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Des histoires comme la série l'Agence en produit, j'en ai déjà lu des dizaines à la pelle. Il n'y a rien de vraiment singulier dans les aventures de cette bande d'enquêteurs. On nous présente le trafic d’œuvres d'art comme une originalité en bd. Ce n'est pas vraiment tout à fait le cas.
Le dessin est à l'image des personnages c'est à dire froid et impersonnel. On ne s'attache véritablement à personne. Il y a d'ailleurs toute la panoplie presque habituelle : la top modèle reconvertie, l'ancien agent secret, le prodige des technologies modernes...
C'est de la bd d'action où cela tire dans tous les sens et qu'on traverse sans éprouver le moindre plaisir. Oui, cela se laisse lire mais c'est tout. Je déplore un sérieux manque de créativité ! C'est vraiment l'agence sans risque.
A la recherche du trésor d’Atahualpa. Cette fois, Bartoll nous plonge entre le Pérou du 16ième siècle et le site Machu Pichu de nos jour. Le passage d’une époque à l’autre apporte un rythme intéressant au scénario. Le rencontre avec la jolie archéologue Zoé Bernstein, élève de Rafaello, est une avancée positive dans l’intrigue. Les dessins offrent un intérêt surtout dans la réalisation de la forêt péruvienne, du site de Machu Pichu ou des costumes des conquistadores dans le chapitre historique.
Le scénario oscille entre trafic d’art et secte satanique. L’agence enquête chez les adorateurs du dieu Pazuzu suite au vol d’une statuette au musée de Bagdad. L’intérêt du scénario relève aussi de la complexité du personnage de Katia. Les dessins de Legrain sont très bon surtout en ce qui concerne l’ambiance de Bagdad.
Le scénario prend en haleine dès le début. Bon, encore des détectives, oui, mais cette fois, ils sont spécialisés dans l’Art. Le scénario de Bartoll traite d’un thème, un peu oublié, le vol des œuvres d’art par les Nazis pendant la guerre. Le dessin de Legrain est irréprochable. On y croit.
Une série sans beaucoup d’âme. On a du mal à s'attacher à ces personnages un peu superficiels. Pas vraiment indispensable.
Une série du genre «Imago Mundi» : un dessin réaliste, mais sans âme, des héros peu attachants, beaucoup trop d'action !
Au moins trois équipes vont s'arracher le tombeau de Paul, plus les diverses polices concernées... Ça fait brouillon, une chatte n'y retrouverait pas ses petits. Au final beaucoup de raccourcis, résolus à coup de pistolet mitrailleur.
Le scénariste a introduit beaucoup de pistes « pontifiantes » qui ne sont pas adéquatement développées et beaucoup de personnages « lourds de conséquences » qui ne sont pas approfondis.
Un gros buffet qui promettait d'en mettre plein la vue et qui ne rassasie pas.
Un des meilleurs tomes de la série. les nombreux flash-back nous ramènent au temps des incas et les illustrations des sites amérindiens sont superbes.
Dommage que la BD se lise aussi rapidement.
7/10.
Même remarque que pour le tome précédent : un scénario au dénouement un peu rapide et finalement peu d'action. Dommage l'idée de départ était intéressante.
A suivre tout de même.
5/10.
Un peu déçu par ce premier tome. Assurément les auteurs auraient du nous offrir un scénario à 2 tomes au lieu de cela on a une enquête très vite aboutie, presque un peu baclée.
On attendra mieux du tome 2.
5/10.
Avec le Dossier Léda, Agnès et Jean-Claude Bartoll invitent le lecteur à suivre les aventures de « L'Agence », une organisation engagée contre le trafic d'œuvres d'art. Le postulat de base est plutôt original car ce thème n'avait pour le moment guère été abordé.
Ainsi, nous suivons l'évolution d'une équipe énigmatique composée de quatre agents, style "Mission Impossible", dont les moyens semblent presque illimités (matériels high-tech, jet privé et QG à l'avenant). Au fil de leurs pérégrinations, les protagonistes nous emmènent dans diverses villes du monde telles Paris, Londres, Venise ou Hong-Kong afin de mieux nous faire sentir le coté international des malversations. Les scénaristes nous livrent un récit captivant agrémenté de rappels historiques qui renforcent la cohérence de l’enquête.
Après « Mortelle Riviera », Jean-Claude Bartoll fait de nouveau appel à Thomas Legrain pour signer les dessins de sa nouvelle série. Pour l'une de ses premières réalisations, ce jeune auteur s'en tire plutôt pas mal avec un trait classique et réaliste. Les planches sont bien découpées et la mise en couleur assez réussie. Les décors et autres sites d'action sont bien rendus et favorisent l'entrée du lecteur dans l'histoire. Le seul petit reproche portera sur l'expressivité des personnages qui pourra être améliorée par Thomas Legrain au fur et à mesure de ses prochaines productions.
Au final, une première aventure divertissante bouclée en un seul tome.
Ce dernier album est bien, on a droit à pas mal de fusillade entre des mafieux et des trafiquants.
Cette fois les deux ex-agents se sont retrouvés.
Pas mal du tout, cette série mériterait un peu mieux .
Se second m'a plu dans le sens ou il semblerait que Saint Alban connaisse la tueuse Katya du temps ou elle était encore au KGB et lui aurait été un prisonnier, cella vas mettre du piment à la série nottement dans le quatrième je pense.
A suivre.
Ce premier album que j'ai relu est sympas.
On découvre une agence secréte qui a pour mission d'empécher la disparition et le pillage des oeuvres d'arts dans le monde.
Le dessin est plutot bien réussi.
J'ai trouvé se troisième opus à la hauteur des deux premiers.
Içi, les trois jeunes ne font pas partie de l'aventure, puisqu'en fait il n'y a que Raffaello qui est avec une de ses étudiante et dont les choses ne tournent pas comme prévues.
Cette série porte sur un nouveau genre de sujet qui est le vol des oeuvres d'arts, et je trouve cela plutot interressant.
La base du scénario -véridique, puisqu'il s'agit du pillage du musée archéologique de Bagdad sous les yeux plus ou moins bienveillants des GIs américains- est encore une fois excellent.
Bon et après ? lLes dessins restent aussi laborieux que le scénario : à savoir qu'ils sont assez maladroits et figés.
On y retrouve les mêmes gentils et les mêmes méchants que dans le premier album. Pour un peu on se croirait chez Lefranc contre Axel Borg, sauf que ce dernier duo s'adressait au départ aux enfants et jouait avec les codes.
Cette dernière série se prend au sérieux et compte tenu des multiples faiblesses du scénario, je ne trouve pas ça sérieux.
On dira que c'est simplement moyen pour la simple raison que le thème originel est original; mais c'est bien tout.
Bien sûr l'idée de départ est excellente : une agence destinée à sauver le destin des plus belles oeuvres d'art de la planète. Vous argumenterez qu'une telle agence internationale existe déjà et qu'elle s'appelle l'Unesco.
Oui mais celle-là, elle est secrète et même qu'elle détourne les satellites espions américains pour mieux surveiller les méchants contrabandiers de l'art.
Ça vous paraît exagéré ? Si peu !
C'est là où le bât blesse car le point de départ de cette histoire (le vol d'oeuvres d'art, elles mêmes dérobées par les nazis) est excellent (et véridique même si ce n'est pas sous la forme décrite).
Mais on l'aura compris le traitement est moins bon. Tout comme les dessins d'ailleurs.
Bref, une bonne idée pas très bien finalisée. On demande à voir pour la suite.