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Difficile de se passionner pour « X-men : L’arme douze ».
La première partie avec une équipe B de X-men et le ridicule Fantomex ne fonctionne pas du tout.
De plus les style de Leon et de Kordey passablement affreux ne font rien pour sauver ce cauchemar visuel.
L’histoire finale est également laborieuse avec cette bande d’apprentis mutants en rébellion.
Seul l’épisode sur Genosha, audacieux et superbement dessiné par Jimenez relève le niveau mais cela demeure bien insuffisant.
Finalement on ne retient pas grand chose de palpitant de « X-men : L’arme douze » qui met volontairement peu en avant les grande figures historiques de la série.
Voulant renouveler la série en introduisant de nouveaux personnages comme Xorn qui fait office de grand frère avec des teen agers mutants dotés de pouvoirs ridicules (un bon à rien à tête d’oiseau, une pseudo rebelle black doté d’ailes de papillon, une petite fille transportant un cerveau en laisse et un espèce de vent nauséabond piégé dans une combinaison ) Morrison innove, mais force est de constater que l’entreprise tourne rapidement court tant ces nouveaux personnages se montrent d’une faiblesse inouïe.
N’est pas Chris Clermont et John Byrne qui veut sans doute.
Plus d'informations ici : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2022/01/x-men-larme-douze-grant-morrison-franck.html
renouant avec le coté larger than life de la série, « X-men : E comme extinction » est une longue et passionnante aventure riche en rebondissements qui tient en haleine le lecteur du début à la fin.
Comme il l’affirme dans son manifeste, Morrison refuse toute influence passéiste et choisit de donner un nouvel élan aux X-men en créant le double démoniaque de leur mentor, une femme aux surpuissants pouvoirs télépathiques et à la haine inextinguible à l’encontre des mutants.
Redoutable tortionnaire mentale, Cassandra Nova va prendre à malin plaisir à faire ressortir les faiblesses de nos héros et parmi eux Cyclope et surtout le Fauve complexé par son physique de plus en plus bestial seront les plus secoués.
Mais « X-men : E comme extinction » met surtout en avant les femmes, Jean Grey bien entendu en tant qu’icône incontournable de l’univers Marvel mais aussi Emma Frost l’ex reine blanche devenue l'un des plus séduisant piliers de l’équipe et une insupportable tentation pour la fidélité de Cyclope.
Cerise sur le gâteau, les dessins de Quitely d’une beauté et d’une force à couper le souffle viennent parachever le chef d’œuvre.
Outre l’épisode made in China assez réussi de Leinil Francis Yu on appréciera également le travail de Ethan Van Sciver dont les pages narrant l’affrontement entre le duo Emma-Jean et Cassandra pour libérer l’esprit de Xavier confinent au sublime.
Seul le style plus grossier d’Igor Kordey sur les épisodes spatiaux semble ici en deçà de celui des maîtres précédemment cités.
Mais globalement il n’y a pas grand chose à rejeter de ce « X-men : E comme extinction » qu'on peut qualifier de grand cru.
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/12/x-men-e-comme-extinction-grant-morrison.html
Dernier tome des New X-Men et du travail de Morrison sur les mutants. Cette conclusion est à la hauteur de tout ce que l’écossais à livré jusque là, c'est-à-dire excellente. Les masques tombent, la vérité éclate et le moins que l’on puisse dire c’est que « Momo » s’est bien joué de nous.
La deuxième partie du récit nous emmène dans le futur, 150 ans plus tard pour un résultat étonnant et détonnant qui risque de faire chauffer les méninges mais qui est indéniablement de qualité.
Ce tome de grande qualité conclut un run tout aussi excellent qui fera date dans l’univers des X-Men.
Je n’avais plus lu d’aventures x-meniennes depuis au moins 20 piges. A l’époque, on pouvait les suivre dans Spidey. Et, comment dire… je n’étais plus séduit par cet univers trop gentil et classique, comme dans beaucoup d’histoires Marvel. Alors j’ai tenté le coup avec cette trilogie dont je finis le 1er tome aujourd’hui. Premier constat, dans l’ensemble, cela correspond à mes attentes : scénario plus dark et mature, graphismes assez singuliers. Néanmoins, y a quelques passages trop vite expédiés et cela aura surement désarçonné un grand nombre de lecteurs plus sensible à la narration que moi. Côté dessin, c’est pas mal mais c’est par encore ça. Y a des planches qui sont vraiment limites, comme celles de Kordey. Cependant, ce dernier ramène une petite touche punky façon Scalped pas désagréable. Je pense me laisser tenter sur le second opus, car j’avoue que les dernières pages se déroulant dans le psyché de Nova avec Jean et Emma m’ont particulièrement diverti.
J'avais lâché les x-men au début des années 90 et cet album permet de les retrouver, mais que de changements : des nouveaux venus, des anciens toujours fidèles, des méchants devenus gentils, ...
Globalement, j'ai quand même du mal, est-ce du aux changements de dessinateurs entre les épisodes ou à une impression de faits démesurés dans ces nouveaux scénarios.
Ce recueil permet de voir comment les x-men ont évolués, mais ne me donne pas envie d'y revenir régulièrement, j'ai du évoluer aussi ...
L'évolution dramatique de ce troisième volet de la saga des nouveaux x-men est évidente, entre un scott summers perdu dans ses sentiments (ou leur absence, c'est selon), la révélation de xorn (là, j'ai pas tout compris, et je cherche encore le rapport, surtout au vu de certains épisodes précédents), la prise de manhattan (impressionnante) et la mort d'une figure emblématique (un peu expédiée et limite à mon goût). Malgré l'absence de quitely, le dessin reste sublime dans l'ensemble (la partie au club des damnés par bachalo est une petite merveille) ; le travail de jimenez est excellent, à l'exception du dernier épisode, qui est une horreur en terme de cadrage sur le combat final, un bordel indescriptible où les personnages apparraisent et disparaissent (dans le style "chaque héros combat à tour de rôle le méchant"), dans des cases sans fond. Un comble pour ce dessinateur, vu ses planches précédentes hyper travaillées. Ca laisse un léger goût amer dans la bouche, mais on en redemande encore quand même... Ca reste tellement meilleur que toute la production x-men des années 90.
La saga des nouveaux x-men continue avec ce tome deux, toujours excellent. La saga des oméga-men fait très série-télé, mais c'est du bonheur total ; tandis que la partie arme 12 est plus confuse, bien que très prenante également (par contre, ce nom de perso, fantomex, c'est risible). Concernant les personnages, xorn est très intéressant (son aventure en solo est émouvante) et la présence de la reine blanche, en contrepoint parfait de jean grey pour le triangle amoureux établi avec cyclope, joue pour beaucoup dans la réussite de cette nouvelle équipe. J'avais un peu de mal avec le nouveau look du fauve, mais dessiné par quitely (qui réalise d'ailleurs un travail extraordinaire sur sa partie), c'est une pure merveille, notament dans la scène de poursuite du dernier épisode de l'album (une des plus belles séquences que j'ai lu dans un comics). On en redemande...
J'ai redécouvert récemment par le biais d'un passionné de comics les x-men, que j'avais laché au milieu des années 90 peu après le départ de chris claremont car je n'arrivais plus à m'y retrouver entre les 150 séries marvel estampillées x, avec des histoires compliquées aux diverses ramifications. Il m'a dit "tu vas voir, toute l'intrigue est centrée sur quelques persos et le ménage est fait autour." Pour sûr, quand on lit ce pavé, mais ce n'est pas tout. On parle ici de x-men réinventés, ou plutôt "reformatés", grâce au succès des films (voir le look des héros). Mais, heureusement, ces nouveaux x-men ne sont pas une déclinaison des long-métrages, mais au contraire une version plus sombre, plus "réaliste" (on abandonne le lycra et les personnages deviennent enfin sexués). Entre le graphisme magistral de quitely (un style clair et hyper précis) et kordey (j'adore ses cadrages), ainsi que les scénariis plein de surprises mais aussi assez extrêmes de morrisson, les x-men sont enfin (re)devenus adultes.
Un brin en dessous du premier, ce second intégrale des [i]New X-Men[/i] ne manque pas de bons moments pour autant. C'est la suite logique du premier volume où s'entamait l'arc de Morrison: Charles Xavier à révélé son identité au monde entier, son rêve s'amplifie grâce à la X-Corporation, Scott et Jean prennent leur distance tandis qu'Emma Frost devient encore plus présente...
Mon passage préféré est celui avec le Gang Oméga illustré par Quitely que j'apprécie toujours autant. J'ai eu un peu plus de mal avec l'histoire de l'Arme Douze dont je n'ai pas cerné tous les tenants (difficile d'en dire plus sans spoiler).
C'est un tome indispensable pour les fans X-Men de la nouvelle époque.
frenchement,j'es rarement lu une saga d'x-men aussi génialissime (et pour vous dire je ne loupe aucun numéros des x-men).Claremont n'aurait pas pu faire mieux sur ce coup la.C'est du jamais vu,on s'en prend plein les yeux,et on en redemande.Donc les oscars vont a Morrisson,Quitely,Yu,Van Sciver et a kordey (bien qu'il est un coup de dessin,a mes yeux,moin interessant que les autres)
Cet intégral regroupe les épisodes 114 à 126 des New X-men.
Dans l'ensemble, je trouve ce comic grandiose. Selon moi, il rejoint et même transcende la Saga du Phénix noir en terme d'ambiance, noire mais très adulte. Toute l'histoire est basée sur la nouvelle méchante de la série: Cassandra Nova. Et pour une méchante, c'est une méchante. Non seulement orgueilleuse et sadique, elle prend un plaisir certain à humilier psychologiquement ses adversaires (en l'occurence les X-men) lors de chacun de ses combats.
Le seul bémol à cet intégral, c'est l'inégalité entre les différents épisodes. Les numéros 114, 115 et 116 sont sublimes, tant au scénario avec Grant Morrisson qu'au dessin avec Frank Quitely, tandis que des épisodes, comme celui de Hong-Kong où l'on découvre Xorn, sont très fouillis.
J'avais depuis un bon moment laché les X-men car les histoires que j'ai pu lire récemment étaient dénuées d'intérêt. Trop de personnages, donc pas de psychologie, des combats. Et bon ça me fait suer ce genre de comics.
Mais là, suite aux avis élogieux glanés ici et là, je me suis lancé. Autant dire que c'est une divine surprise. Le scénar se rapproche de par la volonté de Morrison du style des films, donc on a droit à une psychologie sur les personnages, un ton d'histoire beaucoup plus sombre et réaliste, avec le questionnement inévitable du bien et du mal. Cyclope notamment n'est plus aussi lisse qu'auparavant, ainsi que jean, xavier, hank. Le grand vilain de l'histoire est génial et inattendu au possible. Les dessins sont à la hauteur, hormis Kordey sur certains épisodes qui est beaucoup plus fouillis au niveau du trait et donc dénote du reste. Dommage, mais le tout est vraiment indispensable.