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J'ai découvert récemment cet auteur suisse un peu iconoclaste grâce à des titres comme Cinema Panopticum ou encore le mystérieux 73304-23-4153-6-96-8 . Il fait toujours dans le noir et blanc avec un excellent crayonné ainsi que dans des oeuvres assez fantastiques mais tendance morbide. Ce sont des histoires qui se terminent souvent très mal.
Dead end est une espèce de courses sans fin autour d'une mallette bourrée de billets de banque. Les gens se massacrent afin d'être en possession du butin. L'idée de cette malédiction sans fin est intéressante mais pas vraiment nouvelle.
La seconde nouvelle "Washing Day" est beaucoup plus courte. Elle ne m'a pas franchement marqué.
Ce one shot se lit assez rapidement du fait de l'absence de dialogue. On pourra toujours admirer la qualité du dessin.
Deux histoires muettes au graphisme étonnant, plein de petits traits pour ombrer les scènes qui ont dès lors un côté glauque qui colle parfaitement à l’histoire.
La première, plus dans une ambiance polar, est totalement prenante et les noirs et blancs se justifient pleinement. Ajoutés au cadrage, c’est assez envoûtant et sordide à souhait.
La seconde, plus suréaliste, m’a moins convaincu – le trait est le même mais colle moins à la narration à mon goût pour une histoire moins intéressante.