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Ce tome est le suivant forment un dytique que j'ai beaucoup apprécié.
On retrouve les ingrédients habituels de Giacomo : séduction, combats d'épée, complots, bâtiments et costumes de Venise et des personnages bien connus dans la série.
J'ai mieux apprécié cette intrigue que toutes les précédentes. Le fait qu'elle soit ancrée sur un fait historique, la réparation d'une horloge, relève l'intérêt, mais c'est surtout l'intrigue que j'ai trouvée bien construite.
Bof, je n'ai pas autant aimé cet album que les précédents et suivants.
L'intrigue est succincte et peu prenante avec un joueur de cartes qui devient dangereux en prenant leur argent aux gens riches de la République de Venise grâce à sa "science" des cartes.
Il reste les décors et costumes de Venise, et cela a le mérite de se lire rapidement.
Je croyais avoir eu une bonne idée en découvrant cette série via ce tome, one-shot vanté comme un des meilleurs albums de cette série, eh bien c'est une sacrée déception.
On est très très loin du grand Dufaux de la fin des années 90 à aujourd'hui, pour moi.
On ne comprend pas très bien en quoi consiste cette "degradia" que le scénariste se garde bien de développer, peut-être parce qu'il ne le sait pas très bien non plus ? L'intrigue est résolue en deux temps trois mouvements en référence à un personnage mort qui n'est pas celui assassiné au début et que l'on n'a en fait jamais vu. Ce secret semblait décidément bien partagé.
Bref c'est une déception, et le dessin assez quelconque en l'occurrence ne m'aidera pas à tenter ma chance sur un autre tome.
Qui veut la peau de Giacomo ? Le marquis de San Vere bien sûr ! Et cette fois ci cela devient sérieux et toute la police de Venise se lance à ses trousses. Mais les femmes, de toutes conditions, les gueux et autres truands viennent en aide à cet amoureux de la vie qu’est notre Casanova.
Nous avons encore droit à la souris mimi que San Vere a mis en cage à côté d’un chat famélique. Il s’agit d’un piège pour Giacomo dont la souris lui rappelle à chaque moment son amour Caterina, disparu lors du deuxième album.
Giacomo va éviter tous les pièges tendus et réussir à fuir Venise après un final qui se jouera au fil de l’épée dans un affrontement avec San Vere.
A force de fuites en avant, cette fois ci « notre héros » doit fuir la réalité. Son existence même divise la ville, et ce jouisseur qui nargue les lendemains et de ce fait la société des hommes comprend que si avenir il y a, celui-ci sera ailleurs.
Il s’agit de l’album le plus tempétueux digne des films de capes et d’épées les plus enlevés. C’est effectivement du grand spectacle, à la limite du virtuose dans le genre. La tristesse vient terminer cette série merveilleuse, que j’ai apprécié de bout en bout, avec des personnages souvent farfelus mais cependant attachants.
Giacomo noie un amour perdu dans le vin à cause d’un cruel manque d’argent quand le jeune m’as-tu-vu Matteo Del Poggio marche sur mimi. Giacomo lui demande de s’excuser et reçoit pour réponse de se faire fortement rosser.
La jeune Flavia promise à Matteo Del Poggio ne rêve que de son jeune étudiant et amant le dénommer Fabrizzi. Cependant son père lui ne rêve que du nom Del Poggio et ce qu’il apporterait à ses affaires.
De ces postulats de départ sera démontré que la vengeance sur une personne bien née n’amène que le malheur. Pourtant Giacomo aura adroitement mené son affaire, bien aidé en cela par son fidèle Parmeno.
Ainsi une tragédie va se nouer et le destin va encore jouer des tours à notre invétéré séducteur dont la revanche victorieuse ne sera que de courte durée. La porte est désormais ouverte pour San Vere qui voit enfin comment se débarrasser définitivement de Giacomo en modifiant quelque peu la vérité. Il va de surcroit forcer la main du Doge par l’entremise du père de Matteo Del Poggio pour lui faire signer l’arrestation de Giacomo.
Un album par moment un peu plus léger que le précédent mais pourtant toujours aussi tragique. Les derniers albums de la série sont décidément excellents. Agréable à lire et à regarder. Certains scénaristes de séries récentes au long cours pourraient s’inspirer de la qualité des textes de Dufaux sur lesquels il n’y a pas grand-chose à dire.
Giacomo et la Fiamina se retrouvent sur le pré pour un duel fratricide. Giacomo grâce à la formation récente d’un maître d’armes réussi à parer la botte secrète de la Fiamina. Il tient alors la belle au bout de son épée mais se refuse à la tuer.
San Vere prévenu de ce fait par un ami du prince Di Gazzi tué par la Fiamina dans l’album précédent fait alors appel au bandit « La Hache » ainsi qu’à ses sbires pour en finir avec la Fiamina mais aussi avec Giacomo qui n’a pas tenu sa parole.
Dans ce tome, Giacomo va apprendre le nom de son père, celui de sa mère, se trouver une demi-sœur et il me semble aussi un demi-frère, Alberto, fils du Comte de Seingall. Il s’agit peut-être de l’histoire la plus dramatique de la série avec un nombre d’évènements important. Giacomo va, entre autres, se présenter au Doge et menacer ouvertement San Vere.
Cela aurait pu être un superbe album sans l’intervention encore une fois grotesque de la souris mimi. C’est le seul point noir de cette histoire très prenante et le dessin proposé par Griffo la magnifie.
L’histoire commence sur le pré par un duel entre la comédienne la Fiamina et le Prince Di Gazzi. L’enjeu, dix jours d’amour avec le prince si celui gagne où la protection totale de la troupe de comédiens si c’est la Fiamina. Celle-ci possède une botte secrète qui prendra la vie du Prince.
Le Doge s’en émeut et demande à San Vere de s’occuper de ces duels où de jeunes nobles perdent la vie. San Vere choisit bien évidemment Giacomo qui endetté ne peut faire autrement que d’accepter. Notre héros va d’abord passer la main à son ami le chevalier Eugenio Sorren qui lui aussi va trouver la mort. Il se promet alors de le venger.
Il rencontre alors la Fiamina. Tous les deux sont troublés lors de cette rencontre. Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’un lien les unit. Mais Giacomo n’a pas le choix car San Vere ne le lache pas.
Le duo Dufaux / Griffo reste au plus haut dans cette série qui prend de l’ampleur. Les histoires se suivent et s’améliorent encore et toujours. Le mystère est une fois de plus omniprésent dans cet album passionnant et surprenant avec ce que nous apprenons du passé de Giacomo.
Cela commence par un entremetteur pour les personnes de « la haute » qui malencontreusement met en relation le mari et sa femme. Le sang de l’homme ne fait qu’un tour et il trucide férocement sa femme.
De son côté, Giacomo, qui supporte de moins en moins les agissements de San Vere, retombe dans ses travers pamphlétaires. Il va alors chercher un imprimeur et choisir le même que le chevalier qui veut éditer « l’œuvre de sa vie ». De son côté, un Vicomte veut faire publier des échanges de lettres compromettant directement le meurtrier.
Tout cela compose un mélange d’intrigues absolument succulent pour nous donner un fameux jeu de dupes. A vouloir absolument éteindre le feu, certains protagonistes de l’histoire vont s’affronter dans des complots dont les issues seront sanglantes. Et la grosse erreur sera de s’en prendre, involontairement, à l’œuvre du chevalier.
Ce tome 11 génial se déguste avec délectation de la première case à la dernière. Il est de loin meilleur que ses prédécesseurs et quand nous comparons le dessin de Griffo par rapport aux premiers albums, cela n’a plus rien de comparable. Génial !
La conjuration entrevue dans l’album précédent prend de l’ampleur dans celui-ci. Giacomo est à deux doigts d’y laisser la peau plusieurs fois.
Nous retrouvons une nouvelle fois Milady l’amante amie / ennemie de Giacomo qui n’est autre que l’une des instigateurs de cette cabale.
Le but est d’obtenir une fameuse « dernière heure qui tue » qui servit de paiement du Doge à la famille Ranieri qui fut à l’origine de la fameuse horloge.
De nombreux protagonistes veulent se l’approprier et les manigances en provenance de toutes parts foisonnent donnant à ce tome une atmosphère très particulière.
Le graphisme de Griffo, qui devient excellent, combiné au scénario recherché de Dufaux offrent un album riche et très bien réussi.
Nous repartons sur de bonnes bases avec ce tome 9. Giacomo va se trouver confronter à une histoire dont il ne sait pas encore que la principale personne impliquée est celle qui vient de l’embaucher pour donner une leçon à l’amant de sa femme.
Il s’agit du Signor Nicolini. Giacomo va mettre hors course Alfredo l’amant d’Aurelia, femme du Signor, et découvrir qu’il a volé un petit maroquin rouge qui contient des informations secrètes. Ce petit maroquin va permettre à Giacomo de se rendre à un rendez-vous à la place d’un autre. Mais ce rendez-vous n’est rien d’autre qu’un attentat sur la personne du Signor Ferracina chargé de la restauration de la grande horloge de la plus haute tour de Venise.
Giacomo aidé de son valet Parmeno et du Chevalier, personnage récurrent, entre ami et concurrent, vont déjouer un second attentat sur Ferracina préparé par un homme masqué le Vicomte de Sarastri un proche du Doge. L’affaire se corse et Giacomo va éviter un troisième attentat mais amener un air de suspicion de San Vere.
Mais qu’elle est cette étrange affaire liée à l’horloge. Quel lien étrange pousse une poignée de personnes à empêcher sa rénovation. Du suspens en veux-tu en voilà à gogo pour cet album haletant. If faut quand même reconnaître que la fin avec la souris mimi est tout à fait grotesque. Mais bon…
Voici un épisode que j’ai trouvé un peu décevant par la tournure des évènements. Bien sûr Angelina finira par être sauvée grâce à Giacomo qui va se mettre en quatre pour la sortir de prison.
Mais cette histoire de la jeunesse d’Angelina chez le Comte Alvisio avec son fils détesté et abandonné à lui-même ne m’a pas passionné outre mesure. Quant à la partie concernant la « non belle » Alvira, elle a le mérite d’être amusante.
J’aurai aimé des évènements plus rocambolesques, plus chevaleresques et une fin plus épique pour la libération d’Angelina. Elle méritait mieux, je pense… Bon album, sans plus.
Plusieurs meurtres curieux vont se produire liant à nouveau les destins de San Vere et de Giacomo. Ce dernier joue à nouveau avec le feu et devient débiteur de 230 000 sequins qu’il doit absolument trouver dans les quinze jours sous peine de devenir estropié.
En parallèle, Giacomo et son valet tentent de venir en aide à Angelina qui est accusé du meurtre du frère Fra Melempo. Celle-ci risque la pendaison. Au fur et à mesure que l’enquête avance, il semblerait que les meurtres et la condamnation d’Angelina soient en rapport. Mais de quelle manière ?
Voici notre Casanova sur plusieurs fronts. L'enquête sur un meurtrier en série, le sauvetage d’Angelina, la sauvegarde de son intégrité corporelle, un mystérieux espion et la séduction de la richissime nièce de son créancier préféré le Signor Bagradino.
Le scénario très riche part dans tous les sens tout en restant cohérent. Les dessins de Griffo me plaisent davantage à chaque album. Que du bonheur !
Je suis assez partagé sur cet album que j’ai trouvé excellent mais néanmoins assez troublant. En effet, nous quittons Constanza et Parmeno sur une promesse d’union de malfaiteurs et nous retrouvons Parmeno en tenue de roturier prêt à vendre la bague du prince de Fosca à l’amateur de bijou le Marquis d’Uvère. Plus de traces de Constanza !!! J’avoue ne plus comprendre…
Et puis, Parmeno devient un personnage presque attachant dans cet album alors qu’il était détestable dans tous les précédents. Quant à l’enchevêtrement des différents protagonistes des albums antérieurs, il laisse dubitatif. Même si le plaisir de retrouver Milady est certain, nous avons l’impression que Jean Dufaux fait du recyclage comme peut le dire PEB dans son avis.
Cela n’enlève rien à une intrigue et aux coups de théâtre qui s’enchaînent tout au long de l’album. Le triste sort réserver à Angelina en fin d’album est émouvant car il s’agit d’un personnage attachant, d’une certaine façon vulnérable, et avec un énorme cœur qui aime à battre pour la justice.
Outre les incohérences de cet album en tant que suite de « Pour l’amour d’une Cousine » et si nous le considérons comme un One Shot, nous pouvons nous dire qu’il est épatant. Du coup, j'ai adoré. Incohérence, quand tu nous tiens...
Le côté « bourrin » et parvenu de Parmeno devient un peu lassant et je trouve que l’histoire en souffre un peu. Du coup la partie « drolatique » prend le pas sur la subtilité de ce qui aurait dû être, selon moi, plus cocasse.
Le Comte d’Yi tire les ficelles du complot visant à s’attribuer la fortune du Prince de Fosca avec, ce dont nous pouvions nous douter, Costanza la nièce dudit prince.
Après avoir assis Parmeno à la Place de Duc de Totto, le Comte va profiter de cette manne pour faire libérer de prison un certain Sartori, accusé d'intelligence avec l'ennemi, et qui n’est autre que le véritable héritier. Mais cette libération ne durera que le temps de son assassinat car le véritable but du Comte est d’assoir, au moins temporairement, Parmeno comme bénéficiaire du prince.
La toile attentatoire se tisse et Costanza, malgré un certain dégoût, tente une séduction intrigante envers le nouveau Duc de Totto. Malheureusement pour tout ce beau monde, Giacomo et l’espionne de San Verre, Angelina, vont découvrir un document dévoilant le complot. Le Comte d’Yi va le payer cher et Parmeno sera informé par Giacomo qu’il n’est pas l’héritier. Seulement…
Le dernier tiers de l’album devient franchement intéressant et malgré la mise sur la touche du Comte et la disparition du prince, les manigances continuent avec une collusion entre Parmeno et la Nièce.
Parmeno, voleur, escroc, menteur de bas étage, souvent veule et valet de Giacomo se retrouve soudain sur le devant de la scène. Des personnages de la noblesse lui assurent qu’il est le Duc de Toto, fils du Prince de Fosca qui est à sa recherche pour lui léguer sa fortune et ceci au grand désespoir de Giacomo. Tout cela ressemble à une cabale où Parmeno, en crétin de service, se complaît. Mais il n’est pas si simple de transformer un roturier en fils de prince.
San Verre lance son espionne sur ce dossier qui lui parait louche. Giacomo aussi a beaucoup de mal à croire à la haute naissance de son valet. Pourtant la nièce du Prince rencontre le nouveau Duc de Toto et semble tomber dans un piège dont nous ne connaissons pas encore vraiment le fondement ni le but.
Le comique de l’album est son point fort. Mais comme l’histoire se déroule sur deux tomes, le scénario laisse des zones d’ombre et n’évite pas totalement l’ennui malgré le côté extravagant qui glisse par moment vers le côté grotesque. Cela n’empêche en rien le plaisir qui s’en dégage une fois la dernière page tournée.
Ce troisième tome est une vraie réussite. Notre « pôvre » Giacomo noie son amour perdu (album précédent) dans le vin. Mais il va bientôt être mêlé à une affaire qui le sortira de sa torpeur.
L’album tourne autour du monde des joueurs de cartes. L’Angleterre tente une déstabilisation de Venise par l’intermédiaire d’un joueur professionnel, Lord Winter. Celui-ci va réussir à obtenir d’un joueur célèbre, proche de la mort, une façon de jouer « la degradia » permettant des victoires quasiment assurées. Ces premières prouesses vont se faire sur la noblesse Vénitienne en ruinant nombre de personnes connues et mettant en péril l'économie de Venise. San Verre, personnage qui tient Giacomo C. par de nombreux secrets va consulter le Conseil de Venise et proposer les talents de celui-ci pour affronter Winter contre un oubli total de certaines affaires qui l'impliquent.
Malgré ses dons de joueurs, Casanova va subir une défaite cuisante et perdre l’argent que le Conseil lui a accordé. Un étrange personnage va alors lui permettre d’affronter Winter d’égal à égal.
Dans ce volume s’enchainent et se succèdent, comme les grains d’un chapelet, les surprises. Elles s’égrènent petit à petit et viennent grossir un scénario parfaitement construit se finissant sur un joueur totalement désabusé.
Ce deuxième tome est impressionnant par la qualité du scénario et le dessin me parait déjà meilleur. Giacomo doit faire face à plusieurs personnes qui, à raison où à tort, lui en veulent personnellement et doit de plus, à son corps défendant, essayer de trouver le tueur en série qui exécute et mutile nombre de femmes. Le mélange de suspens, d’action et de légèreté donne un cocktail très plaisant pour cette suite passionnante en tous points. Excellent ! Au moins scénaristiquement parlant.
On ne peut laisser passer le fait que la BD est datée « Vécu » des années 80. Mais ce n’est pas une tare surtout avec un scénario signé Dufaux. C
Cette période vénitienne de la vie de Giacomo Casanova est truculente à souhait et ce premier tome n’y déroge pas avec des aventures pittoresques et picaresques. Même si le sujet très sérieux d’un meurtrier en série anime cet épisode, la narration par moment drolatique de l’auteur nous met en joie tout au long des pages.
J’ai conservé très longtemps cette série sans la lire comme d’autres… peut-être trop longtemps quand on regarde ce qui se fait aujourd’hui. Néanmoins je m’amuse beaucoup à sa lecture.
Qu'il est difficile de conclure une telle série… Après 14 ans et autant d'albums, Dufaux et Griffo terminent donc avec ce 15e opus les aventures de Giacomo C.
Ce dernier album ressemble à un hommage au théâtre, tragique mais surtout comique: récitatifs et chœurs (les gueux, les femmes, les maris…) rythment cette dernière aventure de Giacomo à Venise. Dufaux a choisi de terminer de manière grandiloquente, au risque de mettre en péril le fragile équilibre entre histoire, réalisme, et aventure qui faisait le charme de al série. C'est du grand spectacle, et c'est parfois trop…
Même si l'on adhère pas à cet ultime scénario, il reste le dessin magnifique et les chaudes couleurs de Griffo.
Recommandé.
A nouveau un album formidable. Parmeno tient le devant de la scène, mais Giacomo n'est pas en reste. C'est drôle, c'est léger, c'est beau, c'est l'Aventure!
"La Fuite" conclut l'histoire entamée dans "La Fiammina". Le niveau reste formidablement élevée. Les décors vénitiens s'estompent quelque peu pour laisser place à quelques scènes à la campagne, voire en mer. On ressent également l'influence des grandes histoires de cape et d'épées, aussi bien pour les nombreux duels qui émaillent cette histoire que pour les histoires de famille alambiquées.
Toujours aussi bon.
Dufaux et Griffo nous offrent le premier tome d'un nouveau diptyque. A nouveau, Giacomo est contraint d'aider son meilleur ennemi, San Vere.
De nouveaux personnages savoureux (dont l'inénarrable Bonbon), des duels, de la comédie, de la tragédie… Une nouvelle aventure formidablement scénarisée par Dufaux et excellemment dessinée par Griffo.
Magnifique histoire… Chantage et poésie, police et imprimerie, adultère et pouvoir…
Dufaux se surpasse, Griffo est au sommet.
Un des meilleurs volumes de la série.
Le tome 10 achève le diptyque commencé au tome précédent, relatif à la rénovation de l'horloge. Le scénario de Dufaux, malin, réserve nombre de surprises et de rebondissements. Humour, aventure, dessins et couleurs magnifiques continuent de pimenter cette série qui parvient à garder son niveau, 11 ans et 10 tomes après la publication du premier opus.
Bravo!
Le 9e volume des aventures de Giacomo C est à la hauteur des précédents. Dufaux y imagine une intrigue autour de la rénovation d'une horloge et Griffo en profite pour représenter Venise sous toutes ses coutures, pour le plus grand plaisir des yeux du lecteur. A nouveau, l'aventure se décline en 2 volumes, la chute étant donc attendue pour le tome 10.
Peu de nouveaux personnages marquants dans ce nouvel opus, mais un rythme enlevé, de l'aventure et de l'humour, avec la poursuite de la narration par le valet Parmeno, entamée à l'occasion des deux volumes précédents, qui pimente l'histoire d'une touche comique.
Recommandé.
Cette "Non-belle" conclut brillamment le diptyque entamé avec le volume précédent "Angelina". Une fois de plus, Dufaux prend un malin plaisir à plonger son malheureux héros Giacomo dans les pires ennuis avant de l'en sortir in extremis.
Les personnages secondaires sont toujours aussi bien dépeints. Le trait de Griffo est encore plus fin, notamment pour les visages.
Une belle réussite!
Après un album en demi-teinte, le duo Dufaux/Griffo revient pour un nouveau diptyque apparemment plus inspiré; il semble que le format d'un aventure en 2 albums siée mieux aux scénarios de Dufaux, un peu à l'étroit sur un seul volume.
La trame n'est pas originale: comme pour les deux premiers tomes, Giacomo et San Vere sont confrontés à une série de meurtres. Mais le rythme est là, l'intrigue crédible, le dessin de Griffo toujours magnifique…
Un excellent cru.
Les aventures de Giacomo et Parmeno se poursuivent. L'intrigue reprend peu après là où la conclusion du tome 5 avait laissé nos héros.
Si l'histoire reste intéressante, si les décors de Griffo sont toujours aussi somptueux, l'intrigue imaginée par Dufaux pour cet opus semble un peu forcée. la volonté de recycler à tout prix les personnages rencontrés lors des tomes précédents sonne faux, et surtout le dénouement de l'histoire, avec plusieurs rebondissements en quelques pages et une conclusion hors champ, nous laissent un peu sur notre fin.
Le moins bon volume d'une série jusque là irréprochable. Il n'en reste pas moins fort plaisant à lire!
Ce volume conclut avec brio l'intrigue posée dans l'album précédent. On y retrouve avec plaisir les différents protagonistes, anciens et nouveaux.
Le dessin de Griffo, la langue de Dufaux… Cette série conserve un excellent niveau.
La série continue sur sa lancée, avecun nouveau complot au centre duquel se trouve propulsé le valet de Giacomo, l'infortuné Parmeno.
Humour, aventure, rebondissements, érotisme, complots politiques, tout y passe, dans les décors toujours grandioses peints avec talent par Griffo.
Classique, brillant, efficace.
Cet album suit de près le précédent. Giacomo est désespéré. San Vere vient le trouver pour déjouer une machination machiavélique.
Ce nouvel épisode, centré sur le jeu de hasard, introduit un élément de mystère, presque magique, avec un personnage féminin mystérieux qui, en tirant les cartes, semble tirer les fils du destin des protagonistes.
L'intrigue est mojns convaincante que celles des deux tomes précédents, mais le rythme reste enlevé et le dessin de Griffo, plus fin et brillant que jamais, illumine cette représentation inspirée de la Venise du XVIIIe Siècle.
A lire absolument.
Après un premier volume brillant, le duo Dufaux/Griffo clôt avec maestria ce premier diptyque des aventures de Giacomo. On retrouve la même brochette de personnages bien troussés, augmentée, entre autres, de la voluptueuse Angelina et de l'écrivain public français Blanc-Seing.
Dufaux brille au scénario, les enchainements sont fluides; les dialogues, finement ciselés, et le dessin toujours précis et vif animent brillamment cette histoire, qui alterne moments comiques et dramatiques dans des décors toujours aussi superbes.
A lire et à relire, sans retenue.
L'aventure dans la Venise du XVIIIe siècle, sur les pas d'un aventurier ambigu inspiré de Casanova…
L'intrigue policière, classique mais solide, est prétexte à dépeindre les mœurs de la Sérénissime, alors dans sa phase de déclin. Sur la trame offerte par Dufaux au sommet de son art, le dessin réaliste de Griffo donne vie à une galerie de personnages pittoresques (Giacomo bien sûr, mais aussi son valet Parmeno, le policier San Vere, le Chevalier brigand, la mystérieuse et séduisante Milady…) au milieu de décors somptueux, aux couleurs vives et chaudes.
C'est classique, c'est efficace, c'est passionnant. C'est de l'excellente bande dessinée.
Fin du premier cycle.
Cet album esr surprenant mélangeant réalité historique et aventures galantes/policière comme c'est bien le faire l'auteur.
La fin de l'histoire atypique à défaut de nous surprendre.
Un bon moment de BD.
7/10.
Dans la venise du XVème XVIème siècle Giacomo C. mi-play boy mi-escroc est mélé bien malgré lui à la traque d'un sérial killer. Le scénario est prétexte à ine intrigue policière et à toute une galerie de personnages secondaires.
L'histoire est bien écrite avec sa dose de suspens et de rebondissement.
Les dessins sont bons, les couleurs vives et l'ensemble graphique est tout à fait convenable.
Bref une série qui commence bien et mérite d'être suivie.
7/10.
Dans cette album se qui m'a bien plus c'est le fait que Giacomo essaye de faire croire à la "non belle", qui est riche, qu'il l'aime et conte l'épouser.
Ce personnage ne vit qu'en essayant de grapiller de l'argent par ci ou par là, chez les uns ou les autres, sans faire toujours gaffe ou il mais les pieds.
Un second domaine ou il est doué, la drague envers les femmes de la ville, se qui rapelle un peu le comportement du Scorpion.
Les deux premiers albums formant une histoire, nous permettent de découvrir un personnage sympathique, qui en revenche n'a pas beaucoup d'amis, surtout du coté de la noblesse, et encore moin avec le chef de la police qui lui en veut à mort.
Des moments de rigolades avec des moments plus dramatiques, surtout içi, font de cette série une réussite.
Le tome 9 et le tome 10 sont pour moi les meilleurs. D'une part parce que l'histoire au sujet du mystère de la tour de l'horloge est passionnante, et d'autre part parce que les dessins sont très jolis. Il y a certaines planches qui sont purement magnifiques (architecture de Venise, paysage italien...).
L'ensemble de la série est très bien, les premiers tomes sont assez noires, tandis que les albums suivants sont plus humoristiques, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Giacomo C est une série vraiment bien réussi, on y trouve de l'historique, de l'aventure et de l'humour, surtout dans cet épisode ou, comme l'indique le titre Parmeno prend la place de son maitre Giacomo.
Un bon épisode ou Giacomo va devoir accepter que son valet est devenu un aristocrate, dur dur pour lui.
Quand le valet devient maitre...... Trés bon tome également, l'épopée et le comique sont toujours au rendez-vous
.. une reflexion sociale s'inscrit presque en filigramme... aprés l'amitié, la séduction, l'honneur, le farniente... la "dolce vita " en somme
Bref, encore une fois un excellent album pour une des meilleures série ........
Vrai debut de la série à mon sens (les deux premiers tomes sont trés dispensables et dans un esprit différent..), ce tome est d'une grande qualité...
S'il se singularise par son sujet (jeu de carte) et traitement (seul album ou il y ait du mystere au sens "fantastique"), le résultat est d'excellente facture...
Petite merveille d'album, pour une série d'anthologie (même si le dernier tome est une grosse deception..)..
Tout les ingredients majeur de cette serie sont présent: de la trés grande BD, culturelle qui plus est....
A NE PAS MANQUER
Le cycle pour ma part qu'il ne faut pas rater (tome 9 et 10). Dufaux nous
emmène dans l'histoire d'un des monuments de Venise, donnant sur la place
Saint Marc, l'horloge. Un mystère tourne autour, on tente d'assassiner le
réparateur de celle-ci pour des raisons sombres datant de sa conception.
Giacomo se retrouve évidemment dans la partie pour enquêter et c'est un réel
plaisir, surtout que l'histoire a coïncidé avec la réparation fin des années 90 de
cette horloge. Le dossier que nous offre le tome 10 est vraiment très
intéressant car Dufaux a profité de cette réfection pour bien se renseigner sur le
mécanisme la faisant fonctionner. Quand la BD sert l'histoire et rencontre
l'Histoire de Venise...
Cycle en 5 volumes (du tome 4 au tome 8), on se laisse emporter par cette
nouvelle aventure de Giacomo et on prend plaisir à découvrir un personnage
truculent qu'on avait déjà pu observer dans les tomes précédents : Parmeno, le
valet de Giacomo. Le Parmeno qui sert de défouloir à son maître qui ne lui paye
pas ses gages se voit devenir Duc de Totto, héritier d'un des plus riches
personnages de Venise, les Fosca. Il n'en faut pas plus pour que Giacomo
enquête, sentant son valet pris dans un piège, certes soyeux, mais néanmoins
dangereux pour sa vie. Une sombre machination qui prendra suite dans le tome
6 avec la bague des Fosca qui avait été remise à Parmeno. Le tome 7, Angélina
permet d'en découvrir plus sur ce personnage entraperçu dans chaque tome de
Giacomo et qui se trouvait au service de San Vere. Le tome 8, la non-belle voit
se clore les péripécies dans lesquelles s'étaient mises la belle Angélina.
D'autres personnages apparaissent, plus savoureux les uns que les autres
même si le personnage principal avec Giacomo, j'ai nommé Venise, nous
emmène à travers ses ruelles et canaux, c'est tout simplement sublime
Probablement l'un des meilleurs tomes de la série, Dufaux et Griffo nous
plongent dans la Venise des jeux de cartes et d'argents où la sérennissime voit
d'un mauvais oeil un anglais qui ruine les familles les plus en vue et illustre que
compte la ville. Il faut y mettre fin, et de façon définitive. C'est Giacomo qui
s'en chargera. On retrouve notre héros plus malheureux que jamais suite à la
perte d'un être cher qui nous est compté dans le premier cycle de 2 volumes.
Giacomo jouera avec l'argent de la sérennissime mais aussi avec sa vie dnas
une aventure prenante servie par un Griffo de plus en plus à l'aise avec notre
héros et cette vilel de Venise, plus envoûtante que jamais. Une très bonen
histoire
Dufaux et Griffo,un tandem qui sonne bien et le résultat est là.
Venise est superbement bien representée.Au travers des aventures de Giacomo et son valet Palermo,on découvre la ville et les differents mileux qui
se croisent.
Les intrigues sont bien ficellées même si elles restent classiques.
Les personnages ont leurs défauts,on les suit dans le luxe et la décheance, on est loin du héros lisse sans défaut.