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Les aventures de cet avocat qui fait penser à un Maître Vergès mais en plus jeune ne sont pas du tout désagréables à la première lecture. Il y a de bons jeux de mots (ex: Les Editions Traknar) et une satyre du monde de la bande dessinée avec en filagramme certainement un règlement de compte des auteurs en bonne et due forme dont les enjeux nous échappent totalement.
On reconnait en effet dans le premier tome la main mise d'un parti communiste sur une bande dessinée à savoir Pif Gadget et sur l'utilisation à des fins politiques de ce personnage emblématique d'une génération aujourd'hui disparu.
J'ai également été touché par l'hommage rendu au premier tome à Maurice Tillieux par son épouse.
Cependant, je ne suis guère amateur de ces histoires avec toujours cette ligne claire signé il est vrai du disciple d'Hergé : on ne peut pas mieux faire !
J'avoue que ces enquêtes sont un peu confuses et pas très rythmées avec trop de causticité. On sent cependant une certaine qualité que d'autres lecteurs pourront apprécier, mon humble avis étant purement subjectif.
Même commentaire que le précédentOn m'avait vanté un digne héritage de Gil Jourdan. j'avais hâte de découvrir. le dessin de Rodier est toujours superbe et digne de Tillieux Par contre le scénario est encore plus mauvais, linéaire, aucun suspens. Dommage, on comprend déjà que la série n'ira ps loin.
On m'avait vanté un digne héritage de Gil Jourdan. j'avais hâte de découvrir. Si le dessin de Rodier est effectivement superbe et digne de Tillieux, les scénarios sont assez quelconques pour ne pas dire mauvais. Dommage
Malgré un dessin agréable et dans l'esprit DUPUIS, on n'arrive pas au niveau des maitres. Les voitures sont un peu ratées mais le reste est assez correct.
Mais le véritable problème reste le scénario qui n'arrive malheureusement pas à relever le niveau.
C'est dommage car l'idée de départ est bonne, mais la mayonnaise ne prend pas.
Je suis toujours très gêné pour parler de cette série, j’adore et je déteste, je sais c’est très contradictoire !
Effectivement j’adore le dessin, qui me rappelle du Gil Jourdan très bien structuré avec sa propre touche. Le principe de l’avocat expert en bd et enquêteur en herbe me séduit.
Mais je déteste le scénario qui est très, très limite, tant au niveau de l’histoire que de l’humour.
Pourquoi tomber dans le vulgaire pour tenter d’essayer de nous faire sourire. Résultat des courses : raté !!!! Pire tenter d’exploiter le viol et la misère carcérale comme gags, c’est catastrophique et en plus insister, insister….je m’arrête là !!!
Certains jeux de mots sont souvent très difficiles d’accès et les dialogues sont parfois quasi-incompréhensibles….
Que dire de l’histoire…soupir !!! Pourtant l’idée était excellente, mais c’est trop décousu et pas assez travaillé, vraiment dommage, quel gâchis !
En conclusion, excellent graphisme mais hélas desservi par un scénario léger et un humour vulgaire !
Après deux premiers albums mi-figue mi-raisin, surtout sur le plan scénaristique, ce troisième album est un peu moins décevant. Un dessin toujours maîtrisé illustre une histoire assez linéaire sans grande originalité mais qui est parsemée d'une action rappelant fortement Gil Jourdan. Les premières planches nous font craindre le pire des précédents albums, avec une grossièreté qui s'affiche sans vergogne et un retour sur le "gag" vraiment vulgaire du viol en prison mais la suite nous rassure : les dialogue sont naturellement drôles et le passage dans le festival de BD très amusant bien que pas assez exploité. Ensuite, à part deux autres retours malheureux sur l'épisode prison et une affaire de fantôme innapropriée, l'ensemble se lit agréablement.
A la fin, on a du mal néanmoins à comprendre le choix du titre de l'album.
Voilà un album avec une aventure plutôt intéressante dans la lignée du précédent, des personnages plutôt pas mal utilisés et un petit côté rétro que j'aime bien. Cependant on pourra tout de même regretter certains dialogue plutôt douteux qui certes pouvaient passer à une certaine époque mais ici sont plutôt dérangeant malgré le côté classique de la grande époque avec lequel veulent renouer les auteurs. Celà restera le gros point noir de cette série hélas.
Un premier album peut toujours être raté, le 2àme est davantage révélateur. S'il y a du mieux, ce mieux reste malgré tout assez inconsistant. Dommage, dommage !
Rodier est un pasticheur hors pair (on lui doit des "faux" Tintin aussi vrais que les vrais) Il nous fait ici du Tillieux : chic !
Sauf que ce n'est pas du Gil Jourdan : ah ?
et que le scénariste ne s'est pas foulé : oh !
Le point fort de cet album est le dessin qui vous replonge dans l'univers de Tillieux. Dommage que le scenario ne soit pas à la hauteur. Une incompréhension : on trouve dans l'album à 2 reprises une diatribe anti Sarkozy, limite nauséabonde (le ministre est qualifié de nabot...). On a le droit de ne pas apprécier Sarko, mais je ne vois pas ce que ces propos viennent faire dans une BD de ce genre. Pour ça il y Libé ou l'Huma, et je n'ai surement pas acheté cette BD pour y voir exposer des opinions politiques, qui plus est de cette manière.
Du premier coup d'oeil, on songe tout de suite à un album assez bon, voir excellent. Bon. On ouvre l'album : impression confirmée, dessins magnifiques et plaisants. Jusqu'ici tout va bien. Cependant, c'est en entamant la lecture de l'album que cela coince. Les gags sont incipides et le scénariste semble persuadé qu'il faille passer par la vulgarité pour pouvoir atteindre l'humour du génialissime Maurice Tillieux. Premier point mort.
Passons les gags, côté scénario nous sommes bien loin d'une intrigue à la Gil Jourdan ou à la Félix, le scénariste ne parvient pas à tenir le lecteur en haleine et c'est, d'emblée, une mauvaise chose. En effet, les atmosphères que le scénariste souhaite créer reste mal exploitées. Ce scénario m'a laissé une mauvaise impression sur l'après-lecture et même, pendant la lecture en elle-même. Car je le confie volontier, c'est bien parce que j'aime finir ce que je commence que j'ai terminé la lecture des "Démons de Pertransac".
Les conversations entre maître Nian et son acolyte (censé, je dis bien censé, rappeller un Libellule ou un Allume-Gaz, du moins je le crois) sont parfois à la limite de l'incompréhensible. Bref, nous avons un album bien moyen, que le graphisme et le talent incroyable de Rodier sauve de justesse. Je le signale au passage, c'est bien par respect pour Yves Rodier et pour son dessin que j'ai achété cet album. J'espère qu'il ne passera pas toute sa carrière à dessiner Simon Nian, car c'est un auteur avec un potentiel énorme.
Un album relativement moyen que voilà. Le dessin est très bon et dynamique mais c'est plutôt au niveau du scénario que celà coince. En effet bien que l'univers dans lequel se déroule l'intrigue est intéressant (celui de la BD pour ne pas le citer) est bien trouvé et bien utilisé (le scénariste n'est d'ailleur pas très tendre avec les divers membres de la profession mais dans certains cas il tombe très juste) l'intrigue n'en demeure moins décousue et prévisible. C'est vraiment domage ça aurait pu être excellent.
Decevant
La couverture paraissait alléchante et effectivement pour le dessin d'Yves Rodier ( un jeune dessinateur prometteur ) c'est assez reussi. Ca ressemble à du Tillieux ( l' album est préfacé par ça fille )même si c' est moins lisible ( normal Tillieux est imbattable). Mais pour les textes Corteggiani nous avait abitué a bien mieux. Une enquête confuse, des dialogues non rythmés et un dénouement qui ne surprend pas. Bref, une BD très moyenne au niveau du scénario. En ésperant que le tome 2 annocé sur la 4ème de couverture " Les démons de Pertranssac " sera plus rythmé et moins confu...