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3 histoires variées, il faut se creuser les méninges c'est très amusant et on incarne les héros de la BD !
Dans cette "biographie non autorisée", les auteurs n'imaginent pas ce qu'aurait pu être la vie du colonel Olrik entre deux albums de Blake et Mortimer. Ils affirment, au contraire, qu'Olrik a bien existé, que Jacobs et lui se sont rencontrés une première fois au Théâtre de la Monnaie en 1938 et qu'un "pacte faustien" aurait, plus tard, été scellé entre les deux hommes. La vie aventureuse d'Olrik fournissant de la matière aux scénarios de Jacobs qui, en contre partie, se serait engagé à le faire triompher des deux "anglais" dans un album (jamais publié ...)
S'appuyant sur un paquet de cartes postales signées M (pour magyar ?) ou O (pour Olrik ?) que leur remet, avant de disparaitre aussitôt, un mystérieux monsieur Henri, ancien imprimeur du Journal de Tintin, les auteurs se lancent dans une enquête minutieuse et rigoureuse qui débute par la consultation d'une voyante et se poursuit par la prise de contact avec une médium (passionnée de BD). Faisant fi des appels à la prudence des uns, surmontant le mutisme des autres, l'aide (un peu contrainte) de l'écrivain Erik Orsenna et la découverte de document essentiels à la bibliothèque municipale de Dignes-les-Bains leur permettent finalement de remonter la piste d'un Olrik né dans les pays baltes d'un père aristocrate (et ruiné) et d'une mère préceptrice (et hongroise).
Au fil des pages, on découvre un Olrik précipité très jeune dans le chaudron bouillonnant de l'Europe centrale de l'entre deux-guerres. Travaillant tantôt pour les mouvements nationalistes hongrois avant de d’accoquiner avec le fascisme (par anti-bolchevisme) puis de flirter avec les nazis, il est finalement recruté par la CIA tout en collaborant avec le KGB. un jeu dangereux dans lequel il cherche surtout à s'enrichir.
Malgré la relation orageuse qu'il entretient avec un Jacobs qui ne semble guère pressé de le faire triompher de Blake et Mortimer, Olrik continue de le tenir "informé" de ses agissements, apportant ainsi une contribution essentielle et involontaire au 9ème art.
Tout cela est très plaisant.
A noter : si on en croit les auteurs, on pourrait (peut-être) apercevoir Olrik dans une scène du "Patient anglais" film d'Anthony Minghella sorti en 1996.
Reçu à Noël. Les énigmes sont sympas. Attention un des 3 scénarios se joue à 2 personnes obligatoirement.
Ce très bon dBD présente des approches originales du mythe jacobsien, y compris pour les histoires des repreneurs. A lire absolument
un travail remarquable de Monsieur Lerman, passionné parmi les passionnés, qui partages avec nous le fruit de ses recherches. Ultra complet, cet ouvrage donne envie de se replonger pour la millième fois dans les détails des histoires de Jacobs et de ses repreneurs.
Très bonne étude d'une BD "historique"; On y découvre l'incroyable diversité des sources documentaires d'Edgar Jacobs. Pour ceux qui veulent approfondir, je conseille
On doit a Chifflet nombre de petits opuscules drôlatiques grâce à sa maison d'édition Mots & Cie. Lui même, spécialiste de lanque et de littérature anglaise nous a offert 2 tomes de Wit Spirit de très bon aloi.
Cet album ci est des plus original puisqu'il reprend la formule de "Sky, my husband". En fait, on reprend des expressions idiomatiques en les traduisant littéralement puis en donnant le bon équivalent (quand il existe).