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Super les Bidochon ! Que de fou rire en lisant certains albums. Évidemment, chaque album peut toucher un point sensible des uns ou des autres, et pendant l’espace d’une case, on se retrouve un peu à la place d’un des Bidochons. Ils sont finalement à l’image de personne, mais de tout le monde à la fois. J’aime particulièrement les situations où les Bidochon sont entre amis. Coté dessins, c’est plutôt minimaliste, mais l’expression des visages est tellement réussie ainsi que la typographie.
Tous les albums ne sont pas égaux en matière de situation comique, mais cela reste une série que je peux relire plusieurs fois avec toujours autant de plaisir. Une BD culte.
Plus de mal avec celui-ci.
Comme souvent, Binet prend un thème et le décline.
Mais s’il avait plein de choses à dire sur les voyages, l’écologie ou les hôpitaux, ici, ça tourne très vite en rond.
On a un déballage d’accessoires et la découverte de ceux-ci par Raymonde qui passe au second plan derrière les autres, un Robert mou…
C’est très répétitif, les réactions tournent en rond, peu de surprise ou de mordant…
Déçu.
J’ai plutôt bien aimé ce tome parce que j’ai retrouvé Raymond, râleur que l’écologie gonfle, dépassé par ce que sa femme lui demande de faire, avec des commentaires cinglants et pas toujours faux.
En plus, c’est assez varié – contrairement à certains précédents tomes qui étalaient des possibilités, là, on a l’eau, l’énergie, la propreté, le co-voiturage, ça offre un panel plus vaste et moins lassant.
Bien sûr, un côté un peu dicatico-moralisateur, où on nous montre que même un beauf comme Robert peut s’y mettre et que les autres mais ça reste sympathiquement distrayant.
Je me suis bien amusé avec ce tome…
Certes, c’est moins virulent que dans les débuts, moins critique du beauf moyen ou de l’absurdité des gens et administrations.
Certes, il y a comme une compilation des trucs débiles qu’on peut trouver dans les magazines proposant des gadgets et on pourrait s’amuser autant à lire le magazine en question…
Mais, s’il n’y a pas beaucoup d’histoire, il y a des situations amusantes où, cette fois, les Bidochon repassent devant René et sa copine pour avoir le premier rôle.
Et l’enthousiasme de Raymond est réjouissant à voir dans les absurdités de ses réflexions et choix.
Et puis il y a quelques éléments qui reviennent en fil rouge de fond qui donnent un liant sympa à l’ensemble.
Les Bidochon découvrant Internet et tous ses travers, les virus, les arnaques... Cela vaut quelques très bonnes scènes, avec l’installation, la découverte… Une bonne idée aussi de matérialiser ce qu’ils voient sur l’écran dans leur salon… Après, on pourrait trouver un petit côté déjà vu (avec le portable ou les appareils esthétiques précédents) ou un côté répétitif à certaines idées, mais ça reste globalement marrant. J’aime moins l’incursion de René dans les histoires, qu’on ne sait pas d’où il arrive et dont la connaissance calme de tout inhibe le côté râleur de Raymond mais on retrouve bien le couple dans leur dispute sur l’utilité du truc ou Raymond qui irait sur des sites pornos ou discuterait avec Line… Agréable à suivre.
Binet s'attaque à un grand autre évènement moderne : le portable. Et c'est avec succès.
Les Bidochon restent eux-mêmes, grognons, irascibles, obtus ou bête et ce nouvel opus est un festival de situations bien vues et décalées avec de bons mots ! L
'utilisation du portable est dérivée dans toute son absurdité dans des séquences de 4-5 pages généralement hilarantes (légère déception sur un extra-terrestre quand les Bidochons sont justement la vie du quotidien ou Raymond qui appelle de toutes les pièces).
Un running gag excellent ponctue cependant les séquences (j’ai beaucoup ri avec le mec dans son bain !) et c'est un réel bonheur de tourner les pages les unes après les autres !
Les Bidochons s'essayent aux produits de beauté et de sport. C'est drôle comme toujours mais ça manque de mordant par rapport à ce qu'ils peuvent faire...
Robert n'est pas aussi incisif et s'il a une ou deux bonnes scènes au début, il devient moins râleur au fil du tome, commençant à croire à tout et n’importe quoi quand Raymonde qui était à fond au début se lasse…
Certes, sur la fin de l’album, Robert qui essaye de s’endormir en devenant une masse, c’est rigolo, mais j’ai perdu le lien entre la tonicité du début et les croyances ésotérique finale… Comme si Binet avait changé de sujet en cours de route…
Et puis certaines scènes sont à la limite de la publicité vu qu'il n'y a pas le recul acerbe habituel... Donc bien, mais moins.
Je l’avais lu il y a longtemps et j’en gardais un mauvais souvenir.
Je viens de le relire et, au début, je me disais que non, il n’était pas si mal…
Cohérent avec le personnage de la mère aperçu dans le premier tome, Raymond redevient pire qu’un gamin avec elle.
C’est assez simpliste mais plutôt sympa de voir comment il se fait avoir, Raymonde réveillée au clairon ou le code taptaptiptoptap sur le mur.
Et puis, on passe dans un côté qui devient un peu malsain quand la mère se fait tripoter et celle qui veut garder son fils devient glauque…
Et là, on a la fin, totalement hallucinante, qui m’a complètement perdu, beaucoup trop décalée, délirante pour être crédible, de Raymonde qui passe du banc au cerveau aux transformations… Totalement, largué de son arrivée à on sait même pas comment elle sort…
Bref, j’ai compris pourquoi je n’avais pas gardé un bon souvenir de ce tome…
Un opus sans thème qui nous propose une dizaine d'histoires variées, courtes mais efficacement amusantes globalement.
Il y a un peu de tout, ça donne l’impression que Binet s’est laissé porter au gré de ses inspirations, sans une base solide…
Globalement, c’est amusant, mais on perd le cynisme du début.
Et puis on découvre René et sa femme qui, à mon goût, font perdre de l’intérêt à ce couple râleur qui n’a pas vraiment d’amis. Là, un mini-communauté se crée, sortie dont on ne sait où, avec qui les Bidochon ne semblent avoir rien en commun… Ils auraient presque mérité une série à eux, ces bobos écolos vegan tellement c’est décalé.
Je crois que c’est là que j’ai commencé à trouver les Bidochon moins drôle (je relis l’ensemble dans l’ordre mais je ne sais plus où exactement).
Les personnages ont évolué, très bien, pourquoi pas.
Mais en vieillissant, ils se sont un poil amolli et la critique du français moyen beuglard disparaît ici au profit d’une sorte de tendresse un peu gênante – en tout cas, j’étais aussi gêné que Robert de le voir dans certaines situations.
Robert n’est plus un râleur égocentré sûr de lui mais un type malhabile qui tente de faire plaisir à sa femme sans savoir comment s’y prendre ; Raymonde n’est plus une femme forte et caractérielle qui gueule mais une boule de tristesse au bord du suicide.
Ça n’est plus drôle, c’est terriblement triste.
Toujours aussi acerbes dans les dialogues, Binet place ses Bidochons dans le monde de la télévision.
Spectateur n'est pas le mot juste puisqu'on voit les coulisses des émissions ou qu'ils participent aux émissions en tant que joueur ou spécialiste... Chaque scène (de plusieurs pages à juste quelques cases) est coupée par des Zap, permettant d'aborder comme on veut sans se soucier de la chute, autant de thèmes qu'on veut dans le monde télévisuel.
Des idées sont réparties au long de l'ouvrage, revenant régulièrement et c'est drôle.
Certaines scènes sont uniques et c'est drôle.
Moins critique cependant que d'autres sur la longueur, on tombe parfois dans la dispute conjugale, bonne certes, mais sans complet rapport avec le thème qui est parfois mis à l'écart ou répété ou surjoué...
Du bon dans les idées, du bizarre qu’on ne comprend pas avec Robert qui devient spécialiste… Sympa tout de même.
On a ici une succession de petits sketchs où le matin, midi et soir n’est qu’un prétexte à découper l’album en tranches plus ou moins longues. Il y en a des bien amusantes sur la vie de couple où les personnages restent eux-mêmes, on les retrouve dans de nouvelles situations et c’est sympa. D’autres un peu moins virulentes ou intéressantes, en particulier cette dernière avec les soirées animales qui ne m’a pas du tout convaincu…
Je préfère toujours quand les Bidochon ont un thème, il y a des trucs marrants, mais je m’y suis moins retrouvé.
Encore un très bon opus qui tâcle sans vergogne les garagistes, les concessionnaires, les salons de l'auto, les conducteurs idiots… Il y a un paquet de scènes très drôles qui s’enchaînent logiquement pour construire une histoire, de la voiture qui ne marche plus à l’achat d’une nouvelle. Deux regrets : un côté pédagogique par endroit qui rappelle comment bien conduire sans être marrant, juste pédagogique. Et une fin en queue de poisson (normal vu le thème ?) alors que l’histoire ne paraît pas finie… Mais amusant.
Une première partie (allez, 3/4 de la BD) kafkaïenne et délirante qui part à mon goût en sucette et dans la facilité sur la fin. Cela ne change rien au fait que ce soit cynique, acerbe et drôle à souhait ! Un bon tome !
Etonné de ce tome qui ressemble plus à une histoire complète qu’à des petites scènes sur un thème, comme pour les précédents tomes. Une sorte de continuité de plusieurs heures dans la vie des Bidochon.
C’est donc plus anecdotique puisqu’on n’a pas un thème majeur qui est traité (comme les vacances, maison, voyage ou voisinage) mais du quotidien.
Cela dit, Binet a l’art de trouver des anecdotes qu’il rend intéressante par ses dialogues, du voisin qui ne veut pas prêter sa tondeuse aux repas chez les voisins…
J’ai plus retrouvé les personnages du début, Raymonde et sa tristesse, Robert et sa maladresse et sa bêtise.
Plus léger mais toujours sympa.
Sympa.
On ne peut pas dire que la critique soit acerbe, comme dans d’autres tomes, mais Binet reprend bien toutes les petites tracasseries des hôpitaux, chambre commune, docteur qui « lui parle », attente…
On survole un peu tout avec de l’humour très légèrement grinçant (le gamin insupportable qui remplace le mec qui tousse, c’est plus rigolo que m’échant, comme avant) et, dans celui-ci, Raymonde fait preuve de beaucoup de gentillesse et d’intérêt pour son mari qui ne s’en énerve même plus, ce qui adoucit l’ensemble.
Un humour plus gentil mais toujours agréable.
Comme le premier, on retourne dans l’intimité du couple et, après les vacances ou le voisinage, c’est une sorte de huis clos où Robert n’a que Raymonde à se mettre sous la main…
C’est donc beaucoup plus cruel, le couple de français moyen ne s’associe pas contre les autres mais jouent l’un contre l’autre et les attaques, les remarques, les méchancetés sont beaucoup plus cinglantes et touchantes.
Il y a de l’humour mais, comme dans le premier, noyé sous une tonne de noirceur.
Le tome n’est pas mauvais pour autant parce que c’est vif et efficace, mais c’est plus lourd que les 3 tomes précédents !
Au début, c’est rigolo, Robert chez la voyante. Il y a un petit côté répétitif mais on reste dans le Bidochon habituel qui se moque des travers de la société.
Après, ça devient un peu plus mécanique, dans le style « bon, voilà une façon de voir les choses, comment je l’utilise ? ». De là, ça devient inégal : je me suis bien amusé avec le pendule, je me suis plutôt ennuyé avec le voyage astral…
Les personnages sont là mais ça manque parfois du cynisme qui faisait le sel de la série…
Ce que j'aime chez les Bidochon, c'est la critique du français moyen, de monsieur tout le monde. Ici, c'est souvent très réussi. Les points négatifs sont la répétition des gags (la coupure de la guide, à la troisième fois, on se lasse...), les découvertes de l'hôtel... Je n'ai pas pleinement adhéré non plus à la suite donnée à la perte de madame Bidochon, certes drôle mais tellement improbable - entendons-nous, l'auteur fait ce qu'il veut mais vu la pertinence qu'il a à démontrer les petits travers de tout un chacun (l'inquiétude pour les clefs de valise, la différence progresive de ton dans l'appel de Raymonde), j'aurais préféré pour ma part quelque chose de plus réaliste... Au final, à part ces une ou deux déceptions, l'opus reste de très bonne facture, plein de l'humour acerbe de Binet.
C'est drôle et cynique ; chacun en prend pour son grade, des vendeurs de maison aux macho. On sent le vécu ! L'album date de 83 et l'humour sur les maçons arabes perd de sa saveur à cause du politiquement correct qui est arrivé par la suite mais le tout reste tranchant dans les propos et bourré d'humour ! Avec un très bon final !
Une étude parfaite de l'HLM, avec tous les soucis immaginables, parfaitement utilisés dans des histoires courtes pour en faire une longue excellente qui mène à l'album suivant. C'est drôle, c'est acide, c'est bien vu... Un régal.
Particulièrement apprécié ce tome qui met bien en avant tous les travers des vacanciers en village vacances et le comportement beauf du français plus que moyen.
C’est gentiment méchant mais drôle et juste le plus souvent.
Prémisse des Bidochon, avec une Raymonde beaucoup plus grinçante et forte qu’elle ne le deviendra pas la suite…
Plein de bonnes idées, comme celle assumée de ne pas mettre de décor ou les confidences du couple au lecteur…
C’est drôle mais c’est un premier tome particulièrement noir, qui flirte plus avec le côté sordide et cruel qu’avec la réplique amusante bien trouvée ou la critique légère et cynique…
Le retour Messieurs avons nous une Raymonde à la maison qui est prête à faire autant d efforts !!!!!Je plaisante bien sur Album vite lu mais je suis fan donc achat quelques bon moment quand même
On retrouve avec plaisir les Bidochon et de nombreuses situations prêtent à sourire, voire à rire. Malheureusement, l'ensemble est un peu répétitif et l'album se lit très très vite... Mais ne boudons pas notre plaisir!
Moins sensible que la large majorité de mes contemporains aux charges de Binet contre le travers des Français moyens, je suis largement passé à côté de cette BD... Et ce n'est pas ce septième tome, condamnation sévère et franchement pas très drôle du fonctionnement de l'hôpital français qui va me réconcilier avec Binet. Si l'on sent un vrai vécu derrière la peinture des comportements du personnel hospitalier comme des patients, on ne peut pas dire non plus que tout cela soit vraiment pertinent, et est même certainement injuste. Cette vision pourrait passer si elle était irrésistiblement drôle ou si elle permettait un minimum de réflexion, mais c'est loin d'être le cas. Les seuls moments "intéressants" du livre sont ceux où l'angoisse (devant la maladie et la mort) perce chez les Bidochon, mais là non plus, Binet n'en fait pas grand chose, préférant se cantonner dans son rôle convenu "d'humoriste". Bref, et en dépit du graphisme toujours efficace de Binet, "Asujettis Sociaux" est un livre plutôt "tiède".
Si l'album commence assez tranquillement avec des petits sourires qui s'adressent autant à nous-mêmes qu'à Robert, la fin est, pour moi, désopilante.
Cette vague "écolo" forcée, à laquelle j'adhère plutôt, est ici montrée sous ses aspects les plus ridicules, comme Binet sait très bien les pointer.
Un Bidochon pas décevant du tout, avec des personnages toujours aussi ridiculement attachants.
Si vous aimez les Bidochon, vous aimerez celui-là.
Cette fois-ci Binet s'attaque à la folie des portables pour tous ces gens qui n'en ont pas besoin. On savait qu'on sourirait mais on se surprend à rire.
Très réussi.
7/10.
Sympathique.
Comment résister à Binet quand il nous monte en dérision ces gens (= vous et moi) qui veulent absolument garder leur corps de jeune.
Tellement futile et tellement réaliste.
Mauvais dessins comme toujours.
5/10
OK c'est toujours drôle de sa moquer de sa belle mère mais ici le tableau est trop caricatural pour être crédible.
Le plus mauvais tome de la série sans nul doute.
4/10.
Beaucoup plus réussi que le tome 2 car cette fois les bidochon ont trouvé un couple rival tout aussi déjanté en la personne de Gisèle et René.
Un vrai pamphlet contre ces couples d'amis aussi différets de nous qui parfoisnous pourrissent notre espace vital.
Enfin si j'en croie le Bidochon.
7/10.
Ah le mariage et sa routine qui vous envahie de jour en jour.
Mais avec les Bidochon on a droit à une tranche de vie plutôt salée tant la routine du mariage y est bien décrit.
Dommage pour les dessins...........
5/10.
Satyre plutôt drôle de notre comportement de téléspectateur.
On se reconnait parfois dans les situations de nos héros ordinaires.
A lire au 2ème degré.
7/10.
Une histoire à prendre au 2éme degré tellement elle est proche de la vraie vie.
Pas non plus le tome le plus réussi.
Dommage que les dessins n'aient jamais décollés.
6/10.
Le meilleur de la série.
Le monde médical est traité avec justesse et croyez-moi la réalité peut-être pire que la satyre.
Au deuxième degré aon appréciera les détails comme cet étudiant en train de lire le Harrisson.
Du tout bon.
8/10
Cette fois-ci Binet s'attaque aux voyages organisés mais avec moins de verve que d'habitude.
L'exemple pris des pays de l'est est surprenant et ne semble pas coller à la réalité et il s'était déjà attaqué aux vacances dans l'excellent tome 2.
5/10.
Un tome plus mauvais peut-être plus intimiste.
Le scénario est un peu moins réussi qu'à l'accoutumé et donc le résultat est plus médiocre.
les dessins n'arrangent rien;
4/10.
Tout simplement excellent.
Une vision bien cruelle et pourtant si juste de la vie en HLM.
Parfait.
9/10
Satyre des vacances type congés payés à la plage parfaitement réussie.
Du bon Binet.
Restent les dessins affreux par moment.
6/10.
Un tome plutôt en forme d'hommage à Binet.
Une succession de dessins tous plus horrible les uns que les autres et sans le solide scénario habituel.
A lire au 2ème voire 3éme degré.
un grand bof!!
4/10.
Les bidochon sont avant tout une satyre de notre société, les dessins sont peu importants souvent baclés et dans ce tome l'auteur abuse de la suggestion et donc de l'absence de dessins.
Il n'empêche le mariage revu et corrigé par Binet ça vaut le détour.
5/10.
Excellent.
Les dessins de Binet sont exécrables mais quelle vision au vitriol du milieu de l'immobilier.
Que de souvenir de gosses à la lecture de cet ouvrage du temps où la famille cherchait à faire construire.
Remarquable.
7/10.
Mon Bidochon préféré (pour l'instant en tous cas...). Une histoire dédiée à Kafka et Courteline : tout un programme...
Les Bidochon aux prises avec l'administration française : c'est corrosif et surréaliste. J'ai trouvé la fin vraiment excellente.
Binet au sommet de son grand art, ce qui n'est pas peu dire !!
Humour grinçant, dessins minimalistes où les décors sont remplacés par des flèches avec des légendes, Binet frappe très fort sur les français moyens et leurs travers, depuis l'agence matrimoniale, le mariage, la nuit de noce jusqu'au premier enfant qui se réduit la à un chien !
On sourit malgré tout en essayant de ne pas trop s'y reconnaitre.
Très bon tome, ou les Bidochon sont confrontés aux problèmes de l'administration, de la justice, des files dans les supermarchés. Une histoire complète très bien ficelée.
L'ensemble est bien vu mais c'est tout de même pas le meilleur Bidochon ! La faute à l'époque sûrement et peut-être à quelques gags un chouille trop caricatural. Ca reste très lisible tout de même, hein...
Il ne fait pas bon partir en vacances avec les Bidochons, et au cas où on ne le savait pas, voila de quoi vous avertir!
Ce qui devait être 1 bon moment: vacances en club; devient vite 1 calvaire, et ce n'est pas seulement à cause des Bidochons (qui ne sont pas trés sociables), qui se sont franchement fait avoir en choisissant ce voyage!
Réglement du lieu de vacance a réciter comme 1 psaume, voyageurs qui ne s'entendent pas entre eux , ...Mr Bidochon qui traumatise 1 enfant.. 1 trés bon épisode qu'il ne faut pas louper.
les bidochon , un petit couple de français moyens, qui nous montre les travers de la vie et de celle des autres, nos bons voisins !
D'ailleurs les gens ont + tendance à regarder dans l'assiette de l'autre que dans leur propre assiette, et j'ai découvert les Bidochon il y a maintenant quinze ans, je ne m'ennuie jamais de les relire et j'ai passé de bons moments. On peut se reconnaitre ou reconnaitre ses voisins dans les personnages de la Bd.
Habitant depuis peu un immeuble, j'ai adoré la bd "en habitation à loyer modéré" puisque j'y reconnu la plupart des habitants de l'immeuble, ainsi que les dérangements du voisinnage, les bruits intempestifs, les travaux, et les conflits entre voisins... les gérants et leurs règlements...
Nous comptons d'ailleurs déménager pour une petite maison plus calme , ....et Sans voisin à proximité :)
Les Bidochons ceux sont les voisins,nous?Ou tout ce que nous espérons que nous ne sommes pas et ne serons pas.Une critique de l'être humain dit moyen,et même si c'est pas beau de montrer du doigt les petits travers des autres,qu'est ce que cela fait du bien d'en rire.