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Quel dommage de poursuivre des séries à l'infini... Pour moi cette série n'a plus vraiment d'intéret depuis au moins les 20 derniers albums. Tout comme la série XIII qui aurait dût s'arrêter au tome 13, je pense que Thorgal aurait dût s'arrêter au tome 21 ! Et je préfère passer sous silence toutes les séries parallèles (la jeunesse, kriss de valnor etc...) qui n'apporte absolument rien à la "saga" !
L'album est correct avec un scénario qui tient la route...
Cependant, tout comme la série XIII, je pense que les héros doivent finir par se "reposer"... ce n'est qu'une énième aventure de Thorgal, le frisson du début a disparu depuis bien longtemps.
Gros Big Up pour la couverture qui est superbe !
Après un album plus que moyen, Thorgal nous revient dans une aventure assez banale qui pourrait presque s'assimiler au "combat des chefs" d'Astérix. On peut apprécier que, pour une fois, on reste dans un cadre familier: on se sort pas du village et de la famille de Thorgal, famille qui d'ailleurs s'agrandit au fur et à mesure des albums (j'avais oublié qui était la fameuse Boréale, au passage,objet de querelles entre frère et sœur.)
Contrairement au dernier album, le récit est fluide et se lit bien, malgré les différentes intrigues développées par Yann sur 48 pages.
Un Thorgal honnête, sans prise de tête et j'apprécie toujours autant le dessin de Vignaux.
Alors que Thorgal avait enfin retrouver la sérénité dans son village avec son épouse Aaricia, il doit faire face à une nouvelle menace venue de l'extérieur. Il s'agit du retour d'une belliqueux mercenaire nommé Varègue qu'il va devoir affronter dans un duel sans merci.
Cependant, ce tome nous réserve bien des surprises au niveau du scénario car les véritables ennemis sont parfois bien plus prêts qu'on ne le croit. Le récit va prendre une direction assez inattendue comme s'il y avait un autre récit dans l'histoire tout en remuant un peu le passé.
J'ai rarement vu un tome où les personnages se déchaînent véritablement. La petite Louve qui était si sympathique commence à juger la future femme de son frère ce que ne manque pas de faire d'ailleurs Aaricia. Boréale se révélera également assez hautaine en considérant les misérables humains.
Bref, les dîners de famille promettent beaucoup dans la famille de Thorgal. Comme dit, c'est assez inhabituel et cela casse un peu la routine habituelle qui était sans doute trop surfaite. Certes, on cherche à creuser les personnages pour leur donner une véritable densité mais ce n'était sans doute pas au tome 42 de le faire.
Comme dit, certains choix de ce tome vont étonner le lectorat qui risque de décrocher un peu. Pour ma part, j'observe ces petits changements avec une grande attention pour le futur d'autant que j'ai trouvé l'histoire assez prenante avec cet univers aussi riche que fascinant. Oui, cela promet véritablement pour le futur !
Étrangement, une série que j'ai connue sur le tard, car plus jeune, les histoires de Vikings, cela ne me vendait pas du rêve. Et puis un jour, ne sachant que lire, j'ai donné une chance au premier tome...et quelques semaines plus tard, en ballade au village du livre de Fontenoy-la-Joute, j'achetais un lot des 13 premiers albums.
Et oui, car ce n'est pas une histoire de Vikings classique, ce Thorgal vit des aventures extraordinaires saupoudrées de fantastique, de science-fiction et de magie. Vraiment génial, le parfait dosage. Mais aussi, que de beaux personnages secondaires et certains récurrants qui font la force de ces histoires. Finalement, j'ai acheté toute la collection, jusqu'au dernier album de Van Hamme, le 29.
Le dessin des premiers albums de Rosinski est un peu tranché, y compris la mise en couleur, mais au fur et à mesure, les angles s’arrondissent et le trait devient plus clair. La découpe des cases est parfaite. Un petit bémol cependant pour l'album 29 avec une mise en couleur surprenante qui tranche avec les précédents.
Une série culte, quoi qu'il en soit !
Un album dont on a l'impression de l'avoir déjà lu...
Un épisode de transition avec peu d'intérêt.
Le début de l'histoire commence comme une série télévisée des "Experts", Thorgal racontant à haute voix ce qu'il est en train de faire et pourquoi il le fait... procédé scénaristique que je déplore.
Bref, ce tome 41 ne vaut pas grand chose dans la Saga Thorgal et ce n'est pas le cliffhanger de la dernière page qui changera ma note de 1/5.
Histoire de transition en one shot intéressante, qui narre le retour de Thorgal, Jolan et sa dulcinée au pays. Ils ont des ennuis en chemin (comme d’hab’), et Thorgal va faire le taff (comme d’hab’), avec un soupçon de chance (comme d’hab’) et beaucoup de talents (comme d’hab’).
Sinon, c’était bieng, une aventure simple, à l’ancienne, c’est finalement comme ça que sont les meilleurs albums de la série. On n’y est pas, mais en tout cas, c’était un bien bel essai. Il ne manque pas grand chose pour en faire un récit phare : plus de côté épique, et plus de tensions dramatiques. Il y a de la matière avec le nouveau petit couple de la série.
Dans ce nouveau tome, Thorgal va devoir affronter encore bien des épreuves au fond d'un gouffre afin de pouvoir sauver son fils Jolan et sa future compagne Boréale, la nouvelle venue de la saga.
Il faut rappeler que nous avons un solide guerrier qui n'a pas hérité de l'amour du combat et de la violence du peuple viking. Il aspire à une vie tranquille avec son Aaricia et ses enfants mais même les Dieux ne le laissent pas en paix !
Encore une fois, il sera confronté à la cupidité des hommes qui convoite des choses pour le moins extraordinaire réservé au domaine des Dieux. Il fera une rencontre assez intéressante mais elle sera de courte durée. Cela se termine par un clifhanger avec un personnage maléfique qui refait surface à la toute dernière case.
Bref, cela ne sera pas le meilleur tome de la collection, c'est certain. On a l'impression de lire un album de transition dans ce qu'il y a des plus classiques. Il est vrai que cela se démarque de l'album « Adieu Aaricia » sorti en début d'année et qui avait une tout autre qualité d'écriture pour des effets assez novateurs.
Gageons que les auteurs feront mieux la prochaine fois au niveau du scénario sachant que la lecture n'a pas été désagréable non plus.
Un tome agréable à lire, bien dans l'esprit de la série, même si le scénario est dépourvu de réel enjeu dramatique. THORGAL doit de nouveau surmonter une série d'épreuves pour sauver les siens, une nouvelle fois (!!!) en grand péril (mais ça ne s'arrêtera donc jamais ??? Comment peut-on être à ce point aussi maudit ? Incroyable !). Rien de nouveau sous le soleil mais la lecture passe bien, malgré une narration assez déconcertante (bizarre la façon dont sont gérés certains flashbacks). Le dessin est très bon et lui aussi bien dans l'esprit de la série.
Après de désastreux tome 40 "Tupilaks", Yann reprend un tournant plus classique avec "Mille yeux". En effet, en nous présentant une aventure de Thorgal sur un seul album (encore que...vu la dernière case), Yann revient aux fondamentaux : une légende nordique, une magicienne, des enfants à sauver...bref que du classique, et cela fait du bien.
Seule la narration m'a déstabilisé. Je me suis demandé s'il ne manquait pas des pages à mon exemplaire tant je n'avais pas les tenants et aboutissants de ce que je lisais.
Ce parti pris scénaristique est certes surprenant mais, au vu du précédent album, il conviendra aux fidèles lecteurs de cette série.
Par contre, pour une fois, j'ai trouvé le dessin de Vignaux en deçà de ce qu'il produit habituellement pour cette saga . J'ai trouvé Thorgal assez méconnaissable sur les premières pages (un peu trop jeune, il faut dire que j'ai relu il y a peu le très réussi "Adieu Aarica".)
j'avoue ne plus ressentir d'émotion et surtout ce sentiment d'impatience dès l'annonce d'un nouveau Thorgal, la série devenant au fil des années une série comme une autre . (J'éprouve à présent cette même sensation presque blasée, pour la sortie des XIII par exemple, alors que pour la série "Blake et Mortimer", cette émotion demeure intacte.)
Thorgal fut une série mythique durant une bonne vingtaine d'albums et depuis le tome 24 a tendance à se perdre dans des histoires bien fades... Depuis la reprise Vignaux au dessin, nous avons au moins des planches qui tiennent la route. Les mimiques de Thorgal lui donnent un air plus jeune mais çà reste correct. Le récit, imprégné de légendes nordiques est plaisant. Il manque réellement une trame dramatique comme on a pu en connaître sur les trois cycles (Brek Zarith, Qâ et Shaïgan) des premiers albums. Et pour cela oser éventuellement se séparer de personnages iconiques ou en créer de nouveaux. Plus de mystères, de réels rebondissements, d'intrigues et de tensions dramatiques.
Ce n'est toujours pas le cas ici...
Pas le meilleur album mais m'a fait passer un bon moment tout de même , histoire sympa et dessin au rendez vous
A lire
G. Rozsinski, ce magicien, parvient toujours à m'étonner, à m'eblouir. Il illustre à merveille les idées de Jean Van Hamme, quelque soit les paysages et personnages à l'honneur. Les sols enneigés, les intérieurs éclairés au feu de cheminée, les ciels nuageux, les plages, les déserts, les océans et les forêts nous emmènent à chaque fois dans les plus beaux des rêves.
Kriss de Valnor est une femme hors du commun mais elle aura fort à faire avec la belle Aaricia, transcendée en courageuse guerrière pour retrouver son cher fils Nolan.
Hâte de lire la suite !
L'image de présentation, en page 1, est splendide. G. Rozsinski est immense. Il rend les couleurs claires, vives. Comme toujours avec lui, des planches splendides (page 3, 17, 25, 30, 39...). Il excelle également dans les ambiances nocturnes et de pleine mer (pages 6 à 9). Cette aventure, graphiquement, est donc aussi puissante que les autres.
Au scénario, Jean Van Hamme introduit le personnage de Kriss de Valnor. Quelle femme ! Une vraie "Badass"... J'ai hâte de la retrouver dans de nouvelles aventures de Thorgal et aussi de découvrir ses propres aventures...
La série qui poutre le plus au monde. Un plaisir découvert jeune et poursuivi adulte. Je n’ai rien d’autre à dire
Un nouveau chef-d'oeuvre de Grzegorz Rosinski au dessin. Des paysages dignes de peintres (je pense à William Turner notamment). L'artiste maîtrise à merveille les couleurs automnales et le pâle du ciel, du sable et de la mer, nous offrant un climat apaisé. Mais à l'opposé, il rend très bien les contrastes clairs-obscurs des intérieurs (pages 6 à 9). Du grand art.
Jean Van Hamme nous introduit parfaitement le petit Jolan, premier enfant de THORGAL. Cette aventure met aussi à l'honneur la belle Aaricia, parfaite tant dans l'éducation et les soins qu'elle donne à son fils, que dans le courage qu'elle démontre face au danger qui les entoure...
Il semble que mon avis diffère de la majorité mais pour moi cet album est très enthousiasmant. C'est le retour à un imaginaire croisant SF et mythologie comme les 13 premiers tomes l'avait construit. Le rythme, les dessins et l'univers me renvoient aux sources de la série.
Bravo à la team qui a repris les rennes dans la veine originale après la période commerciale qui a causé les tortueux Mondes inutiles parallèles.
Quelle purge ! Ne vaut que pour le dessin de Fred Vignaud.
Probablement mon dernier Thorgal.
Un sénario peu lisible, trop science fiction, sans ligne directrice.
Juste une porte nouvelle avec une nouvelle héroïne Boréale.
Peut-être une piste pour relancer la série? ?
Une si longue saga et un final aussi décevant au niveau du scénario et aussi mal réalisé au niveau narratif. Affligeant.
D'autant plus décevant qu'en dévelopant 3 histoires parallèles, les possibilités d'interactions, boucles, croisements et autres effets scénaristiques étaient infinies et auraient vraiment pu porter cette série au firmament des classiques, mais il n'en fut rien, au final même si la lecture en était agréable dans l'ensemble, l'absence d'exploitation scénaristique force à constater que ce n'était là juste qu'un truc pour vendre plus de papier... ce final désastreux aura été le clou du cercueil...
Après le final désastreux au tome 36 "Aniel" du long périple s'étalant sur les 8-9 tomes précédants, cette série mythique n'en finit pas de toucher le fond.
Ce tome tente de renouer avec l'histoire de Thorgal, mais le scénario manque de souffle, son développement narratif est fait à la hache, et sa mise en diaglogues est lourdingue. Triste. Pour moi c'est la fin...
L'album le plus SF de Thorgal !
On suit l'histoire, même s'il y a des longueurs et des lourdeurs.
Encore très déçu par la place / le rôle de Kriss dans cette aventure...
suite du tome 39 je crois qu'on touche le fond, un diptyque ennuyeux et qui sert à rien, au mieux a engraisser l'éditeur. dommage j'avais un peu d'espoir après le tome 38 que j'avais trouvé plutôt sympa, et crac Yann a réussit a creuser pour faire encore plus tarte que les derniers albums dessinés par Rosinski
Pourtant je suis un immense fan de Thorgal et des séries du monde de Thorgal, mais cet album est poussif avec un scénario lourd. J'ai lu en diagonale les dernières pages tellement j'étais déçu. Ce cycle commencé avec Neokora est à oublier. Yann est un excellent scénariste mais là il s'est fourvoyé.
A un moment, faut arrêter. Non pas que cet album soit mauvais, le dessin est vraiment bien, mais la lassitude des ces loooooongues séries est inévitable. Sûrement mon dernier Thorgal si jamais il y en avait d'autres à venir.
Je dois avouer que le premier volume de ce diptyque m'avait vraiment enthousiasmé. Avec ce présent volume, l'intérêt pour cette série vient de retomber.
En effet, en voulant trop faire références aux précédents et premiers albums de Thorgal "l'île des mers gelées" et "l'enfant des étoiles", Yann finit par perdre le lecteur que je suis.
Bref, à vouloir trop recouper avec les aventures précédentes, Yann finit par embrouiller le lecteur.
J'ai trouvé cet album trop tourné vers la science fiction, presque trop proche de "2001,'odyssée de l'espace" avec Neokora.
Un album, à mon avis trop bavard,qui a fini par me lasser, à tel point que j'ai eu du mal à le finir.
Par contre, il faut souligner le travail de Fred Vignaux, qui dans son dessin, s'approche de plus en plus de celui de Rosinski.
Un avis donc très mitigé sur cet album.
Thorgal est le héros que l'on ne présente plus. A noter qu'il n'a toujours pas été adapté au cinéma ou en série comme maintes fois annoncé.
On est toujours dans le cycle des nouveaux horizons commencé au tome 37 après que Thorgal ait pu sauver son fils machiavélique Aniel à Bagdad.
Ce présent tome fait suite au gros clifhanger du précédent où Thorgal fait face à son ascendance extra-terrestre et doit combattre une intelligence artificielle atlante : rien que cela ! On replonge d'ailleurs dans les racines de la série où l'on retrouve celle qui ne meurt jamais à savoir Slive.
On remarquera que le dessin de Fred Vignaux se rapproche singulièrement de celui de Rosinski. Bref, toujours ce retour aux origines pour mieux garder le lecteur après 40 tomes. Certains ont décroché sur une série devenu trop longue et qui ne parvient pas à renouer avec le prestige de l'époque du pays de Qâ.
D'autres comme moi s'accrochent aux branches pour voir comment la nouvelle génération se débrouille et je dois bien avouer que ce n'est pas trop mal dans l'ensemble.
La moralité de ce récit est que quand un peuple confie sa destinée à des machines évoluées, il se condamne lui-même inéluctablement. Il faut accepter de vivre en acceptant de subir les caprices de la nature comme par exemple les catastrophes naturelles ou les épidémies. Mais bon, on place dans l'intelligence artificielle les moyens d'assurer notre survie. Pas certain que ce soit le bon choix.
Bref, une aventure de Thorgal qui se place clairement dans le domaine de la science-fiction même si des tupilaks interviendront pour rétablir l'équilibre des forces. Il y a toujours une part de magie et de légendes.
Un classic de la BD franco-belge que je découvre en 2022 . Le dessin reste tout à fait appréciable et l'écriture est de haute volée .
La beauté graphique devinée lors du 1er tome s'exprime ici avec encore plus d'éclat : Grzegorz Rosinski livre des planches merveilleuses ! J'ai rarement vu un album de bande-dessinée aussi sublime... Il est à rapprocher d'un album de Blueberry que j'ai chroniqué il y a peu, par sa beauté graphique.
Le scénario de Jean Van Hamme nous plonge en plein médiéval-fantastique et m'évoque avec émotion "les livres dont vous êtes le héros" de mon enfance. Chaque planche nous donne envie de connaître la suivante...
Cet album est un chef-d'oeuvre, lisez-le à tout prix !
Déçu par les derniers albums de la série, j'avais cessé l'achat des albums depuis le tome 36 "Aniel".
Et voici que l'on m'offre les trois derniers de la série dont "Neokora", qui ajouté aux deux tomes précédents, me réconcilie avec cette série que je suis depuis plus de 30 ans. Le dessin de Vignaux renoue en effet avec le trait des premiers Thorgal, même s'il n'en atteint pas encore la maitrise (mais il s'en approche), ce qui est bon signe.
Yann, qui m'a parfois déçu, signe là un scénario intelligent et qui nous renvoie aux anciens albums. Le seul point qui m'a dérangé c'est la représentation de Kriss de Valnor ; Yann en fait une véritable hystérique !
Mis à part ce reproche, cet album se présente comme la première partie d'un diptyque qui s'avèrera , je l'espère prometteur.
Une très agréable surprise.
Le dessin de F Vignaux est d'excellente facture, il confirme album après album depuis le tome 37 sa maitrise de l'univers de l'enfant des étoiles. Quant au scénario- ce retour aux sources avec le vaisseau de Slive et le peuple de étoiles, c'est sans doute le plus fouillé depuis ...une dizaine d'albums.
A suivre
Bon je suis en désaccord total avec les autres avis. Je trouve les dessins mauvais et certains sont totalement ratés (voir le profil de Louve). L'histoire est sans queue ni tête, tout est mélangé; les personnages sont caricaturaux. Bref un album à fuir. A un moment il faut savoir arrêter une série et ne pas voir que le commerce.
Le commencement d'une série à succès est un moment de lecture particulier. On sait qu'on s'embarque pour un voyage à travers de nombreux albums renommés et la lecture à postériori de ce premier tome pourrait bien en être terriblement influencée. Ce doute se retrouve balayé car cet album je l'avais déjà lu à sa sortie et j'y avais alors trouvé toutes les qualités qui en ont fait un succès.
Alors certes le dessin est encore hésitant, maladroit par moment, surtout dans le premier récit, mais il souffle dans ces pages un vent d'aventure, un sens de la dramaturgie qui remportent aussitôt l'adhésion du lecteur et le jette avec délectation dans la fabuleuse machinerie de cette grande saga. Thorgal nous devient très vite familier, très cher aussi, et l'on ne peut que ressentir tout comme lui chaque situation et chaque danger qu'il doit affronter. Il devient le double héroïque qu'on rêve d'être, le type bien et inflexible qui sert à tous de modèle.
Le second récit qui compose l'album, d'une petite quinzaine de pages seulement, est peut-être le plus emblématique de tous les récits que Van Hamme à imaginé pour son héros. Il s'y trouve condensé avec une science extraordinaire la dramaturgie type d'une aventure de Thorgal où celui-ci se voit jeté dans une situation périlleuse par accident, découvre un monde qui cache son véritable visage, y affronte des adversaires charismatiques, se lie d'amitié avec un être attachant qui rêve d'une autre existence, et toute cette aventure semble se diriger aussi bien vers le drame que vers la liberté. C'est un modèle du genre. Je me souviens encore du moment où je l'ai découvert dans les pages du journal Tintin. Il m'avait fait une formidable impression, me marquant à tout jamais.
Van Hamme et Rosinski auront réussi à bâtir un jalon essentiel de la bande dessinée franco-belge, à insuffler dans cette œuvre un art singulier vers lequel on revient sans cesse avec un plaisir toujours intact, mais aussi avec admiration et gratitude pour cet incomparrable cadeau.
Très bon nouveau diptyque qui commence. Et le tandem Yann/Vignaux fonctionne à merveille ce qui est très prometteur pour la suite de la série.
Yann développe une nouvelle intrigue très proche de l'époque de Jean Van Hamme : plus vers de l'aventure pure avec une touche de Fantasy. L'essence même de la série est ici retrouvé.
Le talentueux Fred Vignaux apporte une dimension personnelle (plus nerveux et fouillé) au dessin de Thorgal tout en restant assez proche du style de Rosinski, ( fin d'époque noir et blanc ).
Bref très content de retrouver mon héros favori en si bonne compagnie.
Je dois me faire raison: Thorgal est mort, et depuis belle lurette encore. Pourtant, avec la reprise de la série par Yann et Vignaux, les commentaires lu ici et là laissaient espérer le retour en forme de la série. Hélas, le précédent album était déjà une déception, mais "La selkie" va encore bien au delà.
Je me suis ennuyé de bout en bout, et s'il n'y avait le très bon dessin de Vignaux pour emballer si joliment une coquille bien vide, je n'aurais pas dépassé le premier tiers de l'album. Parce que le scénario souffre d'un tel manque de tension et de souffle que la lecture donne la désagréable impression d'avoir à réviser un devoir d'histoire à la linéarité assommante le dimanche soir à minuit pour le premier cours du lendemain.
Ce Thorgal animé par Yann n'a aucune épaisseur, il agit mécaniquement et ânonne ses leçons de tolérance et de lutte contre l'obscurantisme à tout bout de champ sans jamais convaincre. En un mot il est presque barbant et ressemble finalement à une caricature du personnage qu'il a été jadis sous la plume de Van Hamme.
Les évènements s'enchainent platement, l'ennui croît et le plaisir nait - enfin! -quand on réalise que l'album est fini.
L'unique séquence où il m'a semblé que l'action et la tension narrative décollaient un peu est celle dans laquelle Thorgal affronte sous la mer déchainée deux créatures marines mythologiques. C'est justement une scène où le texte se fait plus rare et dans laquelle la narration est pleinement confiée à l'art de Fred Vignaux. Son dessin sauve l'album du parfait oubli, avec l'aide précieuse de Gaétan Georges à la mise en couleur très soignée. Ces deux là mériteraient des scénarios plus dynamiques, enlevés et passionnants.
le grand atout de cet album, c'est qu'il vient après une tripoté de purges qui ont mis à rude épreuve l'affection des fans pour Thorgal. En dehors de cela, il n'y a rien vraiment d'extraordinaire à retenir, si ce n'est le dessin talentueux de Vignaux (mis en valeur par une mise en couleur formidable de Gaëtan Georges) qui marche dans les pas de Rosinski tout en conservant les grandes qualités de son propre graphisme. Sans lui, cet album tomberait dans l'anonymat que le scénario lui promettait. Car Yann se contente prudemment de se conformer à quelques consignes pour donner à son histoire l'allure de celles concoctées jadis par Van Hamme. Et comme tout travail trop servile, il prend assez vite des airs artificiels avec ses passages obligés et ses tics scénaristiques. Là où Van Hamme suivait sa voie, celle de son imagination, avec ses qualités et ses défauts, Yann lui emboite le pas avec ses propres défauts et c'est à peu près tout malheureusement. Son récit souffre d'un manque de dramaturgie; Yann peine à donner du rythme et à faire naitre et à maintenir une tension, un mystère, toutes ces choses que Van Hamme avait su insuffler à la série par le passé et qui faisait que "Thorgal" dépassait bien souvent les séries concurrentes.
On sent le travail effectué par Yann pour reprendre la série. le problème c'est justement qu'on le sent trop. il a étudié le monde viking, il nous le fait savoir à tout bout de champ de façon presqu'intempestive. Il a aussi étudié les précédents albums de la série, il nous en ressert les codes de la même manière qu'il le fait pour le monde viking. Tout ça est un peu trop scolaire et manque de fulgurance et de surprises. Ca ronronne gentiment en cheminant placidement par les différents passages obligés du récit thorgalien .Tout cela est agrémenté par moment de trop nombreux dialogues qui donnent parfois l'impression de faire office de remplissage.
Heureusement, le dessin de Vignaux fait grimper quelques étages à ce scénario grâce à un sens de la mise en scène évident. Car à bien y regarder, ce sont encore les scènes sans dialogue qui nous rapprochent le plus de ce qui a fait l'essence de cette série. Vignaux semble avoir mieux appréhendé que son scénariste les éléments qui confèrent "sa magie" à cette série.
Au final c'est une impression mitigée qui demeure, celle d'avoir aperçu au détour d'une rue un vieil ami qu'on avait perdu de vue, de le retrouver avec joie, de s'asseoir avec lui pour entamer une discussion et très vite de ne pas le reconnaitre tout à fait, embarrassé par un malaise diffus, comme si on prenait peu à peu conscience que quelqu'un lui ressemblant essayait de se faire passer pour notre ami.
Note 2,5/5
(scénario 1,5/5 - Dessin: 4/5)
Mon dieu ! Quasiment 25 ans que j'attendais cet album (depuis 1997 et le tome 23 - La cage) !!!
Un retour aux sources (cf Tome 2 - l'île des mers gelées) et une possible ouverture sur le peuple des étoiles. Cher Yann (scénariste) prenez votre temps pour développer ce nouveau cycle !!! Van Hamme avait bâclé l'affaire dans le tome 26 - Le royaume sous le sable et j'étais dégouté (le rapport avec les atlantes, bof). Bref la série partait en vrille autant scénaristiquement que graphiquement...
Vignaux assure au dessin bien qu'un manque de précision se fait sentir dans le trait. Mais on est proche des premiers Thorgal.
Aniel prend sa place en tant que personnage principal... à suivre.
Par contre, point négatif : Kriss de Valnor paraît colérique et presque stupide alors qu'elle est toujours apparue comme intelligente, rusée et fourbe.
En tout cas, quel plaisir de lire cet album !!! La couverture présageait déjà le meilleur... Merci !
Bon album
J'apprécie les dessins de Vignaux qui donne un "style" et un nouveau souffle à la série.
On se laisse embarquer dans cette aventure polaire qui nous ramène aux origines Atlantes de Thorgal.
Mon seul bémol concerne Kriss que je trouve trop caricaturale dans cet album : mon héroïne préférée n'est pas une caricature !
C'est un tome plutôt intéressant qui fait ressurgir le fameux vaisseau de Slive qui fut la magicienne trahie de l'île des mers gelées et qui voulait surtout sauver son peuple venu des étoiles.
Thorgal se donne pour mission de faire disparaître les armes terrifiants qu'il renferme en mettant fin à la menace que constituait ses origines. Visiblement, Aniel qui a une forte emprise sur sa mère Kriss de Valnor souhaite s'emparer de ces armes pour un mystérieux dessein. On devine toutefois qu'il s'agit de jouer les despotes ou se faire passer pour des Dieux.
J'aime beaucoup les paysages de la banquise et du Groenland. On fais la connaissance de la tribu des Skraelings, un peuple nomade de chasse qui vivait en Amérique du Nord. Thorgal va également faire escale dans le village de Nuuk qui est aujourd'hui la capitale du Groenland.
Le dessin de Fred Vignaux rend vraiment hommage à celui de Rosinski. J'aime beaucoup ce trait qui rend les visages assez expressifs. Les décors sont également magnifiques par moment même si cela laisse beaucoup de place à la désolation froide du grand nord. On notera également une belle couverture. C'est un régal visuel.
Cette aventure va nous entraîner aux confins de la science-fiction grâce à Néokora dont on découvrira l'identité en fin d'album. Cela se termine d'ailleurs par un gros cliffhanger. Il y a des pistes mais tous les mystères n'ont pas été résolus, loin de là. C'est certainement reparti pour un nouveau cycle.
Cependant, c'est un bon crû car le récit nous tient en haleine.
Niffle propose une sublime intégrale noir et blanc des 6 premiers tomes de Thorgal. Un gros morceau qui prend de la place mais qui vous occupera bien des soirées. Indispensable pour moi !
Voici un album qui ne semble fait que pour permette à Rosinski de s’éclater dans des vignettes faites à la gouache, souvent sans dialogue au détriment de la progression de l’intrigue.
Et quelle pauvreté que cette intrigue...
Une récit qui raconte l’histoire de quelqu’un qui raconte une histoire... Aucune action ou si peu. Tout aurait pu tenir en 3 ou 4 pages.
Fred Vignaux à l'art de nous mettre en ambiance, sur ses 2 aventures de Thorgal, il assure et la transition avec Rosinski se fait de bien belle manière.
Les scénarios de Yann sont de qualités avec des histoires fort sympathiques, voire didactiques... Je me suis régalé à la lecture sur les 2 albums du duo.
Il n'empêche que je retrouve pas le souffle des premiers Van Hamme.
Et pourtant la qualité est là, quelle étrange sensation...
Je mets 3 étoiles car comme le tome précédent c'est un one-shot et il est agréable à lire.
Une aventure avec Louve, Jolan et Thorgal.
Et comme pour l'album précédent, les auteurs veulent revenir aux sources, avec beaucoup de références aux mythes vikings
Avis portant sur la série:
J’éprouve une affection toute particulière pour cette série mythique. J'ai lu un tome puis je suis allé chercher d'un coup la collection entière. Je suis d'un genre un peu impulsif. La vendeuse n'y croyait pas ! C'est sans doute la série qui m'a donné la fibre alors que j'étais un jeune adulte. J'ai pratiquement commencé ma collection de bande dessinée par ce titre.
Il faut dire que cette collection est signée par le maître des scénaristes à savoir Jean Van Hamme alors au sommet de son art. Depuis 2007, Yves Sente a repris le flambeau pour essayer de renouveler la série en apportant un souffle nouveau, voire une véritable cure de jouvence. Il est également un talentueux scénariste mais il ne possède pas le génie de son prédécesseur. On ne le sent pas totalement à l'aise avec le genre. Sa méthode est de diluer l'intrigue principale sur un certain nombre de tomes en multipliant des séries avec des intrigues secondaires qui doivent se croiser. Cela ne semble pas plaire au public même si certains fans s'amusent à croiser les événements. Cela devient trop compliqué et pas assez limpide. On apprend avec le 35ème album de Thorgal qu'il est débarqué au profit de Xavier Dorison ce qui semble encore aggraver le cas de cette série. Il est vrai que les derniers albums montraient un Thorgal beaucoup trop éloigné de sa personnalité. C'était certes innovateur mais pas au goût du public. Son travail sur près de 10 albums (dont la série parallèle consacré à Kriss de Valnor) est tout de même assez méritoire. On a compris qu'avec Xavier Dorison, Thorgal doit revenir aux fondamentaux. Mais bon, le résultat de ce nouveau Thorgal est loin de celui espéré. La créativité semble manquer cruellement.
Les aventures de Thorgal commencent lorsqu'un chef viking découvre un bébé dans une mystérieuse embarcation. On se croirait dans Moïse! Il adopte l'enfant et le nomme Thorgal en référence à ses dieux (Thor le dieu de la foudre et Ægir le géant des mers). Le petit garçon ainsi adopté va devenir un formidable guerrier très habile au tir à l'arc. Il vivra une enfance difficile car rejeté par le peuple viking. Heureusement, son amitié avec Aaricia va le sauver. Ils tomberont amoureux et auront au fil de l'histoire deux enfants avec des pouvoirs tout aussi extraordinaires. Mais surtout, ils aspireront à une vie tranquille loin des tourments de la guerre mais les nombreux dangers du monde semblent les rattraper à chaque fois. Le destin de ce héros le pousse à rencontrer des ennemis de la pire espèce comme l'emblématique Kriss de Valnor qu'on adorera détester!
Cependant Thorgal va progressivement remonter à ses véritables origines. L'aventure nous mènera assez loin jusqu’aux confins de la science-fiction puisque Thorgal est également appelé "l'enfant des étoiles". J’ai véritablement adoré le cycle du pays de Qâ que je considère comme véritablement culte. Ce voyage sur le continent américain jusque-là encore inconnu réserve bien des surprises et nous en révèle beaucoup sur les origines mystérieuses de Thorgal. J’ai également frissonné dans « Alinoé ». J’ai beaucoup aimé l’album « au-delà des ombres » qui fut d’ailleurs primé en son temps. « La cage » m’a également interpellé quant à l’attitude de la courageuse Aaricia. Les derniers albums sont beaucoup moins bons et cela se ressent (par exemple scénario identique aux « Archers » dans « le Barbare »).
Cependant, la reprise du flambeau par le fils de Thorgal à savoir Jolan et son initiation par le mystérieux Manthor peut réserver encore de bonnes surprises. C'est dommage cependant que l'histoire semble un peu s'inspirer de 'la communauté de l'anneau'. Le plaisir semble rester intact. Je dois même avouer que ce renouvellement produit son effet. L'essoufflement de la série semble être totalement oublié. Il ne faudrait surtout pas à mon avis que Jolan soit un clone de son père (genre "qu'est-ce que ferait Thorgal dans une telle situation?). On sait également que ce fuit juste une aventure scénaristique le temps de plusieurs albums pour revenir ensuite sur le père, notre héros qui revient en sauveur de son autre enfant (celui qu'il a eu avec Kriss).
Un mot également sur la qualité du dessin de Rosinski qui ira en s'améliorant depuis 1977 puis en se dégradant à nouveau. C'est devenu un véritable adepte de la couleur directe. Son style, tout en couleurs et pinceaux donc, s'est orienté vers un équilibre assez subtil entre photoréalisme et impressionnisme. Cela apporte une nouvelle résonance plus poétique à cette grande saga. La vérité ou la réalité me pousse à dire que les derniers tomes de Thorgal ne sont pas vraiment bons du point de vue graphique. Même Roman Surzhenko semble faire mieux ce qui est quand même une bonne nouvelle.
A noter qu'il existe 2 BDVD pour compléter cette collection : "Entre les faux Dieux" et "Dans les griffes de Kriss". C'est une bonne expérience à vivre pour un fan afin d'enrichir l'univers de Thorgal. Le fantastique occupe également une part importante à travers les mythologies nordiques. Nous avons là une ambiance à la fois médiévale et fantastique dans une véritable dimension héroïc fantasy. Sur le plan de vue du succès: près de 14 millions de titres vendus avec une traduction dans 18 langues. Il ne manque plus qu'une adaptation TV en série ce qui sera bientôt chose faite.
Parce que "Thorgal" m'a donné envie de lire d'autres BD et de commencer une véritable collection, elle mérite d'être qualifiée de "culte". C'est la bd qui m'a donné la passion pour la bande dessinée.
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
Je me suis ennuyé à la lecture de cet album, submergé par un sentiment persistant de déjà lu...
Peut-être quelqu'un qui découvrirait Thorgal y trouverait de l'intérêt, mais ce n'est pas mon cas.
Si vous découvrez Thorgal, vous pouvez vous arrêter à cet album ! Non pas qu'il soit excellent mais il termine le cycle de Shaïgan et propose une fin aux péripéties de la famille Aegirsson. La série restera intacte et mythique ! Ensuite... vous pouvez essayer mais je vous aurais prévenu ! :-)
Très bon album.
Une histoire en un tome, ce qui est très agréable.
Bon scénario qui rappelle les albums historiques de Thorgal.
J'ai apprécié ce retour aux sources avec une histoire de viking !
Un dessin impeccable (çà fait du bien) mais on est loin des cycles de Brek Zarith et Qâ... Plus de figures emblématiques, de personnages attachants, de vrais ennemis avec du caractère. Pour moi, fan de la première heure, Thorgal se meurt depuis le tome 24 après un tome 23 (La cage) qui aurait pu clore les aventures et rendre cette série absolument mythique. Le seul tome qui avait une chance de relancer la série était le Royaume sous le sable avec le retour du peuple des étoiles malheureusement bâclé en un tome très moyen...
Là, on pourra dire que j’ai peiné.
Ok, j’ai pas lu les tomes précédents, je me suis replongé directement dans celui-ci. Mais ça n’aurait pas changé grand-chose.
C’est bavard, répétitif, plein de scènes qui sont longues, peu utiles, pleine de textes qui ne sert pas à grand-chose…
Bien sûr, le tout avance – on peut presque se demander comment vu que chacun ne fait qu’une chose (Thorgal veut sauver son fils, celui-ci veut avoir le feu écarlate, très linéaire et redondant). Mais c’est laborieux.
Les dessins sont plutôt jolis mais j’ai eu du mal avec l’histoire. On serait presque plus dans de la peinture, une fresque, et j’ai eu du mal à le coller sur une narration BD…
Très bon album qui nous replonge plutôt dans les scénarios des tout premiers opus.
Comme d'habitude la continuité avec les aventures précédentes est parfaites. On regrettera qu'Aricia, Louve ou Jolan soit si secondaires dans cette histoire.
Les dessins sont épurés mais diablement efficaces.
Je crois qu'avec la paire Vignaux/Yann Thorgal a retrouvé toute sa magie.
9/10.
Les fans de Thorgal seront ravis en lisant ce nouvel album. On a le sentiment de déjà vue en le lisant. La prise de risque dans le scénario n'est pas grande. Mais que cela fait du bien après des albums si difficile à lire ( ou à apprécier) de retrouver le Thorgal que j'aime temps. Ici fini le dessin en couleurs directe qui était pour moi très désagréable et qui en plus d'un scénario complexe avait fait dans du mal à cette série.