages.
il y a évidement la fin qui laisse présager que la série est tout sauf finie.
ce sera avec moi si les scénarios restent compréhensibles.
A l’instar du cycle précédent sur Kane, ce diptyque sur Le Bagarreur est de grande qualité.
Fini les histoires à rallonge avec des temporalités multiples parfois compliquées à suivre et souvent lassantes à la longue.
Ici nous avons droit à un vrai récit linéaire qui fait à la fois avancer le fil rouge (Le « nouveau » Feiersinger d’un côté, Lou et les tritons de l’autre) et qui propose une histoire originale, intéressante juste pour elle-même.
Un huis-clos sur une plate-forme pétrolière occupée désormais par des moines (après la catastrophe nucléaire/apocalypse entrevu depuis le tome 10), des factions de moines qui s’affrontent du fait de croyances désormais différentes, des pirates et pillards qui tentent de venir les voler, etc. : voilà entre autres les bases de ce récit,
En y ajoutant une vraie avancée du fil rouge (Megalodons relâchés du sanctuaire du Kamchatka après plusieurs années de captivité, le nouveau Feiersinger qui suit Lou à la trace pour… ?), cela donne une belle histoire.
Ennio Bufi nous régale également avec des planches remarquables, comme il l’avait fait pour Kane : une maîtrise de toute beauté, un régal pour les yeux (les combats sous-marins entre les megalodons sont sublimes, de même que les scènes de destruction de la plate-forme pétrolière).
Vivement la suite !
Nous allons avoir droit à une bataille rangée entre deux factions de moines totalement illuminés ainsi que des chasseurs de trésor lourdement armés pour terminer sur une note finale avec un gros rebondissement où l'on découvre le vrai méchant de service. Bref, un programme des plus chargés si on ajoute les requins et les mégalodons qui se régaleront.
A noter que les moines croient que le requin du miocène est un véritable Dieu. Encore de maudites croyances pour mystifier le plus grand prédateur des océans.
Notre héroïne Lou Melville aura forte à faire mais surtout de prendre la fuite pour échapper au massacre. C'est un tome où l'action est omniprésente bien que cela ne fasse pas avancer le fond de l'intrigue.
L'auteur Christophe Bec a arrêté de nous présenter des lieux et des personnages divers pour nous montrer des indices inquiétants et mystérieux. C'était sa marque de fabrique. Là, on a droit à un récit linéaire ce qui n'est pas pour me déplaire.
Les dessins sont absolument majestueux. Parfois, c'est sur une page pleine ou deux ce qui produit le plus bel effet. On atteint un maximum de beauté de cet univers aquatique parfois sauvage. Un autre point fort est la mise en page qui est parfaitement bien dosée et efficace.
La franchise qui aurait dû s’arrêter est clairement relancée. On espère qu'il y aura encore de choses à découvrir autour de ces fameux mégalodons. Je n'oublie pas non plus que la série s'intitule d'une ville Carthage qui a jadis existé comme une grande civilisation.
Au final, un tome plutôt réussi d'une grande série moderne avec ses plans très hollywoodiens. Oui, cela ne manque pas de mordant !
Après un démarrage particulier pour ce nouveau cycle, avec un apocalypse nucléaire (ce à quoi je ne m'attendais pas du tout pour cette série), l'album prend une tournure intéressante avec une sorte de huis clos sur une plateforme pétrolière occupée par des moines.
Lou Melville mène l'enquête dans cette étrange communauté où les factions s'opposent en pleine crise de foi.
Après le diptyque de l'albinos, voici venu celui du bagarreur qui souhaite lui ravir sa place de leader. On se rend compte que les mégalodons se comportent parfois comme des êtres humains avides de pouvoir. Le bagarreur ne fera pas dans la dentelle car il semble avoir très faim.
Pour le reste, on retrouve notre héroïne Lou Melville qui a du mal à faire régner l'ordre dans cette horde de requins géants. Elle sera recueillie sur une plate-forme pétrolière investie par des moines du continent ayant échappé à l'holocauste nucléaire.
L'originalité de ce tome provient du fait de transformer une plate forme en monastère avec ses règles assez strictes. Il y aura une dissidence et le culte d'un dieu du passé à savoir Abzu où il faut faire des offrandes. C'est assez glauque comme atmosphère.
Carthago veut explorer d'autres thèmes comme la religion et les superstitions dans un monde détruit. La surexploitation d'une série n'est jamais une bonne chose. Encore une fois, il y aura multiplications d’incohérence et des personnages bien fades.
Pour autant, il faut admettre que la couverture est particulièrement bien réussi et que les dessins sont toujours aussi fascinants. La mise en page permet une assez bonne compréhension du récit. Suite et fin dans le prochain tome.
Excellent album qui complète le tome précédent.
Une aventure palpitante entre les "Dents de la mer" et "l'homme de l'Atlantide".
Les dessins sont réussis avec également une très belle couverture.
Ce préquel permet de connaître les origines de Lou et son lien avec le Centenaire et Donovan London.
Les tomes 11 et 12 constitue une seule et même histoire qui est un préquel à la série Carthago. On retrouve London Donovan mais ce n'est pas vraiment lui le héros de cette aventure, c'est plutôt Kane un hybride qui tente d'échapper au centenaire des Carpates Wolfgang Feiersinger .
Ce tome final de la saga est plutôt assez impressionnant avec une scène d'ouverture digne d'un grand film genre « les dents de la mer » mais version mégalodon. Le reste sera une véritable course-poursuite jusqu'en Australie.
Bec sait parfaitement maîtrisé le scénario qui ne réservera pas forcément des surprises sauf peut-être le final qui fait le lien avec la série-mère surtout pour sa compréhension. Il joue évidemment sur le fait que les profondeurs de la mer recèle encore de mystères qui n'ont pas encore livrés tous leurs secrets.
Il y a également un message assez écologique sur la protection de la nature et des espèces en voie de disparition même pour les plus dangereuses d’entre-elles. L'homme est visiblement le pire prédateur.
Un mot sur le dessin pour dire que ce troisième dessinateur de la série à savoir Ennio Bufi (après Eric Henninot pour les tomes 1 et 2 et Milan Jovanovic pour les tomes 3 à 5) assure avec de très beaux détails dans les décors. C'est réaliste et presque dans un style cinématographique. Les couleurs sont de toute beauté à l'image de la couverture.
Moi, j'ai bien aimé même s'il y a un côté assez commercial afin d'exploiter le filon Carthago. Au final, un bon thriller fantastique maritime aux allures écologiques.
Une très belle fin de cycle. Ces deux tomes sur Kane, en plus d’être très intéressants, apportent des informations sur les premiers cycles de la série, notamment sur Kane et sur les origines de Lou.
En ajoutant de belles balades entre la Chine et l’Australie au niveau des paysages et un peu de chasse aux espèces rares à Sumatra, tous les ingrédients qui font le sel de la série sont bien présents.
Une belle suite, toujours plaisante et de qualité !
Un nouveau cycle qui commence avec un album de bonne facture : bon dessin et scénario intéressant. Une histoire centrée sur un personnage secondaire mais qui apporte quand même des informations complémentaires sur le 1er cycle.
Comme toutes les séries de Bec, un départ excellent, des idées géniales et prenantes, des personnages intéressants mais bien vite, çà s'essouffle, c'est redondant, c'est ennuyeux... Quel dommage ! Il faut savoir s'arrêter et construire un scénario sur 6 ou 8 tomes. Bunker fonctionne très bien en 5 tomes.
Personnellement, Donovan lié à jamais au centenaire des Carpates et les allers-retours passé-présent autour de Lou, je commençais à me perdre. Heureusement, ils ont enfin pensé à du sépia pour différencier les époques !
C'est bâclé, tout arrive d'un coup sur cet album alors qu'on a traîné en longueur sur les derniers... Le dessin est également réalisé à la va-vite.
Personnellement, j'aimais dans les deux premiers albums le mystère d'une découverte incroyable, quasi surnaturelle. Il fallait rester sur notre équipe qui avance de surprises en surprises vers cette ancienne civilisation sous-marine. C'était parfait. Simple et efficace. Mais Bec développe trop, comme dans Prométhée, çà en devient indigeste. Des personnages inutiles (le frère de Feiersinger, la journaliste, la copine de Donovan).
Et dire que çà va continuer...
Pareil pour Olympus Mons. Et il relance encore deux séries, Crusaders et Labyrinthus. Rarement, quantité rime avec qualité malheureusement. Christophe Bec, l'hyper-actif de la bande-dessinée !!!
Avis portant sur la série:
Les mégalodons comme sujet d'une BD en jouant sur les mystères de la mer, c'est assez original comme concept ! Je dois avouer que cela fonctionne plutôt bien. Le fait que cela soit traité aussi bien sous un aspect paléontologique que sur celui du thriller écolo-financier, donne un ton tout particulier au scénario riche et dense en informations. Il est dommage que la fin de ce premier tome vienne complexifier un peu plus l'histoire en ouvrant d'autres brèches qui paraissent inutiles à première vue, mais qui peuvent par la suite avoir une explication tout à fait plausible; cependant ce n'est pas très bien amené.
J'admire cependant le talent du scénariste Bec qui nous tient en haleine sans toutefois vouloir révolutionner le genre. On est dans une atmosphère qui rappelle à la fois les films Les dents de la mer et Abyss ou d’autres bd comme Sanctuaire ou encore Les Aquanautes.
Les dessins sont saisissants de réalisme : ces mégalodons font peur ! Les planches sont véritablement détaillées avec d’excellents cadrages et une mise en couleur vraiment appropriée. Cette BD est une vraie réussite aussi bien visuelle que du scénario haletant. C'est à découvrir sans attendre ! J’ai remarqué que Bec n’est pas très apprécié sur le site alors qu’il fonctionne bien ailleurs. J’avoue que je m’interroge sur une certaine animosité qui ne me parait pas justifiée.
Il est vraiment dommage que le rythme de parution soit si long pour attendre le prochain tome. Je précise que c'est bien sûr relatif par rapport à d'autres séries plus anciennes qui ont eu des délais d'attente bien plus longs. Cependant, la mode actuelle est à des séries où le rythme de parution est effréné. On en aurait autant pour cette série qui aurait sans doute alors gagné en notoriété dans la masse des productions actuelles. Initialement prévue en 8 tomes, cette série en comptera beaucoup moins. Visiblement, les rapports entre le scénariste et le dessinateur sur fond de crise chez l’Editeur semblent tendus. Quoiqu’il en soit, Christophe Bec est bien décidé à continuer l’aventure surtout au vu de l’excellent accueil du public.
Le second tome est bien dans la suite logique du premier. Je m'aperçois également que l’auteur utilise le même procédé que pour sa nouvelle série Prométhée à savoir des séquences courtes et situées à des époques différentes dans le temps afin d'accentuer le mystère. Je dois reconnaître que ce procédé également utilisé dans les fictions cinématographique est plutôt efficace. La question qu'on pourrait se poser est s'il en abuse?
Il y a une chose par contre que je ne pardonne pas: c'est la faute de frappe à la page 39 du second tome (slendeur au lieu de splendeur !). C'est à croire qu'il n'y a pas de relecture avant la parution de l'ouvrage. C'est fait réellement amateur ! Et puis, le coup de la petite fille aux branchies alors que je viens juste de lire Antarès où il en est également question. Que dire également de ce ridicule Yéti?...
J’ai appris que le dessinateur Henninot a décidé de jeter l’éponge 3 ans après la fin du tome 2. Il se justifie en indiquant qu’il mène d’autres projets qui sont visiblement plus intéressant pour lui. Il n’était déjà pas chaud pour continuer l’aventure. Mon reproche est de ne pas avoir tiré les conséquences un peu plus tôt ce qui aurait fait gagner du temps à tout le monde. Ceci dit, il ne faut pas se tromper: nous avons là une œuvre majeure des plus réussies sur un sujet passionnant.
Le troisième tome est sorti après 4 ans d’absence et d’incertitude. Nouveau dessinateur qui reprend le flambeau et qui semble assurer la mise en scène. Le graphisme me paraît même meilleur qu’auparavant car plus réaliste : oui, la série a gagné au change. C’est manifeste par exemple au niveau des couleurs qui ressortent bien. La couverture est une vraie réussite car on voit enfin le mégalodon. Cela sera également une fin de cycle avec une aventure qui avance enfin malgré son découpage sur les quatre coins de la planète. La fluidité ne sera pas le fort de cet album, la faute à un scénariste qui multiplie les sous-intrigues en apportant de nouveaux mystères dans la balance.
Le tome 4 va relancer le récit avec les mêmes protagonistes. Visiblement, la capture du monstre va s’avérer être un échec et il faudra tout recommencer. Le rythme du récit commence à ralentir en se focalisant sur la petite fille Lou qui ne parvient pas à guérir de sa maladie mystérieuse. La série reste intéressante car elle traite véritablement des mystères sous la mer. Là, on va se concentrer sur des gigantesques monolithes qui rappellent étrangement les structures sous-marines de Yonaguni qui auraient plus de 10000 ans. La lecture s’avère toujours aussi passionnante d’autant que les éléments fournis semblent plausibles.
La nouveauté réside avec le tome 6 où la petite Lou qui a grandi depuis devient la véritable héroïne de cette aventure en devenant par la même occasion la fameuse héritière des Carpates. C’est un nouveau cycle qui commence avec un décalage de 13 années après le précédent tome. Il faudra néanmoins s’accrocher avec la chronologie des faits qui nous ballade d’une époque à l’autre. Par ailleurs, le mystère semble s’épaissir et on a l’impression de faire du surplace malgré cette avancée temporelle. Il faut sans doute accélérer le rythme du récit et lâcher quelques réponses avant d’ouvrir d’autres questions. Au niveau du dessin, c’est du bon travail. A noter que nous en sommes tout de même au 3ème dessinateur en 6 tomes. Un cliffhanger à la fin nous laisse sur l’envie de savoir.
Note Dessin: 4/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4/5
Un album plaisant, avec une amélioration de la qualité des graphismes par rapport aux débuts d’Ennio Bufi lors du tome 6.
L’histoire se met en place progressivement, avec un rythme assez lent qui laisse une grande place aux cases voire aux planches sans texte. J’ai trouvé le parti pris intéressant car cela nous met vraiment dans l’esprit du personnage central de ce diptyque, Kane (homme-poisson et père de Lou), qui n’est alors qu’un jeune sujet d’experiences en quête de liberté.
Il est plaisant de retrouver Donovan et Feiersinger à leurs grandes heures, même si leur présence n’est qu’en toile de fond.
Mention spéciale aux décors : la multitude des lieux visités est très bien structurée et représentée, le cheminement entre l’Australie et la Chine en passant par la Malaisie me plait beaucoup.
Espérons une fin claire et cohérente avec le reste de la série (la rencontre entre Kim et Kane de même que la naissance de Lou font partie de mes attentes)
Un nouveau cycle sous format d'un diptyque.
Difficile de se faire un avis après juste ce premier tome.
Une aventure centré sur Kane "l'homme-poisson".
Comme dit le post précédent, ça plonge, ça remonte, ça redescend et ça parle beaucoup aussi !
Cette série commence à traîner en longueur et il serait temps qu'elle s'arrête avant de finir en grand n'importe quoi (elle aurait d'ailleurs dû s'achever plutôt).
Mention spéciale: la fin qui fait revenir un personnage "mort" depuis plusieurs tomes, on touche vraiment le fond... des abysses de la nullité ^^
Il est vite content, le scénariste ! C'est creux, lent, vraiment trop maigre. Des tas de cases de "remplissage", des dialogues sans intérêt, pour meubler. Et même pas originale, la trame : le Leviathan qui se retrouve directement "juste un peu coincé" et qu'il faut aller sauver. J'ai déjà le T10 et je lirai, mais si nouveau cycle il y a, j'attendrai de lire les retours avant d'acheter. Pas envie de m'embarquer pour une suite si elle est aussi médiocre que cet album.
Ca plonge, ça remonte à la surface, ça replonge, ça remonte une nouvelle fois ... et c'est à peu près tout ce qui se passe dans cet album. Une fin de cycle extrêmement décevante, d'autant que le dessin est également bien paresseux (décors manquant de détails, visages de certains personnages à peine esquissés ...).
La suite de la série (parce qu'il y aura forcément une suite, vu la manière dont se termine cet album) se fera désormais sans moi.
Un album qui clos le 3ème cycle de cette série si particulière. Mais je ne suis pas certain que cela soit la fin de l'histoire...
En tout cas, difficile de définir cette série que j'apprécie tout particulièrement... même si l'on peut lui trouver de nombreux écueils et parfois certaines lenteurs. Mais j'adore les personnages et l'ambiance de cette oeuvre.
Qu'apprend-t'on dans cet album : rien. Ou presque.
Il devient lassant de perdre son temps et son argent dans une série qui piétine. J'irai lire le tome 10 à la bibliothèque avant de décider de l'acheter ... ou non. Dans tous les cas, j'en resterai là avec cette saison de trop et ne renouvellerai pas ma fidélité à cette série.
très très.. déçus !! Et pourtant fan depuis le début ..comme les précédents, graphiquement toujours superbe...hélas le découpage des scènes est une catastrophe..c'est confus et difficile a suivre ,
flash- back aléatoire , cases parachuter ...c'est du grand n'importe quoi...il est temps que sa se finissent..quelle dommage c'est l'album de trop !!!
L'aventure continue avec les tentatives de sauvetage du Léviathan. Mais cet album offre de nombreux flash-back concernant le mystérieux London Donovan. Bec nous fait découvrir le pacte qui lie Donovan avec "son maître" Feiersinger et sa famille...
La couverture est très classe en effet ... et surtout très flippante ! Tout comme le scénario de cet opus, particulièrement stressant. Même si le côté "mission de sauvetage désespérée" a des airs de déjà-vu et que l'intrigue traîne parfois trop en longueur. Toutefois les révélations faites sur cette fameuse race d'hominidés sub-aquatiques et leurs liens avec les Mégalodons compense cette légère faiblesse. De l'action, du drame, de la tension, des monstres effrayants ... le tout servi par un bon dessin. Pourvu que la série continue dans cette voie-là !
Enfin ! Enfin le scénario de cette série redécolle. Tout repart de plus belle: plus d'action, plus de tension, plus de révélations, des mystères toujours aussi intrigants, un très bon suspense ménagé ... Les séquences gores avec les monstres marins sont très bien mises en scène et foutent vraiment les boules ! Le dessin réaliste est en effet très bon je trouve, et les Mégalodons n'ont jamais été aussi effrayants ! Très bon épisode qui me réconcilie avec cette série qui avait tendance à trop s'éterniser je trouvais.
Si l'idée de placer Lou comme héroïne de ce troisième cycle et de placer l'action de ce dernier treize ans après le précédent volume est une bonne idée, hélas cet album a du mal à se montrer complètement convaincant. La faute à un scénario trop "bavard" (les séquences d'action sont bien minces) qui commet en outre quelques erreurs dommageables (le passage sur les nazis est clairement inutile et tellement cliché). On suit une affaire d'héritage et c'est à peu près tout. Même si on a droit à quelques révélations et que le nouveau changement de dessinateur est un bon point, je suis un peu resté sur ma faim. Espérons que les prochains tomes seront plus tranchants.
J'adore la couverture de cet album !
Après, l'histoire m'a déçue... trop de lenteur dans la narration et il est compliqué de suivre les événements, le scénario étant trop décousu à certains moments...
Un bien bel écrin que ce coffret pour fêter les 10 ans de la série.
- limité à 2000 exemplaires.
- Solide, couverture 'hologramme' de très belle facture, le dessin repris pour l'intégrale, superbe lui aussi.
- Magnifique ex-libris grand format numéroté /2000 reprenant la couverture du tome 3.
- Un signet en tissu bien sympathique.
- Couverture pleine page
- Croquis, roughs, encrages de page et essais en bonus
Cette intégrale regroupant les 5 1ers tomes est un régal, alors oui l'attente entre les tomes peut sembler tirer en longueur le scénario. Mais les lire d'une traîte est un réel plaisir, dans ce cas-ci le côté épisodiques de certains évènement sert à merveille l'histoire.
Il y a ce petit qqch qui fait que l'on est attiré, difficile de poser l'ouvrage, on a vite envie d'y revenir.
Et finalement l'on se rend compte que toutes les ficelles du scénario s'imbriquent judicieusement, surtout pour une série qui a plus de 10 ans.
Les petites références à Carthago adventure sont aussi appréciable et apporte une cohérence à l'univers.
Le dessin rien à redire la dessus.
Le passé de Kim, l'enfance de Lou, les aventures du centenaire et de son frère, L.Donovan, le commandant bertrand, Snyder, la Carthago, les ruines, le mégalodon et autres créatures préhistoriques ... autant de pièces d'un puzzle qui pourrait perturber le lecteur, mais qui finalement révèlent un scénario vraiment plaisant, non ce n'est pas qu'une histoire de gros requin !
L'un des meilleurs Bec !
Un second cycle se termine et une nouvelle fois, il reste beaucoup trop d'interrogations et de mystères non-résolus. Et puis l'intrigue aborde des thèmes beaucoup trop disparates (le Mégalodon, le Yéti, l'Atlantide, les Atlandes, la conquête de l'espace par l'URSS ...). Ca part dans trop de directions différentes, on s'y perd. Malgré un dessin peu impressionnant et une narration beaucoup trop hachée, je pense tout de même poursuivre la lecture de cette série, même si j'avoue que l'intrigue me motive de moins en moins.
C'est soit-disant un nouveau cycle mais en fait cet album n'est ni plus ni moins que la continuité des précédents. L'intrigue avance avec parcimonie, tellement lentement qu'il y a un risque de décrocher. Oui, je commence à me lasser un peu moi aussi, et c'est dommage quand on repense au premier tome qui était vraiment accrocheur. En espérant que la suite s'accélère enfin ...
Oui ... et donc ? Cet album est censé terminé un cycle, mais bien trop de mystères demeurent. En gros, une équipe concurrente de nos "héros" a réussi a capturé en premier un Mégalodon pour l'exposer en tant que bête de foire. Et c'est tout, ça s'arrête là ? Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, cet album et ce cycle s'achèvent en queue de poisson.
Par contre, niveau dessin, le changement de dessinateur ne nuit pas à la cohérence d'ensemble, puisque ce dernier a très bien su s'approprier l'univers graphique de la série, avec un trait assez dynamique et une mise en page efficace.
Après un premier tome prometteur, celui-ci est décevant. Trop de récits croisés, trop d'événements qui se passent à des époques et dans des lieux différents. Rien n'est clair, et je m'y suis perdu. Quant au dessin, il n'est ni bon, ni mauvais; il est simplement dans les canons du genre pour une série B de ce type. Je m'attendais vraiment à mieux.
Intéressant troisième cycle, qui a débuté au tome précédent.
J'apprécie l'organisation de l'histoire en flash-back, qui expliquent les treize années passées.
Au début, j'étais un peu perdu dans ces multiples histoires à différentes époques, avec des gens qui veulent on ne sait trop quoi...
Et tranquillement, tout se met en place pour offrir une histoire assez flippante à mon goût (oui, j'ai pris le livre au titre et la couverture sombre mais je ne suis pas fan des bestioles qui vivent sous l'eau, donc la, j'ai été servi...).
Le tout s'avère après lecture très réussi dans l'ambiance, le scénario, avec des dessins qui accompagnent bien.
J’ai trouvé ce tome encore plus palpitant que le premier.
Peut-être parce que les flashs dans le passé sont moins nombreux, un peu plus long ou que sachant déjà la base de l’histoire, ils sont plus clairs…
En tout cas, ils fonctionnent très bien et se recoupent parfaitement.
En plus, ils sont moins anecdotiques et nous donnent plus d’indications sur certains personnages, originaux et bien construits.
Et puis ça va vraiment dans l’excès (tout est fait à fond) en restant pourtant crédible…
Très sympa de s’y immerger !
Un peu comme les deux premiers tomes : sans savoir pourquoi, je suis totalement attiré par cette BD.
Pourtant, elle a certains « défauts »…
Celui de consacrer plusieurs pages à rien, par exemple, comme la première plongée… Alors d’accord, ça montre qu’ils ne réussissent pas du premier coup mais une bulle comme « J’espère que cette fois, ça marchera » suffit… Ou toute l’installation dans le château : pourquoi puisqu’ils s’en vont ???
Bref, pas mal de planche s’appesantissent sur des choses qui me paraissent inutiles… Et pourtant, ça met une ambiance…
Il y a aussi pas mal de planches qui entrecoupent l’histoire pour nous montrer quelque chose qui se passe ailleurs. Pourquoi ? Plusieurs fois, on ne sait pas vraiment – ou on le découvre plus tard, en se disant que ça pouvait être supprimé… Et pourtant, au final, une toile se tisse…
Mais c’est surtout la démesure qui me happe dans cette BD, ce requin géant assez flippant, le yéti, les moyens tape-à-l’œil mis en œuvre…
Il ne semble avoir aucune limite et j’avoue avoir ressenti comme des bouffées d’angoisse en tournant une page et me retrouvant dans les profondeurs face à ce monstre marin !
Alors malgré ces longueurs (pas très dérangeantes au final), je marche plutôt bien.
"Un peu comme les deux premiers tomes : sans savoir pourquoi, je suis totalement attiré par cette BD.
Pourtant, elle a certains « défauts »…
Celui de consacrer plusieurs pages à rien, par exemple, comme la première plongée… Alors d’accord, ça montre qu’ils ne réussissent pas du premier coup mais une bulle comme « J’espère que cette fois, ça marchera » suffit… Ou toute l’installation dans le château : pourquoi puisqu’ils s’en vont ???
Bref, pas mal de planche s’appesantissent sur des choses qui me paraissent inutiles… Et pourtant, ça met une ambiance…
Il y a aussi pas mal de planches qui entrecoupent l’histoire pour nous montrer quelque chose qui se passe ailleurs. Pourquoi ? Plusieurs fois, on ne sait pas vraiment – ou on le découvre plus tard, en se disant que ça pouvait être supprimé… Et pourtant, au final, une toile se tisse…
Mais c’est surtout la démesure qui me happe dans cette BD, ce requin géant assez flippant, le yéti, les moyens tape-à-l’œil mis en œuvre…
Il ne semble avoir aucune limite et j’avoue avoir ressenti comme des bouffées d’angoisse en tournant une page et me retrouvant dans les profondeurs face à ce monstre marin !
Alors malgré ces longueurs (pas très dérangeantes au final), je marche plutôt bien.
"
Un peu pareil que le précédent, sauf que je me lasse aussi un peu…
Les histoires s’étalent sur des périodes de plus en plus longues : s’il se passait quelques trucs dans le tome 3, je n’ai pas vraiment eu l’impression que c’était le cas sur ce tome 4…
Elle est serveuse puis non ; ils naviguent puis elle arrête ; il y a le mégaloshow et puis non ; il y a un tsunami et puis c’est fini…
La découverte sous-marine de l’épisode précédent revient ici sans nous en apprendre plus…
Bref, très joli, des scènes bien réalisées mais un album qui m’a donné une impression de remplissage…
De la bonne BD d'aventure, tout simplement. Le scénario est divertissant et le dessin suffisamment accrocheur et dynamique pour plaire. Cette histoire de requin préhistorique mélange efficacement action, mystère et suspense. On est à quelque part entre "Les dents de la mer", "Jurassic Park" et "Abyss". Sensations fortes garanties.
La série est plutôt moyenne depuis le début pour tous les défauts évoqués ci dessous. Le point positif reste a mon sens ce troisième (en 6 tome) changement de dessinateur. Graphiquement, les tome 4 et 5 étaient vraiment pas terrible ...
On repart avec ce 3ème cycle où quelques années ont passé.
Le dessinateur a "encore" changé (c’est le 3ème), mais le style de ce dernier conserve l’esprit de ses prédécesseurs et est tout à fait en phase avec celui de la série. Hormis le faciés de certains personnages pas toujours à leur avantage (Kim a vraiment morflé), l’ensemble reste de bonne tenu.
Le scénario poursuit son chemin dans les méandres des fonds marins, certains voiles se lèvent quand d’autres mystères s’épaississent.
Toujours client pour cette série qui garde un bel attrait à mes yeux.
Sans être aussi offensif que GimpUser, je dois bien avoué que la série continue sa baisse de qualité. Elle partait de haut, donc les albums demeurent quand même au dessus de la moyenne, mais plus de beaucoup.
Trop de sauts chronologiques, trop de raccourcis : je pense que l'histoire initiale de Bec etait bonne, son scénario solide mais le fait que tout traîne en longueur joue en sa défaveur...
Et puis les dessins sont encore un cran en dessous... cela pose énormément problème pour moi.
Pour le côté nazi je suis très déçu, cela n'a pas sa place dans une histoire de découvertes scientifiques sous-marines, ou alors il fallait l'intégrer dés le départ. Là c'est bien trop tard.
Après un 1er cycle que j’avais beaucoup aimé, j’étais impatient de me re-plonger dans la suite de cette belle série.
Si je dois bien admettre que ce 2nd cycle est moins prenant que son prédecesseur, je trouve quand même qu’il vaut le coup d’oeil et qu’il mérite que l’on s’y attarde.
Les dessins de Milan JOVANOVIC font honneur à ceux d’Eric HENNINOT et le scénario reste tout à fait plaisant.
Une bonne série qui continu avec un 3eme cycle pour mon plus grand plaisir.
tout à fait d'accord avec Gimuser. C'est de la daube! A force de diluer la sauce, il ne reste que de la flotte et du vent... enfin plutôt des courants d'air
J'ai apprécié cet album ainsi que sa construction avec une chronologie décousue,
Je ne vois pas cette série "mourir", n'en déplaise à GimpUser ;)
Bien au contraire je trouve que ce début de cycle, avec ce 6ème tome, relance la série.
Et je serai très heureux de feuilleter le prochain tome.
Chaque nouveau tome étant moins bon que le précédent, cette fois, je n'ai pas acheté cet album. Je l'ai lu à la Fnac.
Bien m'en a pris.
Si j'ai lu entièrement les 3 ou 4 premières pages, à la page 38, je ne lisais déjà plus qu'une case par page ...
C'est bavard, bourré de sauts chronologiques. Une page entière pour montrer l'héroïne sortir d'un taxi (page 16 - J'ai pris des notes :-)) ).
Cette série n'en finit pas de mourir. Et voilà que par dessus tout ça, on nous rajoute la page mélo sur les atrocités nazies.
Je ne saurai donc jamais comment se termine cette histoire car je passerai devant le tome 7 sans même le feuilleter.
Il manque un scénariste à cette série ou bien un éditeur qui ait assez de c...lles pour dire : "Stop !"
Ça se traine d'albums en albums.
Le 1er partait sur une bonne idée, le 2ème la développait, le ... 5ème est franchement insipide.
Un mégalodon ici, un liopleurodon là. Il ne manque que la Sainte Vierge et le Père Noël !
Il est temps de mettre fin à cette série.
Que dire...? bon pour commencer une histoire qui part sur un monstre, après sur un requin, après sur une cité, je n'en dit pas plus, mais le cinquième album et lent, moue, bref je me suis un peut ennuyer, mais les dessins son très jolie. ( comme d'ab )!
et on par sur un troisième cycle. même si je trouve ça long, je veux quand même voire la suite.
En tant que fan, je vais être moins sévère que les autres critiques...
Je trouve ce 5ème tome nettement plus aboutit que le précédent.
J'ai l'impression d'y voir plus clair ! Avec de nouvelles pistes...
C'est un bon album.