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Je dirais que ces révélations sonnent un petit peu creux au final. Ce qui m'a le plus heurté, c'est le dessin des différents personnages. On dirait qu'ils sortent d'un jeu vidéo genre "Super Mario" alors que le sujet traité ainsi que le ton de l'histoire est plutôt grave ce qui crée un parfait décalage.
Nous sommes en effet plongés en plein polar dans la cité du Vatican autour d'un meurtre d'un cardinal. L'histoire empruntant aux poncifs du genre n'a rien d'original mais cela reste très efficace. On a l'impression qu'il s'agit plutôt ici d'un subtil jeu de chat et de souris dans les arcanes du pouvoir du Vatican à la veille de la mort du Pape.
Pourtant, je dois dire que le découpage des scènes ainsi que la progression du scénario est plutôt efficace. Par ailleurs, nous avons un héros qui a perdu la foi et qui tient tête merveilleusement malgré des événements qui se précipitent en cascade au second tome. Malgré les défauts substantiels de ce récit, j'ai quand même très bien apprécié car cet objet est unique en son genre grâce à de savoureux dialogues et d'une certaine ambiance.
Bon , c'est vrai que je commence par lire le tome 3 en premier mais si l'intrigue avance avec des doutes , des questions , des aller - retours , la fin elle merite mieux , je m'attendais a une explosion , une fin titanesque , la BOF , decu malgre tout a lire .
Bon contrairement à ce qui ce dit ici partout cette série est composée de 3 tomes et non deux (le troisième vient de sortir - mois d'octobre 2008), ce qui change tout ! Moi aussi j'étais resté sur ma faim à la lecture du tome 2 (pensant que la série était terminée).
Le tome 3 continue sur la lancée des précédents (super dessin, ésotérisme et héros attachant), la fin, certes rapide et classique, est correcte pour une série en trois tomes (seulement? il est vrai que deux tomes suffisaient sans doute pour raconter cette histoire sombre). L'atout majeur de cette BD reste surtout le travail original et talentueux du dessinateur Humberto Ramos et de ses coloristes.
L’inspecteur Charlie Northern est enquêteur privé pour Scotland Yard et cultive un goût sur pour la répartie cinglante. Passionné de théories du complot, cet ancien enfant de chœur a perdu la foi après qu’un violeur en série a massacré ses parents. Aussi est-il troublé quand son vieil ami Marcel Leclair, cardinal au Vatican, vient le trouver pour lui demander d’enquêter sur la mort suspecte de William Richleau, leur mentor du temps où le catholicisme trouvait encore grâce à ses yeux.
Appelé à devenir Pape, Richleau se serait suicidé en sautant sur les grilles en bas de sa chambre… chose difficile à avaler s’agissant d’un homme d’église qui plus est handicapé. Plus troublant, un homme aurait essayé de le poignarder en psalmodiant du latin après qu’il ait pourtant passé l’arme à gauche. Le cardinal Toscianni a l’air de jouer un jeu trouble et des rumeurs sataniques circulent au sein du Vatican. Northland va avoir du pain sur la planche pour démêler cette histoire et devra replonger dans des souvenirs qu’il aurait préféré oublier.
On avait découvert le dessinateur mexicain Humberto Ramos sur "DV8", l’alter-égo trash de "Gen13" il y a quelques années. Son style était encore loin de faire l’unanimité et nombre de lecteurs critiquaient son goût pour les yeux et les pieds hypertrophiés peu réalistes. Cependant, avec "Crimson" et "Out There" (ses créations), il a fini par trouver son style et à s’imposer comme un artiste à la carrière prometteuse avec lequel il faut compter.
Avec "Révélations", il fait la preuve de son talent, notamment pour les ambiances, bien secondé par l’excellent travail de son coloriste Leonardo Olea (qui a collaboré à "Ashes" et "Kookaboora K", également publiés chez Soleil). Chaque personnage a un caractère propre et affirmé, dans une vraie tradition des comics et à contre-pied de l’hyper réalisme de beaucoup de productions actuelles : un parti pris rafraîchissant. Et même si jusqu’ici le travail de Ramos n’a pas toujours été exempt de tout défaut, difficile de reprocher à "Révélations" quoi que ce soit graphiquement : le dessin est léché, les couleurs de Leonardo Olea étant parfaitement adaptées, donnant ainsi au scénario de Jenkins l’écrin dont il avait besoin pour briller.
Paul Jenkis (scénariste britannique ayant travaillé sur "Hulk" et "Wolverine" pour Marvel, "The Darkness" pour Top Cow et "Hellblazer" pour DC Vertigo) livre avec "Révélations" un polar paranoïaque où flotte un parfum d’ésotérisme trouble. Maitrisant le genre, il en utilise les poncifs avec intelligence pour faire plonger le lecteur dans l’ambiance déstabilisante des coulisses du Vatican.
Il fait de Charlie Northern un antihéros certes classique mais vraiment attachant : inspecteur solitaire accro à la clope et aux théories du complot, il s’avère être peu soucieux du qu’en dira-t-on, aussi rusé que manipulable et habité par des démons qu’il tente de chasser depuis des années. Il guide le lecteur dans les méandres de cette intrigue où les faux-semblants sont aussi nombreux que les meurtres. Le rythme est impeccable et implacable, les phases d’action judicieusement entremêlées aux périodes d’intrigue.
On cherche en même temps que Charlie ce qui se cache derrière cette histoire, les raisons de l’empressement du Vatican à l’étouffer. Jenkins triture les méninges de son héros au point que cela en devient une obsession. Il bute, trébuche, hésite, s’arrache les cheveux en allant de fausse piste en fausse piste. Dans sa fuite en avant, il entrainera malgré lui Lucille Pellicia une jeune Romaine en charge de la comptabilité du Vatican et son vieux pote Todger le légiste. Doit-il écouter les mises en garde de Toscianni ou suivre les conseils du mystérieux personnage qui l’encourage à persévérer dans sa quête de la vérité ? A trop vouloir connaitre le fin mot de l’histoire, Charlie ne risque-t-il pas gros ?
S’il n’y avait eu cette fin frustrante (je n’en dirai pas plus), on aurait eu entre les mains un sans faute : l’histoire, le ton, le dessin, les couleurs, les personnages, tout était présent pour que "Révélations" devienne un incontournable. On peut également regretter que l’histoire ne se prolonge pas et qu’elle laisse le lecteur un peu circonspect après la révélation finale. Pour autant, cela ne doit pas occulter le fait que le tandem Jenkins-Ramos (avec Olea aux couleurs) nous a livré une excellente bande-dessinée doublée d’un très bon polar.
N'étant pas une fan de comic books, il est certain que je suis assez néophyte en
ce qui concerne la différence entre le dessin des bd régulières et celui des comic.
Donc ici, je fus épatée par la pertinence des traits, les coloris bien agencés, la
réalité du dessin.
Quant à l'histoire, j'ai eu l'impression de m'être sauvée un roman ésotérique de
quelques 4 ou 500 pages tel Da vinci code, Le troisième secret ou tout autre titre
de ce genre en lisant les deux albums en une seule petite heure.
J'ai plongé dans l'intrigue qui ne réinvente pas la roue mais au fur et à mesure
qu'elle avançait, je ressentais un certain bien-être à trouver cela bon malgré
tous les clichés inhérents à ce genre d'histoire. Twist ending tout à fait horrible,
fin qui n'est rien comme celle que devrait être les contes de fées...
J'ai aimé qu'on ne fasse pas dans le mielleux. C'est tout à l'avantage du
scénariste.
C'est une bd que j'aurai plaisir à relire de temps à l'autre, à l'image du Troisième
testament et autre bd ésotérique,
Bravo!
Le dessin est toujours aussi personnel mais le scénar' a quelque peu tendance à partir en sucette. La convocation de l'irrationnel et le deus ex machina grandgignolesque de la fin ont de quoi déconcerter tant ils arrivent sans qu'on y soit préparé. Sans parler des meurtres "commis dans le passé pour préparer l'avenir" qui sont encore plus difficile à avaler. Le dénouement aurait bien pu prendre un tome en plus pour qu'on arrive tant bien que mal à y croire. Dommage. Le tome 1 partait bien. Très bien. Tant pis. On suivra toujours Ramos avec beaucoup d'attention.
Deuxième tome qui clot ce dyptique assez original et qui nous entraîne lors des dernières planches vers une voie tout simplement inattendue. L'effet de surprise du premier tome n'est plus là mais on se délecte toujours de ces merveilleuses planches et de cet humour noir qui se marient parfaitement avec l'intrigue.
Une des Bds de l'année à mon avis, en attendant une hypothétique suite,... qui sait.
Mouais... On m'en avait parlé comme une super BD, et c'est loin d'être le cas!
Tout d'abord, les dessins "marvel" ne sont pas plus soignés que dans les comics, et c'est parfois très touffu et difficile à lire (plusieurs fois, je me suis demandé ce qu'il avait voulu dessiné!!! Les dernières pages sont particulièrement confuses et bâclées)
Et puis, tout au long de l'album, on attend Spiderman qui n'arrive pas...
La mise en scène est vraiment basique!
Quant au scénario, pas mal mais c'est du déjà vu. Je suis pour le recyclage, mais bon...
Ensuite, il y a des répliques un peu maladroites, un peu naïves. Les personnages ne sont ni creusés ni attachants. On est dans des clichés.
Tout ça manque de piment, de profondeur... C'est de la BD pour ado (et dire ça, ce n'est pas très gentil pour les ado!).
Certes, "Soleil" nous propose autre chose, et ça c'est plutôt bien, mais j'ai peiné à lire cette BD, étant dérangé autant par le dessin (mais je précise que je ne suis pas très comics) que par la maladresse des dialogues et le manque de crédibilité des personnages.
Voilà une bd qui m'a causé pas mal de soucis. A maintes reprises, je l'ai eue en mains, je l'ai feuilletée puis je l'ai reposée dans sa pile en me disant que j'avais d'autres achats plus urgents. Et puis à force de tourner au tour du pot, je me suis enfin décidé. Et là, j'ai pu constater que j'étais vraiment idiot de ne pas avoir acheter cet album plutôt car celui-ci est vraiment bien écrit.
Paul Jenkins nous propose un scénario tout à fait réussi. Un meurtre au Vatican, un détective de Scotland Yard qui mène l'enquête et nous voilà plongé dans un récit plein de suspense et de rebondissements. Et de ce côté là, on n'a pas à se plaindre, dès les premières pages, on est absorbé par l'histoire, il faut dire que le rythme narratif ne vous laisse aucun répit. De ce fait, on ne s'ennuie pas un seul instant et c'est avec beaucoup de frustration que l'on referme ce premier tome.
Le tome 2 n'est pas encore sorti ? Ah bon, dommage (rires).
De plus, certaines répliques sont vraiment succulentes. Morceau choisi : Concernant les rapports de police : "Mes demandes répétées ont autant servi qu'un pénis à un mariage de lesbiennes". Arfff !!!! Il y en a d'autres mais je ne voudrais surtout pas gâcher votre plaisir.
Le dessin de Humberto Ramos est assez singulier. De ce fait, il faut un certain temps pour s'habituer à son coup de crayon.
Dans son trait, on retrouve un subtil mélange de manga, comics et de bd européenne qui donne un résultat plutôt convaincant. Personnellement, j'ai trouvé que son travail donnait beaucoup de punch au scénario de Jenkins.
Vous aurez compris qu'à mes yeux, Révélations n'est pas à négliger. Cet album est une réussite indéniable.
A conseiller, à suivre, à lire, à posséder !
pas mal, j'ai un petit peu de mal avec le dessin ou la couleur ou les perspective, je ne sais pas mais il y a un truc, (peut etre les couleurs ) a lire assez agréable, a voir tome 2
Excellente surprise me conçernant à propos de cet album.
Au premier coup d'oeil, un format peu standard. Chez Soleil c'est souvent signe de qualité. Première page : le coup de foudre, dessins superbes, trait dynamique. Ca y est je l'épouse. Bref, voilà un album qui m'a réconcilié avec le comics. L'histoire est prenante, le héros crâneur à souhait, les dessins exceptionnellement beaux, idem pour le coloriage.
Derrière la thématique policière de l'histoire on fait un tour d'horizon de best sellers du genre et on note les clins d'oeil subtilement dissimulés dans les cases. Ainsi, le Da Vinci code est clairement apperçu dans la bibliothèque du héros et c'est vrai que le complot au sein du vatican, basé sur une énigme historique se dessine petit à petit.
La dernière planche est géniale, elle nous laisse sur notre faim comme le font les séries telles 24h chrono ou Alias dont je suis particulièrement fan.
Bref du tout bon, à conseiller, d'autant plus que le tirage m'a semblé peu conséquent, ce qui peut s'avérer intéressant pour les éventuels collectionneurs.
Un excellent premier tome! Du tout bon comic en grand format. Une intrigue prenante et un dessin atypique (ce qui fait du bien dans un catalogue Soleil dont le dessin est généralement assez uniforme). Les personnages sont très réussis et les décors sont très bons aussi, pour autant que l'on aime l'ambiance pluvieuse bien sûr ;o)
Pour ne rien gâcher, le deuxième tome marquera la conclusion de cette enquête au sein du Vatican. Ca nous change des séries à rallonge, pas toujours efficaces sur la durée (mis à part quelques exceptions bien sûr).
Je vous recommande donc vivement la lecture de cette BD!
j'ai adoré, une preuve de plus que le comics c'est pas que des supers heros en collant, bon le scenario tres bon avec un heros desabusé ( ptit probleme tout de même chez Ramos tout le monde à l'air d'ado alors que le type est censé avoir 45 ans ) une voix off toujours là pour distiller des ptits pics, une ambiance pluvieuse qui allourdit l'atmosphere, un cardinal bien pensé en gros rien à jeter dans l'histoire et bien sur tout sa est sublimé par les dessins de Maitre Ramos.