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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Eric DEMAISON Le 28/05/2021 à 21:02:33

    Dommage la série était bien partie, mais cela se délite au fur et à mesure. A la fin il ne reste que le sexe et c'est bien dommage. La première histoire est charmante et décalée, sur la deuxième on espère que cela va rejoindre le ton initial et la troisième est longue au possible même si par-ci par-là il y a quelques bonnes choses. D'ailleurs ce n'est pas le dessin ni la mise en page qui font défaut mais plutôt le scénario qui s'appauvrit au fil des pages.

    Erik67 Le 04/12/2020 à 10:52:57

    Je n'aime pas le déjanté en général mais je n'ai pas véritablement senti une inspiration baroque loufoque. C'est la moins bonne des oeuvres de Sfar que je lis et pourtant, je suis toujours en admiration devant une telle qualité narrative. J'aime ce ton humoristique ainsi que cette formidable inventivité !

    C'est une série amusante et originale. Une pure fantaisie qu'on prend plaisir à lire ! On retrouve cette subtilité et cette intelligence du propos qui font mouche. Ces personnages ont toujours du style, à commencer par ce gascon mousquetaire qu'on apprécie. Je vais arrêter de multiplier les louanges et vous conseiller tout simplement une bonne lecture entre amour, humour et philosophie.

    minot Le 04/04/2018 à 12:14:48

    Avec son dessin inégal et biscornu, et ses cases aux contours ramollis, Sfar aborde dans LE MINUSCULE MOUSQUETAIRE ses sujets de prédilection: l'amour, le cul, les plaisirs de la vie, la philosophie ou encore des mythes en tout genre (issus autant de la Grèce antique que du Moyen-Age ou de la Renaissance). Tout ça est très débridé, autant dans le dessin (ça va des cases très fouillées et détaillées à d'autres à peine esquissées) que dans la manière de traiter différents sujets (ça va de la blague scato foireuse à des réflexions philosophiques pleines de bon sens, en passant par les rapports homme / femme chers à l'auteur).
    Tout ça pourrait paraître décousu mais paradoxalement la lecture est facile. Une série qui devrait plaire aux amateurs d'histoires fantastiques et humoristiques, et qui ne seraient pas rebutés par l'aspect bordélique des dessins et de la narration. Perso, j'ai bien aimé.

    Hugui Le 20/01/2013 à 13:06:06

    Lu les trois premiers tomes du "minuscule" grâce à la bibliothèque.
    Ces trois opus ressemblent à l’œuvre de l'auteur, pléthorique, foutraque, partant dans tous les sens, inégale (calembour foireux et réflexions philosophiques), aussi vite lu qu'ils ont du être vite écrit, main on passe un agréable moment.
    En fait de monde minuscule, ce n'est qu'un prétexte pour explorer des mondes parallèles où l'auteur peut se laisser à loisir délirer et mettre son héros dans des situations improbables où la seule constance est la recherche de l'amour sous toutes ses formes (sauf l'homosexuelle malgré la tentation sur une île déserte).
    A lire si vous en avez l'occasion.

    philippe_grenier Le 24/08/2006 à 16:09:07

    Encore un fois, un nouvel album des plus ennuyants, et surtout, bâclé à un niveau que je croyais impossible à atteindre en vue d'une publication! À éviter!

    pm Le 03/10/2004 à 16:59:32

    Trois ans après un premier tome, délai inhabituel pour cet auteur prolifique, parait « La philosophie dans la baignoire » dont la forme et le fond ont considérablement évolué. Du gaufrier à peu près systématique du premier album on passe à une mise en page beaucoup plus éclatée et du trois bandes par page à une quasi généralisation du quatre bandes qui donne une certaine densité au récit. L’encrage plutôt sobre et gras du premier fait également place à des traits beaucoup plus fins, à une surabondance de hachures et à des cases relativement chargées (toujours ce sentiment de densité). Ce qui frappe également dans ce tome c’est le manque apparent d’unité de style graphique tout au long de l’album. On passe allègrement de cases très finement détaillées à d’autres où le pinceau trace juste un vague décor, de hachures nerveuses et rapides à des drapés esquissés en quelques coups de pinceaux bien larges, d’un lettrage scripte à un autre en cursives dans la même planche voir dans la même case.
    Et cette « irrégularité » de forme se couple avec un récit qui semble également partir dans tous les sens, partant de pseudos récits mythologiques vers une faune sous marine et féminine, passant de l’antiquité grecque au 18ème siècle libertin, de la philosophie aux récits épiques, le tout emmené dans un joyeux bordel…dans lequel on ne se perd pourtant jamais.
    Ce récit fonctionne bien sûr comme une pure fantaisie où de nombreux thèmes sfariens sont abordés, en particulier ses rapports aux femmes et à la philosophie (pas de religion dans le minuscule mousquetaire). Mais l’imagination débridée de l’auteur est toujours tendue vers une direction précise et malgré toutes ses digressions Sfar nous conduit bien à bon port, vers un débordement de vie au sens littéral du terme, où ça déborde tellement qu’on ne peut le garder pour soi. La fantaisie vitale débridée est ainsi le propos même de ce livre et ce serait un malentendu de le prendre autrement. On sent ici le vrai respect du jouisseur de la vie ( le sexe, le vin, les histoires, l’humour, le plaisir) jamais la profonde déprime du libertin aquoiboniste .
    On notera également les nombreux hommages à l’amitié et à l’amour, à ses proches, généralement en forme de clin d’œil, avec des personnages qui prennent les traits de Christophe Blain, de Riad Sattouf, peut-être même de Marjane Satrapi et sans doute de sa compagne Sandrine Jardel, ainsi qu’une ironie sur lui-même en se croquant en mari cocufié qui cherche une solution à son problème. Et bien sûr un hommage appuyé à ses maîtres Pierre Dubois/Petrus Barbygère/Le Borgne Gauchet/Le minucule Mousquetaire et plus particulièrement dans cet album au grand Fred et à sa formidable inventivité (cf en bas à droite de la page 35).
    Bref un grand cru qui sous ses faux airs de bordel pornographique creuse le sillon de cet auteur qui continue à nous raconter et à nous livrer ce qu’il croit et ce qui l’intéresse.
    Un livre qui ne sacrifie pas à l’esbroufe et dont la ligne directrice pleinement assumée est un savoureux hymne à la vie.