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Tout ça est bon, bien dessiné, dépaysant, correct, correct ... précisément un peu trop correct. Rien de palpitant ; le scénario est prévisible, les albums de plus en plus verbeux, les rebondissements fatigants, les intrigues secondaires tout à fait secondaires. Tout ça, finalement, aurait gagné à être ramené à deux albums bien serrés.
La sueur du soleil c'est à dire l'or est une série honnête dans la plus pure tradition de la collection "Vécu".
Un jeune soldat espagnol perdu avec sa compagnie en pleine forêt amazonienne va tomber amoureux d'une jeune indienne. Cet amour sera mis à mal à travers les conquêtes ou plutôt les destructions des conquistadors espagnols qui venaient de découvrir ce fabuleux continent. Soif de l'or et goût du sang...
Ces aventures se suivent très bien. La mise en place de l’histoire est très agréable et on se pique rapidement au suspens. Les dessins notamment des richesses de la jungle sont assez réussis également.
Nous avons là un récit d'aventure historique fort plaisant à découvrir. Il n'en demeure pas mois que l'originalité de la série est quelquefois un peu éventée. Ce voyage au coeur des civilisations amérindiennes assure un dépaysement certain aux lecteurs nostalgiques des merveilleuses cités d'or.
On suit sans probleme les tribulations des deux heros mats sans surprises , on sait ou on va heureusement qu'ils nous restent les dessins car tout nous parait plus que previsible .Dommage car on est pris par l'histoire .
Fin de l'histoire et de la série. C'est bien dommage mais c'est logique.
Après moult aventures Quitos et Orocomay réussiront à s'enfuir de l'Eldorado. Quitos restant près de sa compagne choisit la vie dans la jungle.
Quant aux rares autres protagonistes survivants chacun ira son chemin dans une grande logique et une non moins grande morale (enfin presque).
Quant à l'Eldorado, il a bien sûr disparu (non, mais !).
Poursuite de la quête de l'Eldorado. Ceci nous vaut quelques épisodes tragi-comiques comme celui de ce prêtre devenu chaman (et cocaïnomane !).
Bien évidemment c'est la fin avec l'arrivée sur l'Eldorado qui retiendra l'attention d'autant que l'album se termine par un quasi cliffhanger.
Là encore les dessins de Mata, particulièrement ses décors font mouche.
Une bien belle série.
Jonction des tomes 1 et 2 de la série puisque tous les protagonistes s'y retrouvent.
Retour dans la forêt amazonienne, retour d'Orocomay (personne ne s'en plaindra compte tenu de la plastique de la dame !).
En fait l'album repose essentiellement sur les épaules du dessinateur car le scénario est assez en retrait. Coup de chance, Mata a les épaules assez larges pour supporter le poids de l'album (et à vrai dire de la série aussi !)
Nouvelle superbe histoire de ces temps de la conquête.
Nous avons droit au long voyage d'un groupe de migrants qui partent s'installer à St Domingue et qui chemin faisant vont rafler des Noirs comme esclaves.
Tout ce petit monde est évidemment assez peu recommandable mais comme la fin est somme tout morale, chacun y trouvera son compte.
Superbe hisoire que ce groupe tout à la fois de conquistadores et de bandits (à moins que les deux mots ne soient synonymes !) qui se trouvent confrontés aux tribus indiennes de l'Amazonie.
C'est un mélange d'"Aguirre, la colère de Dieu" et de "la Forêt d'Emeraude". Les dessins de Mata sont tout à fait envoûtants; quant aux couleurs elles sont simplement somptueuses.
La fin de l'histoire rappelle la fin de "l'épée du paladin" ou de certaines aventures signées Charlier.
Que du bon, que du bon !