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Le combat entre les deux cousines s'est engagée pour de bon dans ce tome. Sioban souhaite empêcher sa cousine d'arriver à détruire sa famille. Il est question d'une mystérieuse statue ensorcelée et qui détient un secret sur la complainte des landes perdues.
Une autre complainte doit compléter celle des landes perdues et elle pourrait donner à son autrice un immense pouvoir. C'est ce qui se joue dans cette guerre larvée pour le contrôle du royaume de l'Eruin Duléa.
On ressent véritablement un côté assez « Game of thrones » qui n'existait pas au début de cette série commencée dans les années 1990 avec notre héroïne Sioban. Cette dernière n'est toujours pas fille à se laisser dompter par tout être maléfique. On ne peut en dire autant de la cousine Aylissa qui ne recule devant rien. Je trouve que ce personnage est assez fascinant et elle porte véritablement le cycle des Sudenne contre toute attente.
On reste tout de même dans le registre de l'héroïc médiéval fantastique avec tous les codes du genre ce qui n'est pas pour me déplaire. A noter que ce cycle comportera finalement un tome de plus au minimum que les 3 autres terminés en 4 volumes chacun. Il faut dire que tout se joue maintenant avec beaucoup de références sur les autres séries dérivées comme pour compléter cette intrigue principale.
Le dessin de Paul Teng rappelle celui de Rosinsky ce qui fait qu'on reste dans cette même continuité de la série. Un bon point pour une colorisation plus que réussie par Bérengère Marquebreucq dont le nom ne figure pas sur la couverture ce qui n'est pas très sympa. Oui, les femmes de l'ombre sont souvent oubliées...
Au final, une bonne continuité qui réserve pas mal de surprises mais qui complexifie un peu plus le récit afin d'apporter une certaine densité. A suivre. Je suis de toute façon un acheteur de cette série ayant marqué les années 90.
Le troisième tome du cycle "Les Chevaliers du Pardon" est toujours aussi captivant.
Ici, nous allons découvrir qui est le maître du Guinea Lord et ce qu'il cherche à accomplir. Nous allons continuer à suivre Seamus, devenu un Chevalier du Pardon, dans son périple pour retrouver la Fée Sanctus.
Dans ce tome, on retrouve toujours cette atmosphère sombre, cette noirceur, ce monde où des créatures immondes sont présentes. J'ai vraiment aimé le moment où le combat d'un Braghen s'est déroulé. Cela accentue le côté mystérieux, et dangereux des Landes.
Le graphisme de Philippe Delaby reste toujours aussi impressionnant, avec de nombreux détails. Il retranscrit de façon parfaite les scènes d'action, ainsi que les lieux mystérieux, tels que cette chapelle inversée. M. Delaby est vraiment un expert dans son domaine.
Ce troisième tome a été une lecture vraiment agréable, avec une immersion totale.
Je me lance immédiatement dans la suite pour découvrir le destin de Sill Valt.
Un autre tome du 2ème cycle au dessin remarquable. Les planches sont vraiment superbes, très recherchées. C'est d'une grande finesse.
Le scénario est fidèle à la suite, même si j'avais presque cru lire un one shot avec le tome précédent.
Seamus et l'apprenti chevalier du Pardon sont en train de poursuivre leur quête, avec de belles surprises à découvrir. Cette histoire est captivante, addictive
Ce tome nous révèle également ce que les Moriganes cherchent. Et un nouveau personnage fait son apparition, le célèbre Guinea Lord. J'espère que nous aurons plus d'informations sur ce chevalier noir énigmatique. Quel est son véritable but ?
Encore un tome fantastique, où j'ai été captivé par cette histoire.
La qualité de cette bande dessinée s'est considérablement améliorée par rapport aux quatre premiers tomes, point de vue graphique. Que c'est beau, nous sommes vraiment dans les Landes, et les personnages sont magnifiques.
Les étapes de l'histoire sont captivantes, mais j'ai trouvé le scénario un peu rapide. Il aurait été préférable que l'album ait des pages supplémentaires pour prendre le temps d'approfondir certaines scènes.
De plus, nous savons qu'il y a quatre tomes dans ce cycle, mais étrangement, il n'y a pas le suspense attendu à la fin de cet album, ce qui nous aurait poussé à attendre avec impatience le prochain tome. On a le sentiment de lire un one shot.
Ce fut une bon début de cycle, trop rapide.
Le mage Bedlam règne en maître sur les terres de l’Eruin Dulea depuis ce jour funeste où il tua Wulff le loup blanc, héritier des Sudenne. Mais rien n’est irréversible et l’usurpateur le sait, car il connaît les légendes du pays. Il se murmure que la complainte des landes perdues résonnera lorsque fleuriront à nouveau les arbres de vérité. Alors, les héros morts à la terrible bataille de Nyr Lynch se relèveront et suivront celui ou celle qui saura les mener à la victoire.
Sioban ne sait pas encore qu’elle sera cette main vengeresse. Elle se contente d’apprendre le métier des armes et voit d’un mauvais œil le remariage de sa mère, Lady O’Mara, veuve du loup blanc, au ténébreux Lord Blackmore.
C’est une histoire digne des plus grandes épopées fantastiques que Jean Dufaux met en scène avec cette complainte qui plonge dans un univers sombre, violent, où réalité et légende sans cesse se confondent. Porté par des personnages charismatiques, ce conte instaure dès les premières pages une ambiance des plus oppressantes, renforcée par des textes narratifs d’une grande qualité. Ces mots se mêlent aux dessins de Grzegorz Rosinski, qui offre à cette histoire un décor de brumes et de landes désertées, de rochers menaçants et de ciels ombrageux.
Chouette, une œuvre avec Rosinski au dessin, cela va me rappeler l'univers de Thorgal dans lequel le dessinateur excédait. Mais on se rend compte d'une chose : un dessinateur, aussi bon soit-il n'est rien sans un bon scénario. Et là, je ressens une légère déception sur le rythme insufflé par Dufaux dans le cycle 1 de "La Complainte des Landes perdues". Dufaux sait raconter, faire avancer la narration, mais il ne parvient pas à la rendre unique. Les pièces du puzzle s'imbrique parfaitement les une dans les autres mais qu'est ce que c'est linéaire, qu'est ce que ça manque de surprise sur les 3 premiers tomes. Le T4 présente de bons retournements pour clôturer le cycle. En conclusion, même si l'univers est brillamment construit, les personnages manquent de prestance et difficile de s'attacher vraiment a eux. "Le mal est au cœur de l'amour" (et vice-versa) semble vite désuet et plutôt niais. De plus, les planches de Rosinski sont assez inégales en terme de qualité et de traits. Le cycle 1 de la série ne donne pas forcément envie d'aller plus loin. Pour le moment, je m'arrête là.
Ce tome et ce cycle ont été une histoire séduisante, et l'intrigue était bien structurée avec cette atmosphère assez sombre.
Bien que j'aie trouvé la colorisation pâle, ce fut une découverte merveilleuse qui m'a incité à acheter le cycle les chevaliers du pardon.
C'est le début d'un nouveau diptyque avec 'Dame gerfaut'.
C'est une histoire intéressante. Notre jeune héroïne va faire face aux tourments de l'amour. De nombreux partis sont intéressés à l'épouser, que ce soit du côté du bien ou du mal.
Nous sommes conscients de qui va l'épouser. Nous voulons continuer notre exploration pour découvrir comment cette mère diabolique va comploter avec son fils pour obtenir la bénédiction de l'union.
Le tome 2 nous plonge directement dans l'histoire avec cette suite. Nous apprenons la résurrection des arbres de vérités et nous rencontrons le mage Bedlam. L'histoire devient vraiment passionnante.
Une suite vraiment superbe, très intéressante.
Dans le premier tome du cycle 1, nous assistons à l'aventure de Sioban à travers les lamentations des landes perdues. Celle-ci est la dernière descendante d'une famille noble, vivant dans un univers perdu, désespéré, où le mal règne en maître.
Au début, j'ai eu du mal à me plonger dans l'histoire à cause de la colorisation que je trouve pâle. Pourtant, ces couleurs froides nous montrent parfaitement l'ambiance héroïque-fantasy.
Je vais lire la suite pour comprendre comment Sioban parviendra à redonner de l'espoir.
Le cycle des Sudenne, toujours aussi mauvais.
D'abord, si j'étais Aylissa, j'utiliserais le Fitchell pour régner sur le monde! Fini! Ah, mais non, Dufaux ne s'en sert que pour faire avancer son histoire quand bon lui semble, sans logique aucune. Même remarque pour Seamus, qu'on continue de ballotter de gauche à droite sans aucune crédibilité.
Et les dialogues sont toujours aussi hyperboliques, sans nuance, sans subtilité, sans naturel, sans finesse, sans doigté... Le scénario toujours aussi simpliste. Le personnage du Cryblood (!?), quel manque de développement intéressant. Quel ajout inutile...
J'aime bien le cycle des Sorcières, finalement. C'est pas mal. Mais si vous aimez les Sudenne, mieux vaut relire le cycle premier...
Que dire qui n'a pas déjà été dit... certainement rien.
C'est une des meilleurs séries.
Ma préférée en tout cas : l'intrigue générale, les dessins, la complexité des personnages, le background...
Très bon album tant au niveau de l'intrigue que du dessin. Même si avec le temps (30ans depuis le premier opus!) je me perds un peu dans les personnages et la quête, la lecture est facile.
Il serait cependant bien de finir les deux derniers tomes dans un délai respectable comme les deux précédents et de clôturer cette saga.
Le quatrième cycle des landes perdues est un peu spécial car il renoue directement après les événements intervenus dans le premier cycle sans se replonger dans un lointain passé.
On retrouve surtout notre légendaire héroïne Sioban qui vient combattre le Niddhog, un monstre issu de légendes maudites. Elle doit faire face à sa terrible cousine qui use de la magie noire pour conquérir le pouvoir.
Elle a surtout réussi à corrompre totalement l'âme de notre chevalier du pardon à savoir Seamus. Sioban va tout faire pour le sauver et l'arracher des griffes de sa maléfique cousine. Cela passera également par de la magie. On se rend compte que le mal peut tout corrompre et être également au cours de l'amour.
La folie Seamus nous indique qu'il faut frapper au cœur de la folie et pas nécessairement au cœur de l'homme. Reste à savoir si Sioban parviendra à ses fins. Je trouve que cet avant-dernier tome du dernier cycle est plutôt réussi.
Le dessin de Paul Teng est toujours aussi appliqué à reconstituer cet univers d'héroic fantasy pour notre plus grand plaisir. Cela reste dans un style classique mais qui rappelle le trait de Rosinski, dessinateur du premier cycle. Bref, que du bénéfice pour cette série.
La complainte des landes perdues est une série qui a réussi à traverser 4 décennies avec toujours le même parfum. Certes, il ne faut pas se perdre dans les méandres du récit mais on reste attaché à la belle et courageuse Sioban qui montre le chemin à accomplir pour s'en sortir.
Je mets une note de 3 pour la qualité exceptionnelle des dessins, mais sans cela j'aurai plutôt mis 2 pour un scénario assez prévisible si ce n'est une sorte de rédemption dans laquelle je n'ai pas compris grand-chose.
Et que dire du découpage parfois aléatoire.
A force, dans cette série qui dure depuis trente ans, je finis par ne plus savoir qui-est-qui et qui-fait-quoi. Je prends chaque album presque comme un one shot. Vivement que ça se termine.
La complainte des landes perdues était au départ un classique de l'héroïc fantasy dans les années 90 dans le genre médiéval-fantastique. Bien des années après, il y a eu trois cycles entre les Chevaliers du pardon, les Sudenne ou les Sorcières afin d'exploiter tout le potentiel de la série originelle, commercialement parlant.
Il faut savoir que le cycle 3 a commencé avant le cycle 2 et on se perd vraiment avec la parution des albums dans un ordre assez anarchique. Mais bon, l'excellente dessinatrice Béatrice Tillier prend son temps pour produire un album de qualité graphique. Il y aura 4 albums pour clôturer ce cycle.
A noter que pour compliquer le tout, on s'éloigne assez de la temporalité des autres cycles. Du coup, il est vrai que l'ordre de parution importe peu mais bon.
Evidemment, c'est toujours aussi somptueux au point de vue du dessin qui fait dans l’élégance des costumes et dans le détail des décors. Cela en jette plein la vue. Je vais faire un aveu : je pense que nous sommes en présence de la meilleure dessinatrice dans la catégorie féminine. Cela me paraît indéniable. Graphiquement, on frôle la perfection, c'est superbe en tout point.
Au niveau du scénario, c'est assuré par un Jean Dufaux au meilleur de sa forme et qui utilise tout les ingrédients qui ont fait le succès de la série: magie et sorcellerie, monstres fantastiques, ambiance sombre. Oui, on a là une fresque assez ambitieuse. C'est sans doute le cycle le plus réussi de la saga.
Au final, une réalisation de haute volée pour un récit prenant.
Mauvais!!!!!! Une écriture terne!!!!!! Un scénario fadasse!!!!!!
Pardonnez-moi l'abus de points d'exclamation, je me suis laissé influencer par le style de l'album qui les surutilise pour essayer de soutirer une quelconque émotion au lecteur.
Trêve de plaisanterie, c'est véritablement l'une des pires BD que j'ai eu le malheur de lire récemment. Le scénario est d'une simplicité inouïe, avec des dialogues d'une platitude déconcertante.
- Jamais une femme ne commandera le Greenwald!
- Les femmelettes aux cuisines, les hommes sur les champs de bataille!
- C'est vrai que tu as l'air redoutable avec ta hache! Tu ne dois craindre personne... - Surtout pas une femme!
- Tu plaisantes! Jamais un sacrifié n'affrontera une femme! C'est l'insulter, l'humilier!
Waouh! Quelle originalité! Quelle subtilité! Quel symbole!
Sioban rétorque : "Mmm... je connais la chanson. Toujours la même, d'ailleurs." Exactement! Toujours la même! Y a-t-il quelque chose de plus banal et d'éculé qu'un auteur qui met dans la bouche de ses personnages de tels mots pour dépeindre des machistes avec une personnalité plus mince que des feuilles de papier?
Mais ça, c'est vraiment la pointe de l'iceberg.
Le scénario est risible. Les personnages ne sont pas intéressants. Les raisons qui mènent au combat contre le Niddhog reviennent à dire que Sioban a glissé sur une peau de banane. Le harfingg représente un dispositif qui ne sert qu'à faire avancer l'intrigue de manière peu crédible. Les instincts de Sioban sont des deus ex machina. Aylissa est une méchante qui fait penser à une parodie, à un pastiche de méchant de mauvais film. L'attaque contre Seamus est un tour de passe-passe qui entérine le manque de crédibilité et d'imagination du scénario.
Dans l'ensemble, il y a un cruel manque de créativité dans le scénario, de naturel chez les personnages et de subtilité dans les dialogues -- la Complainte des landes perdues s'est réellement perdue.
j'adore cette série mais j'avoue un faible pour les dessins de B Tillier et ceux de P Delaby.
ces dessinateurs sont au dessus des autres même de G Rosinski
c'est un véritable plaisir de découvrir les dessins de cet album les uns après les autres et un déchirement de devoir tourner la page.
seul regret, les planches sont un peu moins agréables en N/B.
cela vient du fait que B Tillier étant également coloriste les conçoit en fonction de la mise en couleur et atténue donc les trais de certains dessins.
sans connaitre ce "détail" il est possible de penser à des erreurs d'impressions.
le scénario est dans la ligné des autres albums de haute qualité.
bref, rien à jeter tout à garder.
Un tome centré sur la magnifique et terrible cousine de Sioban, Aylissa.
J'ai trouvé certaines parties de l'album de facture très classique, voilà pourquoi je mets un 3 pour cet album.
Mais c'est toujours de l'excellent travail, des dessins superbes et on attend la suite !!!
Jean Dufaux est toujours aux commandes du scénario pour ce tome de la complainte des landes perdues. Dans ce cycle « Les Sudenne », c'est le dessinateur néérlandais Paul Teng qui a le défi de reprendre la saga avec les personnages et notamment notre héroïne de toujours que l'on retrouve à savoir Sioban.
J'ai failli louper la date de sortie de ce titre car cela entraîne de la confusion chez le lecteur qui attend toujours la suite du cycle 3. On a commencé un nouveau cycle sans terminer le précédent ce qui, avouons-le, n'est pas très orthodoxe. Certes, on pourra objecter qu'il ne s'agit pas de la même temporalité.
Par ailleurs, on ressent beaucoup l'influence d'une série comme « Game of Thrones » notamment au travers le perosnnage de cette cousine machiavélique de Sioban se prénommant Aylissa qui intrigue pour conquérir le pouvoir. J'ai un peu de mal à retrouver les charmes du tout début de cette saga avec le cycle de Sioban où c'était moins compliqué.
Il y aura une scène assez bien marquée avec le combat contre le dragon. Le soufflet va un peu retomber vers la fin avec une intrigue un peu plus individuelle avec le conseiller Seamus se retrouvant en mauvaise posthure.
Pour autant, l'intérêt de cette série est relancée grâce au retour de notre héroïne qui aura forte à faire. Le thème récurrent reste centré sur la notion d' amour et de mal comme pour mieux souligner une certaine dualité. On s'éloigne du standart classique pour explorer des pistes bien plus sombres.
Le dessin de Teng est assez agréable et gagne encore en profondeur et en densité pour se coller au mieux à l'histoire et à l'ambiance de cette série.
Que dire de plus quand on a une intrigue parfaitement maîtrisée et des dessins soignés ? Vivement la suite !
Déjà, dire que ça fait plaisir de retrouver un rythme de parution "normal", soit juste 1an après le précédent opus!
J'ai correctement aimé cet album que j'ai trouvé +dynamique que le précédent.
Je ne mets "que" 3 (mais ça signifie "bon album", quand même! Un "3,5" aurait été +mérité) plutôt que 4 car je trouve que même si le scénario est riche, il ne fait pas forcément beaucoup avancer le cours de cette histoire. Et également car si le dessin est merveilleusement détaillé, on retrouve quelques approximations notamment dans les personnages que, parfois, j'ai eu du mal à reconnaitre.
En tous cas, j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce 14ème tome!
"Le retour de Sioban"
Mouais, eh bien, c'est raté, hein. Qu'est-il arrivé, au juste? Tous les défauts de Dufaux ressortent en force dans cet album. Les personnages réagissent de manière bien peu crédible, et ne servent qu'à indiquer au lecteur quelque chose qui n'était pas nécessaire d'expliciter en premier lieu.
Exemple : la cousine de Sioban saute par-dessus une falaise avec un cheval. SIoban la regarde et s'exclame : "Wowww! Elle a réussi." Hahaha, plus artificiel que ça, tu meurs. Deux cases plus tard : "Elle me défie! Je n'ai pas le choix!" La grande Sioban qui agit comme une enfant. Même le "Owwwwwwww!", alors qu'elle est en train de tomber... c'est caricatural! Et quand le Zorkal l'attaque : "Oh non!!!", et encore la rencontre du monstre : "Non!!! Ce n'est pas possible!!!", et d'autres conversations bien peu naturelles : "!! Vous, ma cousine!!"...
Allons, c'est pas sérieux. J'ai louangé le talent d'écriture de Dufaux dans le cycle des Chevaliers du pardon en particulier. Ici, force est de constater qu'on n'est plus du tout mais vraiment plus du tout au même niveau. Et ce n'est pas tout, à peu près toutes les conversations et situations sont pesantes, cocasses et à la limite risibles. L'homme qui tente de casser la porte à la hache, la rencontre de Sioban avec les O'Kallan, le Niddhog qui tue généralement la moitié du clan sauf cette fois, qui étrangement les tue tous (il faut bien mettre Sioban en valeur), etc.
Déjà que j'avais trouvé les deux premiers tomes des Sorcières assez moyens, ici on tombe encore plus bas. Pourquoi, d'ailleurs, avoir mis les Sorcières sur pause pour ramener Sioban? Dufaux prétend que c'est parce qu'il continue de penser à elle, mais serait-ce plutôt pour tenter de ramener une partie du lectorat au bercail? Je me le demande...
Grosse déception.
J'ai pleuré deux fois sur cet album.
La première, lorsque j'ai lu la préface de Jean Dufaux écrite en mémoire de son ami Philippe Delaby.
La deuxième, lorsque je me suis rendu compte que cet album était nettement inférieur aux trois précédents.
Bon, premièrement, c'est QUOI cette police de caractères??? On est passé d'un beau lettrage fait à la main (ou du moins ça en avait l'air) à une police écrite à l'ordinateur sortie tout droit de votre logiciel de traitement de texte. Argh! Mes yeux brûlent!! C'est laid, re-laid et archi-laid!!! C'est mécanique, c'est artificiel, c'est sans âme, c'est affreux... comme une Morigane sur le point de mourir. Ça entache le récit! Ça le rend inorganique! Commercial!
Qui est la tête pensante chez Dargaud en 2014 qui s'est dite - à partir de maintenant on fait comme ça! On s'en fout de la continuité avec les tomes précédents, c'est comme ça un point c'est tout! Probablement pas un lecteur de BD. Incroyable, ces maisons d'édition et leurs décisions calamiteuses, parfois. Je pourrais en nommer plein d'autres, comme ça, qui ont parfois ruiné des collections pour d'autres raisons... C'est impardonnable. Si les fontes n'avaient changé qu'à partir du prochain cycle, ça m'aurait moins dérangé.
Bon. Ok. Qu'en est-il du récit lui-même? Eh bien... où est passée l'écriture, ici? On s'étale, on s'exhibe, on s'expose... Plus de narration, moins de concret. Le début est bon, mais le voyage de Sill Valt et une bonne partie de la section avec la Dame à l'Hermine sont assez peu intéressants. Étrangement par contre, à partir du moment où Jérémy reprend la plume au dessin, la plume de Dufaux à l'écriture semble elle aussi reprendre un peu du poil de la bête.
Il reste que, ultimement, cet album est beaucoup moins intéressant que les autres. Ça manque de subtilité, de cérébralité, de beauté. Sill Valt méritait mieux.
== Avis pour les tomes 5 à 7 ==
(Mon avis sur le tome 8 sous les avis du tome 8...)
Waouh. Encore meilleur que le premier cycle! Quelle excellente série concoctée par Jean Dufaux. Qui plus est, terriblement bien écrite. J'ai trouvé le deuxième cycle un peu moins poétique que le premier, mais avec une écriture plus concise, plus brève, plus percutante. Bien sûr, la surutilisation des points d'exclamation est encore présente, mais on peut pardonner cette légère bévue lorsque l'on se perd dans un texte aussi captivant.
Le scénario est terriblement bien ficelé, s'échelonnant sur trois albums de manière impeccable; on sent que tout avait été pensé d'avance. Et moi, en général, je n'aime pas ces histoires moyenâgeuses avec un dessin réaliste. Mais cette chasse aux sorcières avec sa magie et ses démons refuse de vous laisser partir. Surtout, ce qui est encore plus impressionnant, c'est que les sorcières sont véritablement les méchantes, ici! Un véritable vent de fraîcheur!
De plus, ce que j'avais reproché au premier cycle n'est point ici. Pas d'Ouki! Pas de personnage qui vient apporter sa légèreté au récit! Pas d'humour, ou à peine une trace. C'est sérieux, c'est sombre, c'est ténébreux. Pas de personnages qui expliquent au lecteur ce qui se passe non plus.
Pour le premier cycle, j'écrivais que La Complainte des landes perdues n'était peut-être pas à la hauteur de son dithyrambe. Ici, elle l'est. Quelle incroyable série.
Alors merci, vous qui avez laissé des avis avant moi, de m'avoir fait découvrir cette série que je rangerai désormais dans ma bibliothèque personnelle.
" - C'est bien. Tu lui as parlé avec sévérité.
- Et il m'en coûte. Car je l'aime comme un fils. "
-- Avis pour les quatre premiers tomes --
De Dufaux, je ne connaissais que Beatifica Blues (que je n'ai pas du tout aimé) et Samba Bugatti (que je n'ai pas du tout aimé). Quand j'ai lu les éloges pour cette série, je me suis dit qu'il fallait que je m'essaye. Mais je ne m'attendais à rien.
Beaucoup de BD classiques sont primées sur BDGest, et parfois je me demande si c'est seulement pour leur importance dans le canon de la BD plutôt que pour leurs véritables mérites en tant qu'histoires qui peuvent transporter le lecteur.
Mais j'ai été agréablement surpris par la Complainte des landes perdues. Je ne me suis pas ennuyé, et je n'ai pas senti le besoin de me mettre à lire en diagonale pour en arriver à bout plus rapidement.
Si au départ les dessins ne me plaisaient pas trop, j'ai fini par apprécier cette sorte de brume qui balaie tous les décors. C'est toujours gris, toujours sombre, toujours froid -- ça donne le ton à cette histoire somme toute assez triste.
Le texte sait également se montrer lyrique et poétique par endroits, une nécessité selon moi dans ce genre de récit fantaisiste qui fait appel aux légendes anciennes et aux noirs desseins. C'est d'ailleurs selon moi ce qui fait la force du récit.
On a l'impression que les deux premiers tomes étaient originalement destinés à former une histoire complète, mais la suite présentée dans les tomes 3 et 4 coule assez naturellement.
Par contre, certaines épines couronnent l'ensemble. Les personnages parlent parfois avec trop d'hyperboles, ce qui dilue l'aspect réel de leurs personnages, et ils expliquent parfois le dessin au lecteur, pour être sûr que celui-ci comprenne, alors que le dessin pourrait parfois valoir mille mots. Ce sont des problèmes qui existent encore dans la BD moderne, mais qui selon moi étaient plus prévalents à l'époque.
D'un point de vue plus personnel, l'Ouki qui est censé représenter le grain d'humour du récit ne m'a pas enchanté plus qu'il le faut. Il réussit tout de même à jouer un rôle qui exacerbe le mal d'un personnage et on finit par s'y attacher malgré tout.
Ultimement, la Complainte des landes perdues (du moins son premier cycle) est un récit qui n'est peut-être pas à la hauteur de son dithyrambe, mais qui est tout de même plutôt bien pensé, bien dessiné et généralement bien écrit, ce qui donne envie de continuer à tourner les pages jusqu'à la dernière. (3,5/5)
Je lirai assurément le prochain cycle.
Inconditionnel de cette série depuis son tout premier tome, il y a ... (j'ose même pas dire quand !) longtemps, j'ai retrouvé avec un plaisir enchanteur la reprise de cette série.
L'explication préalable de l'auteur sur le déroulement des différentes sous-séries est indispensable et nous remet en perspective l'ensemble. de l'oeuvre Le dessinateur a changé, et si je regrette toujours Rosinski (pour la première sous-série), et si j'estime que personne n'égale encore Dufaux (pour la deuxième), on finit par entrer dans l'univers de Teng, surtout dans les pages d'action très réussies, et retrouver le plaisir de vivre les nouvelles aventures de SIOBAN.
Le scénario n'est pas hors du commun, mais le plaisir est intact et cette série reste un grand bonheur à lire et relire...
Au risque de détonner : Bofff...
Déjà, en préface plutôt que les états d'âmes de Jean Dufaux qui ne concernent que lui, j'aurai apprécié un "résumé" car le premier tome date de 28ans et le dernier de 3ans. On a le droit d'avoir un peu oublié l'histoire!
Le scénario n'est pas très surprenant et à peine plus captivant, même si vers la fin on commence à se mettre dans l'ambiance. Sauf que ... c'est la fin! Alors c'est un peu lent et long!
Le graphisme est peu convaincant avec des approximations dans certaines proportions et des dessins de chevaux parfois hasardeux.
Tout ça pour ça?...
Passer "après" Béatrice Tillier est toujours compliqué. Même si cet album n'est pas la suite du cycle précédent, difficile de ne pas faire la comparaison.
ici, retour au "style" Rosinski, effectivement. C'est plutôt réussi, il faut avouer.
L'histoire se laisse lire, mais comme je lirais les différents cycles de "Sambre", en ayant un peu oublié qui est qui et pourquoi. Une relecture de l'oeuvre dans son ensemble, quand elle sera achevée, sera nécessaire pour peut-être apprécier totalement ce titre.
Un titre de qualité, mais quelle postérité, dans 20 ans ? Dans 50 ans ?
Comme toujours, tout simplement excellent.
La Complainte des Landes perdues est mon oeuvre préférée et ce nouvel opus est dans la même lignée que l'ensemble des autres tomes.
C'est un nouveau cycle mais l'ambiance faite de violence, d'intrigues, de mystères et de magie est toujours présente.
D'abord, je souhaite dire que La Complainte des Landes Perdues est une des plus belles séries qui m'ait été donnée de lire. Lorsque j'ai pris en main l'album et que je l'ai feuilleté, j'étais un peu déçu et même hésitant pour finaliser mon achat. J'avais l'impression que cet album allait être très linéaire, fade et sans beaucoup d'actions. L'absence de Béatrice Tillier m'a fortement peiné pour être honnête. Aussi j'ai été agréablement surpris du talent de Teng, pendant la lecture de ce bel album que j'attendais depuis longtemps. Une réussite totale. Comme le tome 6 de Blacksad dont j'espère la suite au moins aussi chouette, il y a dans la bande dessinée et bien heureusement assez souvent des surprises comme on les aime. En voici une.
Même si le thème de la magie et la noirceur présentes aux précédents albums sont un peu absentes ou trop légères dans ce numéro, je dois avouer avoir été bien surpris. Le dessin est d'une richesse rare et il est franchement éblouissant même si tout n'est pas aussi détaillé et semble plus rétro, on se rapproche étrangement mais de très loin, des premiers albums. Teng, au talent très différent de celui de Béatrice Tillier, mais doté d'un don pour ce travail d'une qualité rare et inattendue, les cases sont richement et intelligemment chargées, pas de triche ou des fonds bidons, creux et fades. Tout est époustouflant et absolument en corrélation avec l'ensemble de la série. J'espère que la suite sera aussi belle. La colorisation manque toutefois un peu de couleurs vives, mais les visages des jeunes filles sont carrément splendides. On pourrait se demander où sont les sorcières, les démons, les malédictions et autres et pourtant tout est équivalent ici.
Le scénario est bon également, on démarre doucement avec la porte, le gardien, et on rentre déjà dans le conflit, et une fois dans l'histoire, on n'arrive plus à en sortir, surtout indemne. On est absorbé et fasciné. Le talent du dessinateur trouve toute sa splendeur dans l'expression de l'hypocrisie par les membres du château, surtout la cousine, peut-être pas représentée de façon assez méchante mais dont la sournoiserie est ressentie dès le début et Lord Heron. Puis l'affaire avec son époux, un tronçon de scénario déjà-vu. Sioban reste naïve mais sûre d'elle, de sa force et de son pouvoir qui lui reviennent de droit et convoités par Lord Heron. Elle est la chevaucheuse de dragon.
Un numéro supplémentaire pour cette série géniale, a acheter sans l'ombre d'une hésitation. J'espère que mon commentaire permettra des améliorations pour la suite de la série. Aux auteurs : n'arrêtez pas cette série ou ce cycle, ce serait vraiment dommage. Carrément content. Soixante planches sublimes sur papier glacé avec un quatrième de plat rose. Alors pour tous les fans, aucune hésitation pour ce nouveau cycle : Une petite pépite.
cet album se situ après Kile of the Klanach.
c'est en quelque sorte la suite.
graphiquement il est dans la ligne de Rosinski et s'éloigne de celui de Delaby et des autres dessinateurs ayant dessinées les autres époques.
c'est une bonne chose car il y a un certaine continuité.
le scénario est bien prenant et donne vraiment envie de lire la suite.
décidément les lande perdues ne donnent pas envies de s'y rendre tellement ce monde est dur et noir.
On retrouve la charmante Sioban qu'on avait un peu perdu de vue depuis la fin du premier cycle il y a 25 ans. Ouais, quand même ! A noter que l'auteur Dufaux s'engage dans un quatrième cycle avant même de terminer le troisième ce qui est plutôt audacieux mais qui ne va pas vraiment dans le sens de la cohérence de l'histoire globale. Qu'importe, on sait que certains dessinateurs mettent du temps pour accomplir leur tâche surtout quand ils sont perfectionnistes.
On peut dire que décidément Sioban n'a pas de chance avec sa famille. Elle apprend qu'elle a une cousine qui va se marier à un homme assez rustre que notre belle héroïne a dû mater. Et puis, il y a cet oncle Lord Heron qui semble bien cacher son jeu pour obtenir toujours plus de pouvoirs. Bref, elle va avoir forte à faire. Heureusement que le chevalier Seamus veille à ses intérêts.
Un mot sur le graphisme de Teng pour souligner qui colle à merveille à cette histoire de princesse sans royaume. Il y a certes un côté un petit peu plus vieillot que le dessin de Béatrice Tillier mais on s'y fait quand même.
Pour le reste, j'ai bien aimé ce récit qui se divise en plusieurs parties fortes intéressantes. Il est question d'une mystérieuse porte qui cache un Niddhog que jadis a combattu notre héroïne et qui semble être l'objet de toutes les convoitises. Il y a comme un air de « Game of thrones » ou le futur « House of Dragon ».
Mais bon, comme la qualité est au rendez-vous, cela demeure une lecture bien plaisante afin de poursuivre l'aventure bien mystérieuse de la belle Sioban.
Je mets ce commentaire parce que j'ai oublié tout simplement. Alors comme déjà dit, cette série est de mieux en mieux, je crois que nos deux auteurs sont la symbiose parfaite des chefs-d'oeuvre futurs enfin je l'espère. Époustouflant !!!! La meilleure série de tous les temps.
Ce second cycle se situe avant l’histoire originale de La Complainte des landes perdues avec une amélioration au niveau du dessin dont la reprise est assurée par l’excellent Philippe Delaby, un dessinateur hors pair, qui montre encore une fois sa maîtrise consommée du graphisme.
Ce qui pose véritablement problème est que ce nouveau cycle dénote totalement du premier. Le ton plus sombre n'est plus du tout le même. La manière d'aborder l'histoire diffère totalement. Bref, nous avons véritablement un excellent second cycle mais qui ne repose en rien sur le premier qui avait tant fonctionné.
Cependant, celui-ci aurait pu faire l'objet d'une nouvelle série totalement indépendante. Je pense que le plaisir aurait été d'ailleurs plus grand pour le lecteur amateur d'héroïc fantasy. La mode de multiplier des cycles à tout va dans la bande dessinée n'est pas forcément à suivre.
Par ailleurs, le fait de passer du tome 5 à un tome 2 d'un nouveau cycle dénote bien que les auteurs ne savent pas sur quel pied danser entre la continuité ou le renouvellement. C'est bien entendu réellement agaçant pour le collectionneur de bd qui devra tout bonnement accepter d'avoir 3 tranches différentes pour cette collection.
Le dernier tome de ce cycle (qui est en fait le tome 8 ) marque la fin de la collaboration entre le scénariste Jean Dufaux et son dessinateur Philippe Delaby qui est allé jusqu'à la planche 33. Annoncé comme cela dans la préface, je me suis posé des questions. Y a t'il eu une enième bataille d'auteurs avec abandon du dessinateur à la clé ? Non, en fait, j'apprends que l'un de mes dessinateurs préférés est décédé brutalement. Cela fait toujours un choc ce genre de nouvelle. Qui va dessiner le prochain Murena ? Bref, les choses ne seront plus jamais pareilles. Un mot pour dire que le remplaçant Jérémy a fait du bon travail pour conserver une certaine unité. C'est un album qui a accouché dans la douleur, c'est certain.
Un prochain cycle est d'ores et déjà sur les rails. La vie continue.
Note Dessin: 5/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4,5/5
Voici le 3ème cycle de cette complainte des landes perdues. Cela se fera sans l'un de mes dessinateurs préférés qui s'en est allé. Cependant, j'ai également beaucoup le trait fin de Béatrice Tillier qui s'adapte très bien à cette ambiance onirique. Finalement, au global, cette saga aura bénéficier des meilleurs dessinateurs.
Pour ce qui est du scénario, Jean Dufaux assure toujours pour donner de la magie et du mystère dans un décor médiéval. Je n'avais pas trop apprécié le changement brutal de tonalité entre le premier et le second cycle. Là, on est dans une certaine forme de continuité. Avec ce premier tome, l'histoire est déjà sur les bons rails qui laisse espérer un troisième cycle réussi. Curieux également que l'ensemble de la saga ne soit pas classé dans le médiéval fantastique?
J'en profite pour remercier le site et la maison Dargaud sans lequel je n'aurais sans doute jamais gagné cet album. Cela fait toujours très plaisir. Mais bon, ma bonne note n'est en rien liée. Je possède déjà les deux premiers cycles. La complainte fait partie de mes premières lectures. Bref, je suis fan.
Dans un pays poétique, aux multiples légendes, nous est contée l'histoire d'une famille royale, tourmentée par les malédictions.
Une légende mystérieuse prédit cependant que le jour où, dans les landes perdues qui virent la perte du dernier des Sudennes, Loup blanc, et de toute son armée, une complainte retentira.
C'est un récit bien poétique qui nous est conté sur fond de sorcellerie et de magie avec une légère touche d'humour personnifié par le petit animal de compagnie de l'héroïne : un petit Ouki assez malicieux. Cette histoire tragique au parfum d’irréalité demeure sérieuse.
J’aime beaucoup l’effet que font les 4 premières couvertures superposées. C'est un véritable mélange de celtique et de fantastique, bref un classique de l’héroic-fantasy !
Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4/5
Dessins superbes, scénario alambiqué mais bien foutu comme Dufaux sait les faire, cela ne renouvelle pas le genre, mais reste un bon moment de lecture.
C'était un véritable enchantement de lire Inferno. Au scénario, Jean Dufaux est toujours autant inspiré. Et il ne lésine pas sur les moments intenses en éliminant des personnages pourtant importants de l'histoire. Mais c'est surtout le trait fin de Béatrice Tillier qui apporte une touche féminine inédite à la saga. Tout comme ses couleurs magnifiquement travaillées, créant des ambiances fantastiques. On en redemande !
2 ème tome de ce nouveau cycle signé B. Tillier. Un dessin très travaillé, des personnages expressifs et des couleurs agréables. On attend la suite de la Chronique avec impatience.
Cet album est une bonne histoire de chasse aux sorcières. L'histoire est prenante et les dessins sont globalement corrects. Les monstres sont bien réalisés.
Tout bonnement magnifique. Succube au rendez-vous, ensorcellement, érotisme, malédiction, beauté, couleurs, Cryptos créature des enfers, Moriganes... un panoplie extraordinaire de choses pour cette sublime série. Je recommande à tous ceux qui ne connaissent pas les légendes les plus noires de ces landes. Si les contes de fées existent, je vous invite à découvrir les contes de sorcières... Un must absolu et la meilleure série de tous les temps.
Et oui toute la série d'une seule traite, la série la plus chouette de tous les temps... UN MUST ABSOLU
Rien que pour la série, cette album mérite tout autant que les précédents. Personnellement, quand une série existe, et qu'un nouvel album sort, on a tendance à noter durement parce que souvent on est un peu déçu mais ce n'est pas une vraie déception c'est plutôt une insuffisance ou une asymétrie par rapport à ce qu'on attendait. Par contre, si on relis tout, ce qui est toujours mon cas, on prend du recul et JE DIS : de mieux en mieux. Qualité inégalée pour cette magnifique série
Le mal est au cœur de l'amour. N'est pas ça la devise des complaintes ? Série inégalée dans sa noirceur, ses dessins, ses scénarios, çà mériterait le grand prix de l'imaginaire façon BD. Si vous ne connaissez pas La complainte des Landes perdues courrez vite chez votre vendeur le plus proche et surtout commencez par le début, ainsi au fil des albums, vous allez "fumer de la tête".
UN MUST ABSOLU
Un chef d'œuvre du genre, la série est sublime, jamais aucune série, n'a pu atteindre ce degré de travail, de couleurs, de talents. Empreinte d'une noirceur inégalée dans ce genre et largement supérieure à Murena cette série n'est que sous-estimée et méconnue parce que franchement elle devrait se retrouver chez tout collectionneur et après la lecture de cet album, on n'en a malheureusement jamais assez, c'est carrément magnifique. Je félicite Béatrice Tillier pour sa dévotion à son talent et à son travail, les détails des personnages, des visages très réussis et beaux, avec une légère influence et/ou ressemblance aux femmes de Manara, s'il vous plaît continuez cette série... et n'oubliez pas toujours un peu d'érotisme. Pour Jean Dufaux je n'ai rien à dire, c'est parfait... Cette série est la plus belle, la plus intense, la plus accrocheuse de tous les temps, et ne faiblissez pas. Et toujours plus noir... c'est malheureusement ce qui nous attire. ABSOLUMENT INDISPENSABLE
ça fait longtemps que j'ai lu le premier cycle, mais comme déjà dit, un étrange dessin, des personnages sombres et de sombres légendes, cette série restera pour moi, avec Borgias et Murena les plus belles séries de la BD.
ça fait longtemps que j'ai lu le premier cycle, mais comme déjà dit, un étrange dessin, des personnages sombres et de sombres légendes, cette série restera pour moi, avec Borgias et Murena les plus belles séries de la BD.
Certes le dessin me plaît un peu moins que sur les autres cycles (parfois on dirait du Servais), mais il reste de très bon niveau avec une lecture très fluide. Le tout est très équilibré et donne envie de connaître le destin de tout ce joli monde.
Que dire... à part que cette série est la meilleure de l'histoire de la bande dessinée !
Les 10 tomes sont exceptionnels tant au niveau des graphismes, du scénario, que de l'ambiance.
Une pure merveille...un régal pour les yeux...cette version noir et blanc fait ressortir toute la magie et la beau té du coup de crayon de Béatrice Tillier bien mieux que les versions colorées en général...un grand bravo ainsi qu'à Jean Dufaux...vivement la suite