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2.5 étoiles pour cet opus...
C'est le début d'un nouveau cycle, marqué par une grande agitation politique au niveau de l'empire.
A voir...
De toute façon, la série a perdu de sa superbe depuis longtemps, donc je prends les albums comme ils viennent sans en attendre grand chose...
Nouvelle aventure de Takeo, en compagnie de Sayuri, qui se fait piéger dans un petit village par un mystérieux tueur.
Point de départ convenu, langage moderne et vulgaire à souhait, facilités d'écriture à foison, mort du méchant très décevante, manque de beaux combats au katana, cet opus est assez désastreux sur pas mal d'aspects.
Seuls les dessins, couleurs et les cadrages dynamiques sauvent un peu l'ensemble de cet album parfaitement oubliable et dispensable.
Il serait temps d'arrêter les frais et de conclure dignement cette saga.
Un album inintéressant : scénario sans intérêt, incohérent sur de nombreux points...
Bref, à oublier !
Suite et fin de l'histoire initiée dans le volet précédent avec cette histoire de tueur masqué au kunais empoisonnés.
Le présent album est encore très classique et terre-à-terre avec en point d'orgue un bon gros duel entre Takeo et un adversaire pugnace à sa hauteur.
Du classicisme certes, mais qui au moins se termine sur les retrouvailles entre Sayuri et Takeo: une conclusion parfaite me concernant pour une série qui tire un peu trop sur la corde depuis un moment (nombre conséquent de volumes, séries dérivées à l'intérêt discutable).
Quelques mots sur le dessin: Mormile a su relever le niveau depuis le tome 10 et maintenir un très bon niveau de qualité visuelle.
Le soufflé retombe avec ce tome 15...
Le scénario de cet épisode semble trop classique pour moi, pas grand chose à en retirer.
Je viens tout juste de l'acheter!
Pouvoir lire 5 tomes tout d'un coup, c'est génial!
Et ça permet de mieux suivre l'evolution de Takeo, dans la lutte contre ses nombreux ennemis !
J'ai beaucoup aimé aussi le cahier graphique à la fin !
Je partage l'analyse de kingtoof point par point !
On retrouve le personnage de Takeo avec une valeur ajoutée.
C'est le genre d'histoire pas très original mais raconté avec suffisamment de talent pour passer un agréable moment de lecture entre deux tranchages de cou et des têtes qui volent. Oui, c'est plutôt le genre primaire. On tape d'abord et on réfléchit ensuite.
Le dessin n'est pas mauvais mais on est loin du talent de Hub pour une série comme Okko par exemple. La comparaison avec cette dernière série se fera de toute façon car les thèmes et le décors sont proches. Mais bon, il n'y a pas photo entre les deux séries.
En conclusion, une série sympa et plaisante mais qui souffre d'un déficit en terme d'originalité et de concurrence sur le marché dans ce segment précis.
Un album saignant !
Bon tome avec de nombreux combats dans un village reculé qui recèle bien des mystères.
Takeo se retrouve au milieu d'un règlement de compte entre deux communautés, comme toujours il mettra son sabre au service des plus faibles. Takeo symbolise la lutte contre l'oppression dans cette société japonaise inégalitaire.
L'album finit sur un cliffhanger qui donne envie de connaître la suite.
Album qui joue la carte de l'action à 100%. Du coup, les choses s'enchainent (enfin, surtout les combats) et l'album passe vite...
Les dessins sont bien maitrisés, même si parfois l'angle de vue d'une case à l'autre m'a perturbé, je ne saurais vraiment dire pourquoi.
Bref, un album qui plaira aux amateurs d'actions et de Japon médiéval, mais qui ne fait pas vraiment dans la subtilité ou l'originalité.
Album qui pour ma part, ne mérite même pas 2 étoiles.
C'est trop brouillon, le scénario est très léger... "les méchants" se tirent la bourre entre eux de façon grotesque : Masseyo se laissant surprendre bien trop facilement...
De plus, le combat entre Takeo et le démon est ridicule et navrant...
Et l'histoire se lit très rapidement...
Bref, très déçu par cet album.
Après avoir réussi à capturer Takeo lors d’une embuscade et réussi à voler le dernier Ionuchi, Masseyo pense avoir fait le plus dur. Mais dans son propre camp, elle aura affaire à une trahison à laquelle elle ne s’attendait pas. Dans cet album, Takeo va apprendre que son amour est toujours vivante et nous entrouvre le prochain tome dans le lequel il partira à sa recherche.
Cristina Mormile continue dans l’excellence avec cette nouvelle histoire. Je suis vraiment conquis par son dessin et peut attendre sereinement la suite des histoires de Takeo.
Tout n’est pourtant pas parfait dans cet album, car nous avons l’impression que Jean-François Di Giorgio voulait mettre un terme à ces histoires de Ionuchi au plus vite pour passer à autre chose. De plus, le message apprenant à Takeao que son amour est toujours vivante arrive un peu comme un cheveu dans la soupe.
Donc, ce tome 13 termine le précédent à la va vite mais laisse entrevoir une suite intéressante.
Le troisième cycle (tomes 7 et 8, nous pouvons y rajouter le tome 9) symbolise les retrouvailles entre Takéo et son frère Akio.
Le diptyque révèle le mystère sur l'histoire de ces deux frères bannis et sur leur mystérieuse marque.
J'apprécie le personnage d'Akio, qui est une force de la nature et qui passe pour un géant dans cette société japonaise médiévale.
Magnifique deuxième cycle.
Un véritable hommage aux westerns : un voyageur mystérieux prend fait et cause pour un village en proie à un clan de bandits.
Avec comme arrière plan le duel inévitable entre Takeo et Shobei.
Très bon premier cycle (je suis en train de relire l'ensemble de la série).
Des belles scènes d'action.
Le personnage principal, samurai rônin avec un lourd mystère autour de sa naissance, est un splendide héros. Il a une technique de combat implacable, mais ne réussit pas tout ce qu'il entreprend et ne gagne pas tous ses duels.
Bon album, voire très bon album.
De l'action tout au long de ce 12ème tome, sans temps mort.
Cela donne envie de lire le prochain, qui plus est, bouclera le cycle.
Quel progrès dans le graphisme de la part de Cristina Mormile ! Ça y est, elle tient les personnages. J’en arrive même à me demander si elle n’a pas dépassé le dessinateur d’origine Frédéric Genêt.
L’histoire se déroule à cent à l’heure avec la recherche des morceaux du ionuchi. On peut juste regretter la présence presque secondaire de Takeo.
Album à lire absolument.
Autant le dessin de l’album précédent laissait à désirer, autant celui du tome 11 est très bon. C’est le jour et la nuit ! L’histoire, elle aussi, est bonne et surtout captivante. J’ai beaucoup apprécié le découpage et la colorisation qui redonnent vitalité, joliesse et élégance à ce volume.
Le dessin de Cristina Mormile laisse à désirer dans cet album. La succession de Frédéric Genêt ne doit pas être facile. Néanmoins, je pense que c’est un mal temporaire car ayant entrouvert l’album suivant, j’ai pu constater un net progrès. Quant au scénario, il est mignonnet. C’est un album de transition et de reconstruction avec un nouveau dessinateur...
Très bonne fin de cycle pour ma part dans ce quatrième tome, beaucoup d'action, j'ai particulièrement apprécié le triptyque au milieu décrivant la bataille entre les forces d'akuma et celles de l'empereur. Les dessins de Genêt sont juste à tomber :) très bonne maîtrise de l'encrage.
Premier cycle qui finit bien, même si on aurait aimé plus de développement concernant le treizième prophète mais bon... Peut-être que cela sera le cas dans le second cycle..
À suivre :)
Très bonne suite du second tome, nos protagonistes poursuivent leur chemin vers le village de Gumma et ultimement, l'Ile sans nom. Mais c'est sans compter leur poursuivante, l'une des filles de l'ombre Furiko.
On en apprend un peu plus sur le treizième prophète et les desseins d'Akuma mais aussi un peu sur l'enfance de Takeo par flash-backs.
Graphiquement, les dessins restent toujours au top et on ressent moins le découpage un peu tordu du premier tome.
J'ai hâte au prochain album qui marque la fin du premier cycle :)
Excellente lecture
Excellent second tome qui reprend exactement là où l'histoire s'est arrêtée au premier tome. Takeo sauve natsumi in extremis des griffes d'Akuma et part à la recherche d'un Ronin qui détiendrait la clé du secret d'Akuma.
Des dessins toujours aussi bons et l'atmosphère japonesque représentée dans les superbes planches de Genêt ne font que renforcer ce sentiment d'immersion dans cette histoire qui prend de plus en plus d'envergure .
À suivre !!!
Seconde bd que je lis sur le thème héroïc Fantasy sur fond Japon médiéval, la première étant Isabellae :) ( je sais, je n'ai pas encore lu OKKO malgré que je possède la collection au complet
Grand fan de la série, j'ai été très déçu sur plusieurs points:
-Fred Genêt n'est mentionné que parce qu'il a dessiné la (magnifique) couverture et on se rend compte du décalage graphique d'avec la série, j'ignore si la transition est définitive mais j'ai eu la désagréable sensation d'être floué.
-Concernant la couverture; celle-ci est vraiment attirante: une jeune fille en seiza avec une statuette d'une divinité mystérieuse et un tanto, on sent la vengeance et le shintoïsme à plein nez ... et mieux vaut s'en tenir là car le scénario paraît baclé.
-Ensuite, comme Sam-le-Gris, Takeo fait bien triste mine, lui qu'on a connu plus engagé et enragé, d'autant plus que les postures, gardes et mouvements d'arts martiaux sont approximatifs, voire inexistants dans la pratique de ces dits arts martiaux.
-Enfin, autant le chapitre épilogue du numéro 9 me paraissait être du merchandising pur, histoire de ne pas se passer du tome 10, mais avait pour lui de présenter un nouveau personnage mystérieux et dangereux, autant le tome 10 n'aborde pas (ou très peu) cette trame et ne nous laisse pas apprécier tout le potentiel de Ririko.
En bref, album très bof d'une série sympa où le seul mérite réside dans l'illustration de la couverture, c'est dire si c'est gratuit.
Après avoir relu l'ensemble de la série, ce dixième tome à un léger gout d'épisode de trop.
Fonctionnant plus comme un one shot que comme l'intro d'un nouveau cycle, l'intrigue est trop légère et le ton en décalage avec le reste de la série.
Takeo perd en superbe, en froideur, en talent... et donc en intérêt.
Dommage
Tout simplement énorme...
Venant de terminer le premier cycle que j'ai beaucoup aimé mais avec une petite déception au niveau de la fin, je découvre ce nouveau cycle avec un gros coup de coeur.
Le dessin est toujours aussi bon si ce n'est mieu, les combats sont excellents et les paysages d'une grande beauté. L'histoire est courte mais très efficace, un peu prévisible tout de même mais un très bon moment de lecture avec quelques brins d'humour.
A lire absolument.
Après un premier volet qui annonçait une série de premier ordre, ce second tome m'a paru comme un album plus de transition. Il faut dire que l'intrigue était déjà très en place dans le premier volume. Du coup, dans ce second, elle stagne un peu. Certes, nous en apprenons un peu plus sur le passé de Kinu et sur sa "petite soeur". Certes, les deux camps se renforcent et notamment celui d'Akuma face à un empereur qui prend les armes ; mais fondamentalement, pas grand chose de nouveau. Une bonne trouvaille cependant : celle du tatouage à énigme.
Je regrette aussi que les paysages soient moins présents dans ce tome que dans le précédent. Ici, la place belle est laissée aux scènes de batailles. Heureusement, nous percevons un peu mieux la nature du treizième prophète qui du coup paraît particulièrement noire. Il nous reste cependant beaucoup à découvrir dans les tomes suivants.
Mention spéciale dans ce tome quand même pour les scènes de la cité impériale et le combat de coq qui sont très jolies et confirment les talents encore insuffisamment exploités du dessinateur pour les graphismes représentant l'architecture et les paysages que je souhaiterais plus nombreux.
Je cherchais une série sur le Japon médiéval. N'étant pas très amateur d'héroic phantasy, je ne souhaitais pas tomber sur l'une de ces BD qui fleurissent sur les étals des libraires. Autant le dire tout de suite, le premier tome de cette série correspond tout à fait à mes attentes. Certes, il y a un peu de fantastique, mais les auteurs n'en rajoutent pas trop de ce côté et c'est ce qui me satisfait.
L'histoire monte assez rapidement sur son rythme de croisière et finalement, les principaux éléments de l'intrigue sont déjà bien en place à l'issue de ce premier tome. Il faut d'ailleurs reconnaître au scénariste d'excellentes idées qui calent une très bonne histoire qui donne vraiment très envie de lire les tomes suivants, en espérant que l'on reste dans la même veine et que le tout ne s'essouffle pas au fil des albums.
Je dois dire que ce qui m'a attiré vers cette série, c'est avant tout le talent du dessinateur pour nous mettre sous les yeux des paysages somptueux dans des teintes automnales très réussies. Les scènes de combats, quant à elles sont fluides, on ne peine pas à deviner les mouvements des personnages et la construction de ces dernières est très rythmée. Plus que ces combats, j'en reviens quant même toujours aux paysages et aux bâtiments qui laissent entrevoir un véritable talent en matière de graphisme à mon sens encore insuffisamment exploité dans cet album et je me prends à souhaiter que l'on nous emmène dans ce même Japon, à la saison des cerisiers en fleurs afin que le talent de l'artiste puisse parfaitement s'exprimer. De ce point de vue, je trouve que les couvertures des deux premiers albums sont moyennes, mais que les suivantes ne rendent carrément pas hommage à leur contenu. Je les trouve très ratées ! Là encore, plus que des scènes de combats, j'aurais préféré des paysages pris sur le vif.
Petit clin d'oeil, certaines planches me paraissent très insiprées par le western Spaghetti. Notament les scènes de la plache 10, juste avant le combat où les gros plans sur les yeux et sur les gardes des sabres sont dignes d'un Sergio Leone. A d'autres endroits, je me suis fait la même réflexion. En tout cas, ce premier tome est une véritable réussite et m'entrainera sans diffculté à lire les suivants.
Déçu, oui c'est le mot, déçu par la fin de ce cycle, en effet après 2 tomes super sympa et un troisieme tome de transition, je m'attendai à une fin avec de multiples rebondissements et ............ Que nenni, on bacle notre petite histoire pour éventuellement refaire un cycle ??? car notre héros semble voguer vers d'autres aventures à la fin ???
A voir pour poursuivre.
Je ne participe pas le meme avis que les autres, moi j'ai pas vraiment trop aimé cet album.
J'ai été assez déçut car je m'attendais à mieux niveau dessin et l'histoire ne m'a pas plu tant que cela non plus.
Il faut dire que je ne suis pas très fans des milieux asiatique et surtout leurs façon de faire.
Le second tome ne concède rien au premier et conserve le même style et la même richesse dans le scénario. On en apprend un peu plus sur le passé du héro et ses motivations.
Petite nouveauté, quelques pointes d'humour qui s'arrangent néanoins très bien du ton dramatique propre à ce genre d'histoire...
Il ne reste plus qu'à espérer que la suite ne tarde pas trop...
Un album saisissant dès les premiers instants ! L'histoire est extrèmement bien pensée, très proche d'un scénario ciné. Les dessins et les couleurs sont superbes.
L'erreur à ne pas faire est de n'avoir en sa possession que le premier tome, car à la fin de celui-ci il n'est pas concevable de s'arrêter !
Une très belle BD grâce aux dessin et à la mise en page des bulles qui est très esthétique, avec pas mal de finesse autant dans le scénario que le dessin qui n'est pas excessif et très juste j'ai envie de dire.
L'histoire est alors captivante, même si la fin de chaque album laisse un sentiment de frustration, témoin de la qualité des ouvrages. Achetez !
Note : une faute de typo page 9 : "je l'ai explusé"
Un second tout simplement magnifique, le dessin est sans faille et proche de la perfection, le decoupage rend l'ensemble vraiment dynamique et est vraiment original pour une bd franco belge. Niveau histoire les personnages prennent un peu plus d'epaisseur, sa alterne les scenes d'actions magnifique et les phases plus tranquille. Un second largement aussi bon que le premier, meilleur même.
Quelle merveille ! Cette BD est vraiment indispensable pour tous les fans du genre et même pour les autres. Tout y est : des personnages symboliques, tels que Takéo, héros mystérieux et doué, une intrigue rondement menée, une pléthore de dessins splendides, des ennemis effrayants....
La couverture elle-même est superbe ainsi que les scènes de combats merveilleusement représentées. L'action s'intensifie à la fin et donne au lecteur une vive envie de lire la suite. Une oeuvre à posséder absolument!
On tient du bon là, du tres bon même. Ce premier tome est bien plus qu'un tome d'introduction ou on nous presenterai les personnages. La galerie de personnage est vraiment efficace : le heros : charsimatique, mysterieux, drole quand il faut ( le ptit lancé au lanceur de chaine est excellent ), son style de combat est ultra efficace, pas de fioriture ni de geste inutile : un style propre et efficace, des mechants au look terrible avec un eventeil d'arme impressionnant. Les scenes d'action sont vrament bien decoupé, on a une réelle impression de vitesse. Les doubles pages sont magnifique. Le seul point negatif est la fin de l'album : beaucoup trop frustrante :( :)
Un excellent premier tome que l'on pourrait, à tort, comparer avec Okko.
Chacun dans son style, plus classique pour celui-ci, ce tome nous emmène dans un récit collant peut-être plus aux réalités de l'époque. On sent directement un grand souci de recherche historique dans cet album.
Maîtrise du dessin et de la couleur qui font de cet album un régal pour les yeux. Les paysages sont très bien rendus et les personnages sont suffisamment typés pour être attachants.
Le tome 2 est donc attendu avec une vive impatience !!!
Et comme le dit si bien woojo : "Y va y avoir du sport..."
Quel début de série pour ces deux auteurs! Déja avec Mygala, aussi sur un scénario de Jean-François Di Giorgio, on avait eu droit à un aperçu du talent de Frédéric Genêt. Grâce à ce nouvel album de ce duo, nous sommes agréablement servis! Le dessin, captivant dès le premier coup d'oeil, donne immédiatement envie de s'installer confortablement afin d'apprécier l'aventure de Takeo.
Via leurs personnages, aisément reconnaissables d'une case à l'autre, les auteurs nous entraînent dans une aventure dans laquelle on décèle plusieurs trames d'histoire, aucune desquelles ne sont éclaircies avant la fin de l'album, et ce je présume, afin d'étirer le mystère sur un cycle de plusieurs albums. Les scènes d'action ou de combats illustrent de façon magnifique la rapidité d'action du personnage principal, un peu à la façon dont sont présentés les combats dans le film Bourne Identity avec Matt Damon.
En résumé, un excellent dessin soutenu de façon remarquable par une scénario solide qui nous laisse dans une position d'attente après une agréable lecture. De grâce Soleil, veuillez donc poursuivre cette excellente série!
A lire absolument!
Vraiment surpris par cette BD, qui si elle va plaire aux fans de Okko, n'est pas sans rappeler la série "Chronique des Immortels". De part son perso d'abord, charismatique, énigmatique, il n'est pas du genre à parler pour ne rien dire, comme les combats d'ailleurs, pas de coup de katana en trop, tout est dans l'efficacité, ça tranche sec, ça coupe tout ce qui dépasse, ça saigne, du pur style "Samurai", et on en redemande!!
Mention spéciale pour le combat avec le lanceur de chaîne, avec un premier round faussement en faveur de l'ennemi, mais un second (round) renforçant avec un plaisir l'impression d'infini puissance de notre "Samurai"...avec la petite phrase qui va bien lorsqu'il lui plante son arme dans le ventre: "(...)seul tu ne vaux rien!" j'adore!!!
Et par le déroulement de l'histoire aussi, qui donne franchement envie d'en savoir plus sur ce mystérieux casse-tête que seule une petite fille a su ouvrir et semble bizarrement déchaîner la colère du grand Boss...
D'ailleurs en parlant du grand Boss, évoquons les ennemis, nous avions l'ennemi au masque doré dans "Chronique des Immortels", nous avons les mêmes dingues dans Samurai!!
Car autant le dire, notre héros ne serait rien si en face les ennemis n'étaient pas franchement flippants et eux mêmes dotés d'un charisme nous laissant penser d'un grand potentiel guerrier.
Autant vous prévenir, ils se promènent toujours par 3, avec chacun une dégaine de tueur psychopathe ne vivant que pour faire mal à son prochain! Le look de l'époque...façon visages cachés par des masques inquiétants et ténébreux genre bout de crâne avec des dents bien acérées, avec le grand chapeau qui va bien, et la kimono du moment. Côtés armes, ils ont de quoi faire bobo, équipés soit de double katanas, soit d'une lance, soit d'une sorte d'arme bien tranchante au bout d'une chaîne...
Vite une confrontation!....qui n'aura pas lieu dans ce premier tome, la dernière page annonçant par contre la couleur du second (tome).
Va y avoir bagarre ;-)