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Comment ne pas faire le parallèle avec la série Le Tueur de Luc Jacamon et Matz, publiée également chez Casterman, dans la collection "ligne rouge" ? Même si le thème est différent, on ne peut que faire allusion à cette formidable série à la lecture de "Malone".
J'ai été vraiment bluffé par ce premier numéro de ce diptyque. Ce premier opus alterne sans cesse scènes bavardes (voire très bavardes), et scènes muettes.
Nous suivons le parcours d'un tueur cynique et froid, que l'aspect souvent silencieux de certaines pages, rend encore plus mystérieux.
Je déplore pourtant certains effets de style à la "matrix" (voir page 16 ) qui n'apporte rien à l'histoire et font plus sourire qu'autre chose, atténuant ainsi le côté spectaculaire de l'intrigue.
Le scénario de Michel Rio repose essentiellement sur le personnage du tueur (dont on ne connaît même pas le nom tout au long de cet épisode); élément assez paradoxal pour une série qui s'intitule "Malone", du nom du commissaire divisionnaire chargé de l'enquête, que l'on découvre seulement à la fin de l'album.
J'ai apprécié la maîtrise scénaristique mettant en évidence le sang froid de ce tueur, sans état d'âme et calculateur.
Convaincu par cette série, j'en conseille évidemment la lecture.
La suite du tome 1, très prometteur.
Malgré quelques dessins un peu déroutants et moins réussis, (valable pour le tome 1 aussi) on se laisse emporter facilement par cette rencontre et on approfondi la philosophie de ce tueur, cette fois-ci à propos de l'amour.
Suberbe !
Des dialogues magnifiques...
Un concept et une façon de voir et percevoir le monde exposée par tueur si puissants et argumentés qu'on se sent attiré par ce personnage.
Le commissaire Malone attend la fin du premier album pour faire son apparition et de par ses déductions, on est impatient de voir la confrontation avec le tueur.
Le héros laisse sa place de personnage principal et c'est bien...
Un dyptique bien construit...
Suite et fin de cette adaptation très réussie du roman « Faux pas » de Michel Rio (par lui-même). Notre tueur continue à nous faire cogiter. Cependant, malgré l'attachement que l'on peut ressentir à son égard, en quelques fractions de secondes, par son attitude ou ses paroles, il peut nous glacer, nous dégoûter, nous faire peur (nous nous ferions tout petits face à lui, c'est sûr). L'attitude de Marie Brémont questionne également. Nos certitudes les plus dures ne semblent que façades, prêtes à céder brusquement. Etrange humanité qui vacille toujours telle une barque p
Rarement une bande dessinée n'aura délivré une telle puissance introspective et réflexive. Si l'histoire (belle, mais assez conventionnelle) pourrait se résumer en un assez court paragraphe, il n'en ait pas de même des réflexions philosophiques du mystérieux tueur. C'est lui que nous suivons, c'est lui le personnage principal, non pas le commissaire Malone. On dirait, paradoxalement, que de par sa position extrême (celle d'enlever la vie) c'est lui qui arrive le mieux à objectiver de manière froide mais visiblement lucide l'humanité, son rapport au monde et la façon dont l'homme a d'interagir avec ses semblables en se fourvoyant dans des raisonnements subjectifs qu'il croit justes, alors qu'ils l'aveuglent.
Le découpage narratif et graphique consiste en une alternance entre des séquences chargées de textes avec d'autres qui en sont dépourvues. Les dessins sont très réalistes, dans la tonalité du scénario. Quant aux couleurs, pour ma part, ce panorama de gris, de noir, de brun ou de vert terne, me semble participer à la froideur du contexte : un tueur à gages froid, quasi insensible, qui évolue dans des sphères sordides. D'autant plus que ce tueur ne semble pas être très bien dans sa tête...
R-I-D-I-C-U-L-E-!
Nous avons droit à la jeune veuve qui tombe amoureuse de l'assassin de son mari (attention, sans le savoir !), lequel assassin se sent comme un père pour la fille de sa victime.
Le tueur pérore toujours autant version Café du Commerce améioré (et encore !).
Quant au policier, il est omniscient (à mon avis il a dû coucher avec le scénariste pour en savoir autant !)
Le concept du tueur romantique et dandy est aussi crédible que le père Noël, c'est dire l'accumulation de clichés auxquels on a droit.
On aimerait pouvoir dire du mal de cet album car finalement les dessins ne sont pas terribles, le début de l'histoire est bavard et même verbeux !, l'assassin-méticuleux-propre-sur-lui-très-professionnel-mais-qui-a-un-coeur-sous-sa-gabardine fait quand même très cliché.
Eh bien malgré tout cela, ça fonctionne !
En fait on veut surtout savoir ce qui a lié le tueur et la jeune veuve (elle a des faux airs d'Emmanuel Béart jeune).
On verra avec le second album ce que vaut vraiment la série. En attendant, voici un très gentil moment de détente.
Le tome 1 nous montrait un tueur froid, méthodique et très érudit, on s'attendait à un tome 2 beaucoup plus axé sur celui qui donne son nom à la série, à savoir le commissaire chargé de l'enquête, et qui semblait devoir être le pendant du tueur.
Mais celui-ci intervient peu et l'histoire continue avec celle du tueur, jusqu'à un final un peu abrupt.
Une histoire à relire pour bien s'imprégner des pensées profondes de la nature humaine distillées par le tueur, mais qui deçoit au final et qui laisse un goût d'inachevé.
Peu de dialogues, des planches bien construites... On est loin cependant de l'impact que représente la série culte Le Tueur de Jacamon/Matz. Le deuxième volume situera cette BD dans la catégorie géniale ou moyenne.